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Aurélie et Honorine

Chapitre 1

Lesbienne
Pour commencer, quelqu’un de XSTORY m’a contacté pour que je lui envoie des textes. son mail commence par Pts 69 ou Ps 69 mais par erreur j’ai scratché son e-mail et je ne peux lui renvoyer directement alors voici mon histoire pour lui Merci de lui transmettre, si c’est possible!!

Aurélie et Honorine travaillaient dans la même propriété de campagne et de vacances : Aurélie était la femme du jardinier qui gérait le potager et le parc et Honorine était la cuisinière de la grande maison ou sévissaient des adultes et pusieurs ados de dix huit vingt ans qui étaient très portés sur les épisodes de sexe en y passant leurs vacances ensemble! Et se trouvaient très attirés par Aurélie et Honorine bien que les deux femmes soient gouines et copines comme pas possible, mais les ados espérant aboutir à leur conquête,les uns après les autres ou,pourquoi pas,tous endemble!
Aurélie était la plus enveloppée des deux avec un visage large un gros nez doté d’une loupe, des seins qu’on pouvait appeler, plutôt mamelles avec de grandes aréoles roses et de gros tétons larges durs grumeleux et noirs ! Ses cuisses étaient énormes encadrant une toison frisée et touffue et en dessous une moniche dont les lèvres épaisses s’ouvraient sur une vulve très souvent mouillée, dominée par un clitoris qu’elle triturait dès qu’elle le pouvait avec ses gros doigts aux ongles plus que ras et se tripotant,aussi, des pieds très larges aux orteils ronds et moites qu’elle entretenait ainsi pour le plaisir d’Honorine qui adorait les humer, les lécher avant de remonter vers l’entrecuisse vite clapotant sous les doigts et les grosses lèvres épaisses et gourmandes de sa partenaire !Honorine la cuisinière avait un visage rond de cheveux noirs tirés en arrière et coiffés en chignon! Elle aussi avait de très grossses lèvres qui broutaient la chatte d’Aurélie avec délices lorsqu’elles se retrouvaient dans l’après midi, à l’heure de la pause, dans le grand lit d’Aurélie que Félix, son mari venait à peine de quitter après sa sieste. Pendant laquelle il adorait badigeonner la chatte de sa femme avec l’énorme gourdin qu’était son sexe à la hampe épaisse et au gland triomphant ! Aurélie s’écartelait, malgré ses bourrelets pour oouvrir avec ses doigts le chemin et guider la bête raide et vibrante qui l’embrochait, la trombonnait et la faisait gémir avant de déverser en elle des flots d’un foutre épais gras et blanc quelle sentait gicler jusqu’au fond de son vagin!
C’était au début de la nuit, lorsque son mari cuvait son vin rouge du dîner qu’Aurélie allait retrouver Honorine dans sa chambre de la grande maison, de plain-pied et attenante à sa cuisine! Elles se retrouvaient toujours avec un grand plaisir et leurs deux chattes inondées de la moiteur qu’avait engendrée l’idée de leurs retrouvailles ! Honorine s’était déjà abondamment branlée en attendant son amie récoltant à deux doigts son abondante cyprine épaisse dont elle se servait, parfois pour lubrifier les poêles avec lesquelles elles cuisinait des plats qui avaient faits sa renommée auprès des invités de ses"patrons!" Alors qu’Aurélie arrivait avec la chatte et les cuisses encore poisseuses de tout le foutre que son Félix de mari avait déversé en elle! Et qu’Honorine recueillait avec émotion à grands coups de langue avide!
Ensuite leur grand plaisir était de se mettre face à face en écartant les cuisses pour accoler leurs deux chattes l’une contre l’autre en formant une sorte de ventouse ondulante et gargouillante sous leurs toisons emmêlées, leur provoquant un plaisir si intense qu’elle se jutaient dans la chatte l’une de l’autre ! Et parfois en s’écartant après avoir joui, elles se plongeaient réciproquement leurs gros orteils dans la cramouile en y introduisant, ensuite un ou plusieurs orteils et se faisaient ainsi l’amour! Puis après un nouvel orgasme commun, s’enlaçaient malgré leur corpulence, poitrines mêlées,et tétons se frottant les un contre les autres, tout en se roulant des pelles géantes et baveuses comme les omelettes à la cyprine cuisinées par Honorine pour les convives!
Caroline, l’une des cousines ados de la maison avait sa chambre contigüe à celle d’Honorine! Alors c’était devenu le lieu de rassemblement des cousins pour écouter l’oreille collée à la cloison et regarder par le trou de la serrure les ébats de’Aurélie et d’Honorine qui se savaient observées, ce qui augmentait leur plaisir et en plus provoquait chez les cousins et cousines des émois qui les poussaient à se caresser en regardant, en mélangeant les doigts, les lèvres et les sexes.Gestes qu’ils prolongeaient en remontant en couple ou en trio dans leurs chambres pour prolonger les caresses, les baisers et les jouissances des unes et des autre sans distinction des sexes, en inondant leurs draps des coulées de cyprine et de sperme qu’ils faisaient naître ainsi les uns pour les autres!
Honorine savait que "ses ados" profitaient de ses ébats avec Aurélie, et vicieuse comme elle l’était, s’en réjouissait! Elle en avait parlé avec Aurélie et, toutes les deux avaient prévu de les’accueillir , mais pas tous ensemble, pour les faire mieux profiter de leurs jouissances et pourquoi pas de leur faire partager leurs élans pour connaître, enfin, toutes les deux la saveur des liqueurs adolescentes qu’elles ne manqueraient pas de savoir faire jaillir dans leurs doigts, entre leurs lèvres et dans leur chattes béantes!
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