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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Aurélie

Chapitre 5

Avec plusieurs femmes

Ce fut à nouveau ma mère qui nous réveille Anna et moi en entrant dans notre

chambre, mais cette fois ci, elle ne prend pas la précaution de frapper. Elle

nous trouve dans notre pose favorite ; enlacées nues au milieu du lit. Comme

nous sommes encore toutes ensommeillées, elle nous embrasse successivement

sur la bouche et nous dit :


— Aujourd’hui, tu sais Aurélie que nous avons prévu

d’emmener Anna à la messe, pour qu’elle se rende

compte des différences entre la célébration en France et en

Allemagne. Nous savons qu’elle est catholique comme nous,

et bien que ni elle ni nous ne soyons des pratiquants fidèles, cela

est important pour une meilleurs compréhension de nos deux pays.


Nous prenons rapidement une douche et quelques instants plus tard, nous

sommes prêtes pour aller à l’office dominical célébré dans

l’église voisine. Nous avons revêtu nos tenues de jeunes filles ?bien

comme il faut? et accompagnons mes parents.


Sur le retour, Anna me fait part des différence qu’elle a pu

remarquer, mais me dit qu’elle n’y attache pas une grande

importance. Nous passons donc à table pour déguster le repas dominical que

ma mère nous a préparé. Mon père quant à lui a sorti de la cave familiale une

bonne bouteille à laquelle nous faisons honneur. Le repas terminé, je décide de

faire visiter à Anna les Champs Elysées. Nous prenons donc le RER pour

gagner la capitale et flânons sur la plus belle avenue du monde. Anna en a

plein les yeux et s’attarde devant les boutiques de luxe. Vers le milieu

de l’après-midi, elle me dit qu’elle aimerait bien voir un film en

français, car lorsque elle peut en voir en Allemagne, ils sont sous-titrés en

allemand et elle est tentée de lire les sous-titres plutôt que de suivre les

dialogues.


Nous choisissons une salle dont le film va commencer dans quelques minutes.

Avant d’entrer dans la salle, elle désire aller aux toilettes pour se

soulager, et je l’imite craignant de ne pas pouvoir atteindre la fin du

film. Nous entrons donc dans la salle et elle me demande de nous installer au

dernier rang, car elle n’aime pas avoir quelqu’un derrière elle

dans le noir. Cela la gêne et elle a un peu peur. Comme cela ne me gêne pas

d’être loin de l’écran, j’accepte volontiers, surtout que

c’est elle qui est invitée. Nous nous installons toutes les deux et nous

attendons que la lumière s’éteigne tout en conversant. Au bout de

quelques minutes, le noir se fait dans la salle et la projection commence. La

projection commence par les publicités suivies d’un court métrage. Elle

me glisse à l’oreille que parfois quelques mots lui échappent, mais

qu’elle comprend le sens général.


La salle se rallume quelques instants avant de nous replonger dans le noir. Le

film commence enfin et nous nous installons confortablement, bien calées

chacune dans notre fauteuil. Contrairement à ce que nous escomptions, il nous

apparaît rapidement que le film que nous avons choisi est loin de nous

intéresser. Au bout d’environ une dizaine de minutes, Anna se penche

vers moi et pose sa tête sur mon épaule. Je comprends que le film ne

l’intéresse pas du tout. Je lui glisse à l’oreille :


— Nous n’avons pas de chance, des camarades de lycée

m’en avaient dit du bien. Si tu t’ennuies de trop, on

peut sortit.


— Non ma chérie restons.


Nous nous installons le plus prêt possible l’une de l’autre et elle

pose sa main sur ma cuisse et commence à remonter le long de ma jambe. De

son autre main elle vient chercher ma main et la pose sur sa cuisse. Je suis

médusée et lui dis :


— Attention, on pourrait nous voir, et je ne tiens pas à avoir de

problème.


— Il n’y a rien à craindre, nous sommes seules au dernier

rang et il n’y a a personne dans les parages. Remonte

légèrement ta main, j’ai une surprise pour toi.


Je suis tout excitée, et je fais glisser ma main le long de sa cuisse. Elle écarte

les jambes au maximum. Je suis maintenant arrivée à mi-cuisse et elle me dit :


— Monte encore ta main, j’ai une surprise pour toi.


Je suis toute excitée et je continue donc la progression le long de sa cuisse.

J’arrive à la lisière de son bas jarretière et marque un temps

d’arrêt. Elle se penche pour me donner un baiser fougueux et me

murmure :


— Je t’en prie ma chérie, continue.


Je continue la progression de ma main sous sa jupe, bien entre ses jambes et

brusquement je sens sur ma main les poils d son pubis. Je remonte

complètement et découvre qu’elle n’a plus sa culotte. Je suis

abasourdie et lui dis :


— Mais tu n’as plus de culotte ? qu’est-ce que tu en as

fait ?


— Je l’ai retirée en allant aux toilettes tout à l’heure.

Tu aimes ?


— Je ne sais pas. Je suis surprise, si quelqu’un le voyait ?


— Qui veux-tu qui le voit, il n’y a que toi et moi qui le

savons. Tu ferais mieux de savourer la douceur de mon pubis

plutôt que de te poser des questions.


Je plaque ma main sur son sexe et découvre qu’il est tout humide.

J’écarte doucement les lèvres gluantes de son tabernacle et glisse un

doigt dedans. Elle ronronne et me demande :


— Aurélie chérie, retire également ton slip.


— Je ne peux pas, tout le monde va me voir. Et puis je ne l’ai

jamais fait.


— Tu veux dire que tu n’as jamais été sans culotte en public

?


— Oui, jamais.


— Alors, pour me faire plaisir, tu vas retirer ton slip, et après tu

verras, tu n’y penseras même plus. Sans cela je t’interdis

l’accès de mon sexe, et ce soir, je ne dormirai pas nue.


Je ne sais vraiment pas que faire. L’idée de me trouver sans culotte en

public m’effraie. D’un autre côté certaines amies du lycée

m’ont déjà raconté l’avoir fait, mais elles se sont peut-être

vantées. Anna qui est blottie contre moi l’a retirée depuis plus

d’une demi-heure et personne ne s’en est rendu compte. Tout en

réfléchissant, mon doigt commence à caresser mon amie. Elle me dit alors en

serrant brusquement les jambes :


— Ah non, tu n’as pas le droit, tant que tu auras ta culotte,

je t’interdis de me caresser. Si tu n’arrives pas à la

retirer toute seule je t’aiderai.


Je suis prise au piège, mais un piège qui m’excite d’avance. Je

retire ma main du sexe de mon amie et commence à réfléchir comment

m’y prendre pour retirer mon slip sans me faire remarquer. Je

commence à me lever légèrement et à relever ma jupe pour être assise sur ma

culotte. Comme cela l’obstacle de la jupe est résolu. Je prends alors

mon slip de chaque côté pour en faire glisser l’élastique. Je dois me

contorsionner pour y arriver, mais j’arrive à lui faire passer les

hanches. Je fais passer le dos de mon slip sous mes fesses, et je le tiens à

mi-cuisse. En m’asseyant, je découvre le contact du fauteuil sur mes

fesses nues. Cela m’excite. Je me baisse enfin pour dégager

complètement mon slip de mes jambes. Anna se fait chatte contre moi et me

demande :


— Passe moi ton slip. Je parie qu’il est plein de ton parfum

intime.


Je lui donne mon rempart intime et elle le renifle abondamment. Elle me le

tend en me disant :


— Profites de ton odeur. Pour que ton slip sente comme cela, je suis

certaine que tu as déjà mouillé abondamment.


Elle met mon slip dans son sac et vient se blottir contre moi. Elle passe sa

main sous ma jupe et commence à s’occuper de mon ventre. Je reprends

ma place entre ses cuisses. Heureusement que personne ne peut nous voir.

Nous sommes côte à côte, jupes retroussées jusqu’au ventre, et les

jambes écartées au maximum. Nous nous caressons abondamment et la

jouissance nous accapare. Plus rien n’existe autour de nous. Nous

profitons l’une de l’autre. Anna vient se placer pratiquement

sur moi et déboutonne mon chemisier. Dans un rêve je me laisse faire et je

sens ses mains détacher mon soutien-gorge. Elle dégage ma poitrine et me tête

les seins. Elle fait durcie mes tétons qui commencent à me faire mal

d’excitation. Elle les mordille tour à tour. Je ne sais pas comment elle

y arrive, mais je me retrouve bientôt sans soutien-gorge. Je n’ai plus

sur moi que ma jupe retroussée jusqu’à la taille et mon chemisier

complètement ouvert. Mais je suis tellement absorbée par mon plaisir que je

ne m’en rends même pas compte. J’ai posé mes mains sur ses

fesses et les pelote activement.


Je la sens jouir dans mes bras. Je jouis abondamment également. Elle me

titille mon clitoris pendant que j’introduis directement deux doigts

dans sa chatte gluante. Je m’y enfonce facilement tellement elle

ruisselle. Je lance mon autre main à l’assaut de son petit trou mignon

et commence à le forcer. Je le lubrifie en faisant des aller et retour entre sa

chatte et son anus. Lorsqu’il est bien mouillé lui aussi, j’y

enfonce un doigt, puis deux. Je la masturbe dans ses deux trous intimes et je

mes doigts ne sont séparés que par sa fine membrane.


Tout à coup je sens une main qui caresse les fesses d’Anna.

J’ouvre les yeux et découvre une femme assise de l’autre côté

d’elle et dont le corsage est béant laissant apparaître dans la

pénombre de la salle ses seins lourds. J’ai un sursaut, mais elle met un

doigt sur ses lèvres et me fait signe de ne pas faire de bruit et de continuer.

Elle rapproche sa bouche de nos oreilles et nous déclare alors :


— Surtout ne faites pas de bruit. Je suis une des ouvreuses. L’ensemble

comporte sept salles, et comme nous ne sommes que deux, nous ne pouvons pas

surveiller toutes les salles. Le tout est donc équipé d’une système de

surveillance vidéo très perfectionné qui nous permet avec des caméras

commandables à distance et des écrans de contrôle de surveiller si rien

d’anormal ne se passe pendant la projection. Nous avons

l’habitude, et nous savons que lorsque deux personnes s’installent au

dernier rang lorsque la salle n’est pas pleine, c’est en général

pour se procurer des attouchements. Je vous ai donc surveillées avec mon

écran de contrôle, et j’ai pu voir que l’une n’avait déjà

plus de culotte et que l’autre l’a retirée pendant le film.

J’ai donc continué de vous surveiller et j’ai eu envie de me

mêler à vos jeux. Pour venir vous rejoindre, j’ai du prévenir ma

collègue, car on ne doit jamais rester longtemps en salle, et je suis certaine

qu’elle est en train de nous regarder. Anna et moi, sommes sidérée. Je

ne m’imaginais pas que nous pouvions être épiées à l’aide de

caméras ultra sensibles. Notre visiteuse continue de nous caresser sans

vergogne, et j’avoue que cela a le pouvoir de m’exciter encore

plus. Elle écarte Anna et se met à son tour à me sucer les seins. Elle dirige sa

main vers mon sexe et commence à me caresser le clitoris. Anna lui dit alors

avec son accent allemand :


— Fais très attention, mon amie est encore vierge et je ne voudrais

pas que tu la déchire. Il tiens à ce qu’elle perde son

pucelage avec une homme qui le fera jouir dès la première

introduction. Si tu veux avec moi il n’y a plus de problème.


Notre amie s’écarte et nous dit


— il serait préférable de nous appeler par nos prénoms. Moi

c’est Céline et vous ?


— Moi, c’est Aurélie et mon amie s’appelle Anna elle

est allemande.


Notre nouvelle paraît ravie et commence à s’occuper d’Anna

avant de déclarer :


— Si vous voulez, nous pouvons aller dans la salle de repos que la

direction met à la disposition des ouvreuses. Nous y serons plus à

l’aise.


— D’accord, car ici nous risquons d’attraper des

courbatures.


J’en veux à Anna d’avoir donné son accord aussi rapidement.

N’est-ce pas se lancer dans une aventure que nous risquons de ne plus

pouvoir contrôler ? Céline nous dit alors :


— Pour que les autres spectateurs ne se rendent pas compte de ce

que nous allons faire, je vais sortir la première. Vous me suivrez en

sortant par l’issue de secours. Une fois la porte franchie,

vous prendrez la porte marquée : ?Entrée interdite, zone

technique?. Je vous attendrai derrière cette deuxième porte.


Elle retire à son tour sa culotte et nous la donnant, elle ajoute :


— Vous me la rendrez tout à l’heure, je n’en ai pas

besoin.


Céline s’éloigne doucement et nous attendons environ cinq minutes.

Anna me dit alors :


— Plutôt que de la rejoindre nous pourrions tout simplement sortir

en gardant sa culotte en souvenir :


— Je ne penses pas que ce soit possible. N’oublie pas le

système de surveillance. Je suis certaine qu’elle nous

surveille, et comme tout communique, elle nous rattrapera de toute

façon.


Nous suivons donc le chemin que Céline nous a indiqué, et nous ouvrons la

porte portant le panneau : ?Entrée interdite, zone technique?. Là, nous

sommes suffoquées. Céline nous attend effectivement, mais elle est

entièrement nue, bien campée sur ses jambes légèrement écartées, les poings

sur les hanches. Nous la découvrons dans toute sa beauté, mais ce qui

m’attire comme un aimant, c’est que je constate que son pubis

est entièrement rasé. Elle n’a aucun poil et l’on peut voir le haut

de sa fente. Je sais que certaines femmes le font, mais c’est la

première fois que je découvre un pubis net de toute pilosité. Céline me paraît

particulièrement excitée. Ses tétons sont fièrement dressés sur des seins

volumineux. Je n’ai encore jamais de seins de ce calibre. Ils sont gros,

mais se tiennent fièrement sur son ventre plat. Ils se terminent par des

mamelons d’un brun très foncé presque noir.


Elle ne paraît pas gênée et nous parle gentiment :


— Je savais que vous viendriez. Je vous attendais. Vous

n’avez rien à craindre, il n’y a pas de caméra dans

cette pièce et j’ai dit à ma collègue que j’avais

besoin de me reposer. Pour commencer, il serait bon que vous vous

mettiez dans la même tenue que moi. Nous savons toutes les trois

ce que nous allons faire, alors pas d’hypocrisie.


Nous sommes Anna et moi sonnées. Céline nous demande tout simplement de

nous mettre à poils devant elle. Devant notre hésitation, elle

s’approche de moi et m’embrasse sur la bouche. Je résiste un

peu, mais sa langue a rapidement raison de mes lèvres, et je

m’abandonne à sa bouche qui me fait partager son haleine fraîche. Elle

a du mâcher un chewing-gum à la menthe. J’écarte les dents, et sa

langue investit ma bouche sans plus de façon. Elle la fait aller entre mes

lèvres comme un petit sexe. Je la serre fort dans mes bras et sa poitrine

opulente s’écrase contre mon chemisier. Je sens une de ses mains qui

relève ma jupe et s’attarde sur mes fesses. Je ronronne. Je sens que je

mouille abondamment et ma liqueur commence à couler le long de mes cuisses.

Anna qui est seule se baisse et vient poser sa bouche sur mon sexe et

s’abreuve à ma source qui lui dispense mon miel odorant.


Céline s’écarte légèrement de moi et me défait rapidement mon

chemisier et j’ai maintenant ses seins contre les miens. Mes mamelons

sont tendus et durs comme du bois. Leur tension me fait un peu mal, mais

j’adore. Elle se baisse légèrement et happe l’un de mes tétons

dans sa bouche. Elle joue avec lui, le titille avec sa langue, le mordille, le suce.

Je suis aux anges. Anna défait alors ma jupe et je suis aussi nue que Céline qui

jette sa main dans mon entrecuisses. Elle écarte mes lèvres intimes qui

n’attendaient que cela et vient agacer mon clitoris qui se dresse comme

un petit sexe d’homme. Anna a également retiré ses vêtements et se

plaque dans mon dos. Je suis installée entre deux paires de seins blottis

contre moi. Je passe une main dans mon dos et je pars à la recherche du

ventre d’Anna. Je le trouve enfin et m’introduis brusquement

dans son vagin qui n’attendait que cela pour se mettre à déverser sa

liqueur intime.


Céline me désigne alors le lit de repos qui est dans un coin de la pièce et me

demande de m’y allonger sur le dos. Mon excitation est telle que je ne

peux plus réfléchir et que j’exécute ses instructions sans réfléchir. Je

gagne donc le lit et m’étends comme me le demande Céline.

Immédiatement, elle vient sur moi et plaque sa vulve béante sur ma bouche. Je

comprends tout de suite son invitation et je me mets à aspirer toutes ses

sécrétions. J’enfonce ma langue dans son vagin et vais y chercher les

moindres gouttes de cyprine . Je me régale de sa liqueur parfumée. Elle a

posé sa bouche sur mon sexe et nous sommes en position de 69. Elle écarte

largement mes lèvres intimes et lèche l’intérieur béant de ma vulve.

Elle s’attarde sur mon clitoris et me le mordille. Je sens que je mouille

abondamment et je roucoule comme une colombe en chaleur. Elle mouille un de

ses doigts à ma chatte et le présente au bord de mon anus. Je connais

maintenant bien cette caresse et me place bien pour lui faciliter

l’accès de mon petit trou. Je sens son doigt qui en fait le tour et

l’énerve. Enfin elle semble se décider et elle appuie légèrement, bien

au centre de mon petit cul. Je me détends pour lui faciliter

l’introduction. Elle enfonce enfin son doigt dans mon anus et

j’explose complètement de plaisir. Je mouille comme jamais auparavant.

Je suce de plus encore plus fort sa chatte et elle aussi dégouline de plaisir.

J’enfonce également un de mes doigts dans son anus et je la sens qui se

serre bien sur ce doigt. Je découvre que ses contractions anales et vaginales

sont parfaitement synchronisées.


Pendant ce temps Anna est la grande perdante, car elle se retrouve seule

assise sur un fauteuil à nous regarder en se masturbant. Grâce à une glace

bien disposée, je peux la voir assise dans son fauteuil. Elle a posé ses deux

jambes sur les bras du fauteuil et écarte au maximum ses cuisses. Elle se

masturbe de sa main droite. Je la vois enfoncer trois de ses doigts dans sa

chatte qui déverse son flot de miel poisseux. Elle est dans une position

parfaitement impudique et ne recherche qu’une chose, se donner du

plaisir en se branlant sans vergogne. Je ressors mes doigts du petit cul de

Céline pour lui caresser ses magnifiques seins que j’ai délaissée

beaucoup trop longtemps. Je les malaxe et en pince les mamelons durcis. Elle

ronronne de plaisir et elle remue les fesses de contentement.


J’entends Anna jouir toute seule. Elle pousse des grognements qui en

disent long sur son état. Puis Céline se contracte et jouit abondamment en

s’écroulant sur moi. C’est alors mon tour de partir et de perdre

toutes notions de la réalité. Quand je reprends mes esprits , je suis toujours

dans la même position, je suis allongée sur le dos, les jambes largement

écartées, Céline est sur moi, sa bouche près de mon sexe qui finit de couler,

et sa vulve à portée de ma bouche gourmande. Je découvre alors sur ses

fesses, deux mains d’homme. A ce moment précis, je vois un pénis en

pleine érection entrer violemment dans sa chatte qui n’est qu’à

quelques millimètres de mon visage. Ce sexe vigoureux s’enfonce

complètement dans Céline, et ses testicules viennent buter à l’entrée

du vagin. Je n’en crois pas mes yeux. Je n’ai jamais vu un sexe

d’homme d’aussi prêt. Je ne peux pas bouger et je suis bien

obligée d’admirer les va-et-vient de sexe qui me paraît énorme à

l’intérieur de mon amie. Celle-ci paraît ravie et elle recommence à

s’occuper de mon sexe.


Pendant que le nouvel arrivant est dans la chatte de Céline, ses testicules me

caressent le nez à chaque fois qu’il s’enfonce ou se retire. De ma main

je viens masser ces bourses velues qui se balancent au-dessus de moi. Cela

produit un effet fantastique car je le vois s’enfoncer le plus loin

possible dans le sexe quo dégouline et il se raidit. Aux convulsions qui animent

le sexe et les couilles du dernier arrivant je comprends qu’il est en

train de se vider dans notre amie qui émet à son tour un puissant râle de

satisfaction. Je vois alors le pénis largement enfoncé qui ramollit et qui finit

par sortir suivi du mélange de sperme et de mouille de Céline. Je plaque

immédiatement ma bouche sur la vulve offerte et je bois goulûment tout ce qui

s’en échappe. Je suis surprise par le goût âcre de ce breuvage que je

bois à la source, mais je suis tellement excitée que je finis par tout avaler

avec avidité. Je dois mouiller également abondamment car Céline ne quitte pas

ma vulve et le la sens qui me boit également.


Nous reprenons nos esprits et Céline s’adresse au nouvel arrivant :


— Espèce de salaud, tu n’as pas honte de quitter ton poste en

pleine projection. Tu sais que si j’en parle à la direction, tu

es viré immédiatement.


— Je sais que tu ne le feras pas. Tu aimes trop de que nous venons

de faire.


Céline nous explique alors que Roger est le projectionniste et que parfois, il

aime se mêler au jeu des ouvreuses. Céline reprend alors la parole et lui

indique :


— Roger, je te préviens que la petite dont je suis en train de

bouffer la chatte est encore vierge, alors tu vas me faire le

plaisir de ne pas la prendre.


Apparemment il est bien rôdé à ce genre de plaisir. Je vois Anna qui

s’approche de lui et qui rapidement prend son sexe dans sa bouche. Elle

commence une fellation qui redonne immédiatement au sexe de Roger toute sa

vigueur. Je regarde avidement, car n’ayant encore jamais pratiqué

cette caresse dont je sais que les garçons sont friands, je tiens à savoir

comment m’y prendre lorsque je pratiquerai ma première.


Anna prend complètement le sexe de Roger dans sa bouche et commence des

mouvements de va-et-vient. Elle le prend jusqu’à ce que ses lèvres

viennent toucher le pubis brun de notre ami. Elle ressort le pénis et, avec sa

langue vient titiller le petit trou urinaire qui se montre fièrement au sommet.

Elle fait le tour du gland et je peux vérifier que Roger n’est pas

circoncis. Elle chatouille le filet et le sexe tressaute. Elle le reprend dans la

bouche et elle aspire comme s’il s’agissait d’un biberon.

D’une main elle tient bien le sexe raidi, et de l’autre elle masse

les testicules. Cela procure visiblement un grand plaisir au projectionniste.

Elle continue ses caresses buccales tout en venant s’installer sur lui et

lui présenter sa vulve pour qu’ils pratiquent un 69. Je vois alors Anna

pomper avidement Roger tandis que celui-ci plaque ses lèvres sur celles plus

intimes de mon amie. Ils se donnent du plaisir et nous ignorent complètement.

Céline me prend alors dans ses bras et vient m’embrasser. Nous nous

blottissons dans les bras l’une de l’autre. Ma poitrine

s’écrase sur la sienne et nos mains parcourent mutuellement nos corps.


Anna continue de sucer Roger avec avidité. Lorsque le pénis ressort de la

bouche d’Anna, je peux voir la grosse veine bleue toute gonflée. Anna

est ravie de la situation et le fait savoir. Elle mouille beaucoup et Roger doit

avaler en permanence ses sécrétions intimes. Au bout de plusieurs minutes de

ce manège, le sexe de Roger est de plus en plus gros et brusquement Anna fait

pénétrer un doigt dans l’anus dilaté de son partenaire. C’est le

signal qui déclenche une nouvelle éjaculation de Roger. Il se vide en longues

giclées dans la bouche d’Anna qui en éprouve un plaisir intense et à son

tour se vide sur la bouche de son partenaire. Anna avale toute la semence de

Roger et nous sommes tous les quatre un per groggis de tant de débauches

sexuelle. Brusquement, une sonnerie retentit dans la pièce à côté et Roger se

relève rapidement en nous déclarant :


— Excusez-moi je dois vous laisser, il faut que je m’occupe

des projections.


Il se rhabille rapidement et nous quitte. Je regarde la pendule qui est dans la

pièce, et celle-ci indiquant déjà 5 heures je dis à Céline que nous devons

partir pour ne pas rentrer trop tard chez mes parents. Nous rhabillons alors

toutes les trois. Je cherche mon slip pour le remettre mais Anna me dit :


— Tu sais que c’est moi qui l’ai dans mon sac. Je ne te

le rendrai que dans ta chambre ce soir.


Je ne peux donc pas faire autrement et je reste ainsi les fesses à l’air

pour repartir. Je vais que ni Anna ni Céline ne remettent leur culotte et je

pense que l’on doit fréquemment croiser dans la rue des femmes sans culotte,

mais que malheureusement, on ne le sait pas. Pour ressortir, Céline nous fait

traverser la salle de contrôle vidéo et nous voyons sa collègue qui regarde

attentivement un écran. Elle nous dit alors :


— J’avais hâte que vous ailliez terminé, car regardez ces

deux là au fond de la salle 5, je crois qu’ils ne savent pas

qu’ils sont surveillés.


Nous nous penchons à notre tour vers l’écran et je découvre un couple

de jeunes. La fille a relevé sa jupe et écarte largement les cuisses. Elle a

ouvert en grand le pantalon du garçon et sorti un sexe énorme. Elle commence

une fellation. Céline se tourne vers sa collègue et lui dit :


— Hélène, c’est ton tour. Je pense que tu devrait pouvoir

bien t’amuser avec eux. Le meilleur plan est sûrement

d’arriver dans le dos de la fille. Alors vas-y et bonne

chance.


Quelques instants plus tard, nous voyons Hélène se faufiler derrière la fille

et entamer la conversation avec le jeune couple. Puis tout le monde se lève et

gagne la petite pièce de repos qu’avec Anna nous connaissons bien.

Céline nous dit encore avant de partir :


— Je ne travaille ici que les samedis et les dimanches. Si vous avez

envie de revenir, vous savez comment vous y prendre pour passer

un moment agréable.


Sur un dernier baiser, nous nous quittons et avec Anna nous regagnons le RER

pour rentrer à la maison


(A suivre)


Aurélie

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