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Auriane se redécouvre... Au détriment de son copain

Chapitre 2

La pente glissante

Trash
Ça y est, c’est le jour J. J’ai appréhendé toute la semaine, de peur que Jimmy révèle quoi que ce soit à William, mais il ne l’a pas fait. Je m’inquiète sans doute pour rien, ça ne sera qu’une envie passagère !Il fait super chaud aujourd’hui, journée de canicule, avec pas loin de 30 degrés dans l’appart. En temps normal, je me serais habillée avec un petit débardeur sans rien dessous, et un shorty pour l’accompagner, mais j’ai un peu peur que Jimmy ne prenne ça pour des avances. Pour ne pas le tenter, je me suis vêtue d’une chemise à manches courtes assez ample, un soutien-gorge (tant pis si je transpire un peu) et un short assez large, histoire de ne pas révéler de formes, voire même essayer de le dégoûter. Pour résumer, je suis loin d’être “fashion sexy” aujourd’hui.
17h sonne sur l’église au bout de la rue, et William passe la porte. Il est rentré exprès du travail un peu plus tôt afin qu’on puisse prendre le temps de mettre en ligne le clip et de profiter de la soirée tous les trois. Il pose ses affaires, prend les clés, et nous voilà déjà partis en direction de chez Jimmy. Une vingtaine de minutes d’un trajet qui me donne la boule au ventre, à avoir peur qu’il révèle quoi que ce soit sur les événements du “tournage”... Mais je ne peux pas trouver d’excuse sans risquer d’éveiller des soupçons chez mon copain.
Arrivés chez lui, William passe devant et sonne à la porte. Quelques instants plus tard, Jimmy nous ouvre, tout sourire, et nous accueille :
— Ah, bonjour William !— Salut Jimmy, comment tu vas ?— Tranquille, vas-y entre !
William contourne Jimmy et passe la porte. Nécessairement, je suis la suivante. Il me sourit, et m’accueille avec les bras ouverts. Je m’avance timidement pour lui faire la bise, et il m’enlace avec ses mains très proches de mon bassin tout en l’embrassant sur la joue, comme à l’accoutumée. William, de là où il est, ne peut que voir la bise totalement amicale, mais pas du tout la main baladeuse qui descend discrètement dans mon dos.
Je retire vite ma joue de la sienne et avance promptement rejoindre mon copain. Il faut que je mette rapidement des limites et que je ne le laisse pas faire, pour le bien de mon couple.
Il est 17h30, nous discutons un peu et nous nous mettons d’accord pour lancer le clip à 20h, autour de bières et de pizzas. En attendant cette heure fatidique, il nous propose une petite séance Mario Kart, histoire de se détendre un peu et, somme toute, de passer une soirée tout ce qu’il y a de plus normale.
Nous nous rendons alors dans son salon, où trônent deux fauteuils face à la télévision et la console. Le fait qu’il n’y ait que deux fauteuils m’interpelle :
— Bah, t’as que deux fauteuils ?— Ouais, j’ai commandé un nouveau canapé, mais il n’est pas encore arrivé.— Je me mets où alors ?— Bah viens sur mes jambes !
Pour toute réponse, William esquisse un petit sourire en coin de moquerie, avant, quand même, de protester :

— Nan bah viens sur les miens.— Tant mieux, comme ça, j’ai plus de chance de gagner, son gros cul te cachera la vue !
Par contre, là, aucun soutien de la part de mon copain. Le connard ! Bon, c’est vrai qu’il savait qu’on se lançait souvent des pics avec Jimmy, donc il a sans doute pris ça pour de la taquinerie habituelle. Je grogne un peu dans la direction des deux garçons, chacun pour une raison différente, avant que Jimmy ne reprenne :
— J’ai une proposition : celui qui gagne le championnat remporte le droit de servir de fauteuil à madame !— Ca me va, mais alors dans ce cas, j’ai tout intérêt à perdre, répliqua ironiquement William.
L’ironie de la situation ne donne sûrement pas l’impression que sa proposition avait un sens caché, mais je l’avais bien compris suite au regard en coin que Jimmy m’a donné juste après. Après s’être chacun servi une bière et bu un premier coup, je m’assois par terre en tailleur, en regardant le duel des pilotes de la cour de récré se dérouler, espérant plus que tout que William l’emporte pour calmer une bonne fois pour toutes mon prétendant.
Mais malheureusement, après une dizaine de minutes de courses acharnées, Jimmy finit par l’emporter :
— Pfiou, c’était serré, mais j’ai réussi à passer devant quand même ! Allez, par ici Auriane !— Ouaip, bien joué, mais je veux une revanche !— Ah si tu veux, par contre, attends-moi, je crève de chaud avec cette canicule de merde.
Sur ces mots, il commence à retirer son t-shirt. J’essaie de ne pas le regarder, mais plus facile à dire qu’à faire : il faut dire qu’il est bien foutu, bien plus musclé et taillé que mon copain qui, bien qu’il soit de corpulence tout ce qu’il y a de plus correcte, n’a pas beaucoup de muscles pour autant. Avec son unique short, on pourrait presque croire de loin qu’il est à poil, et ce serait mentir que de dire que je n’ai pas une envie qui naît au fond de moi.
Je commence à me préparer à m’asseoir sur ses jambes, sur cette queue vue l’autre jour qui était si grosse, mais aujourd’hui dissimulée sous un short. Je me demandais si j’allais sentir sa bosse à travers mon short ou non. Je commençais... à être excitée.
En tournant la tête vers William, je vois qu’il jette un coup d’œil aussi. De la jalousie ? De l’envie ? Bonne question, je n’aurai sans doute pas la réponse. En voyant que je l’observe, au moment où je fais un pas en avant, il se reprend et dit :
— Allez, la revanche !— Attends, pas tout de suite, dit Jimmy. Il faut d’abord que j’aille mettre les pizzas au four, t’as qu’à t’entraîner en attendant.— Bon OK.— Tu viens m’aider Auriane ?
J’acquiesce sans trop réfléchir, de par ma bonté habituelle, mais je me dis que je n’aurais peut-être pas dû dire oui aussi vite, puisque l’aider implique se rendre seule avec lui dans une autre pièce. Bon, ce sera peut-être l’occasion s’il tente quelque chose de le recadrer une bonne fois pour toutes.
Suite à mon approbation, il se lève alors, et je distingue un truc pas normal sous son short : son paquet n’a pas l’air “tenu fermement”, mais on dirait plutôt qu’un gros morceau ballotte là-dessous... Oh merde, il n’a rien sous son short ! Cette vue ne me laisse pas indifférente, et j’ai immédiatement des flashs de la vue de sa queue l’autre jour... Inconsciemment, je commence à m’imaginer ce qui se trouve sous le tissu de short. Hum. Je me reprends : ce n’est pas une raison, il ne faut pas, en plus William est là, donc, sage !Je jette un œil à William, les yeux rivés sur l’écran, déterminé à s’entraîner pour gagner la prochaine partie de Mario Kart, il n’a pas l’air de se douter de la tension érotique qui commence à s’installer dans la maison ni n’a remarqué le “freeballing” de Jimmy. Nous prenons la direction de la cuisine, nos pas étouffés par les bruits émanant de la télé.
Arrivés dans la cuisine, Jimmy se dirige vers le frigo et me demande d’allumer le four en attendant qu’il sorte les pizzas du congélateur. Je me penche donc en avant pour voir les différents boutons et trouver celui qui me permettrait d’accomplir la tâche demandée ; évidemment, c’est l’un de ces nouveaux fours connectés super high-tech et surtout inutilement compliqués à utiliser !
Alors que je tente d’appuyer sur des boutons un peu au pif en espérant une réaction du diabolique appareil, je sens une main palper mon cul. Je sais que William a l’habitude de me faire ça régulièrement, mais là il m’a fallu une seconde pour me rappeler que je ne suis pas avec William dans la pièce ! Je me retourne donc prestement pour arrêter Jimmy, en parlant à voix basse pour ne pas éveiller les soupçons de William dans l’autre pièce, qui poserait sûrement des questions si le ton venait à monter :
— Arrête ! La dernière fois, on n’aurait pas dû, maintenant tu me laisses tranquille !— Tu es sûre ? Ça n’avait pas l’air de te déranger trop tout à l’heure quand tu allais poser ce petit cul sur mes cuisses, dit-il avec un sourire narquois.— Oui, mais non, ce n’est pas raisonnable, il faut qu’on oublie toute cette histoire maintenant et qu’on reste juste les amis qu’on était.— Mais je ne pourrais pas résister à ce cul maintenant que j’ai pu le tâter...— Il faudra te faire une raison !
Il recule, tête baissée, un peu défaitiste. J’ai enfin gagné ! J’ai enfin réussi à mettre un terme à son petit jeu ! Mais alors que mon soulagement m’emplit, je vois qu’il sort son téléphone et fouille dedans :
— Eh bien dans ce cas, s’il me faut me faire une raison, je te propose de parler de cette petite vidéo à William, dit-il avec un sourire narquois.
Il pose son smartphone devant moi, et se retourne pour mettre les pizzas dans le four. Intriguée, je tourne la tête vers le petit écran. Sur son téléphone, ce que je vois me glace au sang : On me voit, attachée à cette fameuse porte, avec Jimmy en train de jouir sur moi, et moi qui ne fais rien pour l’en empêcher. Le connard, il m’avait filmée ! Alors que je revois la scène et le moment fatidique où Jimmy sortait ses propos obscènes avant de lâcher sa sauce, j’entends même un petit cri qui s’apparente à un cri de jouissance sortant de ma bouche, que je ne me suis même pas rendu compte ce jour-là. De ce point de vue, on dirait que je ne suis qu’en train d’apprécier le traitement de Jimmy, une preuve irréfutable d’un adultère pour lequel je peux difficilement me défendre.
— Allez, viens on va lui montrer !— Non ! protesté-je hâtivement.— Alors, laisse-moi faire, laisse-moi juste te caresser, c’est tout, je ne veux pas plus.
Je suis coincée, je n’ai pas le choix au moins pour l’instant de le laisser faire, le temps de trouver une solution. Bon, au moins il ne se videra pas dans ma culotte cette fois ! A ces mots, il approcha sa main de l’avant de mon short, et insinua sa main dessous, pour atteindre directement mon clito et mes lèvres. Je baisse les yeux et je me laisse faire, tout en pensant en même temps qu’il ne faut absolument pas que William voit cette vidéo, il faut que je l’efface d’une manière ou d’une autre, officiellement ou dans le dos de Jimmy.Mais il est habile de ses doigts l’enfoiré, ma chatte est trempée d’excitation et il me fait un bien fou à agiter le bout de ses doigts pile aux bons endroits, aidé par ma mouille qui enlève toute friction pour ne laisser que le plaisir. Ma tête dit non, mon corps dit oui et en redemande, je ne sais plus quoi faire et m’abandonne à lui pour le moment.
Soudainement, on entend des pas provenant du salon. Il extirpe hâtivement ses mains de mon antre, et William apparaît presque au même moment. Je dois être blanche, ou rouge, ou les deux à la fois, de honte, d’excitation, de peur, et pourtant il ne réagit pas.
— Je suis prêt pour la revanche ! Alors ces pizzas ? Tiens t’aurais pas des chips ou autre pour grignoter en attendant ?— Ah si attends, répliqua Jimmy.
Joignant le geste à la parole, il amène sa main sur la table, là où était posé son smartphone qui lisait toujours encore la vidéo. Je suis prise de panique intérieure, ayant peur qu’il lui montre ou que William voit quelque chose ! Mais je n’avais juste pas vu le bol de chips qui était posé juste à côté, et qui cache l’écran vu de là où William se tient. Il prend une seule chips, qu’il tend à William, sans doute pour lui faire une petite blague. Alors que sa main passe devant moi, je réalise que ses doigts sont brillants comme s’ils avaient été lustrés, imbibés de ma cyprine fraîchement récoltée. La chips en question va avoir un goût bien particulier... Surpris, William reprend, ironisant :
— Euh... Oui, je peux en avoir un peu plus qu’une ?
Suivi de la mise en bouche de la chips à la sauce originale. Il ne dit rien, sans doute que le goût ne se transmet pas si facilement, mais cela me donne des papillons dans le ventre de savoir qu’il a de nouveau été dupé avec des fluides corporels, même si pour une fois, c’était les miens.
On retourne au salon avec le bol de chips, en attendant que les pizzas cuisent. Chose promise chose due, je m’installe donc sur les jambes de Jimmy, puisqu’il était vainqueur de la partie précédente. Je ne peux pas refuser sans justification valable (et je sais bien que Jimmy me tient avec sa vidéo), et en même temps... Je peux difficilement cacher mon excitation, sachant que les fines couches de tissu me laisseront sentir toutes ses formes. En m’asseyant, je ne peux pas ignorer la bosse dure qui s’étend juste sous mon cul.
Ils font une deuxième partie de Mario Kart pendant ce temps de cuisson, qui m’a paru interminable. D’un côté, je ne voulais pas être assise là, d’un autre côté, j’étais excitée de sa demi-molle qui tenait bon, effrayée qu’il révèle quoi que ce soit, et mal d’infliger ça à William à son insu juste à côté de lui.
Les pizzas sont prêtes, et Jimmy va les chercher. Il passe devant William, qui n’a pas pu ignorer la bosse qui émane de son short. Je l’observe du coin de l’œil, il rougit et n’ose pas me regarder. Je pense qu’il sait que mon cul posé sur la queue de Jimmy l’a excité, et il ne veut sans doute pas mettre qui que ce soit à l’aise, que c’est naturel et incontrôlé. D’autres mecs auraient pété un câble de savoir qu’un gars était les couilles à l’air avec le cul de sa copine sur son érection.
Les pizzas sont là, et chacun mange tranquillement une part tout en discutant de tout, mais surtout du clip. Jimmy y fait quelques allusions un peu... déplacées, qui paraissent innocentes de prime abord, mais qui prennent tout leur sens quand on sait ce qui s’est passé pendant le tournage. Je feins de ne rien savoir, et reste debout le temps de manger, “pour ne pas déranger”. Mais évidemment, maladroite que je suis, je fais tomber de la garniture sur ma chemise. Aaahh quelle cruche ! En plus de la sauce tomate, ça va être bien à nettoyer ! Je prends la direction de la salle de bains pour vite y mettre un coup d’eau et de savon, et Jimmy me suit pour me donner ce qu’il faut.
Après m’être frottée avec un gant de toilette et du savon, ma chemise était à moitié trempée. Jimmy me propose alors de la laisser sécher et de rester en soutien-gorge. Je proteste, puisque je n’ai pas vraiment envie de retirer des vêtements si ce n’est pas absolument nécessaire, mais il est vrai que porter une chemise à moitié trempée (et tachée) n’est pas forcément super agréable. Il a tout un argumentaire bien préparé, à base de “c’est bon t’es pas les seins à l’air non plus”, “c’est comme si t’étais en maillot de bain”, “toute façon il fait super chaud ça te fera du bien”, comme s’il avait prévu que cet accident se produise.
Je finis par me résigner, et reviens de la salle de bains avec juste mon soutien-gorge pour cacher mes seins, et mon short qui heureusement n’a rien eu. Ça n’aurait pas été la même histoire si je devais revenir en string ! En arrivant dans le salon, William écarquille les yeux :
— Euuuuuh, pourquoi t’es à moitié à poil ?
Mais avant même que je puisse répondre, Jimmy ressort son argumentaire :Bah ça va, elle est pas à poil, elle est en soutien-gorge, c’est pas pire que si on était à la piscine ou à la plage. Sa chemise est trempée, on l’a laissée sécher dans la salle de bains. Et puis pour le peu de seins qu’elle a...
Cette dernière phrase était un peu ironique, comme pour dire “je m’en fiche je suis pas là pour mater” de manière un peu innocente. William n’a rien su dire pour me défendre, mais ne semblait pas forcément content de la remarque qui a été faite - sans doute qu’il sait qu’on a l’habitude de se lancer des piques, et il ne veut pas faire le rabat-joie.
L’heure approche, et à 19h45, au moment de ravitailler tout le monde en bière pour le dernier quart d’heure avant la mise en ligne du clip, Jimmy revient en panique dans le salon :
— On a un problème !— Quoi ? répondons en cœur William et moi.— Y a plus de bière !— Oh tu crains ! reprit William.— Ça t’embêterais pas d’aller à l’épicerie juste un peu au-dessus pour reprendre un pack ? Je dois préparer la mise en ligne du clip si on veut le publier à 20h pile.
Par bonne foi, Jimmy chope son portefeuille sur la table basse, et tend un billet de 20€ à William, qui finit par accepter. Bien évidemment, ça ne pouvait pas mieux tomber, ça veut dire que je vais me retrouver seul avec Jimmy, pff ! Il va forcément tenter un truc, il va forcément me demander de me mettre à poil ou je ne sais pas quoi. J’essaie de trouver un prétexte pour accompagner William (“Tu auras besoin d’aide pour porter !”), mais Jimmy trouve toujours une réponse à y apporter (“C’est un gars costaud, il a pas besoin de ça, et j’ai besoin de toi pour trouver la bonne vignette à mettre sur la vidéo”).
William sort, la porte se referme. Me voilà seule avec Jimmy. Mon regard se tourne vers lui, il sourit tel l’evil genius d’un film, et je vois son érection prendre un volume important sous son short qui, bien qui soit large, paraît super serré. La bête s’est réveillée, et elle veut quelque chose, c’est sûr.
Jimmy se lève, et me dit sur un ton sec et sérieux :
— A genoux.— Quoi ? Non ! T’as dit que tu voulais juste me peloter, et j’ai dit qu’on devait arrêter !— Donc je peux uploader la petite vidéo que je t’ai montrée tout à l’heure, au lieu du clip ? Ça fera une belle surprise pour William !— C’est du chantage !— On a qu’à lui poser la question, t’en dis quoi ? Et puis regarde, elle grossit pour toi, elle te fait un beau sourire.
Il dit sa dernière phrase en baissant les yeux vers son short. Quelle faible je fais ! Effectivement, je descends mon regard vers sa queue, et retrouve les sensations de la dernière fois : la grosseur et la longueur de la bosse ne me laissent pas indifférente. Je suis impressionnée, que dis-je, hypnotisée par la taille de ce machin. On dit que la taille ne fait pas tout, peut-être, mais diable que ça peut rendre curieuse, et j’aimerais pouvoir le faire sans culpabiliser à ce point.
— Je le répète une dernière fois, à genoux.
Cette fois-ci, perdant tous mes repères, et de toute manière résignée, je m’exécute.
— Allez, déballe-la, je sais que tu n’attends que ça.
Je tends ma main droite vers l’élastique de son short, et le baisse tout doucement. Ça n’en finit pas, plus je le descends, plus il y a encore de chair, j’ai l’impression qu’elle s’étend au fur et à mesure que continue ma manœuvre. J’exagère, mais sur le coup, ça impressionne, car lorsque je fais pareil avec William, c’est bien plus rapide.
Elle est à nouveau là, devant moi, et cette fois-ci pile devant mes yeux. A moitié décalotté, son gland pointe droit vers mon regard comme si on libérait une créature antique des bas-fonds, attendant sa libération depuis des années. Je redécouvre non sans excitation et curiosité ce membre de près de 20 centimètres, aussi épais que mon avant-bras, dressé fièrement et reposant sur deux grosses boules tels des noyaux de pêches.
Je ne peux pas quitter mon regard de cette bite. Je pourrais encore tout arrêter, faire mon possible pour justifier le fait que Jimmy ait abusé de moi auprès de William, qu’il m’a en plus filmée à mon insu, et que je veux prendre mes distances pour ne plus jamais avoir affaire à lui. Mais au fond, je ne suis pas sûre que ce soit ce que je veux...C’est mal, très mal, moralement insoutenable, mais j’ai beaucoup trop envie de jouer avec cette queue qui est devant moi. C’est comme si j’avais une vieille voiture et qu’on me proposait un tour en Porsche toute neuve après m’avoir fait faire juste une accélération. J’ai besoin de l’essayer.
— Allez branle-moi, vide mes couilles. Ton cul posé sur ma queue m’a trop excité !
C’était les mots que j’attendais pour démarrer. Timidement, je passe ma main sur la hampe, la serrant délicatement tout autour, puis j’entame de lents va-et-vient. Il semble apprécier le traitement, au vu des “hmmm” qu’il laisse échapper de sa bouche, et de la quantité impressionnante de liquide séminal qui s’écoule. Régulièrement, je ne peux m’empêcher de regarder par la fenêtre pour guetter le retour de William, et le moindre bruit me fait sursauter, pensant qu’il soit revenu de ses emplettes. J’accélère le mouvement en espérant le faire venir plus vite. Remarquant cela, Jimmy en profite :
— William peut revenir à tout moment, si tu me suces, ça ira plus vite.— Mais, je vais pas, euh... hésitais-je.— Écoute, si j’ai pas giclé quand il revient, tu continueras devant lui, moi ça me pose aucun problème !
Je me sens sale de me dire que je vais sucer un ami comme ça sur un simple principe de chantage. Ça fait des années que je n’ai pas pris une autre queue en bouche que celle de William. Je n’ai connu qu’une ou deux personnes avant lui, et elles ne voulaient pas que je les prenne en bouche, car c’était “trop sale”. Je suis très gênée, mais je n’ai pas trop le choix, car effectivement, si William vient, je vais pouvoir difficilement justifier ce qui se passe là. J’approche donc lentement ma bouche du gland déjà bien lubrifié qui se trouve devant moi, passe d’abord ma langue sur le bout, puis le gobe lentement. A ce moment, Jimmy lâche un soupir de satisfaction. Je dois ouvrir la mâchoire au maximum pour pouvoir tout rentrer dans ma bouche sans risquer de le mordre, c’est plutôt désagréable de ce côté-là, mais le goût est sexuellement divin. Ça sent l’homme, le vrai, au lieu du Axe habituel de William qui ôte toute originalité à l’acte.
Je commence à faire des aller-retour avec ma bouche sur son gland. J’essaie difficilement de rentrer un maximum dans ma bouche, mais je ne peux que mettre quelques centimètres de plus de sa hampe avant d’atteindre déjà ma glotte. J’accélère le rythme avec ma bouche, en l’accompagnant de ma main serrée autour de sa queue et en aspirant légèrement, le genre de traitement qui est habituellement très efficace pour faire jouir William. Les diverses insultes que me lance Jimmy, à savoir des “putain qu’est-ce que tu suces bien !” et d’autres similaires, semblent confirmer que je suis plutôt douée pour ça, ce que je dois avouer me rend plutôt satisfaite intérieurement.
Comme la fois précédente, je le sens de plus en plus se raidir, aussi bien au niveau de sa main qui accompagne ma tête, que de sa queue devenue dure comme du béton et de sa respiration haletante.
— Oh putain ouais, continue comme ça, je vais pas tarder à tout lâcher !
Au bout de quelques secondes, je le sens tenir fermement ma tête contre sa queue pour que je ne puisse pas m’échapper, et il imprime le mouvement dans ma bouche avec son bassin. Il pousse un râle bien fort, accompagné de jets puissants qui atterrissent directement dans ma bouche et au fond de ma gorge.
— Oh ouiii ! Avale tout ça ! Aaaah.
Sa queue se contracte plusieurs fois d’affilée, libérant à chaque fois un jet supplémentaire, m’obligeant à déglutir presque à chaque fois tellement ma bouche était remplie entre sa queue et son sperme, à deux doigts de m’étouffer.
— Oh putain ouais, c’est beaucoup trop bon de te gicler dans la gorge ! Un premier trou que j’ai rempli haha !
Je n’ai pas tout de suite relevé sa dernière phrase. Après s’être vidé, il me libère et se retire lentement de ma bouche. Il n’a toujours pas réduit de volume malgré avoir joui, et a l’air toujours bien dur, comme la dernière fois. C’est une vraie machine, je me demande s’il est mou parfois ! Il remet vite fait son short, et je comprends vite pourquoi lorsque j’entends la porte d’entrée s’ouvrir, et aperçois au loin William qui revient avec des packs de bière dans chaque bras. J’essuie rapidement du revers de la main le reste de jus de Jimmy qui est sur ma bouche, espérant qu’il ne remarque rien.
— Voilà, on a à boire !
Il s’approche de moi en m’embrassant sur la bouche, alors qu’à peine 15 secondes avant, elle était pleine de sperme... Il me fait un drôle de regard, mais ne dit rien. Je le vois également jeter un coup d’œil surpris en direction de Jimmy, mais il se ravise et part distribuer les bières. En tournant la tête vers Jimmy, je comprends mieux son étonnement : il était assis bien en arrière dans son fauteuil, les jambes écartées, et sa queue quasiment encore dure dépassant d’une des cuisses de son short...
***
Je suis super impatient de voir le clip qu’ils ont fait ! Revenant de ce petit périple tel un “Indiana Jones : A la recherche des bières manquantes”, j’étais super fier de pouvoir découvrir ce que ma chérie avait réalisé avec Jimmy, elle a une super voix et je suis sûr qu’elle peut avoir du succès. Un pack dans chaque main, j’arrive enfin après plusieurs minutes de marche devant la porte d’entrée, que j’ouvre tant bien que mal avec le coude.
Je retire mes chaussures pour me diriger vers le salon, où Auriane est dos à moi. Comme à l’accoutumée quand on se retrouve, je m’empresse de me diriger vers elle pour l’embrasser. Mais bizarrement, elle est presque en train d’éviter mon baiser, qui n’est qu’un smack très rapide, et qui a un goût étrangement amer comparé au goût habituel de ses lèvres, ou même de la pizza qu’on a mangée tout à l’heure. Ils ont peut-être goûté un truc bizarre qui traînait dans un placard, ce n’est sans doute rien.
Posant les bières sur la table basse, ce n’est qu’en relevant les yeux vers Jimmy que je m’aperçois... Qu’il a la queue à l’air ! WTF !? Enfin, il n’est pas non plus complètement à poil, il a toujours son short, mais il est super large, et ça semble confirmer ce que je croyais avoir vu tout à l’heure : il n’a bel et bien rien sous son short, puisque sa bite est là, en train de pointer le nord, en dépassant légèrement le long de sa cuisse. Elle a l’air énorme, il doit faire deux fois ma taille au moins... J’espère que Auriane n’a rien vu, elle serait sans doute mal à l’aise, je pense que c’est de la voir en soutien-gorge qui le met dans cet état. Mieux vaut ne pas faire d’allusion pour ne gêner personne.
La soirée se déroule de manière assez classique, où je découvre le clip drôlement bien réalisé, où Jimmy m’explique même qu’il a emprunté à un ami un certain nombre d’objets SM pour pouvoir rendre le clip plus réel, sur cette thématique de libération d’esprit. Je n’y connais rien de toute façon, mais je trouve que l’attention au détail est vraiment chouette. On boit beaucoup, on fait pas mal de Mario Kart où Auriane déconcentre Jimmy en s’asseyant exprès sur lui et en lui cachant la vue, et il commence tout doucement à se faire tard.
Ayant pas mal bu, Jimmy nous propose la chambre de son coloc qui est parti en voyage pour le mois. Nous acceptons sans trop de réticence, car je tiens à peine debout et rentrer dans cet état serait juste suicidaire.
En quelques minutes, nous nous mettons sous les draps, et l’alcool aidant, je somnole assez rapidement. Je commence à m’endormir, mais je me réveille au bout de quelques minutes à la voix d’Auriane qui dit “Oh, Jimmy !” sur un ton très... sensuel. J’ai eu l’impression qu’elle se caressait en même temps ? Elle s’est arrêtée de bouger en même temps que j’ai repris conscience ? Ou j’ai sans doute dû rêver, enfin, j’espère, après ce que j’ai vu tout à l’heure, je ne sais plus trop si je me fais des films et ils sont juste innocemment proches, ou s’il se passe vraiment quelque chose entre eux...
***
Voilà, tout le monde est couché, et je crois que William est déjà en train de ronfler à côté. Il me fait le coup à chaque fois qu’il boit...
— rrrrrrrnnnnnfffff*
Oui il dort... Quel con, je suis fin excitée, j’aurais bien aimé qu’il me défonce la chatte là tout de suite pour me soulager de tout ce qui m’est arrivé aujourd’hui. Surtout que je me suis frottée sur la queue de Jimmy pendant qu’ils jouaient et que William ne me regardait pas, pour essayer de jouir, mais à chaque fois, il tournait la tête vers moi, m’obligeant à m’arrêter...
Pas le choix, je suis obligée de me toucher, sinon je ne vais pas réussir à dormir. William dort à gauche ? *RRRRRRRRnnn* Check ! Personne debout devant la porte à droite ? Check. Je suppose que Jimmy dort aussi, avec le soulagement qu’il a eu tout à l’heure, je peux donc mener tranquillement ma petite affaire.
Je me masturbe doucement, mais énergiquement pour arriver à l’orgasme le plus vite possible sans réveiller William, en repensant à la scène qui s’est déroulée quelques heures plus tôt. Mais au moment d’arriver à l’orgasme, je ne peux m’empêcher de laisser échapper un “Oh Jimmy !” totalement incontrôlable, pile au moment où William se met à bouger. Merde ! Je calme immédiatement ma main sur mon clito pour qu’il ne se doute de rien. J’espère qu’il n’a rien entendu !
Mais au moment où je me dis ça, j’entends des bruits de pas s’éloigner derrière la porte...
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