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Aurélien et sa maman

Chapitre 7

La directrice

Lesbienne
Depuis que j’ai vu ma mère se gouiner, cela dépasse mon imagination si je remonte à notre premier contact qui nous a amenés à nos jeux incestueux. Elle m’avoue volontiers qu’elle est devenue très accro au sexe, pratiquement nymphomane. Les quelques vidéos que j’ai faites avec ma webcam dont elle connaît maintenant l’exitance me confirment qu’elle peut se déchainer (voire s’enchainer !) dans l’acte solitaire ou avec moi. Elle m’avoue aussi que les deux expériences de gouinage ont complétées sa dépravation et qu’elle y pense souvent en imaginant d’autres conquêtes. Aujourd’hui elle a jeté son dévolu sur sa directrice à son cabinet d’avocats. C’est une très belle femme qui a un charme indéfinissable et qui plaît énormément aux hommes surtout parce qu’elle semble inatteignable du fait de son statut de directrice. Mais comment aborder cette éventuelle conquête ? Est-elle gouine ? depuis peu à la tête de ce cabinet d’avocats, personne n’a rien remarqué dans son comportement. Aline s’est donc habillée très sexy mais sans outrance car elle va au travail. Comme toujours, elle porte une minijupe noire sur ses bas noirs, des escarpins à talons très hauts. Elle n’a mis ni soutien-gorge ni culotte. Son corsage blanc légèrement transparent laisse deviner son importante poitrine dont les tétons marquent bien le tissus mais la veste fermée de son tailleur masque le tout.Assise à son bureau, plongée dans un de ses nombreux dossiers, la porte s’ouvre sur madame Gandois, la directrice. Toujours très élégante, elle est vêtue d’un ensemble blanc, pantalon et veste sur un chemisier rose. Apparemment, elle n’est pourvue que d’une poitrine modeste qui déforme légèrement son corsage.
- « Bonjour Aline, j’ai rendez-vous avec le bâtonnier Morange pour le dossier Arcana et j’aimerais que vous m’assistiez. Vous prendrez des notes de notre entretien. Si vous êtes prêtes, nous partons dans un quart d’heure. »- « Bien madame, je sors les documents. »Lorsque Françoise Gandois quitte le bureau, elle présente à Aline un petit fessier dont les lobes dansent au grès de ses pas.- « Quel petit cul pense Aline, je me le ferais bien ! »
L’entretien chez le bâtonnier se passe courtoisement. Aline est assise en face de lui et en s’asseyant, sa jupe remonte en dévoilant le haut de ses bas. Maître Morange ne peut s’empêcher de jeter quelques regards furtifs vers cette paire de jambes.En route pour le retour vers le cabinet, Françoise Gandois propose à Aline de lui offrir un rafraichissement dans un café non loin de leur arrivée.
Attablées face à face, nos deux « collègues » font le point de leur travail et en parlant du bâtonnier, la directrice interroge Aline :- « Aline avez-vous remarqué comme maître Morange égarait son regard sur vos jambes et votre corsage légèrement ouvert ? »- « Non pas particulièrement, j’étais absorbée par mon travail mais j’ai l’habitude de voir les hommes me déshabiller du regard. C’est assez gratifiant. »- « C’est vrai que vous semblez avoir un corps magnifique, que vous savez mettre en valeur, qui peut même retenir l’attention des femmes. »
A ces derniers mots, toutes les deux partent dans un éclat de rire.Incidemment, Aline sent une caresse furtive sur ses jambes. Elle plonge son regard dans celui de sa vis-à-vis mais la caresse cesse.Dans la voiture, au retour, à l’occasion d’un changement de vitesse, la directrice pose subrepticement sa main sur la cuisse de sa voisine en faisant crisser ses bas mais il s’agit d’un geste très fugace sans suite qui néanmoins émeut Aline.
- « Serais-je sur la voie de la séduction ? » pense Aline. Négligemment, elle remonte un peu plus sa jupe et prend prétexte de la chaleur pour ouvrir un peu plus son corsage.
Arrivées à l’étude, Françoise Gandois sollicite son employée pour faire le point sur le dossier en lui demandant de venir à son bureau malgré l’heure tardive après la débauche. Aline est tout excitée à la pensée que peut être elle pourra caresser ce petit cul qu’elle mate depuis le début de l’après-midi. Les caresses sur ses jambes lui semblent être un bon présage. Sans exagérer, après avoir posé sa veste de tailleur, elle dégrafe un peu plus son corsage de manière à bien monter la raie de séparation de ses seins. Instinctivement, elle porte sa main à son entrejambes car elle a senti un jet de cyprine s’échapper.
- « Venez près de moi Aline. Vous avez dû vous rendre compte que vous m’excitiez dans votre tenue. J’observe que vous n’avez pas de soutien-gorge et vous me donnez envie de vous caresser. Moi non plus je n’ai pas de lingerie ni en haut ni en bas mais je ne peux pas vous offrir une si jolie poitrine. L’excitation que vous provoquez en moi me fait mouiller dans mon pantalon et je crains que cela ne se voit. »
Effectivement une tache humide trahit cette émission.- « Madame, je n’aurais jamais osé vous le dire mais vousi aussi vous me faites de l’effet. Vous êtes si élégante et féminine que cela vous rend désirable. J’admire votre petit cul et comme vous pour mes seins, j’adorerais le caresser. »- « Approchez Aline, je vous laisse promener vous mains dans mon pantalon. J’ai trop envie de votre poitrine. Vous pouvez m’appeler Françoise. Sauf bien entendu devant vos collègues qui ne comprendraient pas cette familiarité. »
Sans prévenir, Françoise saisit Aline par les cheveux, lui renverse la tête en arrière et plaque sa bouche contre la sienne. S’ensuite un baiser fougueux avec les langues fouilleuses pendant que nos deux femmes quittent leur corsages. 
- « Tu embrasses bien petite salope. Tu aimes les femmes ? »- « Oui, depuis peu. J’ai fait deux rencontres qui m’ont rendue accro d’un corps féminin et le vôtre me tente vraiment. »- « C’est vrai que contrairement à toi j’ai de petits seins mais si tu sais jouer avec et avec mes tétons, tu peux me provoquer un bel orgasme en mettant également une main dans ma chatte. Je m’y enfonce toutes sortes d’objets de plus en plus gros. »- « Vous aussi me semblez une sacrée petite salope si vous me permettez cette familiarité. »- « Oui traite-moi de tous les noms, ça m’excite et me rend folle. » - « salope, je vais vous bouffer comme une chienne, comme une trainée, comme une pute. Donnez-moi votre cul que je le lubrifie avec votre jus et y enfonce mes doigts. »- « Tu peux même y enfoncer ta main entière, je m’y amuse comme devant et à force je suis bien élargie. »- « Penchez-vous en avant, comme si je voulais vous prendre en levrette et vous baiser comme une chienne »Goulument, après avoir fait glisser le pantalon de sa directrice à terre, Aline lui lèche les fesses jusqu’à introduire sa lange dans la rosette déjà bien lubrifiée.- « C’est bon ce que tu me fais petite salope, maintenant mets moi tes doigts et ta main jusqu’au poignet. Oui ! Oui ! c’est bon !  C’est bon ! remue bien, je me branle la chatte en même temps. Je sens que ça monte je vais jouir. AHHHH. »En se raidissant, Françoise expulse la main d’Aline, se retourne pour lui prendre les seins et les tétons à pleine bouche.- « Oui, mordillez-les en me mettant vos doigts dans le con jusqu’à l’orgasme. Je sens que je monte à mon tour. »Un puissant jet de cyprine arrose la main de sa partenaire.- « Attends, je veux recueillir ton jus dans ce petit verre et le garder en souvenir. »La partie se termine en embrassades et chacune se rhabille.
Avant de se quitter, Françoise fait une proposition :- « Si tu le souhaites, tu pourras venir me voir chez moi. Je t’apprendrai des jeux sexuels que tu n’imagines pas ou dont tu n’as pas l’habitude. Tu seras libre d’accepter ou pas. Quand je suis déchainée je peux être bestiale. »- « Vous êtes donc seule ? »- « Non, j’ai une bonne à tout faire que j’ai ramenée de mon séjour à Bamako. Sa famille était persécutée. Elle est vraiment efficace. Elle s’occupe bien de mon chien Rex. C’est de plus en plus difficile de trouver du personnel de maison compétent surtout que mes journées sont bien remplies avec la responsabilité de ma charge. Tu le vois bien, Il m’arrive de plaider jusqu’à Paris au gré des procès. Quand j’aurai envie de toi, je te le ferai savoir. »- « En fait, vous voudriez que je sois votre soumise ? »- « Non, c’est toi qui décideras si tu as envie. »En rentrant chez elle, Aline se sent tout heureuse de sa nouvelle « conquête » et un peu émoustillée des paroles : « Je t’apprendrai des jeux sexuels que tu n’imagines pas ou dont tu n’as pas l’habitude. Quand je suis déchainée je peux être bestiale. »
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