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Augustin

Chapitre 1

Les prémices

Inceste
Augustin traverse une période difficile, actuellement en terminale, il a du mal à aborder les filles, et pourtant ça le travaille.Il ne manque pas une occasion de se masturber pour faire tomber sa tension. Et surtout ça lui arrive quand il sait que ses parents font l’amour, et il le sait parce que ça s’entend !Un soir il n’en peut plus, il se lève et s’approche de la porte de leur chambre. Comme c’est une vieille porte, elle a encore une serrure ancienne et il n’y a plus de clé, il se baisse et regarde, il faut qu’il ajuste son regard et enfin il les voit. Sa mère a les cuisses relevées et il voit la bite de son père qui va et vient à chaque coup de reins. Il la pilonne à grands coups de reins et le sommier proteste. Il les entend tous les deux, sa mère pousse des petits cris tandis que son père souffle bruyamment. Augustin se branle en les regardant. Enfin son père grogne en éjaculant au fond du vagin de son épouse, ce qui déclenche l’éjaculation d’Augustin qui gicle sur la porte de la chambre.Il n’a plus qu’a essuyer son sperme avec un mouchoir en faisant attention de ne pas faire de bruit.Alors chaque soir il va les guetter quand ils se couchent, ils ne font pas l’amour à chaque fois mais il a souvent l’occasion de les voir nus, ce qui le fait bander à chaque fois.Maintenant il ne regarde plus sa mère de la même façon, il voit en elle la femme plutot que sa mère.Et puis, un jour, Denise est partie au marché, Marc et son fils Augustin sont assis sur le canapé et feuillettent des vieilles revues en attendant son retour.Denise est une petite femme de quarante cinq ans, un peu rondelette avec une poitrine assez volumineuse comme son fessier. Son mari Marc a quarante huit ans, assez grand et fort tandis que leur fils Augustin va avoir dix huit ans mais paraît seize.— Avec mon boulot, on ne se voit pas assez souvent, Augustin, comment ça va ?— Bof, ça va, merci.— Tu vas bientôt passer ton bac, ça marche, tes études ?— Oui, pour le moment j’ai de bonnes notes, à part en philo, c’est pas trop mon truc.— Ouais, mais c’est pas le principal.— Et les filles, ça marche ?— Heu, non, il n’y en a pas beaucoup qui me plaisent, elles sont un peu connes. En plus je sais pas trop comment les aborder.— quand même, les femmes t’intéressent pas ?— Si, au contraire. Mais j’aime bien les femmes plutot mures.— Ah, alors ? T’en connais pas qui te plairaient ?— Si, mais je peux pas en parler.— Pourquoi ?— ……………..— C’est quelqu’un que je connais ?— Heu, …. , oui.— Ah, bon. Ça réduit les recherches. Et tu veux pas dire qui c’est ?— Il vaut mieux pas.
— C’est une voisine ? Ta cousine ?— Non, pas du tout.— Tu as peur de m’en parler ?— Ben, peut être.— Ah, je crois deviner. Mais tu as ma parole que je ne te dirai rien.— Tu es sur ?— Tu as ma parole. Alors, la femme que tu aimes, c’est ta mère ?— Ben,….., oui.— Je ne suis pas du tout surpris. Quand j’étais jeune j’étais aussi amoureux de ma mère. Alors tu es amoureux d’elle ?— Oui, je pense tout le temps à elle.— C’est normal, ta mère est très attirante, hein ?— Oh oui ! Je rève de son corps.— Elle te fait bander ? Tu peux me le dire sans crainte. Raconte moi.— Oui, quand je vois ses cuisses, ou ses seins quand elle se penche, tout de suite, je bande.— Oui, elle a de beaux nichons. Tu n’as pas essayé de l’approcher ?— Je n’oserai jamais.— Tu l’as déjà vue à poil ?Je ne vais pas lui dire que je la mate.— Non, juste en chemise de nuit parfois.— Tu voudrais bien la voir ?— Oh, oui !— tu bandes quand tu penses à elle ?— Oui, toujours.— Tu te branles ?— Oui, je me branle pour elle tous les jours.— Tu voudrais que je lui en parle ?— Tu serais d’accord ?— Oui, pas de problème pour moi. Il y a longtemps que j’y pensais, mais je ne savais pas si je pouvais t’en parler.— Mais elle sera sûrement pas d’accord.— Je m’en occupe. Ta mère je saurai la convaincre.Puis Marc pose sa main sur la cuisse de son fils, il remonte doucement vers son entrejambe.— En attendant, on peut s’amuser un peu, ferme les yeux, imagine que c’est ta mère,.Il lui caresse le sexe à travers son pantalon, il sent le membre durcir, il lui déboucle sa ceinture, il baisse la fermeture.— soulève toi un peu.Pendant qu’Augustin se lève, il lui baisse le pantalon et le slip en même temps.La bite d’Augustin saute comme un ressort, elle est bien dimensionnée, Marc enroule sa main autour.— Mmmm ! Tu as une belle queue, mon fils.Il commence à le branler lentement, il le décalotte et le recalotte en douceur.— tu crois qu’elle me fera voir ses seins ?— Sans problème, mon fils.La bite a un spasme et durcit encore— Et sa chatte, je pourrai la voir ? J’en ai jamais vu en vrai.— Tu pourras même la toucher.La queue devient raide comme du bois, Marc branle plus fort. — Ahhh ! C’est bon ! C’est meilleur que quand c’est moi.Marc accélère progressivement son mouvement et augmente son amplitude, Augustin respire plus fort et donne des coups de reins.— Ahhhh ! Maman, oui, encore, c’est bon.Marc lui serre la bite plus fort et le branle à toute vitesse.— Maman, maman, je jouis !La bite gicle de longs jets de sperme épais qui s’étalent sur son ventre et ses cuisses.— Ahhh ! Papa, C’était bon !— Je vois que tu as bien joui, t’en as partout.— Ah, oui, tu branles bien !— Oui, mais tu m’as excité, à ton tour de me soulager.— Oh oui, papa.Il lui ouvre le pantalon de son père et il lui prend la bite.— Oh, elle est grosse la tienne !Il commence à le branler.— Suce la !Augustin a juste fait ça une fois avec son copain, il hésite un peu, mais il se baisse et lui prend la queue en bouche.— Pompe la bien et branle moi en même temps.Pendant qu’il suce, Marc glisse ses doigts entre les fesses d’Augustin et il lui titille la rondelle, bientôt il lui fait pénétrer un doigt qui va et vient dans son fondement. Ce qui déclenche une nouvelle érection de son fils, ce qui fait qu’Augustin se masturbe d’une main tout en branlant et suçant son père.Sous l’action efficace de son fils, Marc ne tarde pas à sentir monter sa jouissance, il maintient la tète de son fils.— Mmmm ! Ça vient, avale, avale tout !Augustin a du mal à avaler, surtout que c’est nouveau pour lui, mais le doigt dans le cul qui le branle et sa masturbation lui provoque une nouvelle éjaculation.— C’est bien, mon fils, tu m’as bien fait jouir aussi. Je vais m’occuper de ta mère. Je pense que ça va me prendre quelques jours.— Merci papa.
Le soir même, Marc, une fois couché avec son épouse, lui dit.— Denise on a un problème à résoudre.— Ah, de quoi s’agit il ?— Il s’agit de notre fils Augustin.— Qu’est ce qu’il a encore fait ?— Pour l’instant, rien, mais je vais avoir besoin de toi.— Pourquoi ?— Comment tu le trouves, ton fils ?— Il est beau mon fils et j’en suis fière.— Tu l’aimes beaucoup ?— Oui, bien sur.— Comment est il avec toi ?— Comme d’habitude, quoique par moments il est un peu bizarre.— C’est à dire ?— Il me regarde drôlement, mais si je m’approche il s’éloigne.— Voilà, en fait ton fils est très timide et il n’ose pas.— Il n’ose pas quoi ?— Te dire qu’il est amoureux de toi.— Quoi ! Tu dis n’importe quoi !— Non, je suis sérieux, il me l’a dit.— j’espère que tu l’as remis à sa place !— Pourquoi ? C’est normal qu’il soit amoureux de sa maman.— Comme tu y vas ! Et alors ?— Eh bien, tu devrais l’aider.— Tu voudrais que je couche avec lui ? Mais tu te rends compte, c’est de l’inceste !— Pour Augustin, ça serait bien.— Je ne veux pas de ça !— Oh, ça ne sortirait pas de la famille. Réfléchis bien.Puis Marc décide de faire l’amour à Denise malgré ses réticences. Une fois en route elle commence à mouiller et à gémir.— Tu vois chérie, imagine que c’est Augustin.— Salaud, arrête. Dit elle en jouissant.
Les jours suivants, Denise pense à ce que Marc lui a demandé, au début elle est en colère, puis elle réfléchit. Elle ne regarde plus son fils de la même façon. De temps en temps elle vient le voir et elle ne manque pas de l’embrasser, sur la joue bien sur.Elle s’habille différemment, un haut plus décolleté, une jupe au dessus du genou. Elle s’aperçoit vite qu’elle fait de l’effet à son fils qui ose maintenant venir l’embrasser sur ses épaules ou dans son cou. Elle est troublée et même elle sent sa culotte s’humidifier. Un jour, pendant qu’elle faisait la vaisselle, Augustin est venu derrière elle et il l’a enserrée de ses bras puis ses mains sont remontées sur ses seins, elle l’a chassé mais elle avait senti son désir monter pour lui.Finalement elle prend sa décision et le soir elle dit à Marc.— Pour ce que tu m’as demandé, j’ai réfléchi et je veux bien essayer, demain soir, tu es d’accord ?— Bien sur, pas de problème.— Tu seras là ?— Oui, plutôt deux fois qu’une.
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