Un jeudi, Augustin demande à sa mère.— Maman, je voudrais te demander quelque chose.— Oui mon fils, de quoi s’agit il ?— Euh, j’ai rencontré une fille il n’y a pas longtemps, j’espère que tu n’est pas jalouse ?— Sûrement pas, je suis contente pour toi.— Est ce que elle peut venir demain soir pour le week-end.— Mais bien sûr, comme ça je ferai connaissance avec elle. Comment elle s’appelle ?— Aline. Elle a juste mon age.— Elle est jolie ?— Oui, et elle a un corps magnifique, à part qu’elle n’a pas une poitrine aussi grosse que la tienne, ma maman chérie.Il en profite pour lui peloter les nichons il sent les tétons pointer et ça lui redonne du désir pour sa mère, il l’embrasse, il la pousse contre la table de la cuisine au point qu’elle bascule et se retrouve allongée dessus.— Qu’est ce que tu fais, Augustin ?Mais il ne répond pas, sort son sexe et il la pénètre aussitôt, profitant qu’elle n’ait pas mis de culotte.— Ah non ! Augustin, c’est pas le moment !Malgré ses protestations Augustin commence à la pistonner résolument.— Non ! Non ! Mmmm, oui ! J’aime ta queue, salaud, tu vas encore me faire jouir, vas y fort !Il obéit sans discuter, il lui pose ses jambes sur ses épaules et il la défonce en cognant son pubis contre le sien, au grand péril de la pile d’assiettes au bout de la table. Ils jouissent presqu’en même temps tous les deux, il la redresse et l’embrasse de nouveau.— Je t’aime, maman.— Et moi aussi mon chéri. Le vendredi soir, Augustin arrive accompagné d’Aline, c’est une jolie blonde aux yeux bleus, cheveux longs, au corps élancé avec une poitrine modeste mais pointant fièrement sous son maillot, une taille fine sur des hanches et un fessier appétissant.— Bonsoir, je vous présente Aline. Aline, voici ma maman, Denise, et mon papa, Marc.— Bonsoir, je suis contente de faire votre connaissance, votre fils m’a tellement parlé de vous !— Bonsoir Aline, et bienvenue, tu peux me tutoyer et m’appeler Denise.— Bienvenue Aline, de même on se tutoie et tu m’appelle Marc.
Après les présentations, ils vont s’asseoir au salon, Augustin à coté d’Aline. Marc dans le fauteuil en face. Il dévore des yeux la copine d’Augustin, ses yeux vont de sa poitrine fière à ses cuisses découvertes par sa jupe courte. Ça n’échappe pas à Augustin que ça excite de la voir désirée par son père. Il a posé une main sur sa cuisse et par moments, quand il embrasse Aline il tire sur sa cuisse pour lui écarter, il voit que son père en profite pour mater son entrecuisse en se tripotant discrètement le nœud.Après l’apéro ils se mettent à table, Augustin et Aline d’un coté et les parents de l’autre. Tout en mangeant ils discutent de leurs occupations respectives. Aline sent que Marc glisse son pied contre le sien, elle ne se dérobe pas, elle se sent plutôt honorée d’être désirée par cet homme viril, elle lui sourit et le laisse lui caresser la cheville et le mollet et elle sent même sa culotte s’humidifier.A la fin du repas Augustin et Aline sont pressés d’aller se coucher mais par politesse ils aident à débarrasser et à ranger avec Denise.— Augustin, n’oublie pas que demain matin tu te lèves de bonne heure, on avait dit qu’on allait à la pèche à l’étang.— Ah oui, j’avais oublié. Tu viendras me réveiller, papa ?— Pas de problème mon fils. Bonne nuit !Aussitôt dans la chambre ils se déshabillent et commencent à se caresser et à s’embrasser, puis ils se couchent pour faire l’amour.Les parents sont partis dans leur chambre également et se couchent. Au bout d’un moment ils entendent des gémissements puis le sommier qui grince, puis des cris poussés par Aline. Marc commence à bander, excité par le bruit des ébats dans la chambre voisine, Denise aussi est excitée et bientôt les parents font grincer à leur tour leur sommier et gémissent de plaisir.Cela dure longtemps car dès qu’il n’y a plus de bruit dans une chambre ils entendent les cris de jouissance dans la chambre voisine ce qui redéclenche une nouvelle chevauchée des couples.Enfin, la fatigue aidant, ils finissent par se calmer et s’endormir. — Augustin, réveille toi, c’est l’heure. Murmure Marc.Il reçoit dans les yeux le faisceau de la lampe torche que tient son père.— Ne réveille pas Aline, papa. Dit Augustin en se sortant du lit.— Elle dort bien ta copine.— Oui elle a l’air.— Elle est belle.— Oui. Tu veux la voir ?— Oui, ça me ferait plaisir.Augustin soulève doucement le drap qui recouvre la jeune fille, elle est sur le dos, une jambe déjetée, le faisceau de la lampe parcourt le corps, en évitant les yeux, il se promène sur les seins, le ventre et entre ses cuisses, elle est complètement épilée, les lèvres du sexe sont luisantes de mouille, Marc se tripote la bite à travers son pantalon en se régalant de la vue.Puis Augustin remet le drap sur sa chérie et les deux hommes sortent pour aller prendre le déjeuner avant de partir. Quand ils partent le jour n’est pas encore levé et il y a bien pour une heure avant d’arriver.En chemin ils bavardent et forcément Marc en vient à parler d’Aline.— Tu as de la chance de l’avoir trouvée, elle est vraiment bandante.— Oui, on a bien baisé cette nuit, elle est chaude.— On vous a bien entendus, elle gueule fort quand elle jouit. Ça nous a bien excités ta mère et moi, alors on a baisé aussi. N’empêche que quand j’enfilais ta mère, c’est à Aline que je pensais.— Tu voudrais bien la baiser, hein ?— Si tu veux bien me la prêter, oui, sûrement. Je te prête bien ta mère.— Ça doit pouvoir s’arranger, papa.— Je savais que tu étais un bon fils. Le matin, Denise se lève, elle attend un peu avant d’aller voir si Aline est réveillée.Puis elle va dans la chambre, encore en nuisette, la première chose qui la frappe, c’est l’atmosphère lourde de sperme et de sécrétions féminines, Aline semble encore endormie, Denise s’assied sur le bord du lit, elle caresse la joue d’Aline qui ne réagit pas, les doigts descendent sur le cou, Denise tire un peu sur le drap, elle dégage la poitrine et ses doigts viennent se promener autour de ses tétons roses.Aline soupire et ouvre les yeux.— Bonjour Aline, bien dormi ?— Bonjour Denise.— Tu as de très beaux seins, Aline.— Toi aussi, Denise, ils sont plus gros que les miens.— Tu veux les voir ?— Oh oui, montre les moi.Aussitôt Denise enlève sa nuisette, elle est nue.— Fais moi une place.Aline se recule un peu et Denise vient s’allonger à coté d’elle. Elles commencent à se caresser les seins.— J’aimerais bien des nichons comme toi.— Tu es jeune, tu as le temps de les voir grossir.Elle lui prend les tétons et les pince doucement.— Mmmmm ! C’est bon.Denise attire Aline contre elle, elles se frottent les seins les uns contre les autres, elles soupirent, leurs têtes se rapprochent, leurs lèvres se touchent, s’ouvrent, elles se partagent leurs langues longuement, avant de se séparer.Denise caresse le corps d’Aline qui frissonne, sa main se promène sur ses hanches, puis son ventre, elle atteint la vulve douce, faisant se cabrer la jeune fille.Denise se redresse pour s’approcher du temple de l’amour, elle fait glisser ses doigts le long des lèvres, elle en fait pénétrer un dans le vagin lubrifié, puis deux, elle les enfonce, Aline gémit, elle fait quelques aller retours puis elle retire ses doigts complètements enrobés de jus crémeux.— Il t’a bien servie, mon fils !— Oh oui, il baise bien, il m’a bien fait jouir !Denise commence à sucer ses doigts.— Mmmm ! J’adore ça !Quand elle a fini de lécher ses doigts, elle les replonge dans la fente d’Aline et en même temps elle vient poser sa bouche sur le clitoris qui pointe sous son capuchon, ce qui fait pousser un cri à la jeune fille. Tout en la branlant de ses doigts, elle lui lèche la fente et elle lui mordille le clitoris qui grossit entre ses lèvres. Aline se tortille en gémissant, puis celle ci vient lui rendre la pareille en se glissant entre ses cuisses dans un soixante neuf de passion.Pendant plusieurs minutes elles se dévorent le minou en poussant parfois des cris, elles finissent par se quitter après avoir joui plusieurs fois.Elles s’allongent l’une contre l’autre en s’embrassant et se caressant.Enfin Denise se lève.— c’est pas tout ça mais il faut que je prépare le repas pour nos hommes.— Je viens avec toi. Pendant ce temps, Marc et Augustin se sont installés au bord de l’étang, ils ont lancé leurs lignes et regardent les fils de déplacer lentement, entraînés par les vifs qui attendent le passage éventuel d’un brochet. Ils ont étalé un plaid sur l’herbe pour être plus confortables.Le temps passe lentement, ils ne causent pas beaucoup et restent pensifs. Ils sont à moitié allongés cote à cote.A un moment Marc dit :— Quand même, ta nana c’est un sacré lot.— Oui, j’ai pas à me plaindre.— D’y penser ça me fait bander.— Moi aussi, papa.Marc se caresse à travers son pantalon, Augustin fait de même, ils bandent de plus en plus, finalement Marc ouvre son pantalon et sort sa queue et Augustin ouvre aussi son pantalon.Ils commencent à se branler chacun.— C’est quand même chouette d’avoir deux salopes à la maison !— Oh oui, on va encore se régaler !Puis ils se branlent mutuellement, ils se frottent les glands l’un sur l’autre, ils collent leurs bites l’une contre l’autre pour les branler en même temps, quand ils sentent la sauce monter, ils reprennent chacun leur queue pour se finir à toute vitesse et gicler l’un sur l’autre.Tandis qu’ils s’essuient avec un chiffon, c’est pour voir qu’une des lignes est en train de filer rapidement. Il était temps et ils réussissent malgré tout à remonter un magnifique brochet. Denise et Aline se sont mises au travail, ce qui n’empêche pas qu’elles s’embrassent et se caressent au passage. Enfin lorsqu ‘elles ont mis la table, elles vont enfin s’habiller, Denise et Aline avec une jupe courte à mi cuisse sur un string de dentelle, Denise avec un chemisier blanc sur un soutien gorge balconnet et Aline un maillot à encolure ronde sans soutien gorge, vu la taille de sa poitrine.Quand les hommes arrivent enfin, ils sont fraîchement reçus.— C’est à cette heure ci que vous arrivez, j’avais dit midi !— Oui, mais regarde ce qu’on ramène.Il ouvre son sac et en sort le brochet.— Bon, pour cette fois je ne dis rien, mais allez vous doucher, vous puez !Quand ils reviennent, ils ont meilleure mine, Augustin a mis un pantalon d’été avec un polo et Marc un jean et une chemisette.Le repas est délicieux et les femmes ont droit aux félicitations de leurs hommes. Les discussions vont bon train avec les deux jeunes, ce qui n’empêche pas les hommes de détailler Denise et Aline avec appétit.Après le repas, ils décident d’aller se promener dans la forêt, pour profiter du soleil.Les femmes marchent devant, bavardant, suivies des hommes qui matent leurs cuisses sous les jupes courtes.Dans une clairière il y a un joli tapis de fleurs blanches. Elles s’arrêtent et se baissent.— Eh, les hommes, c’est joli, c’est quoi ces fleurs ?— Des anémones des bois.Denise s’accroupit pour les regarder, et Aline se penche à son coté. Son maillot baille et ne cache rien de ses petits seins magnifiques tandis que Denise n’est pas avare de montrer son entrecuisse.— C’est dommage, les queues sot trop courtes pour les cueillir.— Vous en trouverez des plus longues à cueillir.— Ah ! C’est drôle ! Toujours obsédés, hein ?— Ben, tu l’as bien cherchée !Ils rient tous de bon cœur en continuant leur petit tour. Quand ils rentrent, tandis que Denise prépare des boissons fraîches, Marc fouille dans ses disques pour trouver de la musique de danse. En fait c’est de la musique retro, tangos, slows et autres.Il sont assis tous les quatre sur le grand canapé, ils commencent à siroter leurs boissons, Augustin collé contre Aline avec sa mère de l’autre coté.Enfin ils se décident.— Viens danser. Dit Augustin.Aline et Augustin se lèvent et commencent à danser, bientôt suivis par les parents.Aline met ses bras autour du cou d’Augustin tandis que lui pose ses mains sur ses hanches. Ils s’embrassent par instants. De leur coté, les parents dansent de façon beaucoup plus classique, comme un vieux couple.Entre chaque morceau ils s’approchent de leurs verres et boivent un petit coup, avant de reprendre leur danse. Après quelques danses, Marc dit : allez, on change !Il lâche Denise et il prend Aline dans ses bras, Augustin attire sa mère contre lui et les deux couples recommencent à danser. Aline essaie de garder ses distances avec Marc qui l’attire contre lui. De son coté, Augustin serre sa mère contre lui et elle se colle à lui.Aline les regarde et quand Augustin et sa mère commencent à s’embrasser à pleine bouche et que Augustin pose ses mains sur ses fesses, elle se rend compte que si Augustin est le fils de Denise, il est également son amant, sur le coup il lui prend un coup de jalousie, puis elle se souvient de sa matinée avec Denise, alors elle se colle à Marc, elle le prend par le cou, elle l’embrasse, elle colle son bas ventre contre le bas ventre de Marc en glissant sa cuisse entre ses jambes. Elle sent le sexe durcir contre son ventre, sa cyprine commence à envahir sa culotte, son baiser est de plus en plus fiévreux, Marc lui tripote les fesses, il lui remonte sa jupe, il a ses mains sur ses fesses nues, ses doigts parcourent sa raie jusqu’à sa chatte. De son coté, Augustin a tourné sa mère dos à lui, il lui a sorti les nichons qu’il pétrit en l’embrassant dans le cou. La musique s’arrête. Les danseurs se séparent à regret, les hommes vont s’asseoir pour boire un coup. Quand la musique repart, les deux femmes ont décidé de danser ensemble, elles s’enlacent et commencent une danse lascive, collées l’une sur l’autre, elle s’embrassent langoureusement, les hommes commencent à se caresser le sexe à travers leur pantalon.Tout en dansant, elles attaquent un strip-tease tout en lenteur, d’abord le maillot et le chemisier, ensuite le soutif de Denise, elles se frottent les seins l’une l’autre, puis elle s’enlèvent la jupe, Marc et Augustin n’en peuvent plus, à leur tour ils se déshabillent rapidement, une fois nus ils commencent à se branler.Bientôt elles n’ont plus que leur culotte qui ne cache pas grand-chose. Enfin elles s’enlèvent mutuellement leur cache sexe, elles se frottent la chatte l’une contre l’autre.Marc se lève, il vient près des femmes, il tire Aline, la soulève et l’emmène dans ses bras, direction la chambre.Denise et Augustin ne tardent pas à les rejoindre, Marc à genoux est en train de déguster l’entrecuisse d’Aline, la faisant tressauter et crier à chaque coup de langue sur son clitoris.Augustin fait allonger sa mère à côté et lui fait subir le même sort. Les deux femmes gémissent de concert, tout en s’embrassant et en se caressant les seins.Après qu’elles aient bien joui, Marc et Augustin cessent de laper les chattes dégoulinantes et se placent de chaque côté.— A votre tour de nous faire du bien.Ils leur tendent leur bites qu’elles saisissent et commencent à branler, puis elles les tirent vers elles et commencent à les sucer. Les deux cochonnes s’amusent à frotter les deux glands l’un contre l’autre puis elles réunissent les deux queues pour les lécher tout du long et en profitent pour s’embrasser avant de gober de nouveau les bites qui deviennent dures comme du bois.Il est temps pour Augustin et Marc de passer à l’action, ils les font s’allonger et Augustin s’approche d’Aline mais son père lui rappelle sa promesse et doit lui laisser la place à regret. Marc présente sa bite à l’entrée de la chatte d’Aline tandis qu’Augustin se met entre les cuisses de sa mère. Ils commencent à les besogner en cadence, elles gémissent sous l’assaut viril de leurs amants. Aline a noué ses jambes autour des reins de Marc et le tient par le cou pour l’embrasser en même temps, Augustin a fait mettre sa mère à quatre pattes et l’enfile en levrette à grands coups de reins.Le lit proteste en couinant bruyamment sous les coups de boutoir des deux couples. Après quelques coups de reins finaux, les hommes finissent par injecter leur semence presque en même temps. Ils restent un moment sans bouger avant de se retirer, alors Augustin, frustré mais toujours bandant, repousse son père pour prendre sa place. Aline lui prend la bite et la dirige vers sa fente épanouie et il n’a pas de difficulté pour pénétrer la chatte dégoulinante de cyprine et de sperme. Il la lime longuement tandis qu’elle gémit, les yeux fermés et la bouche grande ouverte, elle jouit à plusieurs reprises avant que Augustin éjacule à son tour en grognant avant de l’abandonner toute pâmée de plaisir.Ils somnolent un moment tous les quatre puis Denise et Aline se redressent les premières, elles regardent les deux mecs assoupis à côté d’elles, ils sont, par le hasard,allongés tête bêche alors il leur vient une idée.— Aide moi, Denise.Elles les repoussent l’un contre l’autre, elle prennent la bite de l’un qu’elle dirigent vers la bouche de l’autre. Le père et le fils qui se réveillent n’hésitent pas une seconde et commencent à se sucer comme des affamés pendant que Denise et Aline se rallongent l’une contre l’autre pour s’aimer à leur tour.
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.