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Ça aussi j'sais l'faire !

Chapitre 1

Trash
On entendit le bruit caractéristique que font quatre ou cinq doigts quand ils viennent violemment au contact de la chair. À leurs couleurs, on vit rapidement que ce n’était pas les joues qui avaient morflé, mais bien le cul de Madame qui devenait tout rouge. Un fessier qui, un peu fripé et ridé lorsque la dame était debout, restait néanmoins bien rebondi et agréable à voir quand Madame était prise, comme en cet instant, en levrette.Tout en continuant de la limer avec autant de vitesse que de brutalité, l’homme lui saisit les cheveux, les tirant bien d’un coup sec vers l’arrière.
— Allez salope ! Vas-y, crie ! Dis-le que tu jouis.
Il continuait de tirer sur la tignasse, et cela d’autant plus qu’il se sentait venir.
— Vas-y... dis-le... dis-le que tu es une salope et que tu apprécies mes trente centimètres qui te ramonent ton garage à bites !
Mais comme il se sentait vraiment venir, il délaissa rapidement la chatte brûlante de la femme, et lâchant ses cheveux, il la fit tourner sur elle-même pour qu’elle se retrouve face à lui.
— Retrousse tes lèvres... non, n’ouvre pas la bouche, je veux voir tes dents, alors reste avec tes mâchoires serrées, mais tes lèvres retroussées.
L’homme se masturba quelques instants puis approchant son gland près d’éclater, il laissa la première giclée de sperme atterrir sur les dents de la dame, visant ensuite ses yeux, puis ses cheveux.
— Ah ! P’tite pute ! Tu m’as bien vidé, t’es vraiment bonne, même si tu commences à ne plus te faire toute jeune ! Mais ton con est toujours aussi brûlant et humide, c’est un vrai régal !
Relevant la tête, il fit claquer ses doigts.
— Véro... amène-toi au p’tit trot ! Et amène la brosse à dents de ta mère, elle a plein de dentifrice sur les dents et les gencives.
La nommée Véro arriva rapidement. Elle devait être en train de se caresser pendant que le mec se tapait sa mère, car ses lèvres intimes étaient bien écartées et luisantes de cyprine.
— Suce-moi la queue d’abord ! Ensuite, tu t’occuperas des dents de ta mère, en étalant bien tout le dentifrice dessus. Hahaha... du dentifrice ! J’suis certain que jamais tu n’en as eu de l’aussi bon !
Il tourna alors son gros vit vers la bouche de Véro qui se mettant sur ses talons, approcha ses lèvres charnues du gland encore tout gluant des sécrétions de sa mère. Quand Véro eut fini de lui nettoyer la queue, il se retourna vers sa mère.
— Eh ben, t’es belle comme ça ma salope ! Ta fille va s’occuper de toi ; mais avant... oui... ferme les yeux... et masse-toi les paupières, que mon sperme entre bien dans tes orbites !
Tu comprends maintenant pourquoi je ne veux pas que tu te mettes de rimmel ! Tu imagines un peu, le tableau : mon foutre blanc et crémeux mélangé avec le noir de tes yeux ! Ben oui ! Ah oui... tu serais belle, tiens !Il la fixait toujours, lui mettant une main sous le menton pour qu’elle relève bien la tête et le regarde en face.
— Ouais... ouais... Reine des putes ! Radasse à dix balles. Dommage, on aurait dû être plusieurs pour te balancer notre sperme dessus ! Cela te va si bien ! Bon... moi j’suis crevé ! Tu m’as bien pompé la vieille ! J’vais m’pieuter un peu. Véro, dans deux heures tu me réveilles. Et tu me fais un réveil de première classe, en m’en taillant une belle. Remontant son slip et son pantalon qui avaient glissé sur ses mollets, il quitta la pièce pour gagner la chambre. Les deux femmes l’entendirent roter longuement avant que d’un rire gras et sonore, il se délectât de ses éructations. En entendant la porte de la chambre se refermer, Véro rapporta la brosse à dents dans la salle de bain et ramena un grand verre d’eau à sa mère.— Comment tu peux supporter tout cela ?— Mais ce n’est rien Véro, rien... et tu le sais bien. — Mais, quand même, il t’en fait voir de drôles !— Oui, peut-être... mais, tu sais, à mon âge ! C’est quand même quelque part inespéré de trouver un homme qui ne peut se passer de moi. Et puis... quel amant ! Et toi aussi... tu le sais bien qu’il baise divinement, et qu’être prise par lui t’emmène toujours au firmament !— Oui bien sûr... oui, tu as raison, il baise bien.
Véro était en manque, surtout que d’entendre les cris de sa mère qui se faisait prendre ainsi que les paroles de son amant, cela l’avait bien excitée ! Elle éprouvait maintenant le besoin de se donner du plaisir, et rien qu’en évoquant les qualités de l’homme quand il baisait, elle se sentit tout humide et ses mains cherchèrent le chemin de sa chatte encore toute chaude. Et ce n’était pas le fait d’être devant sa mère qui allait l’empêcher de se doigter et de prendre son pied !
— Mais, quand même... et puis, quand il te dit qu’il va te faire prendre par plusieurs hommes à la fois... cela ne te fait pas peur ?— Peur ? Oh non alors ! Je sais très bien qu’il est bien trop jaloux pour accepter que quelqu’un d’autre me baise ! Non, crois-moi, de ce côté, je ne risque absolument rien. Et puis, tu sais, dans le fond, il est bon !— Bon... bon... faut pas pousser quand même !— Mais pourtant, souviens-toi ! Tu sais, au début, lorsqu’il nous demandait de nous caresser, de nous faire jouir devant lui, il n’a pas insisté lorsque nous lui avons dit qu’il était hors de question que nous ayons toutes les deux une relation incestueuse !
De plus Véro, franchement ! Nous vivons bien, sans nous fouler, sans bosser et en nous privant de rien ! Et le fric... c’est bien le sien, non, c’est lui qui nous fait vivre, toutes les deux !
— Oui... c’est vrai ma petite maman ! C’est vrai, il est vraiment friqué.
En prononçant ses mots, Véro avait des étoiles plein les yeux— Et puis, oui... tu as raison... qu’est-ce qu’il baise bien !
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