Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 181 J'aime
  • 11 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Auriane se redécouvre... Au détriment de son copain

Chapitre 1

Elle se rend compte de ses désirs, il ne se doute de rien

SM / Fétichisme
C’est assez incroyable à quel point une vie peut prendre un tournant complètement inattendu, surtout quand il s’agit de sexe. On découvre à quel point on peut se surpasser, on découvre des facettes de gens dont on ne s’attendait pas... Et on se redécouvre soi-même.
Pour vous raconter tout cela, il faut revenir au mois de juin dernier.
William, mon copain, était déjà parti travailler pendant que je me réveillais tranquillement dans l’appartement. S’il y a bien un avantage à être encore étudiante, c’est les nombreuses semaines de vacances ! Et je compte bien en profiter pendant que je le peux.
Une journée de prime abord tout à fait ordinaire, qui commence comme toutes les matinées par un passage obligatoire par la salle de bains. Des petites touches de maquillage à gauche et à droite pour mettre en valeur mes yeux bleus, un petit soutien-gorge en dentelle pour tenir mon maigre 90B au-dessus de mon petit ventre plat, mais heureusement compensé par un joli string recouvert par un pantalon qui trace bien mes fesses rebondies. Un débardeur, un coup de peigne dans mes longs cheveux blonds, et me voilà prête à partir !
Je me regardais une dernière fois dans le miroir du couloir, j’étais à l’aise, satisfaite, une vrai top-modèle !... Ou pas. Je n’ai aucune confiance en moi, même si je fais tout pour montrer le contraire, mais pour une fois, je me sentais confortable, et assez curieuse de voir si mon chéri le soir me ferait un compliment. Mais pour le moment, direction une séance de chant chez Jimmy !
Jimmy était un ami qui travaillait dans la musique, et il avait un peu de matos pour m’enregistrer et que je puisse entendre un peu ma progression. Bien que l’on ne se voyait pas très souvent, nous étions très proches et assez intimes dans nos discussions, et il arrivait souvent qu’on parlait de l’une ou l’autre de nos expériences nuptiales respectives, surtout que William n’a aucune limite dans ses envies. Malgré tout, nous n’avions jamais dépassé cette limite verbale...
Il est 10h15 lorsque je sonne à sa porte.
— Salut Auriane !— Hey Jimmy !— T’es toute belle dis donc, viens entre !
Ce petit compliment n’était pas attendu aussi tôt, mais m’avait fait très plaisir malgré tout, surtout que Jimmy n’est pas du genre à faire des compliments aussi facilement d’habitude, c’est même plutôt l’inverse à vouloir se moquer avant tout... Et je lui rendais bien, donc finalement, on était assez équilibrés là-dessus.
Notre séance de chant passe tranquillement au fil de la matinée, avec un résultat au bout de quelques heures que je trouvais vraiment satisfaisant, surtout sur la chanson choisie - Bring me to Life d’Evanescence - qui n’est pas forcément simple à aborder pour ma petite voix. Je voyais la chair de poule se dresser le long du bras de mon ingé son, signe que ce n’était pas juste une sensation subjective. La dernière écoute passée, j’étais super fière de moi.
— Tu chantes quand même super bien, dit Jimmy.— Merci ! Mais c’est grâce à toi si j’ai pu en arriver là.— J’ai rien fait, c’est toi qui agites tes cordes vocales aussi bien... D’ailleurs je suis sûr que ce n’est pas la seule chose que tu agites bien !

Il n’a pas fallu très longtemps pour commencer dans les blagues salaces, mais je n’étais pas étonnée, j’ai l’habitude avec lui, toutes nos discussions finissent toujours dans ce registre.
— Pour bien agiter, il faudrait déjà qu’il y ait quelque chose à agiter.— Ah bah c’est vrai que j’en ai une toute petite, mais justement, c’est un challenge !— Ouais, mais tenir la loupe, c’est pas très pratique.— Tu frottes ton cul dessus à la place, ça compense !— Tu insinues quoi là ?
Il me contourna alors et regarda mon derrière comme un styliste qui contemplait sa création.
— Bah avec toute la surface qu’il y a, tu devrais réussir à frotter ma petite bite !
Au moment où il dit cela, une claque sèche, mais discrète atterrit sur mon cul, me faisant pousser un petit cri d’étonnement, puis il reprit comme si de rien n’était :
— On va manger ?
Une pizza surgelée plus tard, assis sur le canapé, Jimmy me propose de pousser le vice pour ma chanson :
— Tu ne voudrais pas en faire un clip carrément ? Ça pourrait être sympa, tu lancerais peut-être ta carrière de chanteuse par YouTube !— Bof je sais pas trop, mettre ma tronche sur Internet...— Ouais t’as raison, on se ferait bannir pour contenu d’horreur !— Eh !!!— Je rigole ! T’as une superbe petite bouille, tu ferais un carton.— Mouais...— Un carton en papier mâché, mais quand même...
Je réfléchissais à sa proposition et avais complètement ignoré sa dernière pique. En soi, l’idée n’était pas mauvaise, non pas que je ne sois pas satisfaite de mes études “esthétique option management”, mais le rêve de pouvoir se produire sur scène devant des gens semblait tout à coup à portée de main... Ouais, OK, c’est un rêve de gamine, mais si vous êtes artiste, vous savez à quel point c’est satisfaisant de s’afficher en public. C’est complètement paradoxal avec mon manque de confiance en moi, mais c’est un ressenti différent.
— Tu crois vraiment que ça peut marcher sur YouTube ce genre de truc ?— Bah carrément ! Y a plein d’artistes qui se sont fait connaître comme ça, genre Lindsey Stirling, elle a commencé simplement en faisant du violon sur YouTube, et maintenant elle fait une tournée mondiale.— Je sais pas...— Tu perds rien à essayer, si vraiment tu te fais cracher dessus, suffit de retirer la vidéo et c’est réglé.— C’est pas faux... Bon, va pour un clip.
Quelques minutes de réflexion plus tard, nous avions déjà quelques idées pour le clip. Des plans simples, moi en train de chanter devant le micro sur fond noir, avec la caméra qui me tourne autour. Un truc sobre, mais propre. On tourne ça dans la foulée, plusieurs prises pour pouvoir avoir plusieurs angles et des cuts, en deux heures tout était dans la boîte. On a regardé les rushs, j’étais conquise, ça rendait vraiment bien. Mais Jimmy n’était pas totalement convaincu :
— Ça manque de quelque chose... Des accessoires, un côté fantaisie.— Quels genres d’accessoires ?— Attends bouge pas.
Il part dans la pièce adjacente, sa chambre, et revient avec une petite mallette. Lorsqu’il l’ouvrit, ma mâchoire s’ouvrait inconsciemment : elle était remplie d’objets SM en tout genre ! Menottes, cravaches, boules de geisha, gag, pinces, du cordage, tout l’attirail du parfait petit Christian Gray était là, dans son intégralité. Ce film m’avait beaucoup plu, mais William n’était pas trop dans un délire de dominateur, lui étant de nature trop gentil, ça ne donnait pas l’effet que j’attendais. J’avais alors un peu abandonné l’idée à mon grand regret. Mais dans tous les cas, je ne m’imaginais pas me retrouver face à ça là maintenant, surtout que pour le coup, je ne lui avais jamais parlé de ça lors de nos discussions intimes.
Je m’approchais de cette mallette pour regarder plus en détail chacun des objets, et je n’ai pas pu m’empêcher d’essayer de m’imaginer comment on pouvait les utiliser, séparément ou ensemble. Mais pas moyen de me faire une idée précise de ce que ça pourrait donner, mon esprit était sans doute trop sage, bien que je me voyais comme très portée sur le sexe au quotidien. Je me demandais toutefois au moins quelles sensations ces objets pouvaient procurer, comment une femme peut prendre du plaisir à être “torturée. J’étais vraiment très, très curieuse, même si je refusais de me l’avouer. Si j’avais été seule à ce moment-là, je me serais sans doute foutue à poil sur-le-champ pour tout tester. Mais je revenais à la raison lorsque Jimmy voyait mon regard plongé dans sa mallette :
— Tu veux essayer ? demanda Jimmy.— Oh oui bien sûr, répondis-je sur une ironie imparfaite.— Ça irait bien avec la chanson, attachée avec des menottes pourtant !— Je suis pas sûr que les paroles parlent de ça non.— Mais si, coincée avec des sentiments dont t’arrives pas à te dégager, ça ferait une super métaphore !— Mouais.— Oh allez, juste pour une scène qu’on cale au milieu ! Ça montre ton côté excentrique, ça plaira aux gens !— Je sais pas trop, je vais surtout avoir l’air conne.— Si c’est bien dosé, y a aucune raison, ça donnera juste plus de vie à ton clip.
Je le trouvais bizarrement insistant, mais j’ai fini par accepter sa proposition. Après tout, au point où on en était, autant faire les choses jusqu’au bout. Au pire, ce ne sont que des menottes, ce n’est pas non plus comme si j’allais me retrouver les seins à l’air avec des pinces au bout des tétons et que ça allait finir sur un site porno.
— Allez, va pour les menottes alors, mais juste un petit clip et tu me détaches ensuite !— Nan, je te vais en profiter pour te biffler évidemment.— Avec ta petite bite ? Pas sûr que tu biffles grand-chose !— Ouaip, vu qu’elle est toute petite, t’as rien à craindre, je réussirai pas à t’atteindre.— Ah bah c’est bon alors, il risque pas de m’arriver grand-chose.
Sur le coup, ça m’a presque rassurée, alors même que je n’avais pas nécessairement peur de ce qui pouvait se passer. J’avais pleinement confiance en lui, je le connaissais quand même depuis un an maintenant.
Il me passe les menottes à un premier poignet, passe la chaîne au-dessus de la barre de tractions qu’il avait à sa porte, puis m’attache le deuxième poignet de l’autre côté. L’aisance qu’il avait à faire cela me fait rapidement penser que ce n’est pas la première fois qu’il fait ça à quelqu’un ici.
Mais les sensations que j’avais commencé à avoir quelques minutes plus tôt, à l’ouverture de la mallette, ne font que s’accentuer. J’étais là, les bras tendus en l’air, presque sur la pointe des pieds, les poignets attachés. Je me rendais compte que s’il partait, je n’aurais aucun moyen de me détacher et de m’en aller. Si je levais mes jambes, les menottes tireraient sur mes poignets et m’arracheraient les mains. Même lever une jambe suffisait à me déséquilibrer. Je me rendais compte que là, j’étais vraiment à sa merci, et qu’il pouvait potentiellement faire ce qu’il voulait de moi.
Cette idée me terrifiait... Et en même temps m’excitait. Mais je m’efforçais de me ressaisir :
— Bon, dépêche-toi de filmer, c’est pas super confortable.— Minute papillon, j’arrive avec la caméra.
Heureusement, on se met rapidement à faire la petite scène qui va bien, en mimant mon chant, pour coller au milieu de la vidéo. Au bout de quelques minutes, dès la scène terminée, je lui dis directement :
— Allez, détache-moi maintenant.
Le regard lubrique, il sourit :
— Tu es sûre ? T’es super mignonne pourtant quand t’es les bras en l’air comme ça.— Ouais ben j’ai surtout super mal aux jambes.— Ah bah si c’est que ça.
Il posait la caméra sur son bureau à côté, puis vint se placer devant moi et me porta en soulevant mes cuisses et en passant mes jambes de part et d’autre de son bassin. Cela soulageait quand même la fatigue de mes muscles, mais je me rendis compte que l’on était littéralement dans une position où, si l’on était nus l’un et l’autre, il pourrait facilement me pénétrer. Cette idée me repoussait en partie - je n’avais pas forcément envie de lui, j’ai un copain qui me satisfait pleinement - mais d’un autre côté, la situation et l’environnement donnaient un côté inédit qui ne me laissait pas indifférente.
Il reprit :
— On est pas bien là ? Toi te fais porter, moi qui ai mes mains sur ton cul...
Effectivement, dans l’euphorie du moment, je n’avais pas remarqué qu’il me portait davantage par le cul que par les cuisses. Il en profitait en me pelotant littéralement le derrière, sans que je puisse rien y faire tellement il me tenait serrée.
— Arrête, t’en profites là, allez repose-moi et détache-moi.— T’as raison, je profite et tu n’as rien du tout. Laisse-moi au moins te faire peloter aussi, d’une certaine façon.— Non, détache-moi maintenant !
Mais il ignorait ma requête, me reposait les jambes, et passait derrière moi. J’ai fait le rapprochement avec notre discussion de tout à l’heure, et il commençait en effet à frotter son bassin sur mes fesses. Sauf qu’au lieu de sentir vite fait une bosse, voire même rien du tout à part un simple frottement comme si je frottais mon cul sur un mur, j’avais la sensation qu’on me passait une grosse lampe torche tout le long. Je pensais qu’il avait alors pris quelque chose sans que je voie, et qu’il me le roulait contre.
— Bien joué le tricheur, mais j’y crois pas un instant. C’est quoi ? Le manche à balai que tu te mets tous les soirs dans le cul ?— Je peux difficilement me la mettre moi-même dans le cul, dit-il en posant ses mains sur mes hanches.
Je me rendis alors compte que non, il n’avait rien dans ses mains. C’était bel et bien quelque chose dans son pantalon qui me faisait cet effet.Je continuais, toujours en essayant de garder le ton de la dérision pour masquer l’effet que me faisait cette situation :
— T’as mis ton petit godemichet préféré dans ton froc ?— Bah écoute, non, c’est naturel.— Mais oui bien sûr...— Tu ne me crois pas ?
En disant cela, Jimmy repassait devant moi, ses mains sur les boutons de son pantalon. Je restais bouche bée : d’un côté, je n’avais pas envie qu’il se foute à poil devant moi, mais ma curiosité était plus forte. Avait-il vraiment un aussi gros membre que ce que j’avais l’impression de sentir ?
La réponse ne s’est pas fait attendre. En un instant, il déboutonna son jeans et le baissa, ce qui dévoila un boxer bien trop serré, qui cachait un énorme cylindre, dont le bout dépassait légèrement au niveau de sa cuisse gauche. Je ne savais plus quoi dire, lui qui m’a tellement répété qu’il avait une petite bite depuis un an que je le connais, il s’avère que c’est en réalité un énorme étalon ! D’habitude, les mecs se vantent d’avoir une grosse queue, et en ont en réalité une petite.
— Alors ?— Je...
J’étais incapable de répondre. Il reprit alors :
— Attends, tu dois sans doute penser que j’ai mis quelque chose dans mon boxer pour te faire croire !— Non non c’est bon !
Et sur ces mots, malgré ma protestation, il baissait son boxer pour libérer sa colonne de chair. Un beau morceau d’au moins une vingtaine de centimètres de long, sur 6 ou 7 centimètres d’épaisseur... Bien plus gros que mon copain, qui était un peu plus court, mais surtout moitié moins épais. En dessous de ce membre trônaient également d’énormes bourses qui paraissaient extrêmement lourdes et pleines. Mais il était temps que j’arrête tout ça avant que ça parte trop loin. J’étais toujours attachée, et mes bras commençaient sérieusement à être douloureux.
— C’est bon, j’ai vu, allez maintenant détache-moi.— Tu es sûre ? On commence à peine à s’amuser, dit-il en passant une main au-dessus de mon pantalon.— C’est pas vraiment de l’amusement non.— Moi je m’amuse bien pourtant.— Oui, bah stop, tu t’es assez amusé et j’en ai assez vu.— C’est pour ça que tu ne détournes pas ton regard de ma queue ?
Il avait raison : depuis qu’il l’avait sortie, je ne le regardais plus dans les yeux. Je regardais son membre, même pendant que je lui parlais. Il faisait des aller-retour sur sa hampe, ce qui me permettait de voir son gros gland rosé et brillant d’excitation. On aurait dit que sa queue était un animal qui bavait à l’idée de me dévorer. Elle me faisait terriblement envie.
— Peut-être, mais ça n’est pas une raison.— C’est pour ça que tu ne m’as pas arrêté non plus avant de la sortir ? Que tu n’as même pas essayé de te débattre ? Même pas essayé de me mettre un coup de pied ?
Je ne savais plus quoi répondre. Il avait raison. Toute cette situation m’excitait au plus haut point, et inconsciemment je ne cherchais pas forcément à m’en soustraire. En l’absence de réponse de ma part, il tira d’un coup sec mon pantalon qui se retrouvait alors au niveau de mes chevilles. Je pousse un cri de surprise et tente de plier mes jambes, mais je me fais vite rattraper par les menottes qui tirent sur mes bras.
— Stop maintenant !! Ça va trop loin là !!— Mais, tu es trempée...
Je ne pouvais pas le nier. Ma culotte était trempée de cette situation, ça se voyait à des kilomètres, mais les limites étaient atteintes. Il tenta d’approcher sa main de ma chatte, mais il ne fallait pas qu’il passe ce cap, il ne fallait pas qu’il franchisse ce point de non-retour. Il fallait que je l’arrête, cette fois-ci pour de bon. Je tentais de lever ma jambe tant bien que mal pour mettre une barrière entre nous deux.
— Me touche pas ! Sinon je vais justement te mettre un coup. Sérieusement. Dégage ta main.— D’accord, je ne te touche pas. Laisse-moi juste te contempler, laisse-moi au moins admirer la vue.
Il inspectait mon cul et ma chatte à travers la dentelle de mon string, tout en se masturbant énergiquement de sa main droite. Je me dis que c’est bientôt terminé, dès qu’il aura joui, on en restera là, et je ne recommencerai plus jamais ce petit jeu.
— Tu as un si beau cul, et une chatte qui a l’air si serrée... J’aimerais tellement m’y plonger... J’imagine même pas tes petits tétons dressés sous ton débardeur...
Il me dit cela en me reluquant de haut en bas, en me regardant parfois dans les yeux. Je ne décollais pas mes yeux de sa bite, fascinée, mais en même temps impatiente de me libérer de ce jeu malsain. Je ne lui répondis rien. Il continue de se branler à toute vitesse, caressant parfois ses grosses couilles. Il leva sa hampe pour que je les vois bien. Haletant, il dit :
— Regarde... Elles sont si pleines... J’ai tout gardé pour toi...
Il relâcha ses bourses. Au bout de quelques instants, j’entendis sa respiration qui s’accélère, et il reprend avec des saccades dans sa voix :
— Un jour je te déglinguerai... Tu me boufferas la bite, je me déverserai au fond de ton cul, au fond de ta chatte, au fond de ta gorge... T’en auras plein... La tronche... Ahh... Je vais gicler comme jamaiiiis !
Sur ce dernier mot, il atteignit l’orgasme. Mais en même temps, je réalisais qu’il avait prévu ni mouchoirs ni quoi que ce soit pour accueillir son jus. Il était juste devant moi et j’espérais qu’il n’allait pas m’arroser et tacher mon pantalon ou mon débardeur et que mon copain le remarque.
Mais c’était bien pire que ça. En un tour de main, il tira mon string vers l’avant, approcha son gland, et commença à éjaculer avec force sur mes lèvres de chatte et dans mon string. Deux premiers jets puissants s’écrasèrent sur le bas de mon pubis, à la commissure des lèvres de ma chatte, puis il orienta légèrement sa queue vers le bas pour que le troisième jet tout aussi puissant éclabousse le fond de mon string et une partie de mes fesses, et enfin trois derniers jets, moins forts, mais tout aussi fournis, finissent sur le devant de la dentelle. Incapable de bouger, je n’ai pu qu’être spectatrice de ce gros gland qui s’est vidé sur moi. Il n’avait pas menti quand il disait que ses bourses étaient pleines, et même après son orgasme, elles paraissaient toujours aussi pleines.
— Ah putain qu’est-ce que c’était bon ! T’es trop bonne ! dit-il essoufflé.— Putain, mais t’es con ! Qu’est-ce que t’as foutu !
Il posa sa main sur mon cou, comme pour m’étrangler, mais sans serrer, approche son visage du mien, et me dit calmement :
— Tu m’as dit de ne pas te toucher, techniquement, je ne t’ai pas touchée. J’ai respecté tes règles. Ça, c’était ma requête, j’ai juste peut-être oublié de t’en parler.
Il me lâchait le cou, et en remontant son pantalon :
— Allez, rhabille-toi et rentre chez toi maintenant.
A la suite de ses paroles, il me détacha, et je ne pouvais plus dire un mot. Je n’osais plus dire un mot. Je ne savais plus quoi penser. D’un côté, j’étais triste d’être aussi excitée et de ne pas pouvoir jouir, ma chatte ne demandait qu’à être pénétrée sur-le-champ. D’un autre côté, je voulais juste partir d’ici au plus vite. Ma raison l’emportait, accentuée par le fait que Jimmy soit littéralement parti sans même dire au revoir. Je remontai mon string plein de sperme, mon pantalon, mon sac, et je filai à toute allure dans ma voiture pour rentrer. Je me sentais sale, et en même temps je n’ai jamais été autant excitée, j’étais à deux doigts de me toucher pendant que je roulais. “Qu’est-ce qui ne tourne pas rond chez moi ?” me demandai-je en boucle.
Le temps du trajet, l’essentiel du liquide entre mes cuisses avait séché, à l’exception de mon vagin qui était toujours aussi trempé, n’ayant pas obtenu quoi que ce soit. J’arrivai à l’appartement, et j’eus à peine le temps de poser mon sac que William mit sa clé dans la serrure et ouvre la porte.
— Bonsoir mon amour ! Bah alors, tu es tellement pressée que tu ne m’as même pas vu derrière toi ?— Oh, pardon mon doudou, j’ai la tête ailleurs.— C’est pas grave. Tu es ravissante, dit-il en prenant mes mains et en m’embrassant tendrement.
Ce baiser me ramenait à la réalité, accompagné d’un goût d’amertume. Il vit alors des marques sur mes poignets. Mince, les marques des menottes !
— Bah, tu as fait quoi avec tes poignets ?— Oh ça, c’est rien, on a fait un clip avec Jimmy pour la chanson, et il en a voulu faire une scène avec des menottes, mais il me les a un peu trop serrées.— Ah, tu vas faire un clip ? C’est trop bien ça ! Ma chérie va devenir une star !
Presque pas menti ! Sur ces mots, il m’embrassa à nouveau, et me susurra à l’oreille :
— Moi qui ai toujours rêvé de me taper une célébrité... C’est le moment où jamais, avant que tu me quittes pour Brad Pitt !
Il me tira alors vers la chambre, directement sur le lit. L’excitation reprenait le dessus sur le dégoût, et lui visiblement avait très envie de moi. Je me laissai faire. Au point où j’en étais, je n’étais plus à un malmenage près, même si William est bien plus doux. Il me déshabilla en quelques instants, et vit les traces blanches sur mon string et ma chatte trempée.
— Y a pas que moi qui suis excité apparemment ! T’as fait quoi aujourd’hui pour avoir une si grosse trace de mouille et être aussi trempée ?— J’ai pensé à toi tout l’après-midi mon cœur, j’avais très envie de toi aussi.— Je vois ça !
Bon, j’ai un peu plus menti, mais je ne me sens pas prête à lui parler de ce qu’il s’est passé. Heureusement, il n’eut pas l’idée de se dire que les traces blanches n’étaient peut-être pas de la mouille. Il passa ses doigts le long de mes lèvres pendant plusieurs secondes, puis s’allongea en plaçant sa tête entre mes cuisses.
J’appréhendais énormément. "S’il y a un goût ou une odeur étrange, il va forcément se douter de quelque chose, et là je suis foutue." Mais il ne dit rien. Sa langue lape la totalité de ma chatte. Il lécha tout intégralement, suça mon clitoris et mes lèvres, mon pubis, tout y passa.
J’intégrais doucement ce qui est en train de se passer : mon copain lechait ma chatte, qui contenait un mélange de mouille accumulée ces dernières heures et du sperme séché de Jimmy. Tout ça, sans qu’il ne le sache ni même qu’il semble s’en rendre compte. Mon copain buvait à son insu le sperme d’un autre homme. Sperme sorti de l’énorme bite d’un autre homme. Je me remémorais la scène, je me remémorais sa grosse queue, ses grosses couilles. Toute cette addition faisait un cocktail explosif dans mes hormones, et il ne m’en fallut pas plus pour avoir un orgasme puissant comme jamais. Je criai tout ce que j’avais, poussai mon bassin vers le haut, et inondai de mouille la bouche de mon copain.
— Bah alors, dit-il en s’essuyant la bouche avec ses manches, t’es vraiment fin excitée ! T’as jamais joui aussi vite aussi fort !— Tais-toi et prends-moi !
Je ne pouvais rien dire d’autre que ça, je l’ai enlacé avec mes jambes, je voulais jouir encore et encore aussi fort une deuxième fois. Pendant que William me prenait en missionnaire, puis en levrette, je m’imaginais en train de me faire sauter par Jimmy. Je m’imaginais la bouche bloquée par une balle, mes tétons pincés, mes bras et mes jambes attachés. Je m’imaginais les sensations que je pouvais avoir avec un membre aussi gros, j’essayais d’ajouter mes doigts en même temps dans mon vagin pour avoir cette sensation d’épaisseur, je me pinçais les tétons en imaginant les pinces aperçues dans l’après-midi. Après plusieurs minutes de ce traitement, je jouis une deuxième fois, en même temps que mon copain qui se déversa au fond de moi.
—
Après trente minutes, le temps de reprendre chacun nos esprits, direction la douche, où je me remettais les idées en place. Je me lavai, me frottai comme jamais, comme si j’étais tombée dans la boue et que ça ne partait pas. Je restai quelques minutes sous l’eau chaude, à remettre mes pieds sur terre: "J’ai fait une grosse connerie, ça ne se reproduira plus. C’était une expérience, je l’ai faite, maintenant j’arrête ce petit jeu, et je prends mes distances avec Jimmy. Je fais bonne mine le temps d’avoir mon clip et ma chanson, et ensuite je trouve une autre solution, je ne peux plus retourner le voir et risquer de faire pire qu’aujourd’hui."
Je sortis de la douche, et me séchai, apaisée. Mon peignoir enfilé, je quittai la salle de bains et entends mon copain qui me parle de la cuisine :
— Jimmy m’a envoyé un message sur Facebook.
Oh merde. Je suis morte. Il reprend :
— Il nous invite tous les deux à une soirée chez lui pour la mise en ligne du clip, c’est super cool ! Je lui ai dit que c’était bon, on fait rien toute façon ce week-end.— Euh, oui, d’accord.
Bon, au moins, si mon copain est là, Jimmy ne pourra rien tenter... Non ?
Diffuse en direct !
Regarder son live