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Auriane se redécouvre... Au détriment de son copain

Chapitre 4

Le point de non-retour

Avec plusieurs hommes
Je ne sais pas ce qu’ils ont fait, mais William n’ose plus parler à Jimmy et fait en sorte depuis tout à l’heure de ne pas être à côté de lui. Est-ce qu’il lui aurait dit ce qui s’est passé quand il n’était pas là ? Non... Je ne pense pas, il m’en voudrait sûrement à moi aussi. Est-ce qu’ils se sont pris la tête pour le fait que Jimmy soit entré dans ma cabine ? Peut-être. J’en saurai sans doute plus tard quand on sera seuls.
Pour le moment, je profite de l’énorme sachet de bonbons que Jimmy m’a offert à la boutique de bonbons de la galerie marchande, je ne peux pas résister à ça ! On a fait également une halte à une supérette pour reprendre de quoi faire un apéro pour ce soir, et Jimmy est très impatient pour le défilé promis. Je suis étonnée que William ait accepté une telle chose, car cela veut dire qu’il accepte que Jimmy me voie en sous-vêtements devant lui... Voir plus ? Quelque chose ne colle pas... Il a râlé que Jimmy s’immisce dans la cabine, et là il accepte qu’il me voie défiler en sous-vêtements ? Ce n’est pas logique.
Ce serait mentir que de dire que je ne veux pas que Jimmy me prenne enfin, mais je ne vois pas dans quel univers il serait concevable que William accepte ça. Peut-être qu’à l’inverse, s’il tente des choses et que William s’y oppose fièrement, ça me donnera enfin le déclic pour que j’arrête cette aventure et me reconcentrer sur mon couple au lieu de mes pulsions. Mais soyons réalistes : si j’avais voulu arrêter ça, je pense que je l’aurais déjà fait il y a bien longtemps. Toute cette tension, cet interdit, et le charisme avec lequel il arrive à imposer ses choix ne font que me donner des papillons dans la culotte. William paraît tellement fébrile à côté de lui, qu’il pourrait le bouffer. Mais je garde espoir en me disant qu’il reste encore une dernière barrière qui n’est pas franchie.
De retour chez Jimmy, en déballant les sacs, je m’aperçois qu’il est monté en gamme sur l’apéro. On n’est plus sur de la petite bière locale à 4 volts, mais sur des alcools bien plus forts : Whisky, Gin, Vodka, et tout ce qu’il faut pour le parfait cocktail de la soirée qui va partir en vrille. J’appréhende beaucoup le reste de la soirée, mais en même temps, tout cela me rend très curieuse, j’attends de voir ce que Jimmy a derrière la tête.
Assise en tailleur au sol, la soirée commence finalement plutôt bon enfant. L’alcool déballé et les premiers verres descendus, les langues commencent un peu à se délier, William s’est un peu décontracté, et adresse finalement de nouveau la parole à Jimmy sans a priori, autour de traditionnelles parties de Mario Kart à trois joueurs où la qualité de la conduite est inversement proportionnelle à la quantité d’alcool ingérée de chacun. Je félicite d’un baiser chaque manche gagnée par mon chéri, et d’un “bien joué !” distant à chaque manche gagnée par Jimmy, accompagné par un regard qui en dit bien trop. Je ne peux d’ailleurs pas m’empêcher de jeter un coup d’œil au niveau de son entrejambe, cette fois-ci recouvert d’un pantalon, ce qui n’arrange pas mon voyeurisme.
Au bout de quelques verres, Jimmy commence à devenir de plus en plus libéré et fait quelques allusions salaces sur mon corps et mes formes, auxquelles je réplique tant bien que mal. Attrapant des chips sur la table, il lance le sujet tabou de la soirée :
— Bon alors, il me semble qu’un défilé était de rigueur ce soir !— Mais non, laisse-la tranquille, tu vois bien qu’elle n’est plus en l’état, réplique William.
Je sens bien que l’excuse qu’il cherche à me trouver trahit que l’idée de ce défilé ne l’enchante pas vraiment, et que justement il n’ose pas dire que c’est lui qui ne veut pas.
— Mais justement, comme ça elle sera plus à l’aise et on pourra donner un meilleur avis sur comment ça lui va !
Comme à l’accoutumée, Jimmy a toujours de bien meilleurs arguments. William rechigne, mais le regard insistant de Jimmy finit par le faire accepter. Ce regard, je le connais, c’est le même regard qu’il a avec moi quand il fait du chantage, lorsqu’il me laisse le choix entre le sucer ou révéler une vidéo gênante à mon petit-ami. Il s’est passé quelque chose dans cette cabine qu’ils ne veulent pas me dire, et ça a, une fois de plus, profité à Jimmy. William finit à demi-mot par accepter.
Je me rends donc dans la chambre où sont entassés les sacs de shopping, ferme la porte, et commence à me déshabiller pour enfiler un de mes ensembles. Je ne porte plus rien à part un petit tanga en dentelle (qui dévoile juste ce qu’il faut aux regards les plus aiguisés) et un soutien-gorge assorti. Au moment de prendre la poignée de porte en main, je me rends compte que je suis complètement désinhibée : je m’apprête à défiler devant mon copain et un ami, en sous-vêtements très suggestifs, sans aucune gêne qu’il soit, sans aucun regret. Aucun regret de m’afficher devant un simple ami en présence de mon compagnon, presque dénudée, où je ne suis plus sûre de savoir si je cherche à plaire davantage à l’ami qu’au compagnon. Je ne sais pas si c’est l’alcool, le fait que finalement on a déjà franchi de nombreux caps avec Jimmy, ou les deux, qui me rendent si libérée à l’idée de me promener à poil devant ces deux gars. Au point où on en est, advienne que pourra. J’ouvre la porte.
Pieds nus, je tente d’avancer vers le salon telle une future Miss France qui cherche à se vendre auprès du jury. Un pied devant l’autre, mes mains sur ma taille, je pivote sur moi-même pour qu’ils puissent bien prendre la teneur des événements. Après une première tournée de compliments subtils, je retourne vers la chambre pour enfiler l’ensemble suivant.
D’une couleur différente, mais encore un peu plus révélateur avec une dentelle presque transparente, je sors à nouveau de ma cabine improvisée pour présenter mon nouvel ensemble. Et là, je vois bien que je commence à atteindre la limite de William. Je tourne la tête vers lui, et je vois qu’il observe Jimmy du coin de l’œil, puis me regarde fixement, la bouche figée, comme pour dire “on voit presque tout, là”, mais sans utiliser ses cordes vocales. Je fais mine de ne pas avoir compris, et continue mon défilé en pimentant même la scène avec une petite séance de twerk devant William afin d’être dos à lui et de ne pas lui permettre de me faire les gros yeux. Je remue mon popotin à quelques dizaines de centimètres de lui, en me cambrant au maximum.
Après quelques secondes de ce traitement à ne pas savoir ce qu’il fait, pense ou regarde, d’un pivot sur moi-même telle une danseuse ballerine, je fais la même chose devant Jimmy. Je regrette d’abord quelques instants ce pivot rapide, car l’alcool a multiplié par 10 le tournis subi, mais je reprends très rapidement mes esprits pour commencer mon twerk devant lui. Mais à l’inverse de William, Jimmy s’avère être bien plus tactile et commence à poser ses mains de part et d’autre de mes hanches et sur mon cul. Je ne réagis pas, le laissant faire, et j’entends alors justement William protester :
— Euh, s’il te plaît...— Bah quoi ? Réponds Jimmy.— Enlève tes mains s’il te plaît, répond fébrilement William.— Oh ça va, c’est pour se prêter au jeu ! Et puis tu m’as bien dit tout à l’heure dans la cabine d’essayage que ça ne te dérangeait pas de partager ses belles formes non ?
Je fais mine de ne rien entendre et continue ma petite danse, encouragé par les mains de Jimmy qu’il n’a absolument pas retirées. Pour toute réponse, William dit juste un petit “juste comme ça alors” avant de se recaler au fond de son fauteuil. Je me retourne, légèrement peinée de voir William ainsi. Jimmy, toujours plein de ressources, remarque mon changement d’attitude, et rebondit aussitôt pour relancer la situation :
— Vas-y viens on va défiler nous deux aussi ! propose-t-il à William.— Euh défilé de quoi ?— Bah pareil, en caleçon ! Comme ça elle peut nous juger aussi !— Euuh...— Allez viens !
Il ne lui laisse alors pas trop le choix, en le tirant par le bras pour l’emmener dans sa chambre à lui, me laissant seule dans le salon, en sous-vêtements. Je décide de m’asseoir dans le fauteuil de Jimmy pour attendre leur retour, et en m’asseyant, je remarque que ma culotte est légèrement humide. Je ne suis que moyennement surprise que cette situation m’excite quelque peu.
Quelques instants plus tard, les voilà qu’ils reviennent, en portant chacun juste un simple caleçon, et en essayant de défiler tels des gogo-dancers avec très peu d’expérience. William est le premier devant, très maladroit, et essaye tant bien que mal de se montrer sous son meilleur jour et, clairement, de paraître attirant et excitant. Il passe lentement son petit cul devant moi (il sait que je ne résiste pas à ses petites fesses), sur lequel je passe mes mains, puis se retourne, pour montrer son paquet sous son caleçon qui semble au repos, avant de laisser place à Jimmy qui en fait autant.
Mais à l’inverse, Jimmy s’avance avec bien plus d’assurance, et surtout beaucoup plus de muscles, un cul qui paraît bien plus ferme, et lorsqu’il se retourne, un paquet bien plus imposant sous son caleçon qui tente difficilement de cacher sa demi-molle. Je me lève et reprends un petit booty-shake devant lui, espérant toucher sa queue en déguisant ça sous un geste maladroit. Face au fauteuil, dos aux garçons, je réussis avec succès à sentir son membre sur mon cul en reculant parfois “accidentellement” un peu trop, ce qui fait d’autant plus monter ma chaleur corporelle.
Sans doute toute rouge, je finis par me retourner pour voir l’état des deux mâles derrière moi. William est derrière Jimmy et observe sans rien dire, par contre Jimmy a clairement apprécié mon traitement : sa queue a atteint sa taille maximale, et une partie de son membre ainsi que son gland dépassent désormais de sa cuisse gauche. Machinalement, abandonnée à lui, je me mets à baisser ce boxer pour libérer l’étreinte. C’est à ce moment-là que William décide enfin à intervenir :
— Eh, tu fais quoi là ?
Je n’ose rien dire, et le regarde avec honte. Ça y est, il va mettre un stop à tout ça, enfin ! Il reprend :
— Que tu mates et que tu pelotes, OK à la limite, ça peut passer, mais là c’est non, je refuse qu’elle te caresse ou je ne sais quoi !
Jimmy se retourne, la queue fièrement dressée pointée vers William :
— J’accepte de tout arrêter, à la condition que tu nous prouves que cette situation ne t’excite pas.
Perdus, William et moi croisons nos regards, et baissons nos yeux immédiatement vers son caleçon avant de comprendre où Jimmy voulait en venir : William bandait ! Jimmy reprend :
— A en voir ton boxer tendu, j’ai la sensation que voir ta copine tripoter ma grosse queue te fait plutôt plaisir, je me trompe ?— Mais... Ça n’a rien à voir !— Écoute, on se détend, on a bien bu, on est tous les trois bien chauds, pourquoi ne pas juste profiter de l’instant et oublier tout ça demain ? On s’amuse entre amis consentants et ça s’arrête là.— Mais j’ai pas envie que vous couchiez ensemble !— Promis, je ne coucherai pas avec Auriane. Ça te convient si elle s’occupe de moi juste avec ses mains et sa bouche ?
Devant l’air compatissant de Jimmy, insistant sur le fait que c’est juste pour le fun et pour que tout le monde s’amuse, il réfléchit un instant avant de se retourner vers moi.
— Hum... Tu en dis quoi mon cœur ? Tu en as... envie ?
Mince, je ne pensais pas devoir donner mon avis ! Mais l’excitation est trop forte pour que je refuse maintenant, surtout que William ne semble pas contre l’idée de s’amuser un peu. Si je peux avoir son approbation, ça ôterait de ma culpabilité pour tout ce qui s’est déjà passé avec Jimmy jusque-là... Même si je suis un peu triste au fond qu’il refuse que Jimmy plante sa queue entre mes cuisses, car c’est tout ce dont j’ai envie là tout de suite ! Dans tous les cas, je profite de cette occasion pour au moins avoir moins de remords :
— Ou... Oui. Jimmy a raison, on devrait s’amuser un peu tous ensemble, on est trois adultes consentants, autant tester de nouvelles choses ! Tu ne penses pas ?
J’essaie tant bien que mal de garder un ton neutre pour cacher l’excitation et le fait que j’attends ça depuis un long moment, tout en justifiant le fait que je sois d’accord. Suite à mon acquiescement, je vois bien que William ne s’attendait pas à ce que je réponde positivement, mais semble être en mode “je vais faire au mieux pour en profiter”.
Jimmy propose que tout le monde se déshabille, sachant que lui a déjà perdu son caleçon quelques minutes auparavant. Il me contourne, puis s’attelle à retirer mon soutien-gorge, suivi de mon tanga, avant de prendre mes fesses à pleine main, tel un trésor qu’il peut enfin posséder. Il me pelote d’une main ferme, et je dois dire que c’est plutôt agréable d’être vue à ce point comme un bijou tant convoité. Je commence à passer ma main le long de la queue de Jimmy avant de serrer ma main autour (ou en tout cas ce qui passe dans ma petite main) et d’entamer de lents va-et-vient.
Devant moi, William retire son caleçon seul dans son coin, avant de venir nous rejoindre sur le côté comme pour venir surveiller qu’on ne fait pas de conneries. Avec mon autre main, je prends également la queue de William en main, qui, bien qu’elle soit tout aussi dure, paraît réellement minuscule maintenant que je la vois à côté de celle de Jimmy. Obnubilée par ce gros membre, au final je me rends compte que je ne fais que tenir la bite de William dans ma main, et ne m’occupe pas vraiment de lui.
Impatiente, après quelques minutes de caresses avec les mains de Jimmy sur mon cul et ma chatte, et celles de William sur mes seins, je me mets à genoux pour venir passer ma langue sur le gros gland offert devant moi. Après tout, il m’a bien autorisée à le sucer, donc à défaut de pouvoir la prendre dans ma chatte, autant que j’en profite un maximum ailleurs ! À nouveau, pour masquer mon excitation, je me concentre un peu plus sur ma main gauche pour branler un peu William, alors que je commence à engloutir Jimmy. Comparé aux autres fois, j’essaye de mettre un maximum de longueur en bouche, même si je n’arrive toujours pas à dépasser la moitié.
Après quelques minutes à lécher et aspirer tous les recoins de sa queue et de ses couilles, William s’impatiente de n’avoir seulement eu que ma main gauche depuis tout à l’heure :
— Hum, allez, à mon tour maintenant !
A l’instant même où je retire ma bouche, Jimmy prend sa queue en main et pointe son gland vers William :
— Bah vas-y, je t’en prie, dit-il en souriant.
Je mets un instant avant de comprendre ce qu’il demandait : il proposait à William de le sucer ! William le regarde avec un air dégoûté, et refuse, en disant qu’il préfère plutôt ma bouche sur sa queue. “Dommage”, répliqua Jimmy.
Je commence alors à m’affairer sur le vit de mon petit copain, tout en imaginant ce à quoi pourrait ressembler justement William en train de sucer Jimmy. Arriverait-il vraiment à le convaincre de réaliser une telle chose ? Je ne pense pas.
Alors que je m’applique à faire plaisir à William, je sens les doigts de Jimmy s’immiscer dans mon antre humide. Il agite ses doigts à l’intérieur, avant de ressortir caresser mon clitoris, puis de replonger à l’intérieur, et ainsi de suite, ce qui me fait lâcher de petits gémissements. Cela semble déplaire à William, et à juste titre, car il n’a jamais vraiment réussi à me faire réellement du bien avec ses doigts. C’était certes agréable quand il me le faisait, mais... sans plus.
Un peu jaloux des prouesses de son concurrent, il propose de venir me titiller le clito avec sa langue, sauf que le salon ne s’y prête pas : le fauteuil n’est pas pratique et le carrelage froid ne tente pas mes petites fesses. Jimmy propose alors d’utiliser son lit, qui sera bien plus confortable pour tout le monde. Jimmy devant, nous le suivons jusque sur son lit, où il nous laisse vaquer à nos occupations en disant qu’il va juste se caresser en nous regardant. William et moi entamons alors un 69, lui en dessous, où il commence à me lécher le clitoris pendant que je reprends mes mouvements de bouche sur sa queue. Du coin de l’œil, j’observe Jimmy en train de se masturber lentement en nous regardant.
Après quelques dizaines de secondes à peine, je sens déjà l’orgasme arriver. Toute cette excitation, d’avoir mon amant en train de se branler en me regardant me faire bouffer la chatte, d’avoir senti ses doigts me tripoter avant, d’avoir pu frotter mon cul contre lui, tout ça me fait rapidement monter la pression et je sens l’orgasme arriver dans les prochaines secondes. Je sens ma cyprine dégouliner, les yeux fermés, je profite de ce moment en imaginant que ce soit Jimmy qui me procure ce plaisir intense.
Mais c’est alors que soudainement, je sens quelque chose se poser entre mes lèvres intimes, et se frayer un chemin tout doucement à l’intérieur... Et c’est gros ! C’est très gros ! Ça me remplit entièrement jusqu’à atteindre le fond et... Oh putain ! C’est Jimmy ! Oh oui, il a se queue au fond de moi ! Oh c’est trop bon, oh ouiiiii !
Je lâche un gros “Aaaaahhh” de soulagement et de jouissance, alors que je me sens littéralement me vider, et sentir mes cuisses devenir plus humides que jamais. Il m’avait fait jouir en insérant sa queue au fond de moi alors que William s’occupait de mon petit bouton ! Je reste quelques instants sans bouger, pour reprendre mes esprits, toujours avec cet énorme gourdin qui entame de lents va-et-vient dans la chatte, avant que William ne me ramène à la réalité :
— Eh putain tu fais quoi là !? Dégage ta queue de là !
Mais mes sensations étaient trop fortes. Ça ne pouvait pas s’arrêter maintenant, ça fait des jours que j’attends ça et maintenant qu’on y est, je ne reculerai pas. Il fallait qu’il me ramone et qu’il me défonce avec sa grosse queue, donc au moment où William tente de se débattre, je lui attrape les jambes et interviens :
— Ta gueule, laisse-le me défoncer, c’est trop bon putain !
Coincé entre les jambes de Jimmy qui lui cale la tête, et moi affalée sur son visage et agrippée sur ses jambes, je réalise rapidement d’un coup d’œil derrière moi que William ne peut pas bouger et est forcé d’avoir son nez sur ma chatte, et les yeux devant la queue et les couilles de Jimmy qui avancent et reculent au rythme des clapotis de ma mouille. Il est obligé d’assister à cet adultère, aux premières loges. Sentir enfin sa queue si dure, si grosse et si longue en moi est une délectation, je ne me suis jamais sentie autant remplie et je n’ai jamais eu autant de plaisir à me faire juste baiser en levrette. Je kiffe ma race.
— Enfin je peux te défoncer la chatte ! J’attends ça depuis si longtemps ! s’exclame Jimmy.
Je suis excitée comme jamais je n’étais excitée. Je repense au premier jour, où William a léché le sperme à moitié séché de ma chatte en ne le sachant pas, où il a mangé une chips qui avait trempé dans ma mouille, et aujourd’hui il est directement à la source, à lécher ma mouille mélangée aux sécrétions de la queue de Jimmy qui est en train de me baiser dans la meilleure levrette de ma vie.
D’une main, je tente quand même tant bien que mal sous les assauts de Jimmy de prendre la queue de William en main pour rendre au moins la situation agréable pour lui en le masturbant lentement. Mais à peine je commence à le masturber, il se met immédiatement à lâcher des jets de sperme sur ma main.
— Mais... William ?
Il ne répond pas.
— Je rêve ou... Ça... T’excite que je me fasse prendre par Jimmy ?— Haha, il prend son pied aussi notre petit cocu ! J’étais sûr qu’il allait aimer !
William ne répond toujours pas, et de là où je suis je ne peux pas voir son visage. Je pense qu’il a un peu honte, et de toute manière tous mes sens sont actuellement concentrés ailleurs. Jimmy ne réduit pas en rythme et continue de me pilonner en alternant l’intensité pile comme il le faut, pour mon plus grand bonheur. Je prends mon pied comme jamais à sentir les aller-retour de sa queue m’élargir le vagin comme jamais il ne l’a été, accompagnés de claques sur le cul. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens à nouveau la langue de William s’agiter sur mon clitoris. Pourquoi fait-il ça ? A y réfléchir, je me dis que du coup, sa langue entre sûrement aussi en contact avec la queue ou les couilles de Jimmy !
Il ne me faut que peu de temps avant d’atteindre un deuxième orgasme, toujours aussi puissant, contractant mon vagin autour de la queue de Jimmy. Toute cette organisation semble avoir son petit effet, puisque Jimmy annonce alors qu’il ne va pas tarder à jouir à son tour :
— Oh t’es trop bonne Auriane ! Je vais te remplir la chatte !— Non ! S’il te plaît, ne jouis pas dedans ! Supplie William.— Désolé mec, mais je peux pas sortir, pas maintenant, reprend-il en accélérant le rythme.— Pitié...— Surtout ne sors pas ! Remplis-moi ! Fais-moi déborder la chatte !
Je me surprends à dire ça, remplie d’excitation à l’idée qu’il inonde enfin directement ma chatte sous les yeux de William. Putain je crois que ça me plaît plus que prévu. Comme à son habitude, Jimmy ne peut s’empêcher de lâcher des mots salaces avant de jouir :
— Oh putain oui je vais enfin remplir ta chatte ! Je vais lâcher tout mon jus bien au fond, bien au chaud entre tes cuisses ! Ça va dégouliner sur ton copain !— Oh oui Jimmy, vas-y !— T’es tellement une bonne salope Auriane, j’aurais dû te baiser y a bien longtemps !— Oh oui tu aurais dû !— William t’es prêt à avaler ce qui va couler ?— Non ! dit-il en tournant la tête.
Toujours coincé entre Jimmy et moi, il n’a pas vraiment le choix. Et, au fond, j’ai envie de pousser le vice jusqu’au bout. J’ai envie de le voir officiellement boire le sperme de Jimmy, qu’il a déjà goûté sans le savoir. Sur un ton amoureux et doux, je lui dis alors :
— S’il te plaît mon amour, fais-le pour moi. Avale son sperme pour moi, ça m’excite tellement. Laisse-moi le faire couler dans ta bouche.
Il n’a pas vraiment le temps de répondre, car je crois que ma demande a fait atteindre l’orgasme à Jimmy, qui vient de se planter tout au fond de ma chatte en gémissant très fortement :
— Aaaaaahhh putain ouais ! Tiens prends tout ce que j’ai dans les couilles ! Tiens ma belle salope, ta récompense !
Je le sens se contracter à plusieurs reprises et je sens la pression de ses jets heurter le fond de mon vagin. C’est divin. Je ne peux qu’imaginer et presque jalouser la vue qu’a William, voir sa grosse queue expulser ces litres de sperme en voyant sa tige se tendre, voir ses couilles se vider, le trop-plein déborder. Je suis pleine. Dans tous les sens du terme. Repue, satisfaite. Mais il me reste encore une étape : vider tout ça dans sa bouche.
— Tu es prêt mon amour ? Ouvre la bouche.
Je vois qu’il l’ouvre, alors qu’il a déjà quelques gouttes au bord des lèvres. J’aligne ma chatte par rapport à sa bouche, la queue de Jimmy servant de bouchon pour ne pas que ça coule, puis il se retire alors que je me redresse pour que ça tombe directement au fond de sa bouche. Le gland encore humide et recouvert de sperme de Jimmy tombe alors sur le front de William, qu’il tartine de jus. Il ne dit rien, en avalant successivement la quantité phénoménale de sperme qui coule de moi. Je lui demande de lécher pour être sûr qu’il n’en reste pas, ce qu’il fait avec amertume. Je m’écroule ensuite sur le lit dans un dernier gémissement.
Il est tard, moi je suis déjà allongée sur le lit de Jimmy et je ne compte pas bouger. Jimmy dit alors à William :
— Bon bah, moi je vais dormir là à côté d’elle. Tiens, t’as qu’à dormir là.— Là ? Par terre ? Mais je peux pas dormir de l’autre côté d’Auriane ?— Non y a pas de place, c’est par terre ou sinon tout seul dans l’autre chambre, et tu me laisses alors dormir seul avec Auriane.— Bon...
Je crois bien distinguer qu’il s’est effectivement couché au sol... Pas le temps de vérifier, Morphée m’a déjà emmenée, je n’ai plus d’énergie. On parlera de tout ça demain.
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