Le réveil est difficile, l’alcool a bien tapé. Je me réveille tout doucement dans le lit, avant de me rendre compte que je ne suis pas à l’appart... Et que je suis seul sous les draps. J’essaie tant bien que mal d’émerger, et je commence tout doucement à me rappeler qu’on est chez Jimmy, qu’on a lancé le clip, et qu’on est resté dormir parce qu’on avait trop bu. Effectivement, ma gueule de bois semble confirmer à 100% ce dernier point. Ah, et je me rappelle aussi de... la queue de Jimmy qui dépasse de son short. Ce n’est pas possible, je devais avoir trop bu, ce genre de truc énorme, c’est que dans les films pornos. Je me dis que j’ai sans doute dû rêver, comme beaucoup d’autres choses ce soir-là, et que tout va revenir à la normale aujourd’hui. Auriane a l’air d’être déjà levée, je les entends parler dans le salon. Je termine de reprendre mes esprits, puis je me lève pour les rejoindre. Ils sont en train de jouer à la Switch (ce n’est plus Mario Kart) et de prendre un déjeuner-petit-déj. En même temps, il est 13h, donc plus vraiment l’heure du petit-déj, et je comprends l’absence de motivation de préparer à manger quand on vient de se lever, je n’aurais pas fait mieux. Ils proposent de continuer la journée tous les trois en allant faire du shopping. Jimmy est seul pour le week-end et Auriane ne voulait pas le laisser livré à lui-même, sachant qu’on n’avait pas vraiment grand-chose d’autre à faire de toute manière. Ce n’est pas vraiment mon activité préférée, mais je me dis que ce sera moins chiant de faire du shopping avec un autre mec, que seul avec ma copine, au moins on pourra parler d’autres trucs pendant qu’elle passe trente minutes à essayer des fringues dans chaque boutique. Une fois que chacun a fini de se faire une beauté, nous prenons la direction de la grande galerie marchande du centre-ville pour arpenter les diverses boutiques de fringues. On fait quelques boutiques de fringues classiques, avant que Auriane ne décide de faire une halte dans une boutique de lingerie. Pendant que ma copine fait sa sélection de divers sous-vêtements à essayer, Jimmy et moi flânons et nous moquons de certains styles très... Audacieux ? Originaux ? Moches ? En fait, on ne sait pas se décider entre le string léopard façon grand-mère, ou le string-ficelle à 20€ le centimètre carré de tissu, à croire que moins il y en a, plus c’est cher. Sa sélection faite, Auriane se dirige vers une cabine d’essayage. Pressé de donner mon avis, je me dirige avec elle vers la cabine et attends devant, suivi par Jimmy. Après quelques instants, elle laisse échapper un petit “C’est pas mal, ça !”. Je me retourne alors pour passer ma tête sur le côté du rideau pour voir ce que ça donne. Auriane est simplement équipée d’un bel ensemble tanga + soutien-gorge rouge, qui lui va à ravir. Mais c’est alors que j’entends un “Effectivement, t’es sexy là-dedans !” provenant de Jimmy, qui regardait par-dessus mon épaule ! Au même moment, il me pousse carrément pour entrer dans la cabine, sans aucune gêne. Auriane me regarde, mais ne dit rien, et je dois dire que moi non plus, je ne dis rien, même si je n’en pense pas moins. Il la fait tourner sur elle-même, pose ses mains sur ses hanches, et palpe son cul. Auriane ne dit rien, plutôt on dirait même qu’elle s’est arrêtée de tourner pour se cambrer un peu plus ! Pivotée entièrement, Jimmy lui propose d’essayer la tenue suivante... Sans qu’il ne sorte de la cabine ! Ça va trop loin, j’interviens : — Non, mais, elle ne va pas se foutre à poil devant toi !— Roh ça va j’en ai vu d’autres, et c’est pour lui rendre service sans laisser la moitié du rideau ouvert comme tu le fais en passant ta tête sur le côté. Il n’a pas entièrement tort, cette petite scène ouvre de plus en plus le rideau de la cabine, et bientôt n’importe quel mec qui passe pourrait voir le cul de ma copine. Je grogne en indiquant à Jimmy de sortir, ce qu’il fait en rigolant : — Ahah d’accord, mais fais pas ton jaloux, vas-y viens, je vais aussi t’aider à essayer des vêtements, je rends service à tout le monde ! Auriane, on se retrouve devant tout à l’heure, on va au magasin d’en face ! Il m’invite gentiment à le suivre en me prenant par l’épaule, sans me demander mon avis, mais sa stature et son aisance devant cette situation ne me laissent même pas le temps de me poser de questions. Alors que nous sortons du magasin de lingerie, je repense à ce qui vient de se passer dans la cabine, et réalise que le voir palper le cul d’Auriane m’a donné la boule au ventre... Mais pourquoi je n’ai rien dit sur le coup ? Et pourquoi elle n’a rien dit ?Je reviens à la réalité lorsque nous passons la porte du magasin juste en face, une boutique de fringues en tout genre pour mec. Il prend les devants, en arpentant vivement les rayons. Je ne sais pas ce qu’il a derrière la tête, mais je ne trouve pas le courage de lui demander, et le suis bêtement comme un toutou. Il prend au détour des rayons deux ou trois trucs en regardant rapidement si c’est vaguement ma taille, et un ou deux trucs a priori pour lui.
— Allez viens, on va essayer tout ça, on va voir si ça te va bien ! Il doit avoir en main trois ou quatre pantalons, et me dirige alors vers les cabines d’essayage, tellement vite que la vendeuse n’a même pas eu le temps de nous demander si elle pouvait nous aider. Il me pousse doucement dans la cabine, qui pour le coup cette fois-ci n’est pas pourvue d’un rideau, mais bien d’une réelle porte toute hauteur avec un verrou. Il la referme derrière nous, personne ne risque de nous voir, et a priori de nous entendre, car on entend à peine les gens discuter dehors. — Allez tiens, essaye ça ! dit-il en me tendant un pantalon.— Mais euh, j’ai pas envie de me déshabiller devant toi...— Fais pas ta mijaurée, c’est bon on est entre mecs on est pareils, t’as pas à être gêné ! Voyant que sa phrase ne me convainc pas forcément, il reprend les devants en disant qu’il va me montrer l’exemple. Il commence à retirer son pantalon et à le poser à côté sur le petit tabouret qui est présent dans la cabine. Le voyant en caleçon devant moi, je ne peux m’empêcher alors de repenser à l’énorme morceau aperçu la veille, que je pensais avoir rêvé. Mais maintenant que j’ai de nouveau le contour du paquet devant ses yeux, je me rends compte que je n’ai pas rêvé : il a bien l’air d’avoir une queue énorme. Mais Jimmy me sort vite de mes pensées, en m’indiquant que c’est maintenant à mon tour de faire pareil. Voyant que je ne bouge toujours pas, il prend les devants, se baisse devant moi, ouvre puis baisse avec force mon pantalon, ce qui a un double effet : non seulement mon pantalon est baissé, mais je mets un instant à remarquer qu’il a emporté mon caleçon avec ! Ma queue se retrouve donc à l’air, juste devant lui. Il éclate de rire : — Hahahaha, c’est avec ça que tu fais plaisir à ta copine !? Auriane ne doit rien sentir avec ton petit machin !— C’est pas si petit, et puis elle ne s’est jamais plainte, ça lui suffit.— Haha, tu parles, elles disent toutes ça jusqu’à tester une vraie grosse queue d’homme, et après elles changent vite de discours !— Pff tu dis ça pour te vanter, faut savoir s’en servir.— Je te le prouve n’importe quand. Joignant l’acte à la parole, il baisse son caleçon à son tour, libérant son membre encore flasque, et pourtant déjà presque deux fois plus grand et gros que ma bite, qui paraît minuscule à côté. — Tu vois, ça, c’est une queue qui est capable de satisfaire une fille. Je ne peux détourner le regard de son entrejambe. Je pensais que ce genre de taille n’existait que dans les films, où ils utilisent des angles et des objectifs bien spécifiques pour faire paraître tout plus gros. Mais là... Là, c’est devant mes yeux, en direct. Jimmy reprend son petit discours de lavage de cerveau : — Avec une queue comme ça, Auriane monte au septième ciel en trente secondes chrono, toi elle décolle pas du sol.— Ouais ben t’as le droit de rêver, elle s’en fout, et elle voudra jamais de toi, on s’aime et on est fidèles.— Ah tu crois ? Si je lui montrais, tu crois qu’elle n’aurait pas envie de toucher et de l’avoir en elle ? Regarde, même toi t’en meurs d’envie de jouer avec. Il prend ma main en même temps qu’il dit ça, et fait des mouvements de caresse avec mes doigts le long de sa hampe, qui tout doucement commence à prendre du volume. En quelques instants, je me retrouve à masturber Jimmy, impressionné par la taille et la dureté que commence à avoir le morceau de chair sous mes doigts. Je commence même à remarquer que cette situation m’excite quelque peu, ce qui n’échappe pas à l’œil de Jimmy : — Ohoh ! Eh bah alors monsieur fidèle, on dirait que comme ta meuf, t’as aussi envie de ma queue ! Ton petit kiki est tout dur haha ! Gêné, je retire ma main et lui demande d’arrêter tout ça, qu’on se rhabille et qu’on sorte. Mais il n’a pas tort quand il me dit que mon érection trahit mon envie intérieure. Il n’a pas tort, déjà hier, en voyant sa queue déborder de son short, ça ne m’a pas laissé indifférent et j’avais envie d’aller vérifier. Je continue de dire que je ne veux pas, même si j’admets que je suis intrigué. Mais il ne l’entend pas de cette oreille, et change de ton : — Si tu ne veux pas que je dise à Auriane que les grosses queues te font bander, suce-moi.— Qu... Quoi ? Mais c’est n’importe quoi ! Elle te croira jamais.— T’es prêt à prendre le risque de lui montrer directement que tu bandes devant ma queue ?— Mais... Il est clair que si Jimmy lance ce pari, et je le sens bien capable, je serai encore plus honteux de monter en direct à Auriane que je bande pour un mec, surtout que c’est incontrôlable. — Allez, à genoux, dit-il de façon péremptoire.— Mais, je... Pour toute réponse, il m’empoigne l’épaule et me force à me mettre accroupi devant lui, bien trop faible pour résister à sa force, plaçant ma tête devant sa queue qui commence à suinter. Je n’ai jamais fait ça avant, je n’ai jamais vu d’autre homme nu en vrai devant mes yeux. J’étais toujours resté ouvert à la possibilité, au “il faut tout essayer”, mais je ne pensais pas que ça serait ici, comme ça, aujourd’hui, avec Jimmy. Je me sens rabaissé à mort... Mais aussi très excité. J’ai envie d’essayer. J’ai envie de voir l’énorme gland qui se cache sous son prépuce, et savoir ce que ça fait de le mettre en bouche. J’essaie d’imiter la façon dont fait Auriane avec moi lorsqu’elle me suce. Je tire son prépuce pour libérer son gland rosé, et commence à y passer timidement ma langue, du bas de ses couilles jusqu’en haut de sa hampe, puis ouvre lentement ma mâchoire pour y accueillir le monstre. Au moment où j’écarte mes lèvres, Jimmy saisit alors l’arrière de ma tête et force le passage jusqu’à la glotte, manquant de m’étouffer. “Bon on va pas y passer la journée”. Il me cale contre la paroi de la cabine, m’empêchant tout mouvement de recul, ses mains m’empêchant même de partir sur un côté, et il entame des va-et-vient dans ma bouche. Mal à l’aise, je fais de mon mieux pour que ce calvaire se termine au plus vite, en essayant de bouger ma langue en même temps quand son gland est en contact. — Tu suces presque aussi bien que la dernière personne qui m’a sucé dis donc ! T’es une vraie petite pute aussi ! Il continue ses va-et-vient, en inondant ma bouche de présperme au passage. Je suis enivré par l’odeur de sa queue et de ses couilles, que je vois ballotter du coin de l’œil, le goût de son gland, et l’étouffement provoqué par son mouvement jusqu’au fond de ma gorge. La taille de ma bouche ne permet pas à ses boules de claquer contre mon menton, pourtant elles sont tellement grosses qu’elles ne balancent pas si loin que ça. — Si tu savais à quel point j’ai envie de sauter ta meuf, de lui claquer son petit cul... Putain, elle a un de ces culs mon gars ! Dis-moi que tu lui as déjà fourré ? Il ralentit pour me laisser répondre, par la négative, ma bouche pleine ne me laisse échapper qu’un “mmh mmh”. Elle n’a jamais voulu que j’approche son petit trou, et les quelques tentatives se sont toujours soldées par un échec. — T’es vraiment une petite bite, tu profites même pas de ça ! Mais t’inquiète, je vais m’en charger si tu ne le fais pas. Elle doit être super serrée, ça doit être une tuerie de lâcher la purée entre ses deux fesses ! Et même, sa petite chatte doit être tout aussi serrée, parce qu’avec ta petite queue, t’as pas dû lui élargir grand-chose ! Tous ces mots ne font qu’amplifier la boule que j’ai dans le ventre, secouant mes sentiments. Je sens ses mouvements s’accélérer, et il respire la bouche grande ouverte. — Tu vas nous regarder baiser, tiens, tu t’occuperas de nous, tu me lécheras les boules ou le cul pendant que je baiserai cette chaudasse d’Auriane ! Il accélère d’autant plus, et serre de plus en plus l’arrière de mon crâne. — Je vais lui remplir tous les trous, hein p’tite bite ! Je vais lui lâcher des litres au fond de sa chatte ! Tu seras aux premières loges pour me voir lui remplir le bide avec mon juuuuuus !! Sur ces derniers mots, je sens ses mouvements se réduire et sa queue se contracter, pour lâcher le jus dont il parle tant. Jamais je n’aurais imaginé, il y a encore quelques minutes, que j’allais me retrouver à genoux à avaler le sperme d’un autre homme. A chaque contraction de sa bite, je sens un puissant jet atteindre le fond de ma bouche et me remplir de plus en plus la bouche, au point que je suis obligé d’avaler pour ne pas m’en mettre partout. Je pensais qu’il en faisait des caisses avec ses “litres”, mais il faut bien admettre qu’il n’est pas loin de la réalité, je ne suis pas sûr d’avoir autant joui (en termes de quantité) une fois dans ma vie. Il reprend difficilement son souffle et se retire de ma bouche, me libérant au passage. Je m’essuie du revers de la main, et me rhabille du mieux possible. Sa queue diminue lentement de volume, qu’il finit par ranger également dans son caleçon. Ayant effacé toute trace de la malice, nous sortons ensemble de la cabine. Excité, mais également honteux, en ouvrant la porte, je demande à Jimmy de garder cet événement pour lui : — Tu ne diras rien à Auriane hein ?— Me dire quoi ? Mais... Vous êtes allés ensemble dans la même cabine ? Juste derrière la cabine, Auriane est là ! Elle nous cherchait, et semble venir de passer outre notre cabine quelques secondes plus tôt. Ouf, elle n’a sans doute rien entendu de ce qui s’est passé dedans quelques instants avant ! — Oh rien, réponds-je, une connerie. Mais l’opportunité est trop grande pour Jimmy : — Quand même ! Il n’ose pas te dire qu’il veut que tu fasses un défilé de lingerie devant nous deux ce soir, il est d’accord pour que je regarde aussi, pour donner mon avis ! L’enfoiré, comment il en a profité ! Je ne peux rien dire, puisque si je nie, il parlera sûrement de ce qui s’est passé dans la cabine, et je passerai pour quoi devant Auriane si elle apprenait que je suce des mecs en cachette dans des cabines ? Je perdrais toute virilité si elle l’apprenait donc... Je ne dis rien à part un sourire. J’essaie de relativiser, ce n’est qu’un défilé après tout, elle était déjà hier en soutien-gorge, et il l’a vue dans la cabine tout à l’heure. Si c’est juste pour mater, je peux prendre sur moi... Elle ne se laissera quand même pas faire ouvertement devant moi.
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