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Audrey à la ferme

Chapitre 3

Zoophilie
Il arrivait parfois que mes Maîtres aient des invités. Et c’est ainsi q’un soir je fis la connaissance de Monsieur Paul et sa femme, Madame Soisik.    Lui , était brun, maigre, la quarantaine. Elle , était une splendide quadragénaire, aux yeux noirs et une belle chevelure blonde nattée.    Je servis le repas aux quatre convives. De temps en temps Madame Soisik me complimentait sur mon corps, ou me cheveux, Monsieur Paul profitait toujours pour me frôler les seins au passage. Au moment de servir le dessert, Madame Soisik proposa que je le prenne avec eux, et mes Maîtres acceptèrent. Je me mis à table avec eux, écoutant Monsieur Paul raconter des histoires salaces, l’alcool aidant. Et , je ne sais pas ce qui me prit, mais j’éclatai de rire, et manquant de m’étouffer avec le gâteau, j’en recrachai un bout dans l’assiette. Un grand silence se fit et je sentis quatre paires d’yeux braqués sur moi.  Madame Soisik s’exclama:" mais quelle cochonne..Mon dieu, quelle cochonne vous avez là". J’étais morte de honte.    " Vous avez raison ma chère", dit mon Maître, et il enchaina " et elle va d’ailleurs aller avec les cochons".
    Monsieur se leva, me prit par le poignet, et m’entraîna dans la porcherie. "Déshabille toi".    J’obéis et me retrouvai nue, au milieu d’une vingtaine de porcs et de truies.    Ces animaux étaient parqués par sexe, les porcs castrés, les truies allaitantes avec leurs petits et un jeune verrat . Mon Maître ouvrit une stalle vide: - allez, entre là. Une bonne nuit avec tes congénères te fera réfléchir.  La stalle était paillée de frais et elle jouxtait celle du verrat. Seule une barrière en bois nous séparait. Une grille manoeuvrée avec une corde permettait de faire communiquer. C’était là que se passaient les accouplements des animaux.
    Je restai dans le noir avec pour tout compagnon, ce mâle, qui bien que jeune était déjà énorme. Il me sentait à travers la barrière en poussant des grognements. Je me recroquevillai dans un coin loin de lui, le cul dans la paille. Tout était dans le noir et je perdais la notion du temps, quand j’entendis un bruit de porte, et la lumière s’éclaira.  - Alors petite truie? me dit Madame Soisik  - Oui, Madame...  - Approche.  Je me levai et vint me mettre devant elle, contre la barrière. Elle passa ses mains par dessus et soupesa mes seins. " J’aime les gros seins comme les tiens" et elle commença à les malaxer, puis me tordit les bouts qui réagirent au quart de tour. " Dis donc, petite salope, tu aimes ça on dirait"  En guise de réponse j’émis un gémissement de plaisir, et elle me tordis encore plus mes bourgeons qui enflaient entre ses doigts.  -Ecarte tes jambes.   Elle passa un doigt entre mes lèvres trempées, et me tira un soupir de plaisir. Elle me traita de petite salope. Puis se recula , souleva sa robe pour me dévoiler son sexe épilé. " Lèche grosse pouf" et elle appuya sur ma tête. A genoux dans la paille , sous l’oeil intéressé du verrat, je léchai, suçai, son minou. Jusqu’à ce qu’elle pousse un râle de plaisir.Le verrat avait son groin qui dépassait de la barrière et frottait mes cuisses. Soudain , les yeux de Madame Soisik devinrent encore plus noirs et elle tira la corde qui déclencha l’ouverture de la barrière. Le verrat s’engouffra dans la stalle, et vint se frotter contre moi. Je reculai en poussant un cri de terreur? J’étais coincé dans un angle, et le groin de l’animal se frottait à moi . Il grognait et de plus ne plus fort et se frottait à mes fesses. Il passait son énorme groin entre mes cuisses et je sentais son haleine chaude contre mon sexe. A un moment il passa sa grosse langue sur mon intimité. J’étais prête à hurler.La voix apaisante de Madame Soisik calma l’animal. Elle enjamba la barrière tout en lui parlant et le caressant sur le dos. L’énorme animal se calma et finit par se coucher, nous dévoilant une énorme paire de couilles. Madame Soisik prit ma main et la posa sur le ventre de l’animal- N’ai pas peur... Touche sa douceur. Je sentis une peau douce et chaude qui frémissait sous mes doigts. "Continue, il aime ça, va jusqu’à ses couilles". Et elle guidait ma main, sur les testicules énormes. Je lui massais ses couilles toutes douces, et l’animal grognait de plaisir . " Branle le", m’ordonna-t-elle, et je commençais un và et vient le long du fourreau.   Son sexe apparut, long, rose, torsadé et humide, avec le bout orné d’une boule. " Tu vois, tu lui plais", dit elle. " Goûte le !!"
  Fascinée par ce spectacle, je me penchais et entrepris de lécher son gros gland rose, puis je l’avalai. Madame Soisik m’encourageait, "allez grosse truie, suce le, suce bien" et comme j’étais accroupie, le cul en l’air, elle me fouilla la chatte avec deux doigts. Elle enfonçait ses doigts et caressait mon intérieur. J’haletais , la bouche remplie du sexe du verrat qui grognait de plaisir et lâcha un interminable flot de sperme chaud et liquide qui inonda ma bouche, mon visage et mes seins. Je poussai un feulement de plaisir et inondai cette main qui m’avait si bien branlée.Madame Soisik repassa la barrière, me laissant seule dans le noir avec cet amant inattendu.
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