Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 125 J'aime
  • 4 Commentaires

J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes.

Chapitre 10

Orgie nuptiale

Orgie / Partouze
Vladimir, Djidjo et le facteur finirent bien aussi par se vider les couilles. Pour l’occasion, on décida de me recouvrir de mon voile et ils jutèrent presque simultanément sur mon visage. La dentelle intercepta une partie du sperme, mais pas tout. Le liquide suinta à l’intérieur et je pus m’en humecter les lèvres en guise d’apéritif.
Il était temps de passer à table.
Nous passâmes donc dans la salle à manger. Un traiteur avait tout préparé, mais mon mari avait recruté à grands frais auprès d’une maison de production de films X, de jeunes acteurs débutants qui devaient assurer le service. Ils étaient six, un peu plus d’un pour deux convives, blacks entièrement nus sauf, eux aussi, un nœud papillon. C’était la fameuse surprise et je sus que je n’allais pas manger que du foie gras, mais aussi de la bite sauce jus de couilles. Le menu était alléchant.

La table, ronde, était gigantesque, bien plus large que nécessaire. Il n’y avait pas de surtout ni de chemin de table, mais juste une sorte de futon. Un escabeau permettait de monter dessus et mon mari m’y incita. Il désigna l’un des serveurs pour m’accompagner et, aussitôt, le mec entreprit de me baiser. Il était trop beau gosse et trop bien monté pour que je refuse.
Pendant ce temps, les autres convives déjeunaient en commentant les prouesses du mec. Untel lui demanda de me prendre en levrette, tel autre de m’enculer, un troisième de me mettre sur le côté, etc.
Cela faisait concours. On se promit de récompenser le participant qui ferait montre de la plus grande virilité.
Les mecs étant un peu rodés au porno promettaient d’être endurants. J’allais déguster un long moment.
— Il est doué le garçon ! fit observer quelqu’un.— Oui, répondit mon mari. Cela a été plus difficile de leur apprendre à faire le service.
Les gars avaient reçu une consigne très stricte. Une coupe en cristal était destinée à recevoir leur sperme. On devine pourquoi.
L’autre femme essayait de déjeuner paisiblement, mais les deux mecs qui l’entouraient la pelotaient outrageusement, sous les regards bienveillants du mari qui, assis à côté de la place que j’avais laissée vide, attendait que je revienne pour, j’espérais, se joignant à mon voisin de gauche en faire autant.
Le gars qui me déglinguait finit par se vider les roustons copieusement dans la coupe.
Il secoua bien son nœud au-dessus du vase et pressa sa bite comme un citron pour bien en exprimer tout le suc.

— Il y en a un peu plus. Je vous le mets quand même ?
La saillie fit rire tous les participants alors que je passai le bout de ma langue sur son méat pour récolter cette perle de burnes.
— Au suivant !dit mon mari.— Eh ! J’ai un peu faim aussi ! fis-je remarquer. Il faut plus qu’une goutte de sperme pour combler mon estomac.— Bon alors, Anne-Sophie, en place !
Elle se déplaça et monta difficilement sur la table compte tenu de sa grossesse. Un mec la suivit.
— Une autre queue, une autre queue ! réclama son mari.
Un second mire-balai qui bandait comme un pur-sang, rejoignit le couple. Les deux gars commencèrent à la tripoter sans vergogne.
— Elle aime vraiment ça, la partouze, hein ? dis-je au cocu.— Pourtant ce n’est que la deuxième fois.— Ah bon ? on ne dirait pas.— On n’a pas la même... pratique que vous... C’est d’un autre niveau ici... carrément plus dépravé. — Vraiment ?— Oui... déjà, un chien... J’sais pas comment vous faites... C’est dégueulasse, je trouve.— C’est un point de vue. Moi j’ai aimé cela, sans réfléchir... On dirait que j’attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes.— C’est vrai que vous êtes bandante... mais c’est un truc que je ne comprends pas.— Pourtant vous laissez bien votre femme se faire baiser par tout ce qui se présente.— Tout, non, et puis ce sont des hommes.— Y a longtemps que vous faites cela.— Non. En fait, on a un voisin superbe, TTBM. Un soir, on l’a allumé sur Internet en se faisant passer pour quelqu’un d’autre. Mais il a reconnu Anne-Sophie. Ils ont commencé à tchatcher et moi ça m’a excité de l’imaginer se faire démonter par ce gars. Depuis, ils sont amants et je participe. Il la baise tellement bien. Elle est magnifique quand il la fait grimper aux rideaux. Récemment, il a eu un accident et j’ai organisé un plan avec quelques mecs qui ont fait des trucs à trois ou quatre avec nous.— Oui, j’ai entendu parler de ça. Trois ou quatre mecs c’est déjà une partouze non ? Vous êtes modestes.— C’est plutôt des gangs bangs pour être précis... Mais quand les bébés vont être là... ça va être plus compliqué.— Bah ! Vous les mettrez chez une nounou et vous partouzerez... gang banguerez si vous préférez, pendant ce temps-là.— Oui, mais la fréquence va baisser. Normalement on la tire quasiment tous les jours.— Même pendant ses règles ?— C’est pas un problème... On la prend dans les autres trous si nécessaire.— Vous trouverez sûrement une solution... elle n’a pas l’air de vouloir renoncer au plaisir.— En effet... plus ça va plus elle est accro à la bite je crois... et moi au voyeurisme. Je la touche presque plus, mais je me branle en voyant les autres la monter. Comme maintenant...
Et de ce fait, elle était empalée sur un mec couché sur le dos, pendant que l’autre, debout se faisait téter la bite.
— Putain, vous avez vu comme elle est belle là, entièrement emmanchée jusqu’aux couilles ? Vous avez vu comme la motte est enflée et comme elle mouille les burnes du mec ? J’adore la voir comme ça.— C’est vrai... elle est belle votre femme. On a envie de lui bouffer l’abricot. Elle l’a déjà fait avec une femme ?— Non... enfin pas à ma connaissance... Pas depuis qu’on est marié...— Ça vous embête que j’essaie ?— Non... non... ça peut être curieux... si elle veut... J’sais pas si ça me plaira autant que de la voir se faire fendre, mais vous pouvez toujours tenter.
Je n’avais pas besoin de plus d’autorisation. Je montai donc à nouveau sur la plate-forme après m’être assurée, tout de même, qu’elle pouvait supporter le poids de quatre personnes. Le régisseur-maire, qui y avait œuvré, m’assura qu’elle aurait pu supporter le poids de toute la société si elle avait été assez large pour cela.
Placée comme elle était, naviguant à coups de reins sur la queue d’un type et bouffant goulûment celle d’un autre debout, elle ne pouvait pas me voir. Néanmoins, les applaudissements qui saluèrent mon initiative l’incitèrent à cesser un instant de pomper et à regarder ce qui se passait. Après un rapide coup d’œil, elle remit le zob en bouche. Avait-elle pour autant deviné que c’est à sa chatte que j’en voulais ?
Je m’allongeai entre les pattes du jeune hardeur et léchai ses boules où ruisselait la cyprine, puis donnai un coup de langue sur l’abricot. La fille tressaillit. Les gars les moins bien placés se levèrent pour assister à cette séance spéciale de broute-minou aux couilles.
Ce fut l’hystérie dans le public de mâles. Quelqu’un proposa, je crois que c’était le frère du notaire, que le mec jute dans la chatte et que je reprenne tout ensuite, plutôt que de le laisser se soulager dans la coupe de verre.
Il y eut unanimité sur la proposition. Mais comme le gars était résistant de formation, il n’était pas encore prêt à découiller. Je dus donc sortir son pieu, le sucer, le guider à nouveau vers le trou.
Les spectateurs s’impatientant, il fallut même que je laisse la place au deuxième mec pour qu’il vienne prendre la meuf en double avec son pote.
Comme j’étais désœuvrée, mon mari me dit :
— Ben, vas-y, donne-lui ton minou !
La suggestion était bonne, je me fis donc de la place entre le baiseur du dessus et la future parturiente. Elle me lécha avec le plus grand naturel et avec habileté.
— Dis donc, chérie, on dirait que tu ne plais pas qu’aux mâles ! remarqua mon mari.— Et je m’en félicite !
Nous restâmes ainsi un long moment. Trop long. La plupart des mecs rebandaient.
Enfin l’un des deux queutards arriva au terme, juste à temps pour déposer dans la coupe sa participation, fort généreuse d’ailleurs. Je dus encore donner quelques coups de langue au dernier qui déposa une bonne dose de foutre dans le vagin de ma partenaire. Nous fîmes le plus vite possible pour nous mettre tête-bêche, moi en dessous, afin qu’aucune goutte ne se perde. Fort heureusement, si le liquide s’échappait déjà, c’était pour s’écouler sur la fente toute rouge où j’appliquai ma langue comme une morte de faim. Entre mes jambes, Anne-Sophie me rendit la pareille. Puis elle glissa sur moi, m’embrassa le nombril, me bouffa les seins et enfin, vint me rouler une pelle sous les applaudissements hystériques des gars en rut.
Je profitais du moment où elle suçait dans mon cou une larme de sperme mélangée à de la salive, pour lui souffler tout bas:
— Si tu veux te taper le chien, rejoins-moi cette nuit.
Elle marqua une pause, puis revint en effleurant mes lèvres et me dit:
— Je sais pas...— C’est cool, tu vas voir.— Mais Eric... Il n’est pas d’accord. Ça le dégoûte, je crois.— Il dormira... tu lui diras rien...— Peut-être, je vais y...
Elle fut interrompue par une violente claque sur le cul. Un autre acteur X était monté.
— Encule-la, la cochonne !
Alors elle se remit à me bouffer la chatte pendant qu’au-dessus de mon visage le gars la fourrait dans le cul sans préparation.
Mais ses sodomies quasi quotidiennes avec un gars calibré comme un poney, avaient préparé la rondelle à des défis bien plus terribles et son élasticité, déjà tout éprouvée, permit au braquemart de disparaître rapidement d’autant qu’elle avait fort mouillé du cul.
Le spectacle de ce gros mandrin allant et venant et des couilles dansant si près de moi que j’en louchais était des plus agréables.
Il y eut débat dans l’assistance pour savoir si le gars devait éjaculer dans le cul, se retirer pour me la mettre directement dans le tube digestif ou gicler sa crème dans la coupe.
Le débat dura tant que les gars commencèrent à se succéder dans le cul de la fille. Je finis par y mettre un holà ! Après tout, c’était moi la mariée et on était venu pour me foutre en priorité.
Les types en convinrent, mais firent remarquer que l’opportunité de baiser une femme enceinte et grosse comme cela était rare... surtout en groupe.
Néanmoins, toutes les triques étaient en l’air et demandaient à travailler, sauf celle du vieux curé. Il s’était endormi dans un fauteuil Louis XV.
Les serveurs-pineurs durent remiser leur kiki pour laisser aux invités le soin de se servir du leur.
Mais on avait déjà bu et les sangs s’échauffaient. Les propos étaient plus crus, les "salope", "grosse pute", "traînée", "chiennasse", j’en passe et des meilleures, fusaient et les coups avec. Les claques sur mes fesses ou sur le clito, les siens pincés se faisaient plus fréquents. Ce n’était d’ailleurs pas pour me déplaire. Cependant, je fatiguais. Tous les gars voulaient me sauter et je n’avais que trois trous.
Anne-Sophie s’était mise sur le côté et servait de chauffe-plats, branlant l’un, suçant l’autre, flattant les boules du troisième, se laissant tripoter des mamelles et du con.
Chacun conserva cependant un semblant de discipline et versa son écot de jus dans la coupe commune.
Quand ils furent tous passés, ils réclamèrent qu’on fasse monter les meilleurs espoirs du X, mais je demandais grâce. On pouvait déjeuner quand même !
Les agapes reprirent et durèrent jusqu’au dessert. Le pâtissier s’était surpassé avec un gâteau en forme de zob, un gros zob luisant de sucre qui fit rire. Plusieurs garçons déclarèrent que, pour une fois, ils allaient manger de la bite. On me demanda de faire une chorégraphie autour de ce phallus gigantesque. Je m’y livrai avec bonheur et lascivité.
C’est là qu’il fallut faire participer les pauvres mirebalais qui n’avaient pas encore donné. Mettre de la Chantilly sur leurs glands ou leurs roustons, lécher le tout, constitua un passage obligatoire avant toute saillie.
Certains participants pourtant, s’étaient désintéressés de la scène, ayant peut-être déjà eu leur content de sexe. On discutait debout, coupe de champagne à la main dans les coins de la salle à manger ou du salon. Il y eut pourtant rassemblement au moment où la coupe fut pleine et où je dus la boire. Comme je m’y apprêtais, Eric me demanda si je pouvais petit à petit la verser entre les gros seins de sa femme en dessous desquels je pourrais recueillir le tout. La proposition fut adoptée à l’unanimité. Cela finit bien sûr par une bonne séance de gouinage et nous finîmes couvertes de jus.
Couilles vides pour les hommes, corps brisés pour les femmes, nous laissâmes venir la soirée par des jeux divers et variés et des plus innocents. La collation du soir fut plus animée.
C’était le moment où mon mari devait m’offrir mon cadeau.
Il avait fait aménager dans les sous-sols du XIII° siècle, un baisodrome, avec croix de Saint-André, douche, armoires à sex-toys, sling, bref, un endroit et un attirail complet dédiés au plaisir.
Mais ce n’était pas tout. Sous les voûtes en croisées d’ogives, un âne gigantesque se tenait paisiblement.
— C’est un Mammoth jackstock. Nous l’avons fait venir du Canada.— Qu’il est grand !
Je m’approchai donc du jeune mâle. Je ne m’étais pas rhabillée et, d’ailleurs, nous étions tous nus.
Je ne l’avais pas encore touché que, déjà, il bandait.
A suivre.
Diffuse en direct !
Regarder son live