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L'Auto-Ecole

Chapitre 2

Les leçons de conduite

Trash
Bonjour à tous !
Cela fait un moment que je ne vous ai pas écrit parce que j’étais occupée par les cours et par les leçons de code dans cette fameuse auto-école et les leçons plus privées avec Philippe.
J’ai obtenu mon code il y a quelques semaines. Pour tout vous dire, ça a été compliqué d’avoir une date d’examen. C’était la première fois que je passai mon code, j’allais en cours en bus et je n’étais pas prioritaire, vous voyez ? La voiture serait un plus, mais elle ne m’était pas utile puisque je n’en avais pas encore. Philippe, lui, faisait partie des gens prioritaires car il avait un travail et il devait s’y rendre en voiture. Il était indépendant et je vivais chez mes parents. Nos petites séances de codes particulières durèrent donc un mois...
J’avais reçu un appel du moniteur d’auto-école pour convenir de ma première heure de conduite. J’avais hâte et j’étais quelque peu anxieuse. J’envoyai donc un message à Philippe pour lui dire que j’avais ma première heure de conduite la semaine prochaine et qu’il aurait dû mal à me donner des leçons particulières sur ce coup. La réponse ne se fit pas attendre, il me demanda par SMS quand aurait lieu mon heure de conduite, il lui en restait quelques-unes avant de passer son examen. Je lui répondais que ce serait jeudi prochain en fin de journée, 17h.Philippe m’appela.
— Allô ?— Alors ma petite salope va avoir sa première heure de conduite ?
Je sentis des vagues d’excitation dans mon bas-ventre. Cela faisait trop longtemps que je n’avais pas été touchée par Philippe. Il disait qu’il était occupé mais qu’il s’occuperait de moi prochainement.
— Oui, Monsieur... Je vous avoue que je suis un peu stressée.
Il aimait que je le vouvoie et l’appelle Monsieur car pour lui, cela me remettait à ma place.
— Pour la peine, je vais te préparer une sacrée surprise. Le moniteur viendra te chercher chez toi avec l’élève qui te précède. Pour le retour, il te déposera également chez toi ou bien où tu veux si tu as quelque chose à faire. Je veux que pour le retour tu sois déposée devant chez moi.

L’idée me gênait un peu. Comme je vous l’ai dit, j’étais très pudique dans ma vie publique et je ne voulais pas que le moniteur se fasse des idées sur moi ; qu’il pense que je n’étais qu’une petite salope qui se faisait baiser par des hommes mûrs.
— Mais le moniteur sait où tu habites et...— Ne discute pas mes ordres !
— Veuillez me pardonner maître...— Ne t’inquiète pas pour ta réputation, je suis toujours venu pour mes heures en voiture, il ne pensera même pas que j’habite ici et que tu y viens uniquement pour que je te remplisse de ma queue et de mon sperme.— Bien Maître. Je serai déposé chez vous pour que vous usiez de moi comme bon vous semble.
Le jour J arriva enfin. Je m’étais faite jolie pour Philippe tout en étant dans une tenue plus ou moins décente pour l’heure de conduite. J’avais un short noir en lin avec de fins collants noirs et opaques. Pour le haut, j’avais un débardeur à décolleté carré mettant ma poitrine généreuse en valeur et un petit blaser noir. Classique, simple et efficace. En chaussure, je portai des bottines sans de trop grands talons pour être à l’aise durant l’heure de conduite.
J’attendais donc le moniteur à l’arrêt de bus, au bord du trottoir. Il arriva pour 17h, accompagné d’un élève. C’était d’ailleurs lui qui conduisait, le moniteur étant du côté passager. Ils me klaxonnèrent et je montai. On ne dit rien le long du trajet en dehors du bonjour, comment ça va. L’élève qui conduisait rentra jusqu’à chez lui. Quand il fut parti, Manu, le moniteur, me dit de prendre place au volant. Je sortais donc de la voiture, réajustant mon short et m’installai à la place du conducteur. Je tentai de réajuster le siège, mais j’étais tellement stressée. Manu passa son bras entre mes jambes et tira la barre sous le siège. Ce dernier recula d’un cou, mes cuisses se serrant sur le bras de Manu, me faisant échapper un cri. Je devenais pivoine et Manu rit. Il me tapota l’intérieur de la cuisse et me dit de démarrer. Nous ne sommes pas allés très loin. J’ai appris à utiliser la voiture et je me suis familiarisée avec.
Arrivé à la fin de l’heure, j’étais cognitivement épuisée.
— Bon, je te ramène chez toi.— Si ça ne vous..., enfin, te dérange pas, j’ai quelque chose de prévu chez une amie. Est-ce que tu peux me déposer là-bas ?— Pas de soucis !
En même pas dix minutes, j’étais devant chez Philippe. J’étais si excitée... Je remerciai Manu et montai en trottinant dans l’immeuble.Je toquai à la porte de Philippe et il m’ouvrit, me fit entrer et me débarrassa de ma veste.J’enlevai mes chaussures et restai plantée là tandis qu’il me regardait comme un objet à acheter. Il ouvrit son pantalon et sortit sa bite molle. Je me mis à genoux, les mains dans le dos et la léchai, penchant la tête pour passer ma langue sur toute sa longueur.
— C’est bien petite chienne. La queue de ton maître t’avait manqué hein ?
Je le regardai et prenais son gland en bouche en guise de réponse. Ma langue tournait autour, je salivai dessus. Lorsque je sentais qu’il y avait trop de salive, alors j’aspirai. Sa bite durcissait dans ma bouche, déformant mes lèvres qui glissaient sur cette queue à force de saliver. Sans ménagement, il me prit la tête et se mit à me baiser la bouche. Son gland cognait parfois contre mes joues, me faisant lâcher un gémissement. Son gland allait profond dans ma bouche, cognant au fond, faisant se serrer ma gorge qui avait encore du mal à accepter cette imposante présence. Philippe adorait ça, ma gorge se serrait, je m’étouffais, ma langue raclait au-dessous de sa queue et les larmes me montaient aux yeux.
— Dis-le si c’est trop gros !
J’essayai de parler mais je m’étouffais de la bave coulant d’entre mes lèvres. On aurait pu croire que ce traitement était dégradant mais j’étais en train de mouiller, je le sentais.
Il retira sa queue dure, cette fois, et la frotta sur mon visage tandis que je crachai le surplus de salive et que je reprenais mon souffle. Il me fit me relever, et me sourit.
— Que tu es belle ma salope !
Il m’embrassa, violant ma bouche de sa langue. Il me regarda à nouveau, mettant deux de ses doigts dans ma bouche puis il cracha dans cette dernière.
— Déshabille-toi.
J’enlevai mon short et mes collants doucement, puis mon débardeur. Je portai un body noir basique mais en transparence.
— Tu t’es faite belle pour moi ?— Oui maître, je voulais vous donner envie de me baiser.
Il me prit la main et m’emmena dans le salon. Tout avait été réagencé depuis la dernière fois. Il avait posé un matelas sur le sol face à la baie vitrée et il avait enlevé les rideaux.
— Allonge-toi.
Me voyant hésitante, il me prit les cheveux et me jeta sur le matelas. Il sortit une petite valise en cuir marron foncé et l’ouvrit. Il en sortit un cadeau comme il disait. Je fermai les yeux. Il déposa quelque chose autour de mon cou, un collier, lourd et épais... J’entendis un cliquetis également.
— Alors, ça te plaît ma chienne ?

Je touchai mon cou. C’était un collier de chienne dont il tenait la laisse. Je me contentai de hocher la tête. Il prit son téléphone et me filma.
— Je vous présente ma petite chienne à qui j’apprends le dressage. Allez, viens voir papa !
Je prenais la laisse dans ma bouche et m’avançais à quatre pattes, lui tendant. Il me tapota la tête.
— C’est bien, fais la belle maintenant ! Papa te regarde et te filme, alors fais-moi honneur grosse pute !
Quand il disait "faire la belle" cela voulait dire qu’il voulait que je devais le séduire d’une certaine manière, lui donner envie de se jeter sur moi et de me prendre sans hésiter.Je caressai mes gros seins et je faisais rentrer le bas du body plus profondément dans mes fesses. Je me mettais à quatre pattes, faisant le dos creux et claquant mon cul, gémissant sensuellement à chacune d’elle. Il me filmait en faisant des commentaires salaces ou me donnant des ordres sur ce que je devais faire.
— Va sur le matelas, sur le dos, et montre ta chatte à la caméra.
Je lui obéissais, je voulais me caresser et j’attendais qu’il en donne l’ordre. Je tirai sur mon body, passant ce qui couvrait mon intimité entre mes lèvres humides. Je me tortillai et couinai. Philippe filma de plus près et passa un doigt entre mes lèvres.
— Il est temps de donner du plaisir à cette pute, vous ne pensez pas ? Après tout, elle ne vient que pour ça, juste parce qu’elle est accro à ma bite.
Il me mit une claque sur un sein.
— Dis-le !— Je suis accro à votre bite Monsieur... Hmm... Baisez-moi, pitié, je n’en peux plus... Il me faut votre grosse bite !

Il posa son téléphone sur la table basse et ouvrit mon body. Il mit deux doigts sans attendre dans ma chatte tandis que j’exprimai mon plaisir. Il me doigtait violemment tout en me regardant. Si je fermai les yeux ou détournai mon regard du sien, alors il me mettait une claque sur les seins.
Il ajouta un troisième doigt, puis un quatrième, me faisant crier de plaisir.
— Je vais jouir, Monsieur, pitié ! Ne me faites pas jouir, pas maintenant ! Je... ahhh... hmmm... Monsieur...— Ta gueule salope et résiste.
Je me tortillai, gesticulant, essayant d’enlever sa main. Si je jouissais maintenant sans que ce soit sa queue qui me fournit cet orgasme, il me punirait. Il retira ses doigts d’un coup et les essuya sur l’intérieur de mes cuisses. Je gémissais.
— Tu dois résister, pas te rebeller. Il prit la laisse autour de mon cou et m’attacha les mains. Il les plaça au-dessus de ma tête et m’enleva mon body. J’étais nue, offerte à son plaisir. Il vint entre mes cuisses, et sans attendre, s’enfonça de toute ses forces. Je hurlais et il souriait. — Que tu es bonne comme ça. Tu voulais ma bite, la voici !
Il donnait de puissants coups de reins, prenant appui sur mes seins, les serrant fort.
— Oh oui ! C’est si... Bon... hmmm... j’adore... encore...
Il me retourna en levrette, la joue contre le matelas, le cul en l’air et me reprit la chatte sans vergogne. Il écartait mon cul et crachait dessus, dedans. Il enfonça un doigt. Je commençais à paniquer. J’étais encore vierge de ce côté-là... Il me mit une claque monumentale sur mes fesses. Je ne bougeais plus. Il glissa son index d’un coup...
— Ahhhh... Pas par là...— Ta gueule grosse pute, je vais te faire du bien même si tu ne le sais pas encore !
Il me pénétrait la chatte avec sa bite et le cul avec son doigt... Le plaisir continua à venir. Toutefois, je le sentais ralentir dans ma chatte. Il sortit sa bite et sans me prévenir la glissa dans mon cul. J’essayai de bouger mais il me tenait les hanches fermement. J’hurlai de douleur. Philippe se pencha sur moi, ses couilles contre mes fesses et me murmura...
— Là, tout doux ma belle... Tu verras, tu vas adorer. Laisse-toi faire.
Il me lécha le cou et commença à faire des va-et-vient lents.
— Tu m’as tellement bien lubrifié avec ta bouche et ta chatte que ça glisse tout seul.
Il avait la raison, j’éprouvai petit à petit du plaisir à me faire sodomiser.
— Hmmm.
Mon cul bougeait au rythme des coups de queue de Philippe. Ces derniers se firent de plus en plus forts, plus intenses, ses doigts faisaient rougir ma peau, tellement il me serrait fort puis il jouit, lâchant de puissants jets de sperme.
Il continua à me prendre pour tasser le sperme au fond de mon cul et se retira.
— Ne bouge pas...
Je ne bougeais pas, le cul en l’air. Il avait été reprendre sa caméra.
— Pousse comme si tu allais chier maintenant.
Je lui obéis et je sentis une coulée chaude et épaisse sortir de mon cul. C’était son sperme.
Il le prit sur ses doigts et me fit manger.

A suivre
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