Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 131 J'aime
  • 0 Commentaire

Je n'aurais jamais cru cela d'elles

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Je n’aurais jamais cru cela d’elles.
Depuis plusieurs années, j’ai la chance de partager ma vie entre deux femmes : Anne et Carole. Ne croyez pas que j’en vois une en cachette de l’autre, et inversement ! NON, elles vivent avec moi sous le même toit...

Je me prénomme Hervé, je suis médecin spécialiste en ORL au CHU local. Anne a d’abord été mon assistante avant de devenir mon épouse et de me donner deux beaux enfants désormais âgés d’une dizaine d’années. Elle passe le plus clair de son temps à écrire des romans d’aventure, mêlant assez souvent des scènes de sexe torrides, ce qui fait que ses ouvrages ne sont pas à mettre entre toutes les mains. Puis Carole, la directrice de collection d’Anne, s’est en quelque sorte incrustée dans notre vie et je me partage entre ces deux femmes aussi ardentes l’une que l’autre...

Peu de temps avant le mariage, nous avions acheté une ferme dans l’arrière pays. Elle allait être notre repaire. Nous l’avions aménagée à notre goût, transformant peu à peu les parties utilitaires en plusieurs chambres avec tout le confort moderne. L’été, la maison était souvent pleine d’amis qui y passaient quelques jours avant d’aller plus loin. Sous le soleil du Languedoc, une piscine était obligatoire. Souvent que les soirs d’été quand tout était calme autour de nous, Anne et moi, nous en profitions pour nous délasser, nus tous les deux. Bien évidemment ma situation permettait désormais qu’elle vive à la maison et s’occupe des enfants. Cela lui permettait aussi de se livrer à sa passion de toujours, l’écriture ! Elle faisait de fréquents voyages à Genève où se trouvait sa maison d’édition...

Il y a quelques mois, la directrice de collection d’Anne est venue passer un quinzaine de jours à la ferme. Elle avait besoin, disait-elle, de se ressourcer, que la vie à Genève était intenable avec tout cette agitation, et aussi passer sur une déception amoureuse. Ces quinze jours se sont transformés en un mois, puis deux, jusqu’au jour où Carole nous a demandé si elle pouvait s’installer dans une des chambres de l’annexe pendant les mois d’hiver. Elle nous a mis à l’aise tout de suite en disant qu’elle ne serait pas ingrate, qu’elle participerait aux dépenses supplémentaires, etc, qu’elle donnerait des cours d’anglais aux jumeaux...

Avec Anne, nous avons convenu que cela ne nous gênerait pas... et Carole s’est installée dans notre vie...
A plusieurs reprises, j’avais surpris des conciliabules entre les deux femmes, ponctués d’éclats de rire, de regards amusés, tendres parfois...
Je n’y avais guère prêté attention... J’avais près de moi deux jolies femmes dans la maturité de la quarantaine débutante. Autant Anne était brune, autant Carole avait les cheveux châtain clair et le teint pale. Mais laissez-moi les décrire...

Anne est une brune aux longs cheveux, souvent nattés ou relevés en chignon...
Elle a un visage fin aux pommettes bien rondes et une bouche aux lèvres pulpeuses teintées d’un rouge carmin. Ses yeux noirs sont ombrés par de longs cils qu’elle allonge encore en les fardant... C’est d’ailleurs avec ses lèvres sa seule coquetterie... Elle a une silhouette mince mais ce que j’aime par-dessus tout c’est sa poitrine relativement menue mais ronde et ferme. 
Carole est tout son contraire...
Légèrement plus grande qu’Anne, elle a des longs cheveux châtain avec des mèches plus claires qu’elle laisse libres sur ses épaules ou noués en queue-de-cheval...Ses grands yeux verts, son nez droit et sa bouche aux lèvres minces complètent son portait... Une poitrine de folie et des hanches un peu larges la différencient d’Anne ! Bref, j’ai auprès de moi deux femmes charmantes...
Je pensais : différentes mais complémentaires, mais j’étais fidèle à Anne.. de moins, c’est ce que je croyais...

Je ne croyais pas si bien dire. Nous étions au printemps, les soirées étaient encore longues. Nous bavardions tous les trois devant un feu dans l’âtre quand Carole s’est tournée vers moi en disant :
— Hervé, je ne sais comment te remercier de ta gentillesse. Les mois passés auprès de vous ont été géniaux. Je sais qu’avec Anne, vous êtes très libres, aussi, j’ai envie de faire l’amour avec toi. Presque six mois sans homme, cela fait beaucoup...
— Ah bon, ce serait donc une baise hygiénique !
— N’exagérons quand même pas. Je t’apprécie beaucoup et je sais que tu es un bon coup !
— Tu me flattes. C’est Anne qui t’a raconté cela ?
— OUI. Je sais tout : comment tu l’as sautée dans ton cabinet alors qu’elle était en stage puis elle est devenue ton assistante, comment tu l’as convaincue d’aller avec toi dans les clubs libertins de la région, comment tu l’as amenée peu à peu à accepter la sodomie, combien tu aimes être sucé avant de baiser. Tu vois : JE SAIS TOUT !
— Donc, si j’ai bien compris, Anne accepte que je te fasse l’amour !

Là-dessus Anne a pris la parole :
— Je sais que Carole te fait envie. J’ai vu comment tu la regardes sans en avoir l’air !
— Bon, puisque vous êtes deux contre un...
— Mais ce n’est pas tout. Je veux qu’Anne soit là ! D’ailleurs en club, c’est souvent qu’elle te regarde baiser une autre femme. Elle dit que tu es plus amoureux d’elle ensuite...

Nous sommes passés dans notre chambre où le lit « king size » nous a accueilli Carole et moi pendant qu’Anne s’installait dans un cabriolet à côté du lit en disant :
— Déshabille-la !

Je savais comment Carole était faite, j’avais eu le loisir de contempler cette jolie quadra en maillot de bain au bord de la piscine. Là j’allais découvrir complètement une jolie femme qui je l’avoue, m’avait fait fantasmer plus d’une fois ! Les vêtements de Carole sont tombés les uns après les autres et bientôt il ne lui restait plus que son soutien-gorge et un string assorti qu’elle s’est empressée d’ôter. Elle était nue devant moi, mon sexe était dressé dans mon boxer. En moins de 30 secondes mon Sweat-shirt, mon pantalon et mon boxer ont rejoint les vêtements de Carole qui jonchaient le sol !

— Je vois que tu es en pleine forme. Passons tout de suite aux choses sérieuses ! Viens me rejoindre sur le lit et baise moi comme une salope qui a envie d’un mâle pour la troncher !

Je dois avouer que ce langage m’a quelque peu surpris, mais pourquoi pas ? Carole s’est allongée sur le lit et a ouvert d’une manière impudique le compas de ses jambes et m’a tendu les bras :— Viens. Baise-moi. J’en mouille d’avance !

Les rôles se sont inversés. Après nous être un peu câlinés, Carole a dit à Anne :

— Viens, changeons de place, maintenant c’est moi qui vais vous regarder baiser !

Je n’avais pas besoin de stimulation particulière. Je bandais encore et savoir que j’allais faire l’amour à ma femme dans le lit conjugal sous les regards de Carole m’émoustillait. Anne m’a rejoint sur le lit et a dit :
— Puisque tu veux nous voir. Regarde !

Puis, me tournant le dos, Anne s’est emparée de mon vit bien dressé et s’est laissée couler dessus. Accroupie au-dessus de mon bas-ventre, elle a commencé à aller et venir sur ma pine. Waouh, elle était humide et chaude. Je sentais ses muscles intimes masser mon gland quand j’étais au fond de sa chatte. Cette coquine savait y faire et je n’allais pas tarder à lui envoyer la sauce. Dès qu’Anne a senti les premiers jets contre sa matrice, elle s’est mise à jouir elle aussi avant de basculer sur le côté quelques minutes plus tard.

Cette nuit-là, Carole n’a pas regagné sa chambre. Elle nous a rejoints sur le lit et je me suis endormi entre ces deux jolies femmes. Au matin, j’étais en retard, si bien que je suis allé rapidement dans la salle de bains prendre une douche. Avant de partir pour le CHU, je suis repassé par la chambre : Anne et Carole dormaient encore, dans les bras l’une de l’autre. Quelques jours plus tard, Carole nous quittait pour regagner Genève. Malgré Internet, il y a des choses auxquelles on ne peut échapper...

Fin août Carole est revenue s’installer dans l’annexe où j’avais fait faire quelques aménagements pour qu’elle dispose d’un véritable petit appartement. Mais il lui arrivait de temps à autre de partager notre chambre. Ces nuits là étaient des nuits d’enchantement. J’avais deux jolies femmes pour s’occuper de moi, et je leur faisais l’amour à tour de rôle. Souvent Carole me disait de baiser Anne en premier, qu’ainsi je serais plus long à venir en elle, qu’elle aimait sentir ma queue vibrer et se vider en elle. Ce n’est que bien plus tard que j’ai découvert que ces deux femelles en chaleur étaient bisexuelles. Pour Anne, je savais qu’elle avait eu des aventures lesbiennes lorsqu’elle était à l’école d’infirmière et je l’avais vue plusieurs fois dans les bras d’une autre femme lors de nos virées en club libertin. J’aurais du m’en douter la première fois où j’ai baisé Carole, puis plus tard, quand j’ai surpris des regards qui en disaient longs...

J’ignorais ce qui pouvait se passer entre les deux femmes quand j’étais au CHU mais j’imaginais tout un tas de scénarii dans lesquels l’une séduisait l’autre ou inversement. Et je ne me trompais pas. La veille d’un long week-end, j’avais demandé à ce qu’il n’y ait pas de rendez-vous de patients, je voulais faire une surprise à Anne. En fait de surprise, c’est moi qui l’ai eue ! Quand je suis arrivé à la ferme, les deux voitures étaient là. Personne dans notre logement. Où pouvait être Anne ? Chez Carole ? Non habituellement c’est elle qui se déplaçait. Personne non plus sur le bord de la piscine. Finalement, je me décidai à aller voir Carole...

Arrivé dans le corridor qui dessert les chambres de l’annexe, mon attention a été attirée par des gémissements et des râles qui en disaient long dans la chambre de Carole. Elle était en train de se donner du plaisir. Un reflexe est né aussitôt dans mon boxer. Même si je ne voyais rien, ce que j’entendais était assez significatif. Soudain j’ai reconnu la voie d’Anne ! Ces deux coquines étaient ensemble, et Carole encourageait Anne en lui demandant de bien la baiser ! Waouh, pourtant je leur avais fait l’amour le week-end dernier. J’ai frappé à la porte et je suis entré aussitôt pour les surprendre dans les bras l’une de l’autre.

— Eh bien, il de faut pas vous en promettre !
— Tu ne crois pas si bien dire. Après un 69 très chaud, Carole n’était pas encore rassasiée, elle a sorti un gode avec harnais de sa valise et m’a demandé de l’enfiler pour la baiser !
— Oh oui, j’avais envie d’une pine en moi, même en plastique ! Maintenant que tu as là, tu vas me sodomiser pendant qu’Anne me baisera la chatte !
— OK, je suis votre homme !

En un rien de temps, j’étais nu moi aussi. Anne et Carole se sont agenouillées devant moi et ont entrepris une fellation à deux bouches du plus bel effet. Quand l’une avait mon sexe en bouche, le faisant aller et venir entre ses lèvres, l’autre caressait mes bourses en faisant rouler les testicules dans sa main ou dans sa bouche. Quelle impression ! Ce n’était pas ma première double pipe, mais celle-là, qu’est-ce qu’elle était bonne ! Dès que mon sceptre a été bandé à mort, je me suis couché sur le dos, la pine dressée comme un « I » et Carole m’a enjambé, l’introduisant dans son pertuis étroit où elle est entrée sans difficultés. Pourtant, j’ai un membre plutôt bien constitué ! Elle ne m’a même pas laissé le temps de me couvrir ! Je l’ai couchée le dos sur mon buste, saisissant sa généreuse poitrine dans mes mains pour la maintenir sur moi et Anne, toujours harnachée avec le gode ceinture s’est enfilée dans la chatte offerte...

Je ne vous dis pas le pied que nous avons pris tous les trois... et pendant tout le week-end, nous nou sommes amusés à trois... Heureusement, les enfants étaient absents !
Diffuse en direct !
Regarder son live