La pendule de mon cabinet de comportementaliste canin affiche 17h30. Ça fait une demi-heure que ma cliente, Marion Laval me raconte sa relation particulière avec son chien. Cette petite brune d’une trentaine d’année m’explique ainsi avec nervosité et gêne non dissimulée que depuis plusieurs semaines elle a des relations sexuelles avec son chien Foxy. Il semble cependant que ce n’est pas ça le problème car elle le vivait plutôt bien. Moi je reste professionnelle, je n’ai pas à juger mais à ma grande surprise je n’éprouve pas dégout mais au contraire je trouve ça tellement fascinant et pour tout dire un peu excitant au point de devoir croiser et décroiser mes jambes en serrant mes cuisses pour réprimer une excitation montante pendant le récit de Marion. J’ai ouvert ce cabinet de comportementaliste canin depuis peu et c’est la première fois que j’ai un cas de zoophilie. Même si on en a parlé lors de ma formation, je suis assez novice sur le sujet. — Oui, ça fait depuis environ 2 semaines que les problèmes sont apparus. Poursuit-elle en pinçant nerveusement ses lèvres.— Allez-y Marion, dites-moi ce qui s’est passé.
Les yeux baissés, fixant ses pieds, elle poursuit : Ce soir-là, elle regarde la télé sur son canapé et le chien est venu sauter sur le canapé pour se coucher à ses côtés. Elle lui fait des caresses et des câlins mais elle est fatiguée et n’a pas envie de sexe. Le chien ne l’entend pas de cette oreille et se frotte contre son épaule. — Du calme Foxy. Lui dit-elle, laisse-moi tranquille ! Mais il insiste en lui léchant le visage et en mimant des coups de reins qui transcrivent son excitation. La pointe de son sexe rose commence à apparaitre hors de son fourreau. — Non Foxy, lui répète-t-elle. Le chien se met alors à grogner ! A grogner !!! Elle est tellement surprise de sa réaction agressive qu’elle reste mutique quelques secondes. Finalement, se sentant presque coupable de l’exciter et de ne pas répondre à ses attentes, elle décide de céder. (je note dans mon carnet que c’est probablement l’erreur originale : céder à la frustration par la force).
Elle glisse sa jupe et sa culotte le long de ses jambes et se met à quatre-pattes sur le tapis du salon. Elle se donne une petite tape sur ses fesses pour indiquer au chien qu’il peut y aller.Ne se faisant pas prier, il jappe en sautant autour d’elle avant d’aller se placer derrière pour la pénétrer bestialement. Le plaisir et la jouissance font alors un peu oublier à Marion les circonstances. Elle ne peut pas lui en vouloir, c’est un animal ! Secouée par les coups de rein saccadés et sans ménagement de Foxy, elle gémit longuement jusqu’à ce que son nœud turgescent bloque l’entrée de son vagin déversant des flots de sperme chaud dans ses entrailles. Cependant quand Foxy libère finalement son vagin de son nœud dégonflé laissant couler sa semence du sexe béant de Marion, celle-ci est déjà un peu inquiète de l’évolution de leur relation particulière. Quand Marion finit cette confidence, j’ai honte mais je me la suis imaginée à quatre-pattes grimpée par son chien et ça m’a excité énormément malgré les circonstances ! Le rouge me monte aux joues et j’essaie alors de reprendre ma contenance. — Et, il n’a fait ça qu’une fois ou est ce qu’il a recommencé ? Marion ,baisse les yeux — Oui, il a recommencé, soit il grogne, soit il me grimpe la jambe jusqu’à ce que je cède. En ce moment dès que je rentre du travail il a tout de suite une érection et il réclame du sexe de manière agressive. Et même … Elle ravale sa salive, levant ses yeux brillants vers moi presque implorante. — Et même ce soir, avant notre rendez-vous, il m’a prise à quatre-patte comme une chienne, c’est pour ça qu’il est calme en ce moment, il a eu son dû ! Elle parle en regardant le chien couché placidement, le museau posé sur le carrelage, totalement inconscient de la conversation qu’on a. Elle éclate en sanglots en continuant : — Tous les jours ! tous les jours il me chevauche, je suis devenue sa chienne, je ne sais plus quoi faire ! C’est pour ça que j’ai besoin de vous. Emue par sa détresse, je me lève et je la prends dans mes bras. Ses épaules sont parcourues par des spasmes de sanglots. — Vous avez bien fait de venir, je vais vous aider Marion, je vous le promets.— Merci, je suis tellement dépassée par tout ça j’ai besoin d’aide madame …— Appelez-moi Audrey s’il vous plait, répondis-je en souriant. Lui tendant des kleenex pour sécher ses larmes, je reprends ma posture professionnelle. — Marion, je vois bien le problème entre vous et Foxy. En premier temps, il va falloir vous séparer car vous ne pouvez pas continuer cette relation toxique. Je peux vous le prendre en pension une semaine et je vais essayer de voir comment modifier ce comportement abusif. Les yeux de Marion s’écarquillent ! — Merci, merci, Audrey, vous me sauvez. Dit-elle en me tombant de nouveau dans les bras, pleine de reconnaissance. Nous convenons alors d’un rendez-vous dans une semaine. Elle fait un câlin à son chien, lui murmurant que c’est pour son bien et qu’elle l’aime quand même puis elle prend congé, un grand poids en moins sur les épaules. J’ai même vu un sourire sur son visage. Je ferme alors la porte et je regarde Foxy allongé au sol. — Alors mon pépère ! Je vais m’occuper de toi et te faire passer ces comportements honteux ! Vilain chien ! Pour toute réaction il lève sa tête, me regardant avec ses grands yeux en remuant sa queue puis repose son museau sur le carrelage en soupirant.…
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