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Aude soumise

Chapitre 5

Lacher prise

SM / Fétichisme
La journée se termine quasiment normalement si j’ose dire. La réunion s’éternise et Serge la quitte prématurément parce qu’il a un rendez-vous professionnel. Je rentre chez moi perdue dans mes pensées…Bastien est déjà là, il a préparé le repas. Je monte prendre une douche prétextant le besoin de me détendre mais j’ai surtout besoin de retirer le plug encore bien présent dans mon anus. Il est temps, je n’en peux plus. Je le lave puis le glisse dans une poche de mon sac à main, c’est plus sûr ! J’enfile une tenue décontractée et sors de la douche. En passant près du lit, je suis prise à nouveau de tremblements. Je prends conscience que je me suis engagée dans une voie que tout mon être réclame…même si quelque part en moi j’ai encore des scrupules envers mon mari. Je décide de ne pas y penser et de tenter de vivre enfin pour moi.Après le repas, Bastien se pose dans le salon devant la TV et je monte me coucher seule comme c’est souvent le cas. Avant de monter je l’informe sans passion que je serai en déplacement sur Lyon de jeudi matin à lundi matin.
— Cela faisait longtemps que tu n’avais pas eu de déplacement à effectuer ma chérie !— Oui mais c’est un dossier important, et même si cela ne m’enchante pas ma présence est indispensable. Je rentre lundi matin car avec une collègue nous profiterons du week-end pour découvrir un peu Lyon.— Tu as bien raison, ce n’est pas toujours évident de lier l’utile et l’agréable.
Sur ces mots, je monte et me couche rapidement puis saisis fébrilement ma tablette. Comme prévu un nouveau message de Serge !***Aude,Ce soir nous sommes mardi. Le séminaire commence jeudi. J’ai quelques préparatifs à faire pour ces quelques jours que nous allons passer ensemble. Je ne serai donc pas là demain, j’ai posé une journée supplémentaire en plus des jeudi et vendredi. Je suis cependant repassé ce soir au bureau après ton départ. J’ai déposé dans ton casier une enveloppe à ton nom. Tu y trouveras tes instructions, il faudra les suivre à la lettre. Demain, je te veux en jean moulant, string blanc soie et sans bijoux. Prends un sac avec une ou deux tenues de rechange de ton choix… peu importe. Je te laisse te reposer ; jusqu’à nouvel ordre pas de rapports sexuels avec ton mari…Ton maître
***Le message est court. Serge ne veut pas que je baise avec mon mari… au moins une chose facile à mettre en place tant Bastien ne semble plus trop concerné par cet aspect des choses. J’enrage de savoir que cette enveloppe est dans mon casier et que je n’en saurai plus que demain. Pour accélérer le temps, je décide de dormir, la journée a été un peu éprouvante émotionnellement. J’ai mal dormi, je me suis levée assez tôt et Bastien vient juste de partir travailler quand je lui emboîte le pas avec une seule idée en tête…l’enveloppe que Serge a déposée pour moi. Le trajet passe comme dans un rêve, j’ai pris aussi un sac avec deux tenues de rechange. En arrivant je me précipite au service du courrier et ouvre avec excitation mon casier. Deux lettres et une enveloppe blanche assez épaisse avec juste mon prénom dessus. Sans demander mon reste, je file dans mon bureau et ferme la porte. Il est encore tôt, je ne serai pas dérangée, j’ai un peu de temps devant moi.L’enveloppe contient une clé que j’identifie assez facilement comme étant les clés d’une voiture ainsi qu’un mot plié en deux. Je m’installe derrière mon bureau pour le lire.**
Aude, ma soumise, voici ce que j’attends de toi aujourd’hui…Le séminaire commence officiellement demain mais nous allons partir dès ce soir. Pour cela, tu avertiras chez toi de ce changement de programme de dernière minute. Je te fais confiance, tu trouveras une solution.Tu quitteras ton bureau à 16h30 pour descendre dans le parking sous-terrain. La clé ouvre ma voiture, une BMW noire garée place 212. Tu monteras à l’arrière, les vitres sont sur-teintées, une fois à l’intérieur on ne peut deviner ta présence. Sur le siège tu trouveras un sac contenant une tenue que je veux que tu passes. Tu ne garderas rien de ce que tu portes, tu ne devras porter que ma tenue. Une fois « habillée », je veux que tu t’allonges sur les sièges arrières et que tu attendes ton maître. Quand je monterai au volant, je ne veux pas un mot jusqu’à ce que je t’autorise à prendre la parole.J’espère que tu as bien compris. Bonne journée et à tout à l’heure.Serge, ton maître.**
Encore une fois, je reste un moment sans voix en relisant plusieurs fois le texte. J’ai l’impression d’une spirale, Serge a le chic pour me prendre de court. Je prends aussi conscience de la confiance que je place en cet homme que je connais à peine. L’excitation est à son comble, je range la clé et le mot dans mon sac à main près du plug retiré hier soir et me décide à me mettre au travail pour que cette journée passe au plus vite.Sur le temps de midi, j’appelle Bastien sur son portable…
— Mon chéri, j’ai un petit souci ! Je pensais que le séminaire commençait jeudi après-midi et je viens d’apprendre que nous devons être sur site dès 9h. J’ai un peu zappé l’information et c’est vrai que mon billet de train indique un départ de la gare de Lyon aujourd’hui à 18h. — Mince tu vas pouvoir t’organiser ?— Oui j’ai vu cela avant de quitter la maison ce matin et j’ai pris quelques affaires rapidement. J’essaie de t’appeler dès que j’arrive à l’hôtel.— Ok mon cœur, bon déplacement et à lundi. Bises.
Bon voilà qui est fait. Pour le reste il faudra attendre la fin de la journée et je ne tiens déjà pas en place tant je suis impatiente. Je m’affaire ainsi toute la journée, Serge n’est pas là, je boucle deux dossiers importants, échanges quelques coups de fils et expédie tous mes mails en retard. Avant de partir, je contrôle sur ma badgeuse en ligne que mon responsable a validé mes deux journées d’absence. Il n’est pas présent aujourd’hui mais c’est bon c’est validé, je peux partir tranquille. Pas évident avec un responsable de service comme lui, on ne sait jamais ce qu’il pense, il est assez imprévisible, peut souffler le chaud et le froid dans la même minute. D’un naturel plutôt fermé, il est cependant très professionnel et le service tourne vraiment bien.Il est 16h30 quand, le cœur battant, je quitte mon bureau pour m’engouffrer dans l’ascenseur. Pour une fois j’appuie sur le niveau -1 et quelques secondes plus tard je débouche dans le parking sous-terrain. Je repère assez facilement la voiture de Serge, je manipule la télécommande de la clé et après un rapide coup d’œil alentour, je monte à l’arrière et verrouille les portes derrière moi… Je reste un instant ainsi pour m’habituer à l’obscurité de l’habitacle qui s’ajoute au manque d’éclairage extérieur de cet emplacement. Près de moi, sur le siège, il y a le sac déposé à mon intention par mon maître. Les mains un peu tremblantes, je l’ouvre et en sors une tenue noire qui semble être au premier coup d’œil d’un seul tenant. C’est une tenue intégrale en latex. Dans le sac, je trouve également un flacon de lubrifiant sec spécialement conçu pour faciliter l’enfilement de la tenue très serrée.Je décide de ne pas trop réfléchir, de toute façon, je n’ai pas envie de faire marche arrière au point où j’en suis. Les vitres de la voiture sont dextrement teintées comme Serge me l’a écrit. Je me déshabille rapidement et une fois nue je glisse l’ensemble de mes affaires dans le sac désormais vide.La tenue en latex me parait assez souple et un peu élastique. Elle s’enfile par le dos où il y a une grande fermeture éclair. Une autre fermeture éclair est présente entre les jambes et seule la tête est un élément isolé, une cagoule qui couvre tout sauf la bouche…Je m’installe et enduis mon corps du lubrifiant. Une sensation de chaleur m’envahit, je me prépare à être la soumise de mon maître. Au prix de nombreuses gesticulations, je parviens à enfiler la tenue et à la refermer dans mon dos. Elle est si près du corps que j’ai l’impression de ne rien porter sur mon corps nu. Il est déjà 17h15, j’essaie de faire vite. Pour finir, je passe la cagoule qui masque aussi mes yeux et vient se fermer par un lacet au niveau de cou. Il ne me reste plus qu’à attendre, je m’allonge sur la banquette arrière en repliant légèrement mes jambes. Je suis prête mon maître !
Je ne saurai dire combien de temps s’est écoulé, j’ai l’impression une éternité. Soudain, je sursaute, surprise par le clac caractéristique des portes qui se déverrouillent. J’entends la porte côté conducteur s’ouvrir, quelqu’un s’installe au volant.
— Bonjour Aude, c’est parfait, tu es vraiment très belle et obéissante. Je te veux silencieuse jusqu’à nouvel ordre de ma part. J’espère que tu es bien installée, nous allons rouler assez longtemps.
Sur ce, la voiture démarre et dans un léger crissement de pneu elle s’élance hors du parking dans la circulation parisienne.A suivre
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