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Auto-soumission

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Ce souvenir remonte au tout début de ma majorité. A ce moment, je teste mon corps et mes envies dans l’appartement familial. Mon imagination me guide souvent et mes jeux ont principalement lieu le mercredi alors que personne n’est à la maison. Je suis soft, mais j’aime expérimenter. Chaque objet devient alors un outil d’amusement et de découverte.
Un matin, mon regard scrute la maison et tombe sur un rouleau de ruban jaune pour cadeaux, le même que ceux des grands magasins. Le regard illuminé et le sourire aux lèvres, je file dans ma chambre, me déshabille rapidement et commence à m’entraver les pieds. La sensation de ce petit ruban sur ma peau me donne des frissons. Je remonte doucement, tourne autour de ma taille et de mes fesses jusqu’à réaliser un string. Mon œillet frémit au contact du ruban et je me rends compte que mon sexe a fortement grandi et qu’un liquide visqueux et clair commence à couler le long de mes jambes.
Mes mains caressent doucement mon corps et je décide sans réfléchir à entourer mes testicules grâce au ruban. La sensation de serrage sur mes testicules m’électrise instantanément et me fait couler d’autant que je multiplie les tours. Mes mains reprennent alors leurs caresses et prennent l’initiative de se diriger vers mes fesses. Doucement. Langoureusement. Je ne sais alors ce qui leur prend, mais elles les caressaient, les tâtaient et de les fesser violemment. Humm, quelle douce douleur ! Une chaleur m’envahit et me pousse à continuer avec une ceinture. Me voilà à dix coups, puis quinze. J’accentue l’intensité, vingt, vingt-cinq, trente ! Je m’arrête là, les larmes coulent et mes fesses chauffent drôlement, mais que c’était bon.
Ces mains frivoles parcourent les marques de la ceinture et se dirigent maintenant vers mon anus. Elles sont comme possédées et ne m’obéissent plus. Mon petit trou est si doux, si agréable au toucher et si souple qu’il ne demande qu’à accueillir l’un de mes doigts. Je n’en ai jamais eu envie avant, mais mes mains écartent sans ménagement mes fesses. Un doigt se met alors à inspecter l’endroit, comme pour préparer quelque chose. Malheureusement, mon corps et mon bassin savent qu’il ne m’en faut pas plus et la pénétration se fait rapidement, trop rapidement peut-être. La surprise me fait gémir, mais quelle explosion ! Je suis avide de cette pénétration, de cette sensation, de ce plaisir et de ce remplissage. Mon doigt fouille et tourne à l’intérieur. Que peut-il bien chercher sans mon accord ?
En en voulant encore plus, je reprends mes esprits et pars en quête, les pieds et le sexe liés, d’un objet pouvant m’aider dans mon aventure. Je rougis en sortant la tête de ma chambre, comme si quelqu’un pouvait me surprendre. Si on me voyait à cet instant, semi-ligoté et bandant comme un fou !
Je me tortille jusqu’à la salle de bain où je trouve l’objet parfait, la brosse à cheveux de ma sœur. Elle est longue et présente un manche profilé assez large, mais peu épais. Pour faciliter mon ouvrage, je récupère la crème hydratante de ma mère et, de retour dans ma chambre, je m’aperçois que j’ai coulé partout durant mes recherches. Mes jambes sont maculées et mon excitation est à son comble. Je m’installe alors de côté sur le parquet froid sans fermer la porte et approche l’objet lubrifié tant désiré. Je me sens comme soumis à mes sensations, tellement insignifiant et pourtant tellement important. J’insère le manche de la brosse qui me remplit petit à petit, littéralement absorbé par mon corps. Humm, c’est enivrant. Comment est-il possible qu’il entre si facilement d’ailleurs ? C’est la première fois que je fais cela ?
Mon sexe me rappelle à l’ordre, car il va exploser, il n’arrête plus de couler et une flaque se répand sur le sol de ma chambre. Je divague une minute et me risque à imaginer quelqu’un entrer dans l’appartement. La personne serait-elle choquée ? Me crierait-elle dessus ? M’aiderait-elle dans la poursuite de mon jeu ? Hummm, c’est grisant rien que d’y penser.
Je me ressaisis et voulant faire durer le plaisir, ou par envie d’être découvert peut-être, je reprends le ruban. Je l’attache de mes testicules où il est fixé, jusqu’à mon cou. Je me fais un collier mettant en tension ma respiration et mon paquet. Une fois cela fait, je relie mon collier à mes pieds ramenés dans le dos. Me sentant bien, quoique légèrement inconfortable, je noue l’ensemble fermement, mais n’arrive à me départir de la sensation de la brosse derrière moi.
Je la prends en main et la tourne dans tous les sens. De gauche à droite d’abord, puis de haut en bas et enfin d’avant en arrière. Doucement pour commencer, puis plus brutalement. Hummm, quel pied ! Mais qu’est-ce que j’y cherche à la fin ? Je me fais prendre par un simple objet en étant attaché, mais j’aime ça ! Tellement ça ! Je ne suis plus que sensations. Comment ai-je pu me passer de cela ? De petits cris sortent même de ma bouche sans que je ne puisse les retenir.
Sur le sol, ligoté dans une position inconfortable, légèrement étranglé et pris par-derrière pour la première fois, les sensations sont trop nombreuses et quelques caresses seulement ont raison de moi dans une extase jamais atteinte jusque-là.
Les endorphines se diffusent pendant quelques minutes et, des étoiles plein les yeux et des fourmis dans le corps, je me réveille doucement de ma torpeur. Je suis recouvert de sueur dans une flaque de sperme, mais toujours entravé.
Comment vais-je faire pour me libérer ? Où ai-je mis mon ciseau ? Mes yeux s’écarquillent et un frisson parcourt mon cou. Que faire ?
La cuisine est trop loin, je ne peux me redresser pour atteindre les tiroirs. La salle de bain ? Idem
Ma trousse. Un ciseau se trouve dans ma trousse ! Les mains libres me permettent de me traîner jusqu’à mon sac de cours. Je commence à avoir mal au cou, mais le moment le plus douloureux n’est pas celui de me libérer de mes liens, mais celui de me séparer de mon nouvel ami : la brosse à cheveux de ma sœur.
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