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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Aurélie

Chapitre 4

Lesbienne
Brusquement, la porte de ma chambre s’ouvre et j’entends ma mère qui nous dit :
— Oh excusez-moi, j’avais entendu des râles et je craignais que l’une de vous deux ne soit malade. Je ne pensais pas que vous étiez en train de faire plus ample connaissance.
Elle ne paraît pas choquée outre mesure, et elle entre complètement dans la chambre en prenant soin de refermer la porte. Elle s’approche de nous et je m’aperçois qu’elle n’est vêtue que d’une nuisette très courte. Je n’ai jamais encore vu ma mère dans une tenue aussi légère. Elle vient se plaquer au dos d’Anna et lui glisse à l’oreille :
— J’espère qu’Aurélie ne t’a pas fait mal en te pénétrant. Mais je vois que ce ne doit pas être la première fois.
Elle se recule un peu et me demande alors :
— Aurélie chérie, acceptes-tu que je me joigne quelques instants à vous ?
— Bien sur maman, comme tu veux.
Elle retire sa nuisette et m’apparaît entièrement nue. Je découvre qu’elle est une vraie rousse alors que je pensais jusqu’à maintenant
elle se faisait teindre les cheveux pour se donner un genre. Elle se plaque au dos d’Anna et y écrase sa poitrine que je découvre parfaite pour ses quarante ans. Elle a visiblement gardé un corps de jeune femme. Elle caresse les seins de notre amie et en fait ériger les mamelons durs et roses. Puis elle s’écarte et prenant un air sévère, elle nous dit :
— Maintenant, j’attends des explications. Qu’est-ce qui se passe. J’ai d’abord entendu de la musique, puis, j’ai entendu des râles et j’ai eu très peur. C’est pourquoi, je suis venue, ton père dormant déjà.
— Madame c’est.....
— Je n’y a pas de Madame qui tienne, tu es dans notre famille pour encore deux semaines, et j’exige que tu m’appelle Christiane qui est mon prénom. Entendu ?
— Oui Christiane. C’est moi la coupable, j’ai voulu offrir à Aurélie un spectacle de strip-tease, et cela nous a tellement excitées que nous sommes allées plus loin.
— Maman, Anna ne te dit pas tout. Depuis son arrivée, nous sommes devenues très intimes, et j’ai eu une envie folle de pousser plus loin les caresses que tu as déjà entrevues ce matin.
— Mes enfants, je ne vous reproche rien. Mais il faut faire attention de ne pas faire trop de bruit. Il n’est pas utile que tout le monde sache que vous vous donnez du bonheur.
Durant ce petit dialogue, j’ai retiré les doigts de l’anus d’Anna qui s’est alors blottie dans ses bras. Je me lève et dans un geste filiale, je me jette dans les bras de ma mère. Celle-ci me serre donc dans ses bras et nous nous retrouvons nues toutes deux enlacées devant Anna qui ne sait pas que faire. Elle vient donc derrière ma mère et plaque sa poitrine contre son dos. C’est ma mère qui prend l’initiative d’attraper ses mains et de les poser sur sa poitrine. Le tableau est saisissant. Nous sommes toutes les trois entièrement nues dans ma chambre. Ma mère est contre moi et je sens sa poitrine qui s’écrase sur la mienne, tandis qu’Anna est dans son dos et lui caresse les seins.
Ma mère s’approche et commence à m’embrasser sur la bouche. Je résiste à son baiser, mais sa langue finit par s’insinuer entre mes lèvres puis mes dents. Nos langues jouent. Sans réfléchir, je dirige une de mes mains vers le ventre de ma mère qui à son tour commence à ronronner. Elle bouge ses hanches et nos ventres se frottent. Je glisse ma main vers son entrejambe, et je suis surprise de sentir qu’elle écarte ses jambes pour me faciliter la tâche. Ma main est maintenant posée sur son buisson ardent comme j’ai pu le voir. Elle presse son pubis sur ma main. Elle me murmure à l’oreille :
— Ma chérie continue, si tu savais comme j’aime cette caresse et combien cela me faire plaisir.
Je ne me fais pas prier, et avec un doigt, j’écarte ses grandes lèvres. Je découvre que son antre intime est copieusement mouillée et je me dirige vers son clitoris qui réagit immédiatement à mes attouchements. Elle se met à donner de grands coups et je la sens mouiller de plus en plus. Je risque un doigt vers l’entrée de son tabernacle et celui-ci est rapidement aspiré dans son antre secrète comme si c’était une ventouse. Je suis bien et je ressors mon doigt pour en enfoncer immédiatement trois d’un coup. Elle les accepte et se met à jouir abondamment. Comprenant ce qui se passe, Anna quitte sa position et vient s’asseoir entre les jambes de ma mère. Je ressors mes doigts de la chatte maternelle, et mon amie plaque ses lèvres sur la vulve béante qui coule en permanence. Ma mère reprend l’initiative et nous disant :
— Mes chéries, je crois qu’il est temps de gagner le lit d’Aurélie, nous y serons plus à l’aise.
Nous lui obéissons donc et nous nous retrouvons toutes les trois sur mon lit. Joli tableau que nous formons : Anna la blonde, moi la châtain et ma mère la rousse flamboyante. Je ne peux résister et je me jette sur le sexe de ma mère pour en goûter toutes les saveurs. Je plaque mes lèvres sur les siennes combien plus intimes et je commence à déglutir. Elle mouille abondamment et je découvre la saveur d’une femme adulte, rompue aux joies de l’amour. Elle a une odeur très forte comme toutes les rousses et se répand dans ma bouche. Elle-même s’est placée pour me procurer la même caresse. Je sens sa langue s’insérer dans ma chatte. Elle me fouille le plus profond possible. J’en fais autant et ramasse toute sa liqueur. J’ai peine à tout avaler tellement elle en sécrète. Anna qui est un peu frustrée vient derrière moi et pose sa bouche sur mon anus. Je suis surprise par sa caresse, mais le l’apprécie. Elle met sa langue en pointe et je sens qu’elle cherche à forcer mon passage étroit. Je me laisse aller et bientôt je sens sa langue qui s’insinue dans mon petit trou. C’est une sensation magnifique que de sentir ma mère sur dans chatte et Anna dans mon cul.
Ma mère qui est bien placée pour apprécier la manoeuvre d’Anna l’encourage à poursuivre sa caresses buccale.
— Anna chérie tu as encore pris une excellente initiative. Suce bien le petit cul d’Aurélie. Nous allons bien la faire jouir toutes les deux. Je sais qu’elle encore vierge , mais nous allons lui donner un avant goût.
Je sens que la langue d’Anna n’est plus seule à l’entrée de mon anus. En effet, je sens un doigt qui s’amuse à me titiller. Elle me masse lentement tout en continuant avec sa langue. Enfin, elle se décide et je la sens forcer sur mon sphincter. Ma mère me dit alors :
— Aurélie, détends-toi, nous avons toutes commencé comme cela. Plus tard tu verras, ce sera un sexe d’homme que tu prendras par ton petit trou, et c’est bien plus gros que le doigte d’Anna. Penses également que moi aussi j’aime cette pénétration.
Selon les conseils de ma mère j’essaie de me détendre et d’offrir à mon amie le plus de facilités possibles pour qu’elle me pénètre. J’en profite pour introduire deux doigts dans la chatte de ma mère qui se met à glousser de plaisir. Dès que mes doigts sont copieusement couverts de sa cyprine, les présente à l’entrée de son rectum et je suis surpris qu’ils pénètrent avec une telle facilité. Anna a enfin réussi à entrer un doigt dans mon anus et elle commence à effectuer des va-et-vient qui me sont un peu douloureux, mais qui me procurent un plaisir immense. J’introduis un troisième doigt dans ma mère qui continue à jouir et à inonder ma bouche. Je ne me contrôle plus et j’enfonce maintenant mes quatre doigts dans son anus complètement dilaté. Elle se trémousse dans tous les sens, ne pouvant retenir son plaisir. Anna retire son doigt et je sens que maintenant, ce sont deux doigts qu’elle présente. Je suis surprise de la facilité avec laquelle elle s’introduit en moi. Elle recommence ses aller et retour à ma plus grande joie. Elle retire à nouveau ses doigts et me dit :
— Aurélie chérie, maintenant c’est l’épreuve de vérité. Tu dois être capable de prendre dans ton cul mes trois doigts si tu veux plus tard être une vraie femme.
— Oui chérie. Maman me fait tellement jouir avec sa bouche que tu peux tout.
Je la sens présenter ses doigts en triangle et elle rentre en moi avec beaucoup plus de facilité que je ne le croyais. Nous sommes toutes les trois unies par le sexe. Ce que je découvre en relevant la tête pour reprendre un peu d’air, c’est que ma mère a repris sur Anna la pénétration anale que j’avais interrompue tout à l’heure. Nous avons toutes les trois le cul investi bien qu’aucun homme ne soit dans la chambre.
Nous continuons à nous caresser et c’est moi qui donne le signal de la jouissance en m’écroulant sur ma mère dans un râle qui en dit long de mon plaisir. Ma mère se laisse aller et se vide complètement dans ma bouche et me serre violemment la tête entre ses cuisses. Quant à Anna elle s’effondre à côté de nous. Nous restons quelques instants inertes et ma mère est la première à reprendre ses esprits pour nous déclarer :
— Je vous remercie toutes les deux, il y a très longtemps que je n’ai pas joui autant. Pourtant, Aurélie, ton père est un merveilleux amant. Tu as pu remarquer que mon cul est très souple, et bien c’est parce qu’il l’honore fréquemment. Mais c’est divin de jouir par le sexe et par le cul sans homme.
— Maman, est-ce que cela fait mal la première fois que l’on fait l’amour avec un homme ?
— Ma chérie tout dépend de l’homme. Si il te respecte tu ne sentiras pratiquement rien, et la jouissance sera telle que tu ne pensera même pas qu’il vient de te déchirer. Pour toi, Anna as-tu eu mal ?
— Non Christiane. J’ai eu la chance de perdre mon pucelage avec un homme qui avait environ vingt-cinq ans qui a été d’une douceur exemplaire. Je n’ai rien senti, et la seule preuve que j’ai pu voir, ce sont les traces de sang sur son sexe.
— Et toi maman, as-tu eu cette chance ?
— Petite curieuse. Eh bien oui. Tu te doutes bien que ce n’est pas ton père qui m’a connus neuve. A cette époque nous ne nous connaissions pas encore. Mais je savais déjà qui ne faut jamais perdre son pucelage avec un garçon qui est encore puceau. J’ai donc accepté de le faire avec un garçon qui avait quelques années de plus que moi et que je savais avoir déjà fait l’amour avec plusieurs de mes camarades. Elles en parlaient en bien et j’étais confiante. Je n’ai pas été déçue et, ce qui est rare j’ai joui dès le premier rapport. Après j’ai refusé de faire à nouveau l’amour avec lui. Il ne m’attirait nullement. Il n’était pour moi qu’un instrument m’ayant permis de faire sauter ma bande de garantie.
De telle révélations de la part de ma mère me laissaient complètement stupéfaite. Elle nous parle de sexe et de son sexe sans complexe. Au bout d’un temps que je ne pus évaluer elle nous embrasse toutes les deux en nous disant :
— Je vous souhaite une bonne nuit à toutes les deux. Prenez beaucoup de plaisir. Je retourne auprès de ton père. Je vais le réveiller et me faire chatte, car j’ai une envie folle qu’il me fasse l’amour tout de suite en pleine nuit. N’ayez pas peur si vous m’entendez crier.
Elle sort de la chambre sans remettre sa nuisette et regagne la sienne. Quelques instants après nous entendons les râles qui nous prouvent que ma mère a réussi dans son entreprise. Avec Anna nous nous blottissons dans les bras l’une de l’autre et nous sombrons dans un profond sommeil.
(A suivre)
Aurélie
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