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Auto-soumission

Chapitre 2

Les vacances d'été

SM / Fétichisme
Je me souviens d’un été particulièrement chaud après mon bac. Pour profiter au maximum des vacances d’été, ma famille et leurs amis décident de louer une magnifique maison avec piscine dans un typique village provençal. Il s’agit d’un lieu reculé de tout où le soleil, les cigales et l’apéro sont toujours présents. Malgré le fait que nous sommes loin de tout, c’est un véritable havre de paix.
La seule ombre au tableau est le fait que la maison ne dort jamais. Il n’y a aucun endroit où être tranquille et mes hormones ne me lâchent pas un instant de surcroît. Quoi que je fasse, mes fantasmes finissent toujours par me rattraper. Heureusement, une petite chapelle entourée d’une forêt au sommet d’une colline avoisinante est là pour m’aérer de temps en temps.
Un matin vers neuf heures, je pars donc pour cette chapelle après une nuit de rêves intenses et un bon petit-déjeuner. La maison dort encore, ce qui me laisse à penser que le village décuve lui aussi tranquillement. Sur ma route, alors que je n’entends que le chant des cigales, mon sang ne fait qu’un tour. Je me cache autant que possible à l’abri des regards avant d’enlever mon T-shirt et de le coincer dans mon short. Subrepticement, une de mes mains se glisse dans mon boxer pour caresser mon sexe. Ce dernier n’en demande pas tant pour se faire ressentir et est déjà bien dressé.
Après quelques minutes, je le sors afin de profiter d’une petite brise. Malheureusement, au même moment, deux randonneuses descendent en discutant. J’ai tout juste le temps de ranger mon appendice avant qu’elles ne me voient. Il s’agit de deux femmes de mon âge, assez athlétiques, en short et débardeur. Elles sont très mignonnes et leur poitrine rebondit au rythme de leur pas, ce qui m’émoustille un peu plus. Mon sexe tire de toutes ses forces sur mon boxer qui tente par tous les moyens de résister. Essayant de cacher cette bosse tant bien que mal et me forçant à ne pas bloquer sur leur poitrine, je leur dis bonjour en rougissant. Elles me rendent le salut en souriant et partent en rigolant. J’espère qu’elles ne m’ont pas vu, même si j’aurais adoré avoir un coup de main.
Freiné dans mon élan, je décide de continuer et repars, encore plus excité dans mon ascension. À chaque fois que je tente quelque chose, j’entends des voix qui arrivent, ce qui fait que je n’ai aucun répit pour me faire plaisir. J’arrive finalement au sommet vers dix heures, l’endroit est désert comme par miracle. Les oiseaux gazouillent, les cigales chantent et mes hormones explosent de plus en plus en moi. Après cinq minutes de recherches, je trouve finalement un coin caché autour de la chapelle d’où je peux voir arriver les promeneurs. Excité et un peu inconscient, je me déshabille pour exprimer mes envies. J’adore être tout nu dans la nature et le risque d’être découvert m’excite encore plus. Au fur et à mesure de ma masturbation, je sens mon plaisir monter jusqu’à l’extrême, mais un couple d’anciens m’interrompt au dernier moment. Je me rhabille in extremis pendant qu’ils admirent la vue et, déçu et frustré une nouvelle fois, j’entame le retour.
Arrivé à la maison, personne n’est présent. Je fais le tour des pièces et un mot laissé sur la table du salon me prévient que tout le monde est parti au marché. Ils vont rentrer vers midi avec le repas. Une heure. J’ai une heure devant moi. C’est bien plus qu’il ne m’en faut dans l’état dans lequel je suis ! Cependant, une idée me vient à l’esprit. J’ai vu il y a quelque temps une vidéo sur une pratique avec des bougies. Sachant que mon anus est très sensible et que j’adore le titiller de temps en temps, je décide d’essayer. Je récupère donc une grosse bougie d’environ trois centimètres de diamètre pour quinze de long, un briquer, un élastique à cheveux et monte dans ma chambre. Enfin ma chambre, c’est vite dit puisqu’il y a 3 lits doubles et un petit lit simple pour moi. Des valises sont ouvertes et j’observe dans un coin des affaires sales dont une petite culotte tanga rose en dentelle. Elle doit appartenir à la femme d’un ami de mes parents.
Elle a la quarantaine, elle est grande, mince, pas beaucoup de seins, mais un superbe cul. Bref, revenons à nos moutons.
Je me mets sur mon lit, totalement nu avec mes accessoires. Pour commencer, je contrains mes testicules avec l’élastique et allume la bougie. Je suis à quatre pattes, je me caresse et fais tomber deux trois gouttes de cire sur mes fesses. La sensation est assez douce et saisissante, d’autant plus que la cire ne fait pas que tomber sur moi et sécher, elle tombe et glisse à chaque fois un peu plus sur ma peau. Dans un sursaut de masochisme, j’éteins cette bougie, je me cale le dos contre le mur, les fesses en l’air, et décide de me l’introduire. Lubrifiée avec l’excitation de mon sexe, elle rentre d’un coup comme dans du beurre, à mon grand étonnement. Je suis tellement excité qu’elle est avalée d’un trait jusqu’à la moitié de sa longueur.
Cette position m’excite beaucoup bizarrement, même si mon sexe pointe vers moi. Malgré tout, j’ai trop envie de venir et je ne réfléchis déjà plus. Vous vous en doutez, je rallume mon engin de désir tout en me masturbant la tête vers le bas. Pendant un long moment, aucune goutte ne pointe le bout de son nez, ce qui me frustre et m’étonne beaucoup. Même si j’appréhende la sensation de la cire directement sur mon anus, je suis terriblement impatient et, pourquoi cela met-il si longtemps ?
Finalement les voilà. Une, puis deux, puis trois gouttes perlent le long de la bougie. Ma masturbation devient de plus en plus frénétique et finalement, elles touchent mon anus. La sensation est très intense, trop même, ce qui fait que je me cambre instantanément, sans pourtant arrêter de me masturber. D’autres sont éjectées directement sur mes testicules, me faisant sursauter. Mes fesses bougent maintenant de plus en plus et, malheureusement pour moi, la bougie est pleine de cire. Mes mouvements en propulsent de partout dans une suite de mouvements incontrôlables, mélangeant douleur, plaisir et gémissements. Toute la cire se répand inlassablement sur mon cul. Mon sexe ne tient alors plus et je viens dans un râle continu, étiré par toutes ces sensations. Mes giclées sortent de mon membre par de longs jets surpuissants pour atterrir directement dans ma bouche grande ouverte.
Je ne suis plus que douleur et plaisir, le cul maculé de cire et la bouche de sperme. Mais que c’est bon ! Je m’empresse d’éteindre mon outil de vice pour profiter de ma jouissance. Qu’est-ce que c’est bon ! Mon anus est maintenant hypersensible et bouillant, mon sexe a déjà débandé et je goûte pour la première fois mon propre jus. Il a un goût légèrement salé, mais pas désagréable du tout.
Soudainement, le bruit de la porte se fait entendre et me sort de ma torpeur. Tout le monde rentre dans la maison. Pris de panique, j’avale toute ma semence sans en perdre une miette et me dirige comme un éclair dans la salle de bain de l’étage pour aller prendre ma douche. J’ai encore la bougie derrière et il ne me faut pas moins de cinq bonnes minutes pour retirer toute la cire de mes fesses. C’est un truc à refaire absolument, mais peut-être avec une ceinture pour me fesser avant tout cela.

Note pour plus tard, prendre une ceinture et une bougie plus grosse. Pourquoi ne pas aussi emprunter un string pour le porter après ! Mon cul est fébrile à cette idée, mais mon sexe recommence déjà à mouiller. Et vous ?
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