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auto-stop : détour dans les bois

Chapitre 1

Gay
Je me présente encore une fois, je suis Maxime, j’ai eu 17ans la semaine dernière. Je suis petit et mince, brun aux yeux marrons, plutôt mignon selon les dires des filles que je fréquente ou bien des mecs qui m’ont baisé.
  J’ai pour habitude de partir tout les étés en vacances en stop depuis deux ans, et cette année ne déroge pas à la règle! Le sac à dos est prêt et les parents prévenus, et je suis déjà sur la route le pouce tendu.  Évidemment tout les gens n’étant pas attiré par les hommes je passais souvent les voyages normalement. Mais pas cette fois ci!
  J’étais parti de Toulouse depuis midi, et il est presque 17h. J’ai eu la chance de tomber sur deux personnes très sympa qui m’ont avancé sur les trois quarts du trajet et je me retrouvais à quelques centaines de kilomètres de Paris. Je devais trouver un endroit où passer la nuit.
  Je marche donc le long de la route, je suis en pleine campagne et peu de voitures passent. Il y en a quand même une qui me prend et propose de m’emmener jusqu’à l’hôtel le plus proche, ce que j’accepte évidemment!   Le conducteur soit avoir la soixantaine, très costaud, il est tout de meme un peu bedonnant mais semble en forme. Le crâne dégarni sur le dessus il a les cheveux gris sur le côté. Il est très bavard et me raconte sa vie.
  Nous roulons pendant une bonne demi heure en discutant de choses et d’autres quand on en viens aux amours. Il me demande si j’ai une copine, qu’elle question! Évidemment je lui répond que non et je lui demande de même. Il me dis que lui est marié et continue à me poser des questions, il me demande si quelqu’un m’intéresse, si je plais aux filles... Si à tout hasard je suis intéressé par les mecs.   Cette question je n’y répond pas, ou du moins pas clairement, je lui dis que je lui retourne la question. Sa réponse est claire nette et concise: il me dis qu’il me retourne à moi.  Joignant le geste à la parole, il pose sa main sur ma cuisse et guette ma réaction. J’ai un moment de surprise, mais une fois passé je lui signale mon approbation par un petit sourire en coin. Il caresse ma cuisse en remontant de plus en plus haut en cherchant un endroit où nous serions tranquilles.  Nous découvrons un chemin qui s’enfonce dans les bois, nous descendons de la voiture et allons visiter les lieux.
  Il n’y a strictement rien. Que des arbres à perte de vue, l’endroit est idéal, personne ne viendra nous déranger.   Mon homme s’assied sur le capot de la voiture et me fait signe de m’occuper de lui. Je me met donc à genoux devant lui, je suis juste à la bonne hauteur. Pendant qu’il se défait le pantalon, je le regarde comme le font si bien les salope dans les films de cul, je sais que les mâles aiment ça, lui aussi, il me sais soumis à lui, a l’engin qu’il viens de sortir...  Cet engin d’ailleurs, parlons en! Il est énorme, il est encore mou qu’il dois déjà faire la taille du carton d’un rouleau de pq.  Wahou! Je suis aux anges! Une si belle queue pour moi tout seul! Je ne m’attarde pas plus et commence par les couilles, je les titille du bout de la langue à tour de rôle, puis je les sucre. Je les fait rouler sur ma langue toujours en regardant mon maître droit dans les yeux.
  Je remonte lentement le long de l’urètre avec ma langue et j’embrasse le gland de monsieur. La bite commence à se raidir, j’ouvre grand la bouche et avale le bout violacé. Je lèche un peu puis je l’avale un peu plus. Je salive d’avoir cette pine dans la gueule! Elle est délicieuse! C’est un mandrin de chair maintenant! Elle doit être aussi longue que le carton d’un rouleau de sopalin et à peine plus large.  Je cesse un instant de sucer pour cracher sur le pénis, puis reprend de plus belle! Ça glisse mieux maintenant, je peux aller de plus en plus profond!     Mon mâle, tout excité qu’il est né peux résister à la tentation , et m’attrape la tête pour imposer son rythme et sa profondeur, qu’il augmente peu à peu! Son engin tape de plus en plus vite et de plus en plus fort au fond de ma gorge!   Peu à peu la glotte laisse la place à la colonne de chair qui se fraye un passage. Je sent mon cou se déformer au passage du mandrin. Maintenant je me fait violer la bouche, les 30 centimètres de chair entrent et sortent régulièrement, les boules tapent sur mon menton, je n’arrive pas bien à respirer et des filets de bave coulent à flots!
  Un dernier coup de butoir dans ma gorge et il sort, je m’étouffe quelques instants puis il me retourne, et m’allonge sur le capot. Je n’ai pas les fosses préparées pour un tel monstre, mais je n’ai pas la volonté de résister, je suis prêt à tout pour le sentir en moi, tel une salope en manque...  D’ailleurs je la réclame! Je lui gémis de me la mettre, je le supplie, mais lui joue avec moi, il fait coulisser sa bite contre mes fesses, il crache sur mon trou, me met des doigts...
  Puis enfin je sent son gland contre ma rondelles, qui force, pénétrant petit à petit mon intimité la plus profonde. .. centimètre par centimètre, lentement mais sûrement il s’enfonce dans mes intestins, j’émets un petit gémissement quand le gland passe, non pas de douleur, mon amant est doux, mais de jouissance ...
  Je n’ai qu’une infime partie de sa verge en moi, Mais déjà je me sent défaillir, et cette sensation augmente au fur et à mesure qu’il entre sa pine en moi.   Je me laisse aller aux soupirs et petits gémissements, et je ne retiens pas le petit cri qui sort lorsque je sent ses couilles taper contre mes cuisses. Sa bite est entièrement en moi!   Il reste quelques instants immobile, puis il se retire doucement... pour mieux m’empaler! Il met un grand coup de rein et renfonce son pieu dans le fond, ce qui m’arrache un cri.
  A partir de là, il me défonce sans ménagement, ses boules tapent contre mes fesses et je crie de douleur, enfin pas bien longtemps, les hurlements se transforment bien vite en gémissements de plaisir.  Ce vieux me défonce l’anus comme jamais personne ne l’a fait! Ses 30 centimètres de chair dans le cul me font jouir comme une chienne et je suis sûr qu’on m’entend à 10 kilomètres à la ronde!   Il me baise pendant une bonne heure, il me retourne sur le dos, me prend contre un arbre, à même le sol, et je prend mon pied comme jamais!
  Quand il se retire c’est pour me présenter sa colonne de chair devant le visage. En bonne chienne je l’ai engloutie en gorge profonde, à genoux devant le mâle dominant.   J’ai senti l’engin se contracter, puis il a giclé au fond de mon oesophage, 3 longs jets que j’ai goulûment avalé, puis 2 autres qui sont venus s’écraser sur mon visage. Je suis resté ainsi, à genoux, la langue tendue, du foutre plein la gueule, et il a juste tapé sa bite sur ma joue avant de me soulever pour me poser sur la voiture, me maintenant les jambes en l’air, recherchant mon oeillet pour me la remettre d’un coup sec dans le fondement ! Et il m’a re baisé une bonne heure avant de se vider une seconde fois dans mon cul cette fois ci!
  On est resté pas mal de Temps sans bouger, se remettant de nos multiples jouissances. Après, nous nous sommes rhabillé, et nous avons repris la route. Évidemment il a passé la nuit avec moi à l’hôtel! Et il m’a laissé le cul en chou fleur et la gorge enrouée.
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