Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 219 J'aime
  • 6 Commentaires

Aurore s'ennuie

Chapitre 1

Franchir le pas

Hétéro
Je suis mariée depuis deux ans avec Louis, qui fut un copain de fac avant que nous tombions amoureux l’un de l’autre.Il a poursuivi ses études plus longtemps que moi puis il a trouvé un job très bien payé, ce qui fait que je ne travaille pas. Nous nous aimons très fort, le seul problème c’est qu’il n’est pas souvent à la maison et quand il est là c’est pour récupérer de sa fatigue.C’est dommage parce qu’au début nous faisions l’amour tous les jours, et parfois plusieurs fois. Maintenant j’ai de la chance quand c’est une fois par semaine.Je passe ma journée dans des tâches assez peu gratifiantes, ménage, cuisine, repassage, et comme ça ne m’occupe pas toute la journée, je m’ennuie le reste du temps, on ne peut pas passer sa vie à lire ou regarder la télé.Cet après midi, je décide d’aller faire quelques courses au supermarché. Je profite qu’il n’y a pas beaucoup de monde pour flâner dans les rayons.J’avance avec mon chariot, ah, j’ai oublié un article et je recule sans regarder, je bute et je perds l’équilibre, je sens deux mains me saisir le torse et me retenir. Des mains puissantes mais très douces.— Oh, je vous prie de m’excuser, je vous ai marché sur les pieds ! Et merci de m’avoir rattrapée.Il m’a tenue un peu plus longtemps que nécessaire.— Je vous en prie, ce n’est rien. C’était même un plaisir.J’ai devant moi un homme jeune qui a une tête de plus que moi, il paraît plus costaud que mon mari. Tout en me disant ça, je sais que je ne devrais pas faire des comparaisons de ce style.Sa réponse me fait rougir, il sourit en le voyant.— Vous savez, ce n’est pas la première fois que je vous vois, il est difficile de ne pas remarquer une femme aussi jolie.— N’exagérez pas, monsieur, je pourrais croire que vous essayez de me séduire, n’oubliez pas que je suis mariée.— Le fait que vous soyez mariée ou non ne change rien à mon admiration pour vous.Je ne sais que penser et je me dis qu’il faut que je mette fin à cette conversation, mais mon corps répond le contraire, ce jeune homme est quand même très séduisant et je l’imagine bien me prenant dans ses bras.Justement il s’approche.— J’ai une folle envie de vous embrasser.— Vous êtes fou ! Pas ici !Qu’est ce que je viens de dire, moi aussi je suis folle!je le repousse doucement malgré mon désir qui monte.— Soyez sage, laissez moi finir mes courses.— OK, à tout à l’heure.Je m’enfuis, j’ai le feu aux tempes, qu’est ce qui m’arrive ? Je me croyais à l’abri d’une chose pareille, et pourtant !Je finis mes courses rapidement et je file à ma voiture remplir mon coffre, je reporte le caddie et je retourne à ma voiture. Je n’ai pas le temps d’ouvrir la portière quand je suis plaquée contre le voiture et que des bras m’enserrent.Il m’embrasse dans le cou, j’ai des frissons partout, je le laisse me retourner, je ne lutte pas, il pose ses lèvres sur les miennes, je réponds en ouvrant mes lèvres, il me serre contre lui, je sens son sexe contre mon ventre, notre baiser n’en finit pas, je le serre dans mes bras, je suis dans un état second. Je ne me reconnais pas.
Quand nos lèvres s’écartent enfin, je lui dis :— Viens chez moi, tu n’as qu’à me suivre.Nous prenons nos voitures, il me suit.Quelle idée me prend ? Je pourrais stopper cette aventure tout de suite, mais il est trop tard, c’est engagé. J’ai le ventre en feu, je serre les cuisses, je sens ma culotte se mouiller.J’arrête ma voiture devant ma maison, je vois que le jeune homme arrive, j’entre, il me suit presque en courant.A peine entrés nous nous jetons l’un contre l’autre, nous nous embrassons à pleine bouche, nos mains se promènent partout. Je l’entraîne vers la chambre, nos vêtements s’éparpillent sur le chemin du lit, nous sommes trop excités pour des préliminaires, j’écarte mes cuisses et j’ouvre ma chatte trempée pour recevoir son sexe. Dès qu’il me pénètre je sens la jouissance monter, je crierais s’il ne me bâillonnait pas avec sa bouche, je le serre fort de mes bras et de mes jambes.Il va et vient en cognant sur mon utérus, il ne tient pas longtemps, il se soulève.— Ahhh !, je vais venir !— Jouis dans moi, vas y !Il me fait jouir encore à chaque coup de reins qu’il donne en faisant gicler son sperme au fond de moi. Il reste un moment sans bouger avant de se retirer.Nous nous regardons couchés côte à côte en nous caressant.— Comment tu t’appelles ? Moi c’est Aurore.— Julien.— Qu’est ce que tu fais ?— Je suis étudiant en première année. Et toi ?— Comme tu vois, je suis femme au foyer, autrement dit, rien.Il me caresse plus intensément, les reins, puis mes seins, très vite il me reprend, nous nous soudons l’un à l’autre, il va et vient plus profondément mais moins vite que la première fois, je ne tarde pas à jouir de nouveau, nous roulons sur le lit, lui sur moi, moi sur lui, quand il n’a pas ses lèvres sur les miennes, elles sont sur mon cou, je frissonne de plaisir. Soudain je sursaute.— Attention, Julien, me fais pas de suçon !Il reprend ma bouche puis il change de rythme, un coup de reins, un arrêt, puis il recommence, je n’en peux plus, je n’arrête pas de jouir. Enfin il recommence de me pistonner mais de plus en plus vite avant de décharger sa semence une nouvelle fois dans mon vagin qui déborde.Nous sommes hors d’haleine et couverts de sueur. Nous nous reposons un moment, quand nous avons retrouvé notre souffle, je lui propose d’aller prendre une douche. J’ai la chance d’avoir une douche à l’italienne et on peut y aller facilement à deux.Nous nous glissons sous l’eau chaude et nous nous lavons mutuellement, évidemment nos ablutions ressemblent plus à des caresses et nous nous embrassons encore.Alors Julien recommence à bander, son sexe se dresse, je lui prends en main et je le branle doucement. Il me tourne et me fait prendre appui sur le mur, je me cambre et il m’enfile de nouveau, heureusement que je n’ai pas eu le temps de me vider la chatte, son sexe glisse tout seul, il me tient par les hanches et il me besogne comme une chienne que je suis devenue. Mes jambes ont du mal à me porter tandis que je jouis encore sous son assaut.Enfin il éjacule sur mes fesses une nouvelle dose de foutre gluant.Nous finissons de nous laver avant qu’il s’essuie et se rhabille. Il est temps qu’il parte car je crains que mon mari rentre bientôt.— Je voudrais te revoir, Aurore, tu veux bien ?— Laisse moi réfléchir, c’est si nouveau pour moi. Je te téléphonerai.Il me quitte après que nous nous soyons embrassés de nouveau. Après son départ, je me dépêche de remettre de l’ordre sur le lit, il y a des taches de sperme un peu partout que j’ai du mal à faire disparaître, de plus j’ouvre la fenêtre pour évacuer les odeurs de l’amour.Heureusement Louis rentre assez tard et j’accueille mon époux comme à l’habitude.Le soir, quand nous nous couchons, j’essaie de l’exciter car j’ai encore envie d’être pénétrée, je le branle, il a du mal à bander.— Mon chéri, ça commence à être un problème si tu ne peux plus rien faire.— Tu sais bien que je suis fatigué, chérie.— Oui mais si ça continue, il va te pousser de jolies petites cornes sur ta tête.— Ecoute chérie, si tu as des besoins, tu sais que tu es libre, je comprendrai. La seule chose que je te demande c’est que si tu fais un enfant, arrange toi pour qu’il me ressemble un peu, mes parents ne comprendraient pas que j’aie un fils bronzé.Je n’ose pas lui avouer mes turpitudes de l’après midi. N’empêche qu’il m’ouvre de nouvelles perspectives.— C’est comme tu voudras, chéri. Mais sache que c’est toi que j’aime.
Diffuse en direct !
Regarder son live