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L'Auto-Ecole

Chapitre 1

Trash
Bonjour à tous et à toutes ! Cette histoire est un pur fantasme. J’espère qu’elle vous plaira.   Je me présente : Sandra, 22 ans, inscrite à l’auto-école pour passer mon code. Je suis brune aux cheveux longs et lisse, je porte des lunettes, j’ai le teint clair, quelques tâches de rousseurs et les yeux foncés. Je mesure 1m65 et pèse 70 kg. J’ai un petit cul bien bombé suite à plusieurs années de sports intenses et une poitrine généreuse ; un 90E. Je suis célibataire et plutôt portée sur le sexe. J’ai eu quelques expériences excitantes mais ce n’est pas le récit du jour.   Depuis que je suis inscrite au code, j’y vais tous les jours dans l’espoir que le moniteur d’auto-école me déclare suffisamment apte pour le passer et enfin commencer ces fichues heures de conduite. Je m’y rends tous les jours comme d’autres gens. Certains ont mon âge, d’autre un peu et d’autres beaucoup plus. Parmi eux, il y a Philippe, un homme d’âge mûr, qui me regarde souvent et avec qui j’aime discuter de tout et rien, notamment entre deux séries de questions lors de notre pause cigarettes.   Un soir, je m’apprêtais à marcher pour aller prendre mon bus quand Philippe m’interpella.   _Eh bien Sandra, il se fait tard et la nuit commence à tomber, tu ne veux pas que je te raccompagne chez toi ? C’est peut-être risqué de prendre le bus à cette heure-ci non ?*   (Philippe a été annulé faute de points sur son permis, il est donc obligé de repasser son code et son permis mais continue à conduire malgré tout en espérant ne pas se faire contrôler).   C’est vrai que je lui avais dit que je m’étais faite un peu « embêtée » les deux dernières fois en rentrant par un groupe de jeunes. J’hésitais à suivre Philippe, je suis assez réservée dans ma vie publique. Je regardais le ciel, il faisait sombre et la pluie commençait à tomber. Comme s’il avait pressentit mon hésitation, Philippe ajouta.   _De toute façon, si j’ai bien retenu, tu habites pas loin de Carrefour ? Je dois y passer, te déposer sera donc sur ma route et ne me dérange pas le moins du monde.   Je cédais finalement et le suivit jusqu’à sa voiture. Il me laissa m’installer après que j’ai déposé ma veste à l’arrière de sa voiture. Il regardait mes cuisses moulées dans mon legging gris opaque et la ceinture qui passait en travers de ma poitrine.   Il démarra la voiture, et traversa la ville en direction du périphérique. On ne disait rien, la radio était éteinte.   _Si ça ne te déranges pas, je vais passer chez moi prendre mon portefeuille, je l’ai oublié en venant. _Pas de soucis Philippe.   Après tout, il acceptait de me raccompagner, je pouvais bien le laisser aller chez lui. Nous arrivâmes au pied d’un immeuble, et nous montâmes sans rien dire. J’enlevais mes chaussures en entrant dans son appartement et attendit dans le salon comme il me l’avait demandé. Il me proposa un verre d’eau que j’acceptais. En me l’apportant il le renversa sur moi.
   _Merde, je suis désolée Sandra !   Il s’empressa d’essuyer l’eau sur mon buste.   _C’est rien Philippe.   Sentir le contact de de ses doigts sur ma poitrine, mes épaules, ma peau, même si c’était à travers un sopalin m’avait fait envie. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas baisé. Philippe était plutôt grand, bien bronzé, les cheveux grisonnant. Je ne connaissais pas son âge précis mais je m’en fichais, il avait l’air d’avoir de l’expérience. Je sentis des frissons dans le bas de mon ventre. C’était clair, j’avais envie de sexe. Peu importe que Philippe ait juste été maladroit, j’allais tenter le tout pour le tout.   Lorsqu’il revint avec d’autre carré de sopalin, il me trouva le chemisier noir ouvert, laissant une vue imprenable sur mon soutien-gorge rouge. Il resta abasourdi, ne sachant que dire. Je venais de le surprendre, j’avais la main, le pouvoir.   _Ecoute Philippe, ça fait un moment que je n’ai pas été satisfaite par un homme, un vrai. Ça fait tellement longtemps que le simple contact de tes mains sur moi m’a excitée.   J’enlevais mon chemisier et mon pantalon. Je me retrouvais en soutien-gorge rouge comprimant mes gros seins et un string assorti : à croire que j’avais prévu la chose. Philippe ne bougeait pas. Je devais prendre les choses en mains. J’avançais vers lui, enlevant les carrés de sopalins de ses mains et me mettant sur la pointe des pieds pour l’embrasser. Il ne bougeait vraiment pas. Je déboutonnais sa chemise, embrassant son torse, léchant et suçant ses tétons, le caressant, le faisant frémir de mes mains froides. Mes mains arrivaient à son pantalon, embrassant son ventre, pénétrant son nombril avec sa langue. Je défis la ceinture d’un Philippe immobile, déboutonnais le pantalon et le fis glisser. Je l’embrassais du ventre à son torse et le poussais vers son canapé. Il tomba assis et je m’approchais de lui, enlevant son pantalon, le laissant en caleçon.   _Sandra…   Mon prénom dans sa bouche ressemblait à une supplication. J’embrassais à nouveau son ventre et léchais son sexe à travers son caleçon, puis je passais mes doigts dans la ceinture et le tirais avec mes dents. Il soulevait ses fesses pour m’aider le faire glisser et sa queue bandée toucha mon visage. Je ne pensais pas qu’elle serait aussi longue et grosse. A vue de nez, elle devait faire 18 ou 19 cm de long pour 4 cm de large. Le gland était décalotté, en forme de champignon. Je n’ai jamais pu résister à un gland rose : il semble si doux, ils sont si gros, je n’ai qu’une envie, le mettre dans ma bouche. Je donne un premier coup de langue qui fait gémir Philippe. Je m’applique à lécher la queue de Philippe, à branler ce qui ne va pas dans ma bouche d’une main et masser ses couilles bien pleines de l’autre. Je le regardais avec envie, voir s’il aimait et ce fut le cas. Il avait fermé ses yeux, me caressant les cheveux, appuyant sur ma tête pour que je le prenne en bouche.   Je me laissais guider, heureuse qu’il dirige. Quelle ne fut pas ma surprise quand il enfonça sa bite dans la bouche pour que je le suce profondément.   _Tu suces bien, mais il faut que tu me prennes plus profond petite salope.   J’adorais qu’on me parle ainsi. J’accompagnais ses appuis sur ma tête en le prenant aussi profondément que je le pouvais. Ma bave coulait le long de sa queue malgré mes aspirations pour ne pas tout salir. Philippe gémissait, ma bouche lui faisait du bien.  Il releva ma tête.   _Lève-toi que je profite de ton corps.   Il me redressa en tirant mes cheveux, me faisait me mettre debout face à lui, son visage à la hauteur de mon bas ventre. Il prit mon cul à pleine main et le claqua. Je criais de surprise, ses claques me brûlaient. Il embrassait et léchait mon ventre, pénétrant mon nombril de sa langue. Je sentis ses lèvres descendre sur ma chatte, à travers mon string rouge. Ses lèvres étaient chaudes à travers le tissu, faisant mouiller ma petite chatte. Il le tira avec les dents. La sensation de l’air frais contrastant avec la chaleur m’excita encore plus. J’écartais mes cuisses invitant Philippe à me lécher, à me dévorer la chatte. Il pétrissait mes fesses, me baisant la chatte en appuyant ses lèvres. Sa barbe et sa moustache mal rasées me piquaient et m’excitaient en même temps. Je commençais à respirer de plus en plus fort, à gémir.   _Ta chatte est délicieuse. Elle est mouillée d’envie. Depuis combien de temps n’as-tu pas baisé petite pute ?   La voix de Philippe était autoritaire, grave. Je répondais, haletante que cela faisait plusieurs mois, six pour être plus précise.   _ Je vais te baiser comme jamais tu ne l’as été, tu en redemanderas après tu verras.   Il enfonça deux doigts dans ma chatte, me faisant gémir.   _Haaan !   Il pétrissait mon cul, et il me fit le chevaucher guidant sa bite vers ma chatte. Sans ménagement, il me pénétra d’un coup dessus. Je criais de douleur et de surprise. Je n’étais pas habitué à un tel traitement et surtout, je n’avais jamais eu une bite de cette taille en moi. Je me sentais pleine, comblée. Il dégrafa l’avant de mon soutien-gorge et me téta les seins tout en faisant des vas et viens en moi.  Je gémissais en rythme avec lui, je couinais. J’étais excitée, incapable de dire quoi que ce soit. Philippe m’insultait, il me fessait et prenait possession de moi, explorant chaque partie de ma chatte avec sa grosse bite.   Il me fit jouir dans cette position et déposa sur le canapé, tremblante et essoufflée. Ma chatte restait ouverte. Il pinça mon nez.   _Garde ta bouche grande ouverte pour recevoir ma semence salope.   Je le regardais avec mon regard de chienne bien baisée et il éjacula sur mon visage et dans ma bouche. Je restais la bouche ouverte et pleine de sperme, attendant qu’il me dise d’avaler.   _Eh bien, qu’attends-tu pour avaler ?!   Je continuais de le regarder, je voulais qu’il me l’ordonne. Le sperme commençait à couler en dehors de ma bouche. Je le reprenais de mon index pour l’y replacer.   _Avale ! Je m’exécutais enfin. Philippe se rhabilla et m’aida à en faire autant, me tripotant par la même occasion avec ses mains, sa bouche ou sa langue. Mon chemiser avait eu le temps de sécher. Il me raccompagna chez moi non sans m’embrasser langoureusement et me dit à la prochaine.
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