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Audrey, comportementaliste canin

Chapitre 6

Consultation approfondie

Zoophilie
Mes lèvres soudées à celles de ma client Marion, je ferme les yeux, me laissant emporter par le plaisir. Dès qu’elle est entrée dans mon cabinet la semaine dernière j’ai trouvé qu’elle avait un certain charme. Oh, ce n’est pas une top model avec ses 1m60 elle est plutôt petite avec une poitrine menue mais elle est bien proportionnée et elle a un visage espiègle encadré de jolies boucles brunes et une certaine fragilité qui donne envie de la cajoler. On sent aussi une femme dynamique et intelligente qui a une assurance que moi je n’ai pas toujours.
Ce matin là, elle vient reprendre son chien que j’ai eu en pension tout le week-end pour le rééduquer de l’agressivité sexuelle dont elle se plaignait. J’ai dû lui avouer que pour arriver à mes fins, j’ai dû d’abord devenir également la partenaire sexuelle de Foxy.
Son baiser sensuel est une libération de ma culpabilité d’avoir cédé ainsi aussi peu professionnellement à mes pulsions. Sa bouche est si douce, ses beaux cheveux glissent entre mes doigts. Nos deux mains se serrent tendrement. Elle avance sa main libre sur le tissu de mon chemisier. Je tressaille ! Elle effleure mon sein et, voyant que je ne la repousse pas, elle appuie davantage la paume de sa main sur ma poitrine.
Je me redresse pour l’enlacer plus fougueusement, nous sommes debout l’une contre l’autre, elle a les fesses appuyées contre le bord du bureau. Nos bouches restent collées et nous langues virevoltent ensemble. Nos seins frottent les uns sur les autres, les tétons dressés de désir sous les dentelles de nos vêtements.
Le chien de Marion, Foxy regardait notre manège en remuant la queue et maintenant il commence à tourner autour de nous en reniflant. Nul doute que l’excitation de ces deux femelles en transe commence à se sentir !
Il glisse alors son museau froid entre mes cuisses tentant de remonter la piste odorante.
— Oh ! Foxy ! Tu chatouilles petit coquin !— Il sent ton excitation Audrey ! Me répondit elle.
Puis elle me regarde d’un air polisson
— On ne va pas le laisser comme ça ! Tu aimerais qu’on s’occupe de lui toutes les deux ? — Hummmm oui j’adorerais !
De concert, nous nous agenouillons autour de Foxy pour le caresser. Marion pose sa main sur son fourreau et commence à le branler. Je pose sa main sur la sienne pour amplifier le mouvement jusqu’à voir apparaitre de plus en plus la pointe rose du sexe du chien.
— Tu peux passer une lingette ? Me demande-t-elle, me montrant la boite de lingettes humide qui se trouve sur mon bureau.

Je lui donne les lingettes et elle les utilise pour nettoyer le pénis rose qui commence à grossir sous les mouvements experts de nos mains.
— Tu veux le sucer ? — Je … je n’ai jamais fait ça !— Tu vas voir comme c’est bon !
Résolument, elle plonge sous le poitrail du chien faisant glisser entre ses lèves le sexe en érection de l’animal. Elle va et vient assez vivement laissant échapper des murmures de satisfaction. Foxy regarde droit devant lui, haletant la langue pendue, se laissant prendre à ce jeu pervers. Je l’observe, admiratrice de son culot et avec une certaine envie. Elle salive beaucoup en en laissant couler sur la bite turgescente et sur ses joues. Puis elle retire la bouche, triomphante :
— Ça y est ! il gicle le cochon !
Effectivement, j’aperçois de petits jets de fluide transparent qui sont expulsés en saccades et qui viennent maculer le doux visage de Marion. Je sais que c’est en fait du liquide prostatique et pas encore du sperme.
— Viens Audrey, viens le sucer !
Suivant les encouragements de ma cliente, je viens me mettre de l’autre côté du chien sous son ventre. Audrey branle le chien et oriente sa bite vers moi. J’ai un mouvement de recule quand il m’asperge de ces petites giclées tièdes et pour les éviter, je n’ai d’autre choix que d’ouvrir ma bouche et de le gober.
A mon soulagement il n’y a pas de goût désagréable. C’est assez neutre, légèrement salé. Son sexe chaud glisse entre mon palais et ma langue mais ses éjaculations me remplissent assez rapidement ma bouche. Ne voulant pas avaler, je recrache régulièrement.
Marion profite que je suis occupée pour déboutonner mon chemisier et venir lécher mes seins. Mes tétons tendus roulent entre ses lèvres. Je sens ma chatte qui est toute humide tant je suis excitée pas mes deux partenaires.
Soudain, peut-être une lassitude, peut être un faux mouvement de ma part, Foxy se met à se débattre et s’extirpe de l’emprise de ses deux femelles. Il part se coucher sur le tapis en se léchant la bite bien rouge.
De nouveau face à face avec Marion, nous nous embrassons en nous roulant par terre. Nos lèvres ont un goût de sperme canin. Une cuisse glisse entre les cuisses de l’autre pour combler l’excitation de nos chattes affamées. Je lèche ses petits seins tendus lui arrachant des soupirs de plaisir.
— Hummmmm Audrey, continue ma chérie, je suis ta salope rien qu’à toi !
Ayant envie de gouter à sa vulve, je me mets sur le dos, l’invitant à me chevaucher en 69. Ses cuisses encadrent ma tête et je sens son souffle sur mon pubis ouvert devant elle, les jambes écartées impudiquement. En même temps nos langues glissent le long de nos sexes humides, titillant nos clitoris gonflés et pointant dans l’ouverture de nos vagins avides. Hummmm elle est douée la salope ! Elle n’hésite pas à m’introduire un doigt pour me pénétrer en rythme pendant qu’elle me lèche. Nous gémissons de plus en plus … ce qui a l’effet d’attirer de nouveau l’attention de Foxy.
Pourquoi gémissent d’elle autant doit-il se dire ? Guidé par les effluves hormonales, il s’approche du derrière de Marion et lance de grand coup de langue sur sa vulve et ses fesses. Je ne suis pas de taille à lutter avec cette énorme langue et j’écarte bien les fesses de sa maitresse pour lui faciliter l’accès à ses orifices.
Au moment où son sexe est luisant de bave, le chien grimpe sur le dos de Marion qui lâche un « ouffff » étouffé sous le poids qui d’abat sur elle. Je me recule un peu sous le ventre de ma cliente et je protège mon visage d’éventuels coups de pattes.
Le chien bien dressé cherche l’accès à l’orifice humide de sa maitresse par des coups de reins successifs. Je vois son sexe qui glisse plusieurs fois sur ses cuisses. Je l’empoigne alors pour le guider dans la direction tant recherchée.
D’un coup il disparaît entre des grandes lèvres de Marion lui arrachant un cri rauque. Bestialement il la ramone sans ménagement ne cherchant qu’à assouvir son rôle de reproducteur. Son nœud encore de taille modeste rentre et sort à l’intérieur de Marion, à chaque mouvement, du sperme en trop plein coule de ses lèvres et m’inonde le visage au point que je suis obligée de me retirer de sous son ventre.
Je regarde alors ma partenaire, les dents serrées, secouée comme un prunier, sous le joug de Foxy qui la défonce. Elle est belle quand elle prend du plaisir !Epuisé, le chien descend de son dos, sa queue sort avec un splotch dégoulinant de semence qui macule mon carrelage. Et les cuisses de Marion. Le sexe de Foxy a bien doublé de volume maintenant mais son nœud n’était pas assez gros pour se verrouiller dans la chatte de sa femelle.
Toutes les deux nous allons vers cette bite carmin énorme qui pend entre ses pattes pour le sucer à tour de rôle. Le sperme a pris un autre goût et il est moins fluide mais Marion et moi nous nous en délectons tout autant.
— A ton tour ma chérie de te faire prendre par lui ! Me dit-elle avec un clin d’œil.
Je n’attendais que ça ! frémissante comme une petite chienne, je me mets à quatre pattes, creusant mon dos et cambrant mes fesses.Foxy vient lécher mon arrière-train exposé, entourné par les odeurs féminines enivrantes, il gémit de manière plaintive trahissant l’envie qu’il a de me prendre. Marion tapote sur mon dos lui donnant l’ordre de sauter. Je sens alors son poitrail retomber sur moi et ses pattes avant glisser le long de mes flancs. Ses coups de reins poussent contre l’arrière de mes cuisses J’ai cet étrange mélange d’attente impatiente du moment où il trouvera sa voie et me pénétrera d’un coup et cette peur résiduelle de la brutalité animale dont il peut faire preuve. Marion facilite les choses et aligne les hanches du chien avec ma cambrure : Je pousse un cri quand sa verge force ma vulve ! Déjà excité par Marion, ce n’est pas un mince pénis en début d’érection qui me pénètre mais une bite de bonne taille bien gonflée qui glisse au plus profond de mon vagin. Je suis secouée par les va et vient frénétiques de Foxy qui est au plus profond de mon vagin. Des ondes de chaleur montent de mon ventre.
— Va-y mon chien, défonce cette petite putain, elle n’attend que ça ! Encourage Marion de façon perverse.
On dirait qu’il réagit aux encouragements de sa maitresse en me ramonant encore plus fort me faisant émettre un hululement continu de plaisir : hooooooooooo !Mes seins dansent d’avant en arrière sous ses coups de boutoir. Manon les caresses, frôlant de ses doigts mes tétons raidis.Foxy ralentit la cadence, son membre trop gonflé a plus de mal à coulisser dans mon vagin pourtant lubrifié par une abondante semence canine. Son nœud obstrue ma chatte et il s’immobilise enfin en haletant au-dessus de mon épaule. Marion l’empêche de se retirer et le bloque ainsi, enfoncé profondément en moi.
Sa verge pulsante expédie son sperme dans mon vagin comprimé. Mon dieu ! comme il me remplit ! Je m’imagine devoir accoucher dans quelques mois de petit chiot-humain hybrides trop mignons !Marion caresse mon clito, gluant de la semence qui suinte de mes grandes lèvres. Repoussé par le noeud gonflé du chien, il est saillant et ses doigts me donnent des décharges électriques dans tout le corps.
Foxy donnant des signes d’impatience, il commence à se dégager, aidé par Marion, et progressivement son nœud s’expulse de mon vagin. Foxy, s’éloigne alors de nous, un sexe rouge énorme pendant entre ses pattes.
Marion, contemple ma vulve ouverte souillée. Elle empoigne mes fesses et plonge une langue réconfortante et sans pudeur pour lécher ma chatte enduite du sperme de son chien. Je passe ainsi d’un traitement bestial à une caresse plus sensuelle. Sa langue agile parcourant ma vulve endolorie et s’aventurant, le long de la raie de mes fesses jusqu’à mon anus.
C’est ce goût de sperme canin que je retrouve ensuite en embrassant Marion qui m’enlace tendrement.
— Ma chérie, j’ai tellement rêvé de cet instant !
Je la regarde alors
— Dit donc petite perverse, ton chien ne t’a jamais posé de problèmes de domination en fait ?— Je … en fait … non, pas tant que ça ! Bredouille-t-elle en baissant les yeux.
Je commençais à m’en douter ! Je me suis faite piégée par cette petite salope !
— Tu m’as bien piégée ! tu étais sûre que je ne résisterais pas à la libido de ton chien ! Entre lui et toi, je n’avais aucune chance.
Un peu dépitée que son petit jeu ait été démasqué, elle reste bouche bée mais c’est alors que je pose mes lèves sur les siennes en un baiser qui approuve son stratagème, heureuse que cela va nous faire découvrir tant de plaisirs à trois.
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