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L'aube détend...

Chapitre unique

Divers
La fraîcheur de l’aube me sort de mon léger sommeil, car je suis à peine vêtue. Bien que ça ne soit pas la première fois, on a beau dire, il y a mieux qu’une branche pour passer la nuit.
Je me réchauffe tant bien que mal en me frottant les bras, brrr, fait frisquet dans cette forêt. Mes tétons sont dressés par le froid, ça m’amuse beaucoup, mais j’étouffe mon rire de la main, car je ne veux pas être entendue.
Avec le moins de bruit possible, je me colle au tronc. Il fait encore sombre, attention où tu poses le pied ma fille ! Evite d’être mordue par un serpent et d’y rester. Ou bêtement de choir. Ou de servir de casse-croûte à un prédateur.
Et voilà ! C’est malin, ça me rappelle que j’ai un creux depuis hier soir ! Avec un peu de chance, les écureuils n’auront pas boulotté complètement un de ces champignons qui poussent sur les troncs, en attendant de trouver autre chose. Je préfèrerais une bonne viande bien rouge, mais je ne peux pas faire la difficile. Ce n’est pas facile à mâcher, mais ça remplit l’estomac, surtout s’il y a des vers dedans.
Accrochée d’une main, je descends un pied dans le vide, précautionneusement. Petit à petit, je cherche un support. La branche en dessous est un peu loin et en écartant ma jambe, ma fente s’ouvre et le bouton qui est au-dessus frotte l’écorce sous le tissu. Je continuerais bien ça, mais ce ne serait pas prudent.
Déjà que si je me suis retrouvée toute seule, c’est parce qu’hier après-midi, quand avec la famille on a traversé les hautes herbes, ça m’a chatouillé la fente, et moi, je ne résiste pas quand on chatouille ma fente.Surtout que depuis qu’elle est enceinte, ma cousine ne veut plus qu’on se chatouille la fente l’une l’autre.
Elle, elle a un mâle pour faire ça maintenant. Bon, elle le partage avec ma grande sœur, mais je maintiens que c’est toujours mieux quand c’est la main de quelqu’un d’autre qui vous chatouille la fente ! Voilà !Je dis la main, mais, euh, ça peut être une bouche ou un genou, je ne suis pas regardante ! L’important c’est que ça soit à quelqu’un d’autre et que ça chatouille bien ! Celle de ma cousine, par exemple, elle est souple et douce et fait bien mieux que moi !
Son mec lui, ça n’est pas avec la main qu’il les a engrossées ! A les entendre braire quand elles se font chatouiller par son gros doigt, ça doit valoir le coup.J’aurais bien essayé, mais ma mère et ma tante lui ont fait comprendre qu’il ne fallait pas m’approcher ou sinon, gare ! Il n’a pas insisté, ils se souviennent que mon frère s’est fait virer pour avoir tenté aussi.Quand même, j’aurais bien aimé savoir, parce que depuis qu’elles en ont tâté, et bien ma cousine dédaigne ma main. Zut de zut !

Mes autres cousins et cousines sont trop petits pour être intéressants.
Il reste bien la femme de mon oncle. C’est pas mal, j’aime bien tantine, mais elle est longue à prendre son pied, avec toutes ses grossesses, c’est flasque, j’ai le poignet tout endolori et la main gluante après. Et elle sent moins bon que ma cousine ! J’ai tenté avec la bouche une fois, bonjour, j’ai failli finir étouffée entre les jambons qui lui servent de cuisses ! Elle est brutale avec moi, j’en ai le bouton tout irrité ensuite !

Alors donc, je disais que si j’avais perdu les autres, c’était parce qu’à cause des hautes herbes, qui m’avaient mise d’humeur folâtre, j’avais eu envie de m’allonger pour profiter d’un bon moment avec ma main, ma fente et son bouton. Dans l’ordre qu’on veut.Et qu’effectivement, j’avais passé un bon moment. Un très bon moment même. A tel point que j’ai fait une petite sieste ensuite. Eh oui !
Pendant ce temps, les autres, ben ils ont filé. J’ai suivi leur piste, mais la nuit est tombée avant que je ne les rattrape. Hors de question de les appeler. Pour qu’une bande ou une autre me tombe dessus, ou pire, un bestiau quelconque !
Bon, bougeons, avec prudence, mais avançons. Faut retrouver la famille. Ils n’ont pas laissé beaucoup de traces, mais je sais dans quelle direction ils vont. Tous les ans, on prend la même route.
Un peu plus loin, il y a la petite rivière. Attention, il risque d’y avoir du monde. J’avance avec circonspection. Je ne vois personne, mais j’entends des clapotis. En rampant, je m’approche.
Trois. Ce sont trois jeunes femmes. Entre mon âge et celui de ma cousine, à peu près. Elles s’amusent bien dans l’eau. Jamais vues. Je m’en souviendrai, car une a des cheveux de feu, les autres sont comme le soleil... Elles ont les hanches larges, des poitrines volumineuses. Je les trouve plaisantes à regarder. Mais méfiance...
La baignade est terminée, elles s’ébrouent et s’allongent au soleil, qui commence à chauffer. L’une arrache des touffes d’herbe et les jette sur les autres. Qui lui en jettent aussi en riant. Elles roulent pour ne pas en recevoir et voilà que les deux blondes se touchent.
Et restent collées. La troisième leur jette de l’herbe, mais elles ne bougent plus. L’ignorent complètement. Le vent s’est levé, les deux se collent encore plus, mais je ne vois pas bien ce qu’elles bricolent. La troisième se met debout, essuie ses grosses fesses, elle a envie de partir ?
Je ne vois plus rien, elle fait écran ! Je décale lentement ma tête, mais ce faisant, je dérange une sauterelle qui me surprend. La rousse a senti mon infime mouvement et abandonnant les autres, elle se saisit d’un bout de bois et commence à frapper dans l’herbe autour d’elle en avançant dans ma direction.
Découverte pour découverte, autant éviter un coup de bâton sur la tête ! Alors je me lève en écartant les bras. La rouquine, qui ne s’attendait pas à me trouver, appelle les deux autres qui rappliquent en se tenant par les hanches.
Je ne suis pas fiérote, chacune est plus forte que moi, alors trois ! Elles ne sont pas hostiles, mais j’ai appris à me méfier de tout. Du bout du bâton, la rousse écarte mon pagne. Pour l’amadouer, je le dénoue et le lui tends. D’ailleurs, je n’ai rien d’autre à offrir.Elle l’accepte d’un geste vif. Il semble que le fait que je sois une fille la rassure.Cela m’encourage à quémander quelque chose à manger, je les désigne, puis porte la main à la bouche du geste universel qui signifie j’ai faim.
Pour toute réaction, elles rigolent, cela les amuse énormément ! Je reste comme une idiote jusqu’à ce que la rouquine reproduise mes gestes en ajoutant vigoureusement « non » de la main en désignant leur groupe. C’est un malentendu ! Elles ont compris que je leur demandais de ne pas me manger. Ce qui les a fort amusés, car elles ne sont pas cannibales !
Je répète donc mes gestes en ajoutant mes mains tendues en forme d’écuelle.Cette fois-ci, elles pigent. Elles se concertent en m’observant. J’en profite pour aller me baigner et boire, car j’ai autant soif que faim.
Leur conciliabule terminé, les deux blondes retournent s’allonger. C’est bien ce que je croyais. Elles se font du bien réciproquement en mêlant leurs langues et en posant leurs mains partout.
La rousse m’apporte de la viande séchée très bonne et des fruits, que je dévore, assise en tailleur. Elle s’assied derrière moi et met ses mains partout sur mon corps. C’est doux et très agréable. Je lui souris pour la remercier de tout, j’aime beaucoup quand elle pince mes tétons déjà bien bandés en frottant sa fente sur mes fesses.
Quand j’ai avalé un dernier fruit, elle me retourne et met sa langue dans ma bouche ! Donc elle est un peu cannibale quand même. Mais comme ça j’aime bien ! J’essaye aussi de mettre ma langue dans sa bouche, c’est bon ! On caresse nos fentes, mais pas avec nos mains, elle met la sienne contre la mienne et frotte en me serrant dans ses bras. C’est très fort ! Elle me regarde jouir en souriant.
Comme je regarde avec curiosité les deux blondes qui se sont mises tête-bêche, elle m’allonge et vient se mettre pareil, sa jolie fente sur mon nez. J’aime son odeur forte, elle se frotte sur mon visage et m’en met partout.Ce qu’elle me fait avec sa bouche et ses doigts est vraiment bien aussi. C’est tellement bien que je me laisse aller et patatras, je pars et je m’oublie et lui fais pipi sur la langue.
Elle laisse passer le flot en riant et ensuite me nettoie soigneusement. C’est bien une cannibale, mais une très gentille cannibale...
Mais ! Ouhlala ! C’est le tonnerre que j’entends ? Ca gronde fort ! Faut se mettre à l’abri !
.........
— Debout là-dedans !
Oh non ! C’est ce crétin de mec de ma sœur qui me réveille en tapant sur ma porte !J’adore regarder la « Guerre du Feu », mais à chaque fois ensuite, je fais un cauchemar. Quoique cette fois-ci...
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