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On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche

Chapitre 11

Erotique
« Oh lalalala ! Mais pourquoi j’ai accepté ça moi ? » Je parle de faire ce que ma femme me demande pour maigrir. Ça c’était mon ressentiment lors de mon premier jour. Je m’étais acheté des chaussures de sport, la tenue short et T-shirt pour aller avec. Franchement je ne ressemblais à rien avec mon bandeau sur la tête. Rien à voir avec mon look habituel avec mon costard quand je pars au boulot. Imaginez la caricature du gros qui tente de faire du sport avec un short, des baskets, un bandeau autour de la tête et qui sue à grosse goute après avoir couru cent mètres. Voilà, Grosso-modo ce que ça donnait
J’étais complètement épuisé rien qu’avec le footing durant les premiers jours. Carole m’accompagnait mais elle était souvent loin devant. Je me souviens qu’un jour je m’étais arrêté en appuis sur un mur pour souffler un peu. Elle est revenue vers moi et a joué le rôle du sergent-chef tyrannique. Elle avait bien compris que la douceur ne me ferait pas réagir.
— Aller ! Ce n’est pas fini, espèce de gros sac.— J’en ai ras le cul. Disais-je en expirant très fort.— Bah alors ? On ne les veut plus ses nouveaux jouets ? Me demandait elle en soupesant ses seins devant moi.— Si, mais là t’en demande trop.— Sauf que ça ne se fera pas allongé dans le canapé à siroter une bière. Alors tu te bouges le derche. Aller ! Encore un dernier effort. On arrive bientôt. J’ai une idée, on fait la course et si t’arrives en premier, tu pourras me demander ce que tu veux.— C’est vrai ?— Sauf arrêter le sport.— Et merde !— Par contre au lit …. Je ne dis pas non. A vos marques, prêt, partez !
Et bien croyez-le ou non mais j’ai gagné. Après un effort qui m’a paru surhumain sur le moment (elle m’avait surement laissé gagner), j’étais sur les rotules et dégoulinant de sueur mais j’ai gagné …. Par contre, à peine rentré chez nous, je me suis écroulé dans le canapé. A ce qu’il parait j’ai dormi durant plusieurs heures d’un sommeil de plomb. J’en avais même oublié mon fils dont je m’occupe beaucoup quand je suis là, ne voulant pas en perdre une miette. A ce qu’il parait, Carole a essayé de me réveiller mais je ronflais comme un camion. Au boulot, mes collègues me voyaient avec une mine de déterré. Quand je leur ai dit que je m’étais mis au sport, ils se sont foutus de ma gueule. Carole s’est vite aperçu que ce qu’elle m’avait imposé était trop fort. Il faut dire que j’étais tellement fatigué le soir que je n’avais plus la force pour nos galipettes habituelles. Et puis il y avait notre fils. Même si je n’ai aucun doute sur les capacités de sa mère à s’occuper de lui, quand je suis là, que je lui donne son bain, que je lui donne à manger, que je joue avec lui, …. Il me regarde avec des yeux ronds et un sourire joyeux. C’est un moment privilégié. Quand je rentre, je le vois assis dans son parc en train de sautiller sur place comme si il m’attendait avec impatience. Depuis que je rentre complètement crevé du sport, déjà le sport empiète sur le temps que je passe avec mon petit bout mais en plus il le sent car il pleure de moins me voir. Carole, aussi se plaint car au lit c’est elle qui doit faire le boulot et elle en a un peu marre. Du coup elle a un peu baissé le régime ; ne serait-ce pour moins inquiéter ma mère qui avait peur pour moi avec cette histoire de perte de poids.
Plusieurs mois plus tard, ça allait beaucoup mieux. On avait trouvé un juste équilibre. J’étais moins fatigué après le sport (peut-être aussi que je commençais à m’y habitué) et je passais un maximum de temps avec mon fils. Au lit, nos galipettes semblaient durer plus longtemps et, contrairement à avant, j’en avais encore sous la pédale une fois terminé. Je maigrissais, ça je le voyais à mes cols de chemises et à mes pantalons. Ma femme était fière car même si je gardais ma silhouette ronde, en moins gonflée, elle voyait la différence. Elle m’avait fixé pour objectif de perdre vingt kilos. Toutes les semaines, elle me pesait mais elle avait acheté une balance sans cadran, le modèle qui envoi le résultat sur une appli smartphone connecté en Bluetooth pour que je ne vois pas le résultat. Ça faisait quinze jours que je la voyais sourire à chaque pesée. Je me disais bien que les chiffres étaient bons. Lors de la pesée finale, le résultat est tombé : j’avais perdu vingt-trois kilos. On s’est pris dans les bras, on s’est embrassé et j’ai commencé à lui ploter les seins avec insistance.
— Alors ma chérie ? Heureuse ?— Oui, tu as tenu ton objectif et en plus avec une alimentation plus saine tu te maintiens. J’ai soumis l’évolution de tes résultats à ton médecin traitant et il est très optimiste. Selon lui, tu as grandement réduit les risques d’accident cardiaque.— Je dois te remercier car, c’est dur à admettre mais …. Tu avais raison. Je me sens mieux, plus léger, plus fort et surtout je ne sens plus ce poids que je sentais sur ma poitrine au niveau de mon cœur. Surement le cholestérol qui a dû baisser.— Surement. Et si on fêtait ça ?— Que veux-tu que l’on fête ? Ma perte de poids où ta future prise de volume ?— Ma future quoi ?— Ne me dis pas que tu as oublié ? Tu m’avais promis une augmentation mammaire si j’arrivais à tenir.
— …. Bon bah chose promise chose due. Il va falloir prendre rendez-vous. — C’est déjà fait. On y va demain.— T’as pas perdu de temps toi ?— Dans mon boulot le temps c’est de l’argent. Bon aller Hop là ! Lui Dis-je en prenant ma femme dans mes bras façon jeune mariée— Whaou ! ça tu n’y arrivais à peine avant. C’est quoi le programme ?— on va fêter ça dans la chambre. Le petit joue dans son parc, on est à coté et le Baby phone est en marche.— Alors allons-y
On a passé que dix minutes dans la chambre mais elles ont étés bien utilisées. On s’est très vite foutu à poil et après c’était les montagnes russes sous la couette. On a laissé libre court à un florilège de positions et à la fin on avait le sourire aux lèvres, moi allongé sur le dos et elle allongée sur moi, mon sexe venant de décharger qui sortait progressivement de son intimité en perdant du volume. Elle se releva et j’avais ses seins dans les mains.
— Quand je pense qu’il a fallu que je perde du volume pour que tu acceptes d’en prendre.— Il fallait ça visiblement pour que tu acceptes de maigrir. Même si je n’aime pas l’idée de passer sur le billard, j’ai accepté pour te motiver.— Tu es déjà belle mais tu le seras tellement plus après ….— Merci mais j’ai quand même peur. J’ai la phobie des hôpitaux.— Je le sais et je mesure l’effort. T’en fais pas, je t’emmène chez un spécialiste renommé. Tu ne vas pas te faire charcuter par le premier charlatan venu.
On a dû arrêter ce moment confidence car notre fils, se voyant seul, s’est mis à pleurer. Après l’avoir rassuré et pris dans nos bras, j’ai repris mon rôle de papa poule. Je l’ai fait manger avec la technique imparable de la voiture dans le garage, je lui ai donné son bain, qui a fini en bataille d’eau sous le regard amusé de sa mère et je l’ai couché. Nous aussi on s’est couché tôt car Carole angoissait pour le lendemain.
Laissant notre fils à une personne de confiance, mon cousin Adrien, On est parti voir le fameux spécialiste. Il nous a fait l’éloge de ses nouvelles prothèses nouvelles générations : plus solides plus fiables et donnant un aspect quasi naturel à la vue et au toucher. On a pu voir ce que ça donnait sur un mannequin et le résultat me plaisait. Rendez-vous fut pris pour la semaine suivante où elle s’est fait opérer.
Quand Carole est ressortie de l’opération, elle pouvait rentrer mais elle devait garder les bandages : MERDE ! Encore quelques jour de patience avant de lui retirer ses pansements. Elle est allé le faire seule car je travaillais mais autant vous dire que le soir j’étais pressée de rentrer. Durant toute la soirée, elle m’a fait languir. A chacune de mes tentatives, quand mes mains s’approchaient trop près de ses seins elle les retirait, me collait un doigt sur les lèvres et me susurrait à l’oreille « patience ». Quand je la voyais avec notre fils dans les bras, lui aussi avait remarqué quelque chose de changé. Je le voyais appuyer sur ses seins, à croire qu’il avait pris conscience de la différence.
Le soir, j’étais allongé en peignoir sur le lit. J’avais mis une lumière tamisée et j’attendais ma surprise. Elle est entrée en nuisette et rien que là je voyais ses nouvelles formes. Je la dévorais du regard. Elle s’est approchée et, trop pressé de découvrir mon cadeau je lui ai presque arraché ses fringues. J’avais devant moi ma femme avec ses nouveaux seins. J’avais l’impression d’être un crève-la-dalle devant un buffet à volonté. Autant vous dire que ce qu’il s’est passé sous la couette a été plus que torride. Je n’ai pas arrêté de lui ploter les seins qui me rappelaient ceux qu’elle avait quand elle était enceinte. Miam ! A partir de là, notre vie sexuelle a pris un nouveau départ. Entre moi qui tenais mieux la distance et elle qui éveillait encore plus mon appétit, ça nous a donné un coup de boost. Ça a été un tel évènement qu’un jour, plusieurs semaines plus tard en rentrant du travail, j’ai trouvé, ressorti dans le salon, les affaires de nouveau-né de notre fils. Quand j’ai demandé pourquoi elle les avait ressortis, elle m’a annoncé que, d’ici quelques mois, on allait en avoir de nouveau besoin. Yesss ! Un autre enfant ! Il était évident que je ne comptais pas n’en avoir qu’un. Par contre je n’avais pas prévu d’avoir le deuxième si tôt. Ça devait être l’effet « gros nibard » de Carole.
Voyant le chemin que ma vie prenait, on a finalement prévu de se marier mais l’année après l’accouchement. J’ai revendu mon appartement pour acheter un pavillon dans une zone résidentielle huppée. Au boulot ça faisait belle lurette que lors de mes déplacements clientèle, je ne couchais plus. En fait, j’ai pris l’habitude de déléguer le rôle de chef de groupe à l’un de mes collaborateurs. Ce n’est que très rarement que je me déplace moi-même et quand je le fais et que je me retrouve seul avec la fille qu’on m’a choisi pour la nuit, je lui donne quelques biftons, elle s’en va et je dors seul. J’en connais qui continueraient de coucher mais vu ce que j’ai traversé pour en arriver là, je ne voulais pas tenter le diable.
Au départ, celui à qui je déléguais mon rôle de chef voyait ça comme un cadeau empoisonné, obligé qu’il était de négocier avec les clients durant le repas alors que les autres commençaient déjà à s’amuser avec les filles. Il a finalement compris que, pour lui, ce serait un formidable tremplin pour prendre ma place. En effet, de mon côté, j’envisageais de briguer un poste plus sédentaire, gagnant plus au niveau du salaire mais avec un bonus annuel diminué. J’avais déjà ce qu’il me fallait dans ma vie de tous les jours et j’avais désormais d’autres priorités.
Aujourd’hui j’ai une vie bien rangée. Je suis marié et j’ai deux enfants. Au niveau des gamins, ça a été décidé, on en aura pas d’autre. Carole a subi deux césariennes pour ses deux accouchements, elle ne voulait pas prendre le risque d’une troisième. On vit dans une banlieue friquée de la capitale et tout se passe bien : mon fils de quatre ans viens tout juste d’apprendre à faire du vélo sans roulette, ma fille de deux ans commence à parler …. Bref tout se passe bien. Dans notre maison, ma femme s’est mise à la peinture et à la sculpture. Elle avait fait les beaux-arts avant de se faire embarquer par sa sœur dans ses histoires. Aujourd’hui elle donne libre court à son art et est une vraie maitresse de maison.
Là, toute la famille est réunie. On organise une fête pour Jacques et ses deux fils. Adrien avec son petit ami ont adopté une petite cambodgienne d’un an et demi et elle venait d’arrivé en France : ça y est, Jacques est grand père mais il le sera bientôt une deuxième fois. En effet, son deuxième fils, un jour lors d’une fête un peu trop arrosée organisée pour l’obtention de son BAC, a engrossé une fille de sa classe. Autant vous dire que la confrontation entre les familles n’a pas été des plus calmes et donc mon deuxième cousin a dû trouver du travail pour assumer sa boulette. De son côté Jacques l’a engueulé pour la forme mais était rassuré que son fils soit aussi porté sur les femmes que lui. Bonne chance à toi … en même temps il tient de son père.
Désolé mais je ne pourrais pas t’aider cousin car moi aussi je dois faire face à un imprévu. Figurez-vous que l’histoire de Carole et sa sœur a été relaté dans les médias (sans les détails gênants) et avait eu des répercutions. Tout d’abord, Karen (la vraie) s’est finalement résolu à prendre l’identité de sa sœur ce qui lui a permis de sortir de l’institut où elle était internée. Je lui ai ensuite signé un gros chèque pour qu’elle parte loin. Elle est partie pour Los Angeles pour recommencer une nouvelle vie. Ça m’a couté chère mais là-dedans on était tous un peu fautifs donc c’était normal que je participe. Non l’imprévu auquel je doit faire face est venu suite à la publication de notre histoire dans les journaux dans la colonne faits divers. Un jour, un homme est venu me voir après mon boulot. Il ne semblait pas très à l’aise. Il m’a dit être le gendre de Gladis. On est allé discuter dans un troquet, j’étais intrigué par sa démarche.
Gladis …. Un nom que j’espérais ne plus jamais entendre. C’était la connasse qui avait, en partie, fait de ma scolarité un enfer et qui avait accepté de coucher avec moi pour que je l’aide à avoir de meilleure notes. Il semblait nerveux et durant notre conversation il m’a dit que sa belle-mère était morte dans le crash aérien de la Germanwings qui avait fini sa course dans les alpes à cause d’un pilote mentalement déséquilibré. C’était malheureux mais je ne voyais pas où ce type voulait en venir en m’abordant de la sorte. Il tournait autour du pot jusqu’à ce que je lui dise « Excusez-moi mais j’ai ma famille qui m’attend. On pourrait aller droit au but ? ». Là il m’a sorti une photo de lui, de sa femme et sa fille.
C’est là que j’ai eu un choc. La petite fille de cinq ans sur cette photo avait les bras nus et on y voyait parfaitement une excroissance sur ses coudes. Par réflexe, j’ai retiré ma veste et retroussé le manche droit de ma chemise. Pendant quelques secondes je me suis dit « Ce n’est pas possible. J’ai couché avec la mère ou quoi ? » J’avais beau chercher dans ma mémoire, elle ne faisait pas partie des escort girls, étudiantes et autres femmes qui se sont succéder dans mon lit. C’est là que j’ai eu le déclic confirmé par cette phrase de l’homme en face de moi : « Oh mais vous avez ça vous aussi ? Comme ma femme et ma fille ? ».
Comment j’ai fait pour ne pas y penser ? Il a dit être le gendre de Gladis. Ça veut dire qu’elle était la mère de sa femme. Et comme il l’a dit, elle possède la même déformation congénitale que moi et globalement toute la famille ….. Non, je n’y crois pas. Ce type s’amène avec une photo et je devrais le croire ? Si ça se trouve c’est une arnaque ….. Sans trop y croire j’ai bien évidement demandé à faire un test mais en y regardant de plus près, je voyais que la mère sur la photo avait des traits communs avec ma mère en plus jeune et la petite …. Et mais attendez une seconde, si c’est vrai, ça veut dire que je suis grand père alors ? Oh Putin, je viens de le réaliser : j’ai une fille d’à peu près l’âge de ma femme et une petite fille plus âgée d’un an que mon fils. Quand je pense que je me suis foutu de la gueule de Jacques quand on a trouvé Adrien sur le perron de sa porte. Là c’est lui qui va pouvoir s’en donner à cœur joie. Et puis comment je vais annoncer ça à mes parents ? Mon père a un début d’Alzheimer et ma mère est cardiaque. Il va falloir la jouer fine.
Vous m’excuserez mais je dois vous laisser. C’est aujourd’hui que je dois passer le test. C’est aussi aujourd’hui que je risque de rencontrer ma fille et ma petite fille (celles qui prétendent l’être). Je suis nerveux d’autant que je n’ai encore rien dit à qui que ce soit ….. Si le résultat est positif, je ne sais pas ce que je ferais mais en tout cas je ne fuirais pas. Ce n’est pas dans mon tempérament. Au moins malgré mon physique, ce qui est sûr c’est que je n’ai pas fini comme un moine. Même si je me serais bien passé de certains évènements quand même.
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