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Aurélien et sa maman

Chapitre 5

3 femmes au bureau et à la maison

Lesbienne
Aujourd’hui, Aline reprend son travail au bureau du cabinet d’avocats. Presqu’en fin de journée, au cours d’une étude de dossier, il lui manque une pièce. Elle appelle sa collègue Annie.
- « Annie, tu peux venir, il me manque un document à la cote 235 B. »
A son arrivée, Annie trouve Aline assise la jupe remontée très haut sur ses cuisses, la chaise de bureau tournée sur le côté. Sa collègue faisant mine de ne pas faire attention, s’approche d’elle pour discuter du document posé sur la table. En se penchant pour donner des explications, le chemisier bien ouvert sur sa poitrine manque de laisser échapper un sein visiblement sans soutien-gorge.
- « Excuse-moi Aline, j’avais tellement chaud que j’ai dégrafé le haut de mon corsage. Comme je suis seule dans mon bureau, ce n’était pas gênant. »
 Excitée Aline se souvient des remarques de sa collègue sur sa tenue, l’autre jour au restaurant. « Je te trouve radieuse avec des tenues très sexy ». N’y tenant plus elle caresse discrètement la jambe d’Annie qui réagit.
- « Qu’est-ce que tu fais Aline, tu as des mains baladeuses ? »- « Ne soyons pas hypocrites, j’ai remarqué que tu flashais souvent sur ma poitrine et sur mes jambes. Tu aimes les femmes ? »- « Oui et depuis que j’ai cru te voir prendre ton pied à table en prétextant un coup de pompe passager, je ne cesse d’imaginer ton corps au bout de mes doigts. »- « Eh bien dis donc, ça au moins c’est du direct. »
Les caresses d’Aline se font plus pressantes, elle remonte la jupe d’Annie et en constatant qu’elle n’a pas de culotte, va directement au but à la recherche du clito.
- « Tu n’as pas de culotte ? c’est par commodité ou parce que tu es une petite salope ? je sens que tu mouilles. »- « J’ai envie de faire la salope avec toi, tu l’as fait exprès de t’assoir en montrant bien le haut de tes cuisses. Toi aussi tu aimes les femmes ? »- « Jusqu’à une récente expérience, je me contentais de m’exciter en regardant des vidéos de lesbiennes. J’ai sauté le pas physiquement avec une voisine qui faisait un striptease sur son balcon. Nous avons fait connaissance en bas de l’immeuble, elle m’a invité chez elle et nous nous sommes déchaînées. Depuis je crois que je deviens accro des chattes et des seins, mais j’aime bien m’offrir une bonne bite d’homme de temps en temps. »- « A cette heure-ci, il n’y a plus personne dans les bureaux, le patron n’est pas là. Aline bouffe moi la chatte. »- « Et toi Annie caresse moi le cul et mets moi tes doigts, j’adore jouir du cul. »Chacune fait jouir l’autre sans ébats excessifs et la mini partie se termine par une embrassade passionnée sur la bouche avec les langues fouilleuses.- « Annie je pense que notre collaboration sera bien au-delà des dossiers. Tu m’as donné l’envie de recommencer. »- « C’est certain Aline mais il faudra que tu me parles de ta voisine et de tes conquêtes masculines.
- « Ok mais pour « mes conquêtes masculines », tu sais, elles se résument à un personne qui m’a rendue soumise. »- « Tu devrais m’en dire plus. »- « Ce n’est pas facile mais je sais que je peux te faire confiance. J’ai remarqué que dans l’exercice de ton travail, tu respectes bien la discrétion que nous ait imposée par évidence. Il s’agit de la personne qui vit avec moi. »- « Mais je croyais que tu n’avais que ton fils Aurélien que j’ai vu quelques fois venir te chercher. Un charmant jeune homme. »- « Oui Annie tu as deviné, il s’agit bien d’Aurélien. J’ai accepté d’être sa soumise. »- « Et il te baise ? Tu baises avec ton fils ? »- « Oui, j’avais tellement l’habitude de me satisfaire en solitaire et que nous ne prenions pas de précautions particulièrement pudiques dans la maison, qu’une nuit, dans un rêve je me suis vu faisant l’amour avec mon fils. Depuis c’était devenu un fantasme permanant jusqu’au jour où il m’a surprise me masturbant bruyamment et m’a avoué qu’il me matait en enregistrant clandestinement mes ébats à l’aide d’un webcam placée dans ma chambre. J’ai exigé de voir la vidéo et c’était tellement excitant que ce jour-là, tout a basculé. J’ai accepté de me laisser caresser. Il a remarqué que j’aimais bien m’exhiber. Je lui ai même dit que j’aimerais bien voir un homme ou une femme se branler en me regardant. Il m’a alors demandé de le faire sur mon balcon pour voir si quelqu’un régirait. C’est comme ça que j’ai connu ma voisine d’en face et ma première expérience de gouine. » - « C’est donc toi qui l’as provoquée ? »- « On peut dire les deux mais en acceptant son invitation, j’étais curieuse de voir. »- « Si tu étais d’accord, je vous inviterais bien toutes les deux chez moi pour voir si je peux l’allumer. »- « Si tu veux « l’allumer » comme tu dis, Il vaudrait mieux que tu viennes chez moi et que je l’invite pour un appétif que je lui qualifierai d’en tout bien tout honneur. »- « C’est une bonne idée, je te laisse faire. »…………
Toute la semaine, Aurélien étant absent Aline n’a pu profiter de sa solitude pour inviter Josy car elle était en voyage. Elle a dû s’amuser seule en demandant chaque soir par SMS à Josy de la faire jouir à distance avec son Lush. Aurélien ne rentrera que tard dans la journée de samedi. Aline en profite pour mettre en place la rencontre avec Annie. Elle invitera Josy à prendre le café et Annie passera par hasard lui dire bonjour.Samedi matin, Aline appelle sa voisine.
- « Allo, Josy ? As-tu passé une bonne semaine ? »- « Oui Aline, merci c’était une semaine de formation mais pas trop fatigante. Et toi, que deviens tu ? »- « Oh, la routine du travail. Si tu es libre cet après-midi, j’aimerais t’offrir un café, nous pourrions bavarder mais en tout bien tout honneur. Nous reprendrons nos rapprochements plus tard. »- « Volontiers, est-ce que 14h30 te va ? je déjeune en ville et je serai libre. »- « Ok. 14h30. Bise. »
L’invitation est répercutée à Annie pour 15h.Le moment venu, Josy se présente au rendez-vous. Tenus sexy mais correcte.
- « Bonjour ma chérie, merci pour ton invitation. J’ai apporté quelques viennoiseries pour accompagner le café. »- « Quel vocabulaire ! je t’appellerai « ma chérie » moi aussi. Pour les viennoiseries, c’est sympa mais tu penses bien que je n’allais pas t’offrir un café « sec ». Alors j’ouvrirai une bouteille de champ. Passons au salon, mets-toi à l’aise. »
Bien que sa tenue soit très correcte, la voisine arbore une poitrine visiblement sans soutien-gorge car ses tétons pointent à travers son corsage. Ses jambes sont aussi joliment gainées de soie noire et sa position assise au fond du canapé laisse entrevoir le haut brodé de ses bas.
- « Alors Aline que me racontes tu ? »
 C’est à ce moment, que retentit le carillon de l’entrée.
- « Tiens ! je n’attendais personne. Une seconde, je vais voir.Annie, quelle surprise ! qu’est ce qui t’amène ? »- « Rien de particulier, je passais dans le quartier et j’ai eu envie de te dire bonjour. Je te dérange ? »- « Non, pas du tout. Nous prenons le café avec la voisine d’en face. Entre, tu vas te joindre à nous. »- « C’est gentil mais je ne voudrais pas vous déranger. »- « Avance au salon. Je te présente Josy qui revient d’une formation et nous faisions une sorte de débriefing. Josy je te présente Annie, une collègue de travail. »- « Bonjour Josy, je suis confuse de perturber votre entretien. »- « Ne vous excusez pas, nous allons faire connaissance. »- « Patientez un peu les filles, je vais préparer le café et ouvrir le champagne. »Aline se retire dans la cuisine. Annie qui connaît le penchant de Josy ne cesse de la déshabiller du regard bien qu’étant placée à côté d’elle.- « Félicitations pour votre tenue Josy, ce corsage et votre jupe sont d’une pure élégance. »- « Merci Annie je remarque que vous insistez beaucoup sur ma poitrine et sur mes jambes. - « Comme dirait un homme voyeur, « je ne regarde que ce qui est joli ma chère. »- « Vous êtes don une femme voyeuse ? »
A cette réflexion, les deux femmes partent dans un éclat de rire. Subrepticement, Aline pose une main sur la cuisse de sa voisine. Surprise !Elle sent que Josy pose sa main sur la sienne pour accentuer la caresse et se penche à son oreille.
- « Votre attitude est excitante Annie, je sens mes tétons se durcir. »- « Vos paroles m’émoustillent Josy. Confidence pour confidence je sens que je mouille. Mais attention, je n’ai pas de culotte. »
A nouveau Josy se penche à l’oreille d’Annie.
- « Tu aimes les femmes ? »- « Les belles femmes comme vous ou Aline oui ! »- « J’ai envie de caresser ta chatte si elle est mouillée. »- « Ce n’est peut-être pas le lieu, notre hôte risque d’apparaitre d’une minute à l’autre. » - « Je sais qu’elle aussi aime bien les femmes. Si vous n’étiez pas venue, nous aurions peut-être jouer ensemble. Nous avons baisé une fois chez moi. »- « La revoila, restons correctes. »
En servant le café, Aline se rend compte que ses deux invitées se sont significativement rapprochées et que les deux jupes sont très relevées au-delà du haut de la dentelle des bas.
- « Mesdames, je trouve votre tenue non pas indécente mais très excitantes. Je me demande même si quelques caresses ne vous animent pas. »C’est Josy qui prend la parole :- « Cela te gêne Aline ? Bien sûr nous sommes chez toi mais ta collègue est très attirante comme toi d’ailleurs. »- « J’aimerais partager vos caresses, vous me donnez envie. »Aline se déplace en face très près des deux invitées, dégrafe sa jupe et la laisse tomber à terre. Elle non plus n’a pas de culote.- « Caressez moi toutes les deux, ma chatte et mon cul appellent vous doigts. Mais j’aimerais vous avoir à poil devant moi allez, déshabillez-vous en vous caressant. Ici c’est moi qui mène le jeu. »
Les deux femmes se lèvent, se déplacent vers le milieu de la pièce et entreprennent langoureusement le déshabillage en promenant leurs mains sur chaque poitrine et entrejambes.
- « Excitez-vous je veux voir votre mouille couler le long de vos cuisses Puis vous me prendrez la chatte et le cul. »
Pour obtenir une bonne mouille, nos deux gouines se travaillent vigoureusement l’entrecuisses en s’enfonçant les doigts jusqu’à l’extase et dès qu’Aline perçoit le clapotis, elle s’approche en rampant sur le sol et ouvrant la bouche pour recevoir le nectar féminin. En se relevant, elle réclame les caresses de sa chatte et de son cul.
- « Branlez moi fort, très fort jusqu’à ce que j’éclate de jouissance. »
L’orgasme ne tarde pas à envahir la maitresse du jeu et c’est elle qui laisse échapper un important jet de cyprine.
- « Etendez-vous par terre sur le dos, écartez bien vos cuisses et vos lèvres je veux vous pisser dans la chatte, et sans vous toucher, je veux vous voir jouir. Vous êtes mes chiennes. »
Le petit jeu s’avère effectivement efficace car nos deux gouines sont à nouveau terrassées par un puissant orgasme.
- « Bon, les filles, remettons-nous, Aurélien risque de rentrer d’un moment à l’autre. Je nous verse une coupe de champagne. Nous le méritons bien ! »
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