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Auriane se redécouvre... Au détriment de son copain

Chapitre 5

C'est trop

Avec plusieurs hommes
La lumière s’immisce à travers les interstices du volet de la chambre, ainsi que par la porte qui est restée grande ouverte. J’émerge lentement… J’ai super mal à la tête. Et au dos aussi. Hmm. Ah oui, c’est vrai, j’ai dormi par terre. Ah oui, je suis dans la chambre de Jimmy. Je ne voulais pas qu’ils refassent quoi que ce soit sans que je sois là. Hmm oui Auriane a dormi avec lui… Ah oui, ils ont baisé hier devant mes yeux, littéralement. Et j’ai avalé tout son sperme, qu’il avait directement pompé de ses couilles jusqu’au fond de la chatte d’Auriane, sur demande de ma copine…
…Et j’ai aimé ça.
Enfin, je crois. Tout ça me laisse une grosse boule au ventre. J’ai l’impression de la perdre, qu’elle va me quitter pour Jimmy juste parce qu’il a une grosse queue et qu’en plus il sait s’en servir, et que j’ai perdu toute virilité après m’être rabaissé hier soir…
Et d’un autre côté… Je n’ai jamais autant été excité. J’étais tellement excité que j’ai joui en quelques secondes à peine lorsque Auriane a commencé à me branler alors que je regardais simplement l’amant de ma copine aller et venir dans son entrejambe. J’étais dégoûté à l’idée d’avaler à nouveau son sperme, et pourtant je n’ai pas pu dire non lorsque Auriane m’a demandé d’ouvrir la bouche… Parce que je veux lui faire plaisir, répondre positivement à ses envies et ne pas la frustrer. Parce que je l’aime. Si c’est le prix à payer pour rester avec elle, alors ainsi soit-il. Surtout qu’au fond, même si mon cœur dit non, ma queue dit oui, donc peut-être que j’arriverai à trouver un accord avec moi-même. Et avec un peu de chance, c’était juste un coup d’une fois, et maintenant qu’elle a eu ce qu’elle voulait, ça va s’arrêter là.
La chaleur de la nuit et l’épuisement d’hier ont fait que nous avons tous dormi à poil. Je commence à ouvrir les yeux pour constater l’ampleur de ce qui m’attend aujourd’hui, et me souviens que j’étais couché au sol du côté de Jimmy. L’autre côté du lit est presque accolé au mur, donc il ne m’étais pas trop possible de dormir du côté d’Auriane. Ce souvenir est vite confirmé une fois ma vue en état de marche : la première image qui arrive à mon cerveau est sa tête tournée vers moi, les yeux fermés. Naturellement, mon regard descend le long du matelas, et la deuxième image du matin est sa queue molle, à moitié décalottée, qui dépasse du matelas en pointant dans ma direction. Si je pouvais penser que ce qui s’est passé hier était un cauchemar, tout cela me ramène bien dans la réalité.
Je m’étire lentement pour terminer ma phase de réveil, et en rouvrant les yeux, je remarque que Jimmy réajuste son bassin pour vraiment mettre sa queue au bord, pointée vers moi. Je pense la voir se contracter, comme si elle me disait bonjour, mais je ferme les yeux pour arrêter les délires de mon imagination. Il faut que j’arrête de penser comme si sa queue était vivante, et d’en être autant fasciné.
Mais alors que j’ai refermé mes yeux, une sensation étrange de fraîcheur tombe sur moi. Je m’imagine d’abord qu’il s’agit d’un petit courant d’air bienvenu dans cette matinée d’été déjà bien chaude, avant de me rendre compte que c’est humide, qu’on est plutôt en train de me verser quelque chose dessus ! Je rouvre aussitôt les yeux, et me rends compte que Jimmy est en train de me pisser dessus !
Je me débats aussitôt et me lève, tentant d’éviter le jet de Jimmy, qu’il oriente discrètement vers moi. Avant que je puisse réagir, il prend directement la parole, feignant de l’avoir réveillé :
— Gnnn… Pourquoi tu gesticules et tu sautes autant ?— Tu m’as pissé dessus putain !— Haha mais n’importe quoi ? Tu t’es pissé dessus tout seul ouais !
Auriane se réveille et se retourne alors en demandant ce qu’il nous arrive. Je tente de lui expliquer tant bien que mal que Jimmy m’a pissé dessus par-dessus le bord du lit, et qu’il essaie de me faire porter le chapeau. Jimmy se défend, disant qu’il s’est levé pisser pendant la nuit, et que jamais de la vie il n’aurait pu viser aussi bien par-delà le lit, et effectivement tout porte à croire que c’est moi qui me suis lâché pendant mon sommeil. Je sens bien qu’Auriane est légèrement écoeurée à l’idée que je me sois pissé dessus comme un gosse, et n’est pas convaincue par ma justification.
Jimmy me somme donc d’aller directement dans la salle de bain :
— Allez va te laver gros crado, et fais gaffe de pas mettre de la pisse partout sinon je te la fais lécher !

Résigné, je me dis que je m’expliquerai plus tard seul à seul avec Auriane, de toute manière elle ne m’écoutera pas tant qu’il est dans les parages, et puis j’ai hâte d’enlever l’odeur de pisse qui me traîne dans le nez. Je m’avance jusqu’à la salle de bain, suivi par Jimmy puis Auriane qui sortent également du lit. Alors que je suis sur le point d’entrer dans la cabine de douche, Auriane m’interpelle :
— Attends ! Faut que je fasse pipi d’abord ! Toi t’as déjà fait mais moi j’ai une envie pressante… Vous pouvez sortir deux minutes ?
En effet, ici les toilettes sont juste à côté de la douche, et Auriane a toujours été pudique sur ses besoins.
— T’as vraiment besoin qu’on sorte pour que tu fasses pipi ? S’étonne Jimmy.— Oui, elle a besoin, allez sors, insistai-je pour la défendre.— Déjà toi, si tu sors, tu vas me remettre de la pisse partout. Et puis, j’y pense, au point où on en est, pourquoi ne pas être écolo et éviter une chasse d’eau ?— Comment ça ? S’interroge Auriane.— Bah t’as qu’à lui pisser dessus dans la douche, toute façon il a déjà trempé dedans, tu peux lui faire sur les pieds et comme ça il ne sort pas de la douche et il n’en met pas partout.— Hum, mais j’ai jamais fait ça…— Y’a une première fois à tout ! Tu verras tu vas kiffer !

****

Je n’en reviens pas que Jimmy me demande de pisser sur les pieds de William ! Du coup, je me demande si ce n’est pas vraiment lui qui s’est vidé la vessie dans la chambre et non pas William…
J’ai toujours eu du mal à faire mes besoins ailleurs que dans des toilettes, même quand il faut que je fasse en pleine nature, c’est toujours compliqué, mais je dois admettre qu’il y a un petit côté excitant à braver certains interdits et tabous, un peu comme hier où j’ai failli jouir à nouveau quand William a bu le sperme de Jimmy. Mon dieu, qu’est-ce que je deviens ? En quoi est-il en train de me transformer ?
— Je veux bien essayer… Tu veux bien, mon amour ?— Au point où j’en suis…
Je me surprends à être à nouveau mielleuse en lui demandant quelque chose d’horrible. William avance alors dans la cabine de douche, et je le rejoins debout à côté de lui. J’essaie alors de faire pipi mais… Rien ne vient. Le fait d’être debout pour faire pipi n’est pas très naturel pour moi, et il faudrait que je sois accroupie, sauf que la douche n’est clairement pas assez grande pour nous deux si je me mets ainsi. La seule manière serait qu’il se glisse sous moi :
— Ça ne vient pas, il faudrait que je me mette accroupie. Tu veux bien te glisser sous moi ? J’aimerais bien le faire… sur ton torse…
Il s’exécute. Je me rends compte qu’à partir du moment où je demande gentiment, il répond au moindre de mes désirs sans poser de questions. Il a l’air prêt à tout pour me garder… Jimmy regarde, stupéfait de voir avec quelle aisance j’exerce mon contrôle sur mon copain.
William allongé, ses jambes dépassent de la douche, mais je peux enfin m’accroupir en mettant mes jambes de part et d’autre de son ventre. Ma chatte au-dessus de son torse, je suis pour le moment surtout trempée de mouille, mais je sens que mon pipi arrive. Quelques secondes après, voilà le jet qui arrive - et quel jet ! Je n’ai pas été pisser depuis toutes les bières que j’ai avalées hier soir, du coup le jet est super fort, et part un peu dans tous les sens, ce qui fait que William s’en prend sur le torse, sur le ventre, et même sur le visage, sans compter les éclaboussures. L’humilier ainsi m’excite tellement, je n’ai jamais autant pris de plaisir en faisant simplement pipi.Le jet se tarit, et il est temps de m’essuyer. Jimmy, fidèle à lui-même, propose à nouveau un événement dégradant pour William :
— Pas besoin de papier, il a qu’à utiliser sa langue !— Oh !... (je n’ai pas pu m’empêcher d’échapper un gémissement)— Mais t’es sérieux ? Désolé mon coeur mais non, je vais pas lécher la pisse qui reste sur ta chatte ! Se révolte William.
Je passe mon doigt sur ma chatte, et collecte avant tout toute la mouille qui y est présente, pour la montrer à William.
— Regarde mon coeur, regarde comment cette situation m’excite. Regarde comment TU m’excites, alors que je t’ai juste fait pipi dessus. Si tu me lèches, je vais sûrement jouir. Tu ne voudrais pas me faire jouir avec ta langue ?— Si mais…— Sinon je peux demander à Jimmy de me faire jouir à ta place…— Non non ! M’interrompt William. D’accord, je vais te lécher, mais juste cette fois-ci, pour l’expérience.
****
Je me dis que lorsqu’elle verra que se faire lécher avec de la pisse n’est pas bien différent de se faire lécher habituellement, elle arrêtera ses délires. J’ai bon espoir aussi qu’une fois qu’elle aura tout essayé, on pourra revenir à notre vie d’avant, donc autant tout faire d’un coup.
Elle approche alors sa chatte se ma bouche, et je sors timidement ma langue pour commencer à la lécher. Le goût âcre et amer de sa pisse est mélangé aux effluves de sa mouille et à ma salive, ce qui me permet de ne plus trop sentir le goût au bout de quelques instants. Tout cela semble réellement l’exciter puisque effectivement, après quelques coups de langue à peine, elle commence à trembler et à être proche de l’orgasme. Il ne lui faudra que quelques dizaines de secondes à peine pour qu’elle jouisse, serrant ma tête entre ses cuisses, et lâchant quelques gouttes de pisse supplémentaires au passage.
— Bon allez, qu’il se lave, ça pue la pisse ! s’exclame Jimmy.
Auriane ressort de la salle de bain après s’être essuyée dans la serviette qui m’était destinée, avec Jimmy qui lance un dernier regard moqueur à William, avant de fermer la porte derrière eux. Il est temps de faire couler l’eau et toute cette saleté de moi.
J’espère que c’était la dernière lubie d’Auriane, et qu’on va pouvoir rentrer à la maison en paix. J’ai pris sur moi pour ces dernières 24/48h, comme ça elle a pu tout essayer, mais il est temps de rentrer maintenant et de revenir à une vie normale… Enfin, j’ai découvert certaines passions refoulées aussi. Je dois avouer que voir la grosse queue de Jimmy aller et venir entre les cuisses de ma copine m’excitait beaucoup… De voir le trou béant qu’il laissait lorsqu’il se retirait, chose que je suis incapable de faire avec ma bite. Hum.
Certes, c’est excitant, mais d’un autre côté je ne veux pas perdre ma virilité, et encore moins perdre ma compagne. Il est temps d’arrêter tout ça. Une bonne douche pour me remettre les idées au clair, et c’est parti.
****
Depuis hier, j’enchaine les orgasmes ! Je n’aurais jamais pensé que pisser sur William et le faire me lécher ensuite pouvait autant m’exciter ! Je n’arrête plus de mouiller depuis que je suis ouvertement sous les ordres de Jimmy, et que William ne me refuse rien, même (et surtout !) les choses les plus dégradantes. J’ai un peu de peine pour lui, mais… ça m’excite tellement que je ne peux pas m’en empêcher, surtout quand c’est Jimmy qui propose des trucs.
A peine arrivés dans la cuisine pour préparer le petit déj, Jimmy commence déjà à agiter sa queue devant moi, tout en se servant un jus d’orange :
— Bon, tu as joui, mais maintenant c’est à mon tour.— Hum… Je peux pas manger un truc avant ?— Oses encore une fois poser une question et tu n’auras que mon sperme comme petit déjeuner. Allez, à genoux, en bouche.
Je suis toujours impressionnée par la manière qu’il a de toujours être direct et brut dans ses demandes, car je ne peux jamais refuser la moindre de ses demandes. Je commence à me mettre à genoux, et à approcher mon visage de sa queue mi-molle, lorsque je remarque une odeur d’urine qui parvient à mon nez. Mon cerveau connecte alors les points ensemble : il n’est pas allé aux toilettes depuis le réveil, donc… C’est bien lui qui a pissé sur William ! Hum, je me surprend à regretter de ne pas avoir pu assister à l’événement de mes propres yeux. Pourquoi humilier William m’excite-t’il tellement ? Je demande tout de même confirmation :
— Ta bite sent l’urine… C’est toi qui a fait sur William en fait ?— Hum, peut-être. — Oh… Mais, j’ai pas envie de lécher ça moi !
Il prend un air mécontent, et je prends peur. Pour essayer de l’apaiser, je le masturbe doucement.
— J’ai peut-être une solution, répond-il. Je vais me rincer la queue dans ce verre d’eau, et tu vas me faire jouir dedans. Si tu me fais jouir avant que William ne sorte de la salle de bains, je lui ferai boire. Sinon, c’est toi qui devra le boire.
Je n’avais clairement pas envie de boire ce mix de sperme et d’autres liquides, donc je m’empresse d’accepter son deal. Il trempe le plus possible sa queue dans le verre et la remue dedans, pour tenter de la nettoyer, puis se la rince quand même au lavabo de la cuisine avec un peu de savon. Sa queue nettoyée, je me jette dessus comme une lionne afin de le faire jouir le plus vite possible.
— Une vraie petite cochonne, tu te jettes carrément sur ma queue !— Mmhhmm, répondais-je la bouche pleine.— T’as de la chance, te voir pisser sur William tout à l’heure m’a aussi bien excité, on peut lui faire tout ce qu’on veut à ce mec.
Je lui fais la totale : je lèche et caresse ses bourses, agite ma langue dans tous les sens sur son gland, le suce à tous les rythmes, accompagne ma bouche avec ma main, et je viens de temps en temps frotter son gland sur un de mes tétons. Au moment où on entend l’eau de la douche s’arrêter, je commence à être prise de panique, car non seulement William sortirait et aurait une vue directe sur moi à genoux en train de pomper Jimmy, mais en plus il assisterait à son éjaculation dans le verre, et à moi qui le boit. Fort heureusement, au même moment, fidèle à lui-même, Jimmy sort ses habituelles phrases crues avant de se lâcher :
— Oh putain oui ça vient, t’as tellement une bouche de suçeuse ! Bravo, t’as gagné le pari, c’est ce petit merdeux qui va de nouveau boire mon speeerme ! Aaaah !
Au moment où je le sens se contracter, je retire ma bouche pour placer du mieux possible le verre devant son conduit, tout en continuant de le masturber. La nuit a effectivement été productive, il y a de nouveau plusieurs jets qui sortent et s’écrasent au fond du verre. Moins que d’habitude, mais toujours plus que ce que William sort en général.
Pour dissimuler un peu le sperme, on décide de mettre un peu de sirop avec, pour éviter la teinte blanchâtre du liquide. A peine le temps de mélanger le verre avec une cuillière, que William sort de la salle de bains. On fait mine de rien, et terminons de préparer le petit déjeuner, en faisant bien attention au fameux verre. Installés à table, la tension semble s’être apaisée, comme si rien ne s’était passé ces deux derniers jours. Certes, on est tous nus, mais c’est bon enfant, sans attouchements ou allusions, à part William qui semble jeter quelques coups d’œil peu discrets à l’entrejambe de Jimmy, dont le bout est légèrement brillant suite à son éjaculation récente.
Au moment où William prend le verre de sirop, Jimmy et moi le fixons tous les deux, alors qu’il descend plusieurs gorgées du breuvage. Alors qu’il repose le verre, il nous voit tous les deux en train de le fixer. Jimmy éclate alors de rire.
— Quoi ? Demande William.— Hahaha, rien, rien, réponds Jimmy en riant.— …Vous m’avez fait boire quoi ? Vous avez mis quelque chose dedans ?
Jimmy continue de rire, avant de se reprendre, et de lui expliquer :
— Eh bien tu vois, j’avais envie qu’Auriane me suce, sauf qu’elle voulait pas lécher ma pisse, vu qu’elle a un peu plus d’honneur que toi.— Hum…— Du coup, je lui ai lancé un petit pari après avoir rincé ma queue dans ton verre, c’est que si elle arrivait à me faire gicler dans ce même verre avant que tu sortes de la douche, je te ferais boire le verre en question. Si elle avait échoué, c’est elle qui aurait bu le verre, mais du coup…— Tu l’as sucé pendant que je me douchais ?!— Oui, dis-je timidement.— Putain… Y’a d’autres trucs comme ça que je devrais savoir que vous avez fait sous mon nez ?— Eh bien…
J’entreprends alors de tout lui expliquer, depuis le début. Le clip et le sperme séché dans ma culotte et sur ma chatte. Le chips teinté de mouille. La pipe pendant qu’il était parti chercher des bières. Et j’ai confirmé les faits qui se sont déroulés juste avant. Il connait toute l’histoire désormais, en détails.
****
Je suis dégoûté. Dégoûté de tout ce qu’elle vient de me raconter. Ce n’est même pas le problème de ce qu’ils m’ont fait faire, d’avoir bu du sperme à mon insu ou autre, mais dégoûté qu’ils me cachent autant de choses depuis tout ce temps, autant l’un que l’autre. Je pensais que je pouvais avoir confiance en elle, mais il n’en est rien. Mais quand je vois qu’il a réussi à me convaincre de le sucer, je me dis qu’elle s’est juste laissée avoir comme je me suis laissé avoir.
Je décide de partir, seul. De rentrer, de méditer à tout ça, de savoir ce que je décide pour la suite. Je prends mes affaires sans rien dire, et claque la porte derrière moi.

...

Un peu plus de trois semaines se sont écoulées, sans que j’ai de nouvelles de sa part ou presque. Elle me manque terriblement et… J’ai pris ma décision. Je l’aime beaucoup trop, donc si elle veut fricoter à gauche et à droite, soit, qu’elle fasse, tant qu’elle ne me fait pas participer ou qu’elle m’humilie, et qu’elle reste ma compagne officielle et qu’elle rentre à la maison. J’en ferai autant, j’irai m’amuser de mon côté si l’envie m’en prend, comme ça on est quittes. Après tout, les couples libertins, ça existe, et beaucoup en sont très heureux.
Je décide alors de retourner chez Jimmy, après avoir prévenu Auriane qui m’a simplement répondu d’un "D’accord". Arrivé, je sonne à la porte, et voit Auriane qui m’ouvre comme si elle habitait ici depuis longtemps, et m’invite à rentrer. Elle me dit que je lui ai beaucoup manqué, et qu’elle comprenait que j’avais besoin de réfléchir.
Après quelques échanges de banalités et un câlin, je lui expose donc mon plan libertin, en lui demandant de revenir à la maison, et de ne plus me faire participer aux horreurs qu’elle pratique avec Jimmy.
— Désolée mon cœur, mais si tu veux qu’on reste ensemble, c’est moi qui pose les conditions. Ce sera à toi de suivre nos envies, et de faire ce qu’on te dit de faire. En récompense, oui, je resterai officiellement ta copine. Si tu n’es pas d’accord, tu n’as plus qu’à franchir à nouveau cette porte, et ne plus jamais revenir.
Je suis abasourdi par son ton bien plus direct et moins doux que les fois précédentes. Fini les “s’il te plaît mon amour”, elle sait clairement ce qu’elle veut, et elle veut profiter de moi. Suivre ses envies, c’est clairement devenir leur sextoy à vie, si ce n’est pas encore plus que ça.
J’ai envie de partir en courant, et pourtant, la revoir dans un tout petit top laissant transparaître ses tétons provoque immédiatement une érection dans mon short. Immédiatement, je commence à m’imaginer toutes les choses qu’elle a pu faire avec Jimmy, le nombre de fois qu’il a joui sur ou en elle, et tous les trous par lesquels il a pu passer. Être cocu m’excite, c’est sûr, mais j’ai besoin quand même d’un minimum de fierté.
Il faut que j’essaie. Essayons une journée. Si c’est vraiment trop pour moi, je m’en vais et je l’oublierai. Sinon, je m’adapterai.
— D’accord. Je ferai ce que vous voudrez tous les deux.— Parfait ! Alors viens, on a trop envie.
Je la suis jusqu’à la fameuse chambre qui a dû voir bien des choses. Jimmy est là, allongé et nu, la queue fièrement dressée. Auriane retire le peu de vêtements qu’il lui restait, le rejoint à côté, écarte les jambes, et m’ordonne :
— Prépare-nous.— Euh… C’est-à-dire ?— Fais pas genre tu n’as pas compris. Tu viens me lécher la chatte puis tu vas le sucer.— Mais… Sucer Jimmy ?— Arrête de jouer l’innocent, il m’a raconté que t’as kiffé le sucer dans la cabine d’essayage.— Ah…
“Allez hop !” dit-elle, impatiente, en me prenant par les cheveux et en m’amenant à sa chatte. Je la lèche pendant plusieurs minutes, avant que Jimmy signale qu’il souhaite que ce soit son tour. Je fais semblant de rechigner avant de me rappeler que de toute manière, Auriane est maintenant au courant, et je ne vais pas me le cacher, j’admire son membre, donc autant y aller. Je commence donc à m’affairer sur sa queue, à la sucer goulument, pour bien l’humidifier de partout. Il prend son pied au vu de ses gémissements, et je dois avouer que j’apprécie pouvoir jouer avec son énorme membre, qui rentre à peine dans ma bouche et que j’arrive tout juste à englober dans ma main. Ses couilles semblent pendre encore plus qu’avant, reposant sur le matelas en dessous comme un obèse qui aurait trop mangé.
Auriane, impatiente, réclame que Jimmy la lui mette. Elle me pousse avant de venir s’empaler sur son vit. Je suis derrière, et regarde le cul d’Auriane tout doucement descendre et avaler sa queue. C’est alors que je remarque qu’elle porte un bijou dans son cul !
— Attend, j’enlève mon plug, ça rentrera mieux.— Tiens, William, t’as qu’à lui lécher son trou de cul, reprend Jimmy.— Bonne idée ! Confirme Auriane.
Elle retire son plug, laissant un trou béant de son anus.
— Vas-y, lèche moi le fion.
J’approche ma langue de son trou, tandis que Jimmy remue lentement pour prendre du plaisir, tout en me laissant la lécher sans trop être secoué. En approchant, l’odeur n’est pas des plus agréables, ce qui fait que je pose timidement ma langue au bord dans un premier temps.
— Allez bouffes-moi le trou de balle putain !
Devant son agacement, je n’ai pas le choix, elle pousse ma tête et j’enfonce ma langue dans son petit trou. Le goût n’est vraiment pas terrible, mais je mets un maximum de salive pour inhiber ça. Elle semble apprécier le traitement, puisqu’elle remue son bassin et gémit lorsque je tente d’enfoncer ma langue au plus profond de ses entrailles. Après quelques minutes de léchage, elle se cambre franchement et je sens son anus se dilater d’autant plus… Et soudainement :
PRRRRT !
Elle vient littéralement… de me péter sur la langue. J’ai même peur qu’il y ait quelque chose de non-gazeux qui en sorte. "Oups, j’ai pas fait exprès !" dit-elle ironiquement et en riant. Je recule d’un coup, répugné, ce qui fait rire Jimmy qui commence alors à accélérer le rythme dans sa petite chatte serrée, maintenant que je ne suis plus accroché à son cul.
— Ah putain qu’est-ce que c’est bon de te baiser devant ton mec, ça me fais tellement kiffer !
Pendant des minutes qui me paraissent interminables, toutes les positions y passent : missionnaire, cowgirl, reverse cowgirl, et d’autres dont je ne connais même pas le nom, avant de finir en levrette. Comme la dernière fois, ils m’invitent à me mettre sous Auriane pour lui lécher la chatte, et cette fois-ci en bonus, ils m’invitent à prendre grand soin des couilles de Jimmy.Il rentre tout au fond, lentement, dans la chatte d’Auriane, lorsque ses bourses commencent alors littéralement à me taper le crâne tellement elles pendent. Il commence à aller et venir lentement dans son minou, en s’arrêtant parfois au fond, me permettant d’alterner entre ma langue posée sur le clito d’Auriane, et sur la queue ou les boules de Jimmy.
Le rythme accélère au fur et à mesure, jusqu’à arriver aux gémissements typiques de Jimmy qui annonce qu’il va lâcher sa sauce :
— Oh putain ça vient, ahh, je vais vider tout mon sperme au fond de toi ! Je vais t’engrosser Auriane !— Oh oui ! Remplis-moi le bide avec ton sperme ! Fous moi en cloque !
Je pense avoir mal entendu, puis me dit que ça fait peut-être parti du jeu, et qu’il ne parle pas vraiment d’un vrai gamin.
— Ahh putain, ça fait trois jours que j’ai pas joui pour t’en mettre plein aujourd’hui ! Si avec ça t’es pas saillie !— Saillie ? m’interrogeais-je désormais à voix haute.— Eh ouais mec, je vais lui faire un gosse à ta meuf.— Avec la pillule ? Bon courage.— Hahaha, elle a arrêté de la prendre quand t’es parti, et aujourd’hui c’est son jour de fertilité maximale !
Je deviens translucide. Auriane était très fertile de manière générale suite à des tests qu’elle avait passé à l’époque, et vu les litres que Jimmy est capable de sortir de sa bite, je n’ai aucun doute sur le fait qu’il soit lui aussi dans la tranche haute de fertilité. Ça explique pourquoi il n’a pas joui depuis 3 jours, prouvé par ses testicules énormes. Elles sont pleines.
— Mais… Auriane, tu veux pas ça quand même ? C’est moi ton chéri ? C’est mon enfant que tu veux non ? — J’ai pas envie d’un gosse qui soit une lopette comme toi. Je veux qu’il ait une grosse queue et qu’il fasse prospérer ma lignée comme le fait Jimmy là, hmmmm, avec sa bonne grosse queue, ahhh c’est trop bon.— Mais tu pourras l’élever et t’en occuper pendant que nous on s’amusera, t’inquiètes ! Ajoute Jimmy.— Ouais, hmm, on pourra dire que t’es le père, aah.
Je ne sais plus quoi dire.
— Ohh oui ça vient, ohhh putain  ! T’es prête à avoir tous mes petits nageurs qui vont faire la course vers tes ovaires ?— Ahhh oui vas-y, lâches tout avec toute la pression que t’as !— T’es une vraie chienne Auriane, saillie par une grosse bite de mâle dominant, hmm ! — Fais-moi toute une portée vas-y ! Aaahh ouii !
La comparaison entre la saillie d’une chienne et leur partie de sexe semble avoir fait jouir Auriane comme jamais, puisque ce que je pensais être le sperme de Jimmy était en réalité Auriane qui venait de jouer les femmes fontaine, m’arrosant complètement.
— Oh putain ça vient, oh putain, aaaaaaaaahhh !! Allez mes champions la course démarre ! Ahhhh faites ce qu’il faut à cette chatte en chaleur ! Ahh putain ouiiii !
Le spectacle, initialement intriguant, devient soudainement horrible. J’assiste à la fin de cet acte de procréation : je vois les couilles de Jimmy remonter tout doucement et se serrer, sa hampe accumuler la pression, puis se contracter au fil des jets qu’il doit lâcher avec une pression folle directement dans l’utérus d’Auriane, qui contracte son vagin au même moment. J’arrête de compter au bout de 7 ou 8 contractions, résigné, dépité.
Jimmy se retire alors, ce qui libère le trop-plein de sperme directement sur mon visage.
C’était trop pour moi. Je ne veux pas de ça. Je m’essuie le visage dans ses draps, prends mes affaires, et me casse.
— Va te faire foutre, toi et ton gosse.— Tiens, enfin tu fais l’homme et tu te rebelles. dit Auriane, toujours dans le lit de Jimmy. Son regard a changé, comme si elle était fière de moi. — Salope.
Je presse le pas pour partir en claquant la porte.
Fin.
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