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Audrey à la ferme

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Je vaquai ainsi à mes occupations de servante de ferme soumise à Monsieur et Madame.    Un matin , participant à la traite de vaches, je renversai un seau de lait . Mon Maître , se fâcha et me gifla en me traitant de petite conne..." Déshabille toi" m’ordonna-t-il. Je me mis nue dans l’étable, sous le regard de mon Maître et de Guillaume le vacher. Guillaume avait un filet de salive au coin des lèvres et marmonnait , un " traire, traire". Mon Maître me fit agenouiller devant une mangeoire et me lia les bras en l’air et passa une corde serré autour de mes seins. J’étais ainsi, croupe offerte, mes gros seins pendant. "Je vais te traire grosse vache" et il serra mes seins pour les faire rentrer dans les gobelets de la trayeuse. Je sentis mes seins aspirés par le vide d’air. J’étais traite comme une vache. Mes seins me faisaient mal. Je gémissais...au bord des larmes...L’humiliation était la plus forte, je me soumettais à la volonté de mon Maître. Un orgasme violent me parcourut et je poussais des cris rauques qui ressemblaient au beuglement d’une vache.
  Un soir ma Maîtresse me donna une robe blanche brodée. " C’est l’anniversaire de Guillaume, fais toi belle pour manger avec nous". J’avais maquillé mes yeux et ma bouche, et mes cheveux étaient attachés par un ruban noir.   A la fin du repas Guillaume souffla trente bougies d’un joli gâteau à la crème. Le Maître annonça à Guillaume qu’il allait avoir un beau cadeau d’anniversaire. Il me fit lever, me prit la main très cérémonieusement et m’amena devant Guillaume qui baragouinait" cadeau, beau cadeau" en bavant.   "Voilà ton cadeau Guillaume, et ne l’abîme pas cette fois". Le cadeau c’était moi. J’étais offerte à ce grand benêt, à ce rustre qui allait faire de moi son jouet pour la soirée.  Monsieur et Madame nous laissèrent seuls dans la grande salle à manger. Guillaume avança vers moi ses grosses paluches. "Hi,hi" faisait-il, " Traire...sucer, hi,hi". Il empoigna mes gros seins, et les pétrit. Une onde de chaleur me parcourut. J’étais partagée entre peur et désir. " Nue, nue..." et je compris qu’il voulait que je me déshabille. J’ôtais ma robe.Guillaume suçait maladroitement mes gros seins, il faisait du bruit avec sa bouche. Sa bave mouillait mon corps.Il défit son pantalon et sortit son sexe. Je restai sans voix. Sa queue mesurait plus de vingt centimètres,très épaisse, surmontée d’un gros gland violet. Je m’agenouillai. Ma bouche avait du mal à engloutir son gros bout. Je procédai par petits coups de succion, léchai sa queue du gland aux couilles, happai ses boules énormes, les léchai. Guillaume poussait des petits gémissements. je m’appliquais à le sucer, encouragée par ses "oui,oui". Ses grosses paluches tiraient sur mes seins. Moi aussi , je salivais comme lui. Ma bave coulait de ma bouche, le long de mon menton, le long de ce gros sexe qui vivait et tressautait sur ma langue.Soudain Guillaume exhala un râle, sa queue se tendit et une longue giclée de sperme coula dans ma bouche et sortit par le bord de mes lèvres. Son sexe restait aussi gros et aussi dur qu’au début.
  Guillaume se leva et prit une bouteille d’eau de vie. Il but directement une grande rasade au goulot. Poussa un rot sonore. Puis il me fit mettre à quatre pattes en grognant " pas bébé, pas bébé" . Il enfourna sans aucune préparation un de ses gros doigts dans mon petit trou. Je poussai un cri. Son doigt allait et venait dans mon anus trempé maintenant. Il présenta son énorme gland devant l’entrée, retira son doigt et le remplaça par son gros bout. Je hurlai...Ses mains puissantes tenaient fermement mes hanches. Il s’enfonça en moi, en râlant. " Hi,hi, pas bébé, pas bébé, comme avec Maîtresse". Je compris qu’il devait sodomiser Madame.Il m’enculait tout en buvant l’eau de vie à la bouteille. Je l’encourageait, " Vas-y mon beau, encule moi fort, encooooore. Vas-y mon beau" . Je jouissais comme une folle sous ses coups de boutoir, sous ce gourdin qui me transperçait, pilonnait mon cul avec une vigueur inconnue. Je ne comptais plus mes orgasmes.   Un cri de bête remplit la pièce et Guillaume se répandit dans mon cul. Il se retira et but encore à la bouteille. Il criait "salope, cul de salope, féssée, hihi...féssée" et ses grosses paluches dures claquèrent mon gros cul offert et dégoulinant de son jus. Il claquait fort, je sentais mes chairs tréssauter. Il claquait le haut de mes cuisses, mes fesses en criant "salope, tiens, salope". Ses battoirs énormes s’abattaient sur mon dos. Il me pinçait la peau avec ses gros doigts. Une onde de plaisir me parcourut et je jouis bruyamment.
" Allez, tous les deux , assez joué". La voix de la Maîtresse nous ramena à la réalité. " Nettoyez et rangez , et au lit."Je ne compris pas ce que dit Guillaume, mais je répondis " oui Madame".
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