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Audrey, comportementaliste canin

Chapitre 3

La thérapie de Foxy

Zoophilie
Le bruit strident de mon réveil déchire mes tympans. D’un geste lourd et libérateur, je coupe cette nuisance sonore et j’ouvre un œil : 7h30.Mon cerveau embrumé se remet en route : ah oui ! J’ai mis mon réveil, car j’ai un pensionnaire cette semaine : un chien boxer mâle de un an et quatre mois que sa maîtresse Marion m’a confié, car elle a du mal à supporter sa libido excessive ! Sacré bout de femme cette Marion, elle m’a troublée, pour ne pas dire plus, quand elle est venue me raconter son problème hier soir. J’en ai fait des rêves ... pour le moins étranges que je préfère oublier. Je me lève en bâillant et je me dirige vers ma salle de bain. Je jette un œil dans le couloir en bas de l’escalier et je vois Foxy étalé sur le carrelage qui dort calmement.
Je prends rapidement ma douche, l’eau chaude qui coule sur ma peau me ramène à la vie et doucement je sors de ma torpeur apathique. Je m’habille en jogging et baskets et je prends la laisse du chien. Dès qu’il me voit, il saute partout en jappant de plaisir. On fera une longue balade ce matin-là sous une brume d’hiver qui se dissipe à peine. Foxy est très vif et très joueur, c’est encore un jeune chien.
Je suis un peu pensive au sujet de ce cas qu’il faut que je résolve. Il y va de la crédibilité de mon nouveau cabinet et, de plus, il me tient à cœur d’aider ma cliente en difficulté ! Je remarque qu’il est très obéissant. Même si je ne suis pas sa maîtresse « officielle », il m’écoute et ne donne aucun signe d’agressivité. N’ayant qu’un rendez-vous en fin d’après-midi, je passe beaucoup de temps avec lui sans déceler le moindre problème de comportement. Si bien que je me demande même si Marion ne m’a pas raconté du flan et qu’elle ne fantasme pas tout ça. C’est toujours possible ! Dans les cours, on nous disait qu’avant de soigner le chien, il faut déjà parfois soigner le maître ou la maîtresse.
Bref, arrive le soir à 18h et rien d’anormal ne s’est passé. Je passe alors un moment sur Internet pour trouver des témoignages sur des femmes ayant eu des relations sexuelles canines et essayer d’en apprendre plus. De fil en aiguille, je passe des heures de site en site passant des sites académiques aux forums zoos et aux sites de vidéos. Je suis troublée par la bestialité de ce type de relation et je ne peux m’empêcher d’imaginer ma cliente, Marion, grimpée de la même façon par son chien !
Cependant, cette « étude » des vidéos me permet de comprendre que le chien ne quittera pas son attitude placide sans stimulation préalable et que tant qu’il n’est pas excité, je ne pourrai pas le rééduquer pour canaliser cette excitation.
Il va falloir que je trouve un moyen pour le mettre en excitation, sinon la thérapie que je veux mettre en place ne pourra tout simplement pas se faire.Je reste ainsi pensive, les yeux dans le vague devant l’écran de mon PC, puis je me lève pour descendre au sous-sol où Foxy est hébergé. Il m’accueille en remuant la queue, me tourne autour tout à fait naturellement pour un chien.
— Assis ! dis-je d’une voix ferme. Le chien obéit.
Dans cette position, le fourreau poilu qui abrite son pénis est saillant au bas de son ventre entre ses pattes arrière. Je le regarde ainsi de longues minutes, hésitante, réfléchissant à ce que je pourrais faire, mais je me rends aux faits car je n’ai tout simplement pas beaucoup de choix.Bon, quand il faut y aller ... me dis-je.Je lui parle pour le rassurer de mes intentions et aussi sans doute aussi pour m’encourager moi-même.
— Bien, bon chien ! Alors on est un petit pervers avec sa maîtresse ! Hein ?
Il me regarde en remuant la queue.Je m’agenouille à ses côtés et je pose ma main sur son fourreau. Il sursaute un peu, mais ne bouge pas. Je sens sous cette fine peau, quelque chose de plus dur, je retrousse doucement pour voir apparaître son sexe rose. Il ne bronche pas.Je poursuis un mouvement de va-et-vient. Son pénis rose apparaît de plus en plus, je sens dans ma main qu’il est un peu plus volumineux, mais pas beaucoup plus. Le chien, lui, reste assez stoïque, c’est presque ennuyant.
Ma fille ce n’est pas comme ça que tu vas l’exciter, me dis-je en moi-même. Je reste assise, pensive, comme absente à ses côtés, le branlant doucement quand soudain il penche sa tête pour venir renifler mon entrejambe. Surprise par le contact froid et humide de sa truffe, je sursaute un peu, ce qui le fait reculer. Je sens dans ma main que son érection s’est un peu amplifiée. Bon, encore une fois, je ne peux reculer, il est excité par mon odeur, c’est inévitable, mais si ça peut participer à accentuer son excitation !
Je retrousse ma jupe en écartant un peu mes cuisses délivrant dans la pièce des flots odorants d’hormones féminines que le chien saura déceler. Je lui souris et lui caresse la tête en inspirant un grand coup. Il replonge sa tête entre mes cuisses maintenant ouvertes en reniflant profondément.Sa truffe se pose sur mon pubis et il lance un grand coup de langue sur mon sexe. Ce contact sur ma vulve pourtant protégée par un petit tanga noir m’électrise ! Je me rappelle des descriptions de Marion : c’est exactement ça. Sa grande langue qui glisse sur toute ma chatte, son contact humide sur les surfaces de peau non protégées ! Je suis tellement troublée !
Bientôt le tissu de mon tanga est imbibé d’humidité, d’un côté par la salive de Foxy et de l’autre par la mouillure qui suinte de ma vulve gonflée.
— Et puis merde ! dis-je à voix haute.
Je soulève alors mes fesses pour baisser mon tanga souillé jusqu’à mes chevilles, écartant davantage des cuisses et exposant ma vulve ouverte aux assauts du chien. Allongée le dos sur le sol, les jambes ouvertes, je laisse Foxy parcourir de sa langue agile de longues minutes ! Putain je ne réalisais pas à quel point c’était bon !Mille fois j’ai envie de le repousser, mais mille une fois je l’encourage à continuer encore et encore. Les lèvres pincées pour me retenir de crier, je savoure ce long et bestial cunnilingus d’une perversion incroyable. La chatte complètement trempée, j’aperçois le sexe rose de Foxy émerger de son fourreau. Je reprends alors mes esprits et je le rebranle vivement. Son érection est plus forte, il commence à gicler et à mimer des coups de reins dans le vide. Des jets de foutre canin maculent mon avant-bras.
Il a maintenant une bonne érection, je passe à la partie suivante de mon plan. Je me redresse en me mettant à quatre pattes, offerte à ses élans bestiaux. Mon but est de provoquer son excitation pour ensuite essayer de canaliser sa frustration. En mon for intérieur, je ne pensais pas être obligée d’aller aussi loin, mais en même temps cette situation est tellement excitante que j’ai du mal à résister à mes propres pulsions.
Il me tourne autour en jappant et en sautillant de joie, quand il est derrière moi, il passe de grands coups de langue sur ma fente humide et tente de grimper sur mon dos.Lourdement, il retombe sur mes reins, ses pattes avant serrent ma taille sans me griffer (heureusement, Marion a bien limé ses griffes), il esquisse des coups de reins désordonnés et maladroits. Je sens son sexe glisser le long de mes cuisses. Je serre mes fesses pour éviter la pénétration, jouant de ma cambrure également pour le déstabiliser. En serrant ainsi mes cuisses, j’accentue pourtant ma propre excitation tout en la rendant inaccessible à Foxy.
Pensant que le jeu a assez duré, je me redresse pour lui dire :
— Non Foxy ! Je ne veux pas.
En guise de réaction, pas de grognements, un regard joueur avec la queue qui remue et il finit par partir se coucher dans son panier pour lécher sa bite rouge turgescente. Je suis comme deux ronds de flan ! Décontenancée par mon plan foireux et mon analyse qui ne semble pas la bonne. Rongée de l’intérieur par l’excitation que j’ai contenue : finalement la plus frustrée dans cette expérience ... c’est moi. D’un côté, pour Marion, ça me rassure, le chien n’est pas un total psychopathe pervers, mais en même temps il ne me considère pas encore comme sa femelle, il n’a pas les mêmes réactions possessives avec moi qu’avec sa maîtresse. Pensive, je ramasse mon tanga maculé pour me mettre direct dans le panier de linge sale. Je prends une douche rapide et j’enfile ma nuisette bleu foncé en dentelle. Je mange sans appétit une salade sur le pouce tout en pianotant sur mon téléphone. J’envoie alors un message à Marion :
[SMS]< Bonjour Marion, Ça se passe bien avec Foxy, c’est un chien très sympa. On a commencé un peu à travailler sur l’obéissance et il est assez coopératif, j’ai l’espoir d’améliorer son comportement.
Moins de dix minutes s’écoulent avant qu’une réponse n’arrive :
[SMS]> Bonsoir, merci Audrey, j’espère que vous réussirez à le corriger, je vous fais toute confiance ! Merci pour ce que vous faites pour nous deux.
Je regarde pensivement son message. Elle attend beaucoup de moi, je ne peux la décevoir, je dois avoir des résultats ... même s’il faut payer de ma personne. En fait, inconsciemment ou pas, je suis en train de justifier par mon abnégation professionnelle ce que je compte faire égoïstement pour satisfaire une envie folle qui m’étreint et qui me donne des crampes au bas-ventre depuis des heures.Les images mentales du récit de Marion, les images bien réelles de ce sexe canin gonflé que j’ai osé toucher, la sensation de sa langue sur ma vulve...Je ne veux pas me coucher dans cet état ! Il faut que j’aille plus loin. Au moment où 22h00 s’affiche sur la pendule de la cuisine, je vais descendre l’escalier pour retrouver Foxy, bien décidée cette fois à devenir moi aussi sa chienne ...
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