- Histoire érotique écrite par Anonyme
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Brusquement, la porte de ma chambre s’ouvre et j’entends ma mère
qui nous dit :
— Oh excusez-moi, j’avais entendu des râles et je craignais que
l’une de vous deux ne soit malade. Je ne pensais pas que vous
étiez en train de faire plus ample connaissance.
Elle ne paraît pas choquée outre mesure, et elle entre complètement dans la
chambre en prenant soin de refermer la porte. Elle s’approche de nous et
je m’aperçois qu’elle n’est vêtue que d’une nuisette
très courte. Je n’ai jamais encore vu ma mère dans une tenue aussi légère.
Elle vient se plaquer au dos d’Anna et lui glisse à l’oreille :
— J’espère qu’Aurélie ne t’a pas fait mal en te
pénétrant. Mais je vois que ce ne doit pas être la première fois.
Elle se recule un peu et me demande alors :
— Aurélie chérie, acceptes-tu que je me joigne quelques instants à vous
?
— Bien sur maman, comme tu veux.
Elle retire sa nuisette et m’apparaît entièrement nue. Je découvre
qu’elle est une vraie rousse alors que je pensais jusqu’à maintenant
elle se faisait teindre les cheveux pour se donner un genre. Elle se plaque au dos
d’Anna et y écrase sa poitrine que je découvre parfaite pour ses quarante
ans. Elle a visiblement gardé un corps de jeune femme. Elle caresse les seins de
notre amie et en fait ériger les mamelons durs et roses. Puis elle s’écarte
et prenant un air sévère, elle nous dit :
— Maintenant, j’attends des explications. Qu’est-ce qui
se passe. J’ai d’abord entendu de la musique, puis,
j’ai entendu des râles et j’ai eu très peur. C’est
pourquoi, je suis venue, ton père dormant déjà.
— Madame c’est.....
— Je n’y a pas de Madame qui tienne, tu es dans notre famille
pour encore deux semaines, et j’exige que tu m’appelle
Christiane qui est mon prénom. Entendu ?
— Oui Christiane. C’est moi la coupable, j’ai voulu offrir
à Aurélie un spectacle de strip-tease, et cela nous a tellement
excitées que nous sommes allées plus loin.
— Maman, Anna ne te dit pas tout. Depuis son arrivée, nous sommes
devenues très intimes, et j’ai eu une envie folle de pousser plus
loin les caresses que tu as déjà entrevues ce matin.
— Mes enfants, je ne vous reproche rien. Mais il faut faire attention
de ne pas faire trop de bruit. Il n’est pas utile que tout le
monde sache que vous vous donnez du bonheur.
Durant ce petit dialogue, j’ai retiré les doigts de l’anus
d’Anna qui s’est alors blottie dans ses bras. Je me lève et dans un
geste filiale, je me jette dans les bras de ma mère. Celle-ci me serre donc dans
ses bras et nous nous retrouvons nues toutes deux enlacées devant Anna qui ne
sait pas que faire. Elle vient donc derrière ma mère et plaque sa poitrine contre
son dos. C’est ma mère qui prend l’initiative d’attraper ses mains et
de les poser sur sa poitrine. Le tableau est saisissant. Nous sommes toutes les
trois entièrement nues dans ma chambre. Ma mère est contre moi et je sens sa
poitrine qui s’écrase sur la mienne, tandis qu’Anna est dans son dos
et lui caresse les seins.
Ma mère s’approche et commence à m’embrasser sur la bouche. Je
résiste à son baiser, mais sa langue finit par s’insinuer entre mes lèvres
puis mes dents. Nos langues jouent. Sans réfléchir, je dirige une de mes mains
vers le ventre de ma mère qui à son tour commence à ronronner. Elle bouge ses
hanches et nos ventres se frottent. Je glisse ma main vers son entrejambe, et je
suis surprise de sentir qu’elle écarte ses jambes pour me faciliter la
tâche. Ma main est maintenant posée sur son buisson ardent comme j’ai pu
le voir. Elle presse son pubis sur ma main. Elle me murmure à l’oreille :
— Ma chérie continue, si tu savais comme j’aime cette caresse et
combien cela me faire plaisir.
Je ne me fais pas prier, et avec un doigt, j’écarte ses grandes lèvres. Je
découvre que son antre intime est copieusement mouillée et je me dirige vers son
clitoris qui réagit immédiatement à mes attouchements. Elle se met à donner de
grands coups et je la sens mouiller de plus en plus. Je risque un doigt vers
l’entrée de son tabernacle et celui-ci est rapidement aspiré dans son antre
secrète comme si c’était une ventouse. Je suis bien et je ressors mon doigt
pour en enfoncer immédiatement trois d’un coup. Elle les accepte et se met
à jouir abondamment. Comprenant ce qui se passe, Anna quitte sa position et vient
s’asseoir entre les jambes de ma mère. Je ressors mes doigts de la chatte
maternelle, et mon amie plaque ses lèvres sur la vulve béante qui coule en
permanence. Ma mère reprend l’initiative et nous disant :
— Mes chéries, je crois qu’il est temps de gagner le lit
d’Aurélie, nous y serons plus à l’aise.
Nous lui obéissons donc et nous nous retrouvons toutes les trois sur mon lit. Joli
tableau que nous formons : Anna la blonde, moi la châtain et ma mère la rousse
flamboyante. Je ne peux résister et je me jette sur le sexe de ma mère pour en
goûter toutes les saveurs. Je plaque mes lèvres sur les siennes combien plus
intimes et je commence à déglutir. Elle mouille abondamment et je découvre la
saveur d’une femme adulte, rompue aux joies de l’amour. Elle a une
odeur très forte comme toutes les rousses et se répand dans ma bouche.
Elle-même s’est placée pour me procurer la même caresse. Je sens sa
langue s’insérer dans ma chatte. Elle me fouille le plus profond possible.
J’en fais autant et ramasse toute sa liqueur. J’ai peine à tout
avaler tellement elle en sécrète. Anna qui est un peu frustrée vient derrière moi
et pose sa bouche sur mon anus. Je suis surprise par sa caresse, mais le
l’apprécie. Elle met sa langue en pointe et je sens qu’elle cherche à
forcer mon passage étroit. Je me laisse aller et bientôt je sens sa langue qui
s’insinue dans mon petit trou. C’est une sensation magnifique que de
sentir ma mère sur dans chatte et Anna dans mon cul.
Ma mère qui est bien placée pour apprécier la manoeuvre d’Anna
l’encourage à poursuivre sa caresses buccale.
— Anna chérie tu as encore pris une excellente initiative. Suce bien le
petit cul d’Aurélie. Nous allons bien la faire jouir toutes les
deux. Je sais qu’elle encore vierge , mais nous allons lui donner
un avant goût.
Je sens que la langue d’Anna n’est plus seule à l’entrée de
mon anus. En effet, je sens un doigt qui s’amuse à me titiller. Elle me masse
lentement tout en continuant avec sa langue. Enfin, elle se décide et je la sens
forcer sur mon sphincter. Ma mère me dit alors :
— Aurélie, détends-toi, nous avons toutes commencé comme cela. Plus
tard tu verras, ce sera un sexe d’homme que tu prendras par
ton petit trou, et c’est bien plus gros que le doigte
d’Anna. Penses également que moi aussi j’aime cette
pénétration.
Selon les conseils de ma mère j’essaie de me détendre et d’offrir à
mon amie le plus de facilités possibles pour qu’elle me pénètre. J’en
profite pour introduire deux doigts dans la chatte de ma mère qui se met à
glousser de plaisir. Dès que mes doigts sont copieusement couverts de sa cyprine,
les présente à l’entrée de son rectum et je suis surpris qu’ils
pénètrent avec une telle facilité. Anna a enfin réussi à entrer un doigt dans mon
anus et elle commence à effectuer des va-et-vient qui me sont un peu douloureux,
mais qui me procurent un plaisir immense. J’introduis un troisième doigt
dans ma mère qui continue à jouir et à inonder ma bouche. Je ne me contrôle plus
et j’enfonce maintenant mes quatre doigts dans son anus complètement
dilaté. Elle se trémousse dans tous les sens, ne pouvant retenir son plaisir. Anna
retire son doigt et je sens que maintenant, ce sont deux doigts qu’elle
présente. Je suis surprise de la facilité avec laquelle elle s’introduit en
moi. Elle recommence ses aller et retour à ma plus grande joie. Elle retire à
nouveau ses doigts et me dit :
— Aurélie chérie, maintenant c’est l’épreuve de vérité.
Tu dois être capable de prendre dans ton cul mes trois doigts si tu
veux plus tard être une vraie femme.
— Oui chérie. Maman me fait tellement jouir avec sa bouche que tu
peux tout.
Je la sens présenter ses doigts en triangle et elle rentre en moi avec beaucoup
plus de facilité que je ne le croyais. Nous sommes toutes les trois unies par le
sexe. Ce que je découvre en relevant la tête pour reprendre un peu d’air,
c’est que ma mère a repris sur Anna la pénétration anale que j’avais
interrompue tout à l’heure. Nous avons toutes les trois le cul investi bien
qu’aucun homme ne soit dans la chambre.
Nous continuons à nous caresser et c’est moi qui donne le signal de la
jouissance en m’écroulant sur ma mère dans un râle qui en dit long de mon
plaisir. Ma mère se laisse aller et se vide complètement dans ma bouche et me
serre violemment la tête entre ses cuisses. Quant à Anna elle s’effondre à
côté de nous. Nous restons quelques instants inertes et ma mère est la première à
reprendre ses esprits pour nous déclarer :
— Je vous remercie toutes les deux, il y a très longtemps que je
n’ai pas joui autant. Pourtant, Aurélie, ton père est un
merveilleux amant. Tu as pu remarquer que mon cul est très souple, et
bien c’est parce qu’il l’honore fréquemment. Mais
c’est divin de jouir par le sexe et par le cul sans homme.
— Maman, est-ce que cela fait mal la première fois que l’on fait
l’amour avec un homme ?
— Ma chérie tout dépend de l’homme. Si il te respecte tu ne
sentiras pratiquement rien, et la jouissance sera telle que tu ne
pensera même pas qu’il vient de te déchirer. Pour toi, Anna
as-tu eu mal ?
— Non Christiane. J’ai eu la chance de perdre mon pucelage
avec un homme qui avait environ vingt-cinq ans qui a été d’une
douceur exemplaire. Je n’ai rien senti, et la seule preuve que
j’ai pu voir, ce sont les traces de sang sur son sexe.
— Et toi maman, as-tu eu cette chance ?
— Petite curieuse. Eh bien oui. Tu te doutes bien que ce n’est
pas ton père qui m’a connus neuve. A cette époque nous ne nous
connaissions pas encore. Mais je savais déjà qui ne faut jamais perdre
son pucelage avec un garçon qui est encore puceau. J’ai donc
accepté de le faire avec un garçon qui avait quelques années de plus
que moi et que je savais avoir déjà fait l’amour avec plusieurs
de mes camarades. Elles en parlaient en bien et j’étais
confiante. Je n’ai pas été déçue et, ce qui est rare j’ai
joui dès le premier rapport. Après j’ai refusé de faire à
nouveau l’amour avec lui. Il ne m’attirait nullement. Il
n’était pour moi qu’un instrument m’ayant permis
de faire sauter ma bande de garantie.
De telle révélations de la part de ma mère me laissaient complètement stupéfaite.
Elle nous parle de sexe et de son sexe sans complexe. Au bout d’un temps
que je ne pus évaluer elle nous embrasse toutes les deux en nous disant :
— Je vous souhaite une bonne nuit à toutes les deux. Prenez beaucoup
de plaisir. Je retourne auprès de ton père. Je vais le réveiller et me
faire chatte, car j’ai une envie folle qu’il me fasse
l’amour tout de suite en pleine nuit. N’ayez pas peur si
vous m’entendez crier.
Elle sort de la chambre sans remettre sa nuisette et regagne la sienne. Quelques
instants après nous entendons les râles qui nous prouvent que ma mère a réussi
dans son entreprise. Avec Anna nous nous blottissons dans les bras l’une
de l’autre et nous sombrons dans un profond sommeil.
(A suivre)
Aurélie