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Auto-soumission

Chapitre 3

La Corse

SM / Fétichisme
Bonsoir à tous, je veux vous confier un autre souvenir ce soir. Mais avant de commencer, je me présente un peu devant vous. Je suis un grand jeune homme très musclé d’une vingtaine d’années, brun aux yeux bleus, très timide et hétéro. Malgré tout, je suis masochiste de temps en temps et j’exprime mes pulsions toujours seul. Cette fois cependant, c’est différent. Mon histoire remonte à un été en Corse. Je me retrouve alors dans un camping avec dix amis pour travailler comme saisonnier sur l’Île de beauté. Les femmes sont en tenue légère et je ne sais où donner de la tête. Heureusement, nous sommes 02 dans de grands bungalows avec une cuisine pour tout le monde. Nos horaires sont décalés, ce qui fait que nous sommes souvent seuls. Mon travail se résume à assurer la sécurité sur le littoral la journée et dans les bars le soir. Les soirées sont souvent chaudes, dans tous les sens du terme, même si je ne suis pas très doué, mais on rigole bien et on picole pas mal aussi.
Au fur et à mesure des jours, mes envies refont cependant surface, mais que voulez-vous, sans elles, pas d’histoire à raconter. Les douches collectives donc sont souvent le lieu privilégié de leurs expressions. Avec la chaleur de l’eau caressant mon corps, mes doigts glissent souvent dans mon anus pour me pénétrer pendant que je me masturbe. J’adore me titiller la prostate, mais ce jour-là, mes deux mains s’y mettent et commencent directement par étirer mon cul. Je ne sais par quel miracle, mais ce dernier se montre très accueillant et souple, comme si quelqu’un pouvait y glisser la main. J’arrive ainsi pratiquement immédiatement à y insérer mon tube d’anti-moustique d’un diamètre honorable de cinq centimètres pour quinze de long. La sensation est très intense, je me sens pris à fond et j’imagine que quelqu’un d’autre me prend avec cet outil pendant que je me masturbe.
Il ne me faut que quelques instants pour venir, ce qui me permet de ne pas trop faire remarquer le temps passé dans la douche.
De plus en plus cependant, j’ai envie d’être soumis. J’imagine tomber sur des femmes plantureuses en lingerie fine qui m’attachent, me fessent et me prennent avec un gode ceinture pour me dresser. Malheureusement, je ne sais pas où chercher et surtout sur qui je vais tomber. Je crée néanmoins un compte sur tumblr, un site de partage de photos, et décide de chercher mon bonheur sur Internet. Après être tombé sur de nombreuses femmes vénales, je trouve un homme qui n’a jamais essayé de soumettre quelqu’un du même sexe, mais qui, après m’avoir rassuré, me met immédiatement en confiance.
Mes débuts sont très hésitants et toutes mes photos se font sans signe distinctif, ni tête, ni tatouage, histoire de ne pas être reconnu si jamais ces photos se retrouvaient entre de mauvaises mains. Après donc quelques jours d’échange, mon Maître me dit d’acheter du lubrifiant chauffant et de le retrouver à neuf heures du soir. Je passe la soirée à m’apprêter et à préparer mes affaires. Je suis nu sur mon lit, j’ai du lubrifiant chauffant, une ceinture et mon tube de protection pour brosse à dents. Il est profilé comme un petit gode et passe inaperçu dans tous mes voyages. Neuf heures sonnent à ma montre et mon Maître me contacte par SMS.
Les premiers messages sont cordiaux, puis il durcit le ton et me demande sans préambule de me fesser et de m’envoyer une photo avec vingt marques de ceintures sur les fesses. Surpris mais excité, je lui obéis. Toutefois, ne voulant pas faire trop de bruit, je ne frappe pas trop fort. La photo est envoyée et la sentence tombe, je dois repartir pour 30, mais mes fesses ne doivent pas être juste rosées, elles doivent être bien marquées pour me punir. Petit tour rapide dans les chambres, ouf, il n’y a que deux personnes dans les bungalows au plus loin. Je me mets donc à quatre pattes et commence la sanction. Ne voulant pas le décevoir, je n’y vais pas de main morte et au bout de dix coups, je commence à souffrir un peu. Un SMS tombe alors.
— Tu es trop longue petite salope, ça fera vingt de plus ! Mets-toi quelque chose dans le cul avec le lubrifiant, tu as cinq minutes pour m’envoyer la photo.— Merci Maître.
Cinquante coups en tout en cinq minutes. Sans réfléchir, je lubrifie mon cul pour y introduire la protection de brosse à dents et continue à me fesser frénétiquement. Arrivé au bout des cinquante, mon cul est bien rouge et des larmes coulent et tombent sur le matelas. Étonnamment, mon sexe est droit comme un "I" et coule à n’en plus finir.
— Voici votre photo Maître.— C’est bien, chaque coup t’a marqué le cul. En plus, on voit que tu as aimé ça ma salope, tu bandes comme un âne. Tu aimes le lubrifiant ?
C’est vrai qu’en plus de mes fesses en feu à cause des coups de ceintures et de mon sexe en rut, mon cul se met à chauffer et je ne pense plus qu’à ça.
— Merci Maître pour le lubrifiant, il m’excite beaucoup. Puis-je prendre un gode plus gros ? Mon cul chauffe et en veut plus.— Dépêche-toi pétasse ! Et envoie-moi une photo !
Oui, j’adore quand il est cru. Je prends alors mon tube d’anti-moustique et me l’introduis. Je suis obligé de bien me cambrer pour le faire rentrer, mais celui-ci entre pratiquement entièrement. Quinze centimètres, quel délice. La photo que je prends alors me montre cambré au maximum, le cul zébré et le sexe prêt à exploser.
— C’est bien mon soumis. Très bien même. Pour te récompenser, mets-toi du lubrifiant sur la bouche et les tétons, et va chercher une assiette en gardant ton jouet. Si tu le fais tomber, on repart pour trente coups.— Bien Maître.
J’enfile un short rapidement qui ne cache pas du tout mon érection et fonce dans la cuisine. Personne n’est dehors et heureusement, parce que le lubrifiant est légèrement rosé et que mon jouet rentre littéralement en moi. Une minute plus tard, je suis de retour.
— Je suis de retour Maître, mais j’ai englouti mon jouet.— Quelle bonne pute tu fais ! Sans t’en rendre compte, tu dois être un vrai garage à bites.— Merci Maître. Il est vrai que j’aimerais bien goûter à une vraie bite.— Prends une photo de ton cul et va rechercher ton jouet.
Pourquoi ai-je envoyé cela ? Je n’aime pas les hommes. Les bites n’ont rien d’esthétique, mais qu’est-ce qu’elles doivent faire du bien ? Sentir quelqu’un derrière soi que te prends sans ménagement, sans amour, juste pour du sexe, Hummm. Puis sentir des jets de sperme chaud te remplir, Hummm. Mes tétons et ma bouche commencent eux aussi à chauffer, et je mets un bon moment à récupérer mon jouet. Lui non plus ne veut pas se laisser faire, quel salaud.
— Tu es trop longue, tords-toi les tétons, je veux les voir rouges eux aussi.
Je lui envoie finalement la photo avant et après de mon cul et commence à me tordre les tétons dans tous les sens sans ménagement. Il faut dire qu’ils me brûlent et que je dois être en chaleur parce que j’adore ça.
— Voici vos photos Maître. Merci pour la correction. Puis-je recommencer ? Ça m’excite beaucoup.— J’ai hâte que l’on se rencontre, parce que tu vas ramasser, crois-moi ! Tu es peut-être un grand gaillard la journée, mais quand tu es à moi, tu n’es qu’une salope prête à tout ! Je te veux toujours prête à te faire prendre selon mon désir.— Je suis votre salope Maître.— Mets-toi à quatre pattes maintenant, prépare l’assiette sous ton clito et branle-toi à mon rythme tout en te prenant avec ton gode.— Bien Maître.
Le rythme de ces messages est tout d’abord très lent, ce qui me permet de bien ressentir le tube s’enfoncer en moi puis ressortir. J’adore cette sensation. C’est vraiment étrange, parce que j’adore faire l’amour à une femme, mais cette sensation de pénétration est vraiment enivrante. Passé une minute, les mouvements de pénétration se veulent plus rapides. Ma bouche, mes tétons et mon cul chauffent énormément, mais sans douleur. C’est même très agréable. Je l’imagine même en train de me prendre. L’idée ne me déplaît pas, bien au contraire. Je ne suis pas gay pourtant, enfin je ne pense pas, mais que c’est bon. J’ai envie qu’il me pilonne comme sa chose. J’ai envie de lui procurer du plaisir.
L’intensité des messages se fait de plus en plus pressante et ne tenant plus, je l’implore de pouvoir venir. Après plusieurs supplications, il accepte et je me répands littéralement dans l’assiette, pris comme une pute dans un bordel. Il ne manque plus que je sois attaché et que d’autres hommes attendent leur tour pour que je sois comblé. Je suis vraiment un dépravé en fait.
— Envoie-moi une photo de l’assiette soumise !— Voilà Monsieur.— Bien, très bien ! Vu ton membre, tu ne peux porter de cage de chasteté, ce qui est dommage. En revanche, je veux que tu boives ton sperme. Envoie-moi une photo de toi plein de foutre !
Sans réfléchir, je m’exécute. Je fais bien attention que l’on ne me reconnaisse pas, mais ma bouche est pleine de mon jus. C’est étrange de laper une assiette de sperme. Le goût n’est pas très agréable, mais j’obéis.
— C’est bien ma chienne. Avale maintenant.— Bien Maître.
Effectivement, le goût n’est pas terrible, mais au même moment où je me redresse pour avaler, le tube sort de mon cul dans un bruit de bouchon. La surprise me fait immédiatement avaler ce que j’ai dans la bouche sans réfléchir. Des frissons courent le long de ma nuque. Humm, qu’est-ce que c’est grisant ! Je suis vraiment une salope en fait. Qu’en pensez-vous ?
— Voilà Maître, je vous ai aussi envoyé une photo de mon cul béant. Il ne veut pas se refermer, que dois-je faire ?— Je veux que tu te mettes quelque chose de plus petit que ce tube et que tu dormes avec ce soir. Tu es une grosse salope et je vais commencer ton éducation.— Bien Monsieur.— Tu aimerais sucer des bites ?— Je ne sais pas Monsieur, ça ne me tente pas trop, mais j’aimerais tellement me faire prendre que, pourquoi pas.— Je vais y réfléchir alors. Va te coucher maintenant.— Merci Monsieur, bonne nuit.
Je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit-là vous vous en doutez. Les sensations de la soirée et l’objet dans mon cul ne faisant que bouger me maintiennent éveillé. Mes draps s’en souviennent encore d’ailleurs !
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