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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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L'auto-stoppeuse

Chapitre 1

Hétéro
Je me prénomme François, j’ai la quarantaine, je suis marié et père de deux charmants enfants. Je suis employé comme Taxi Colis dans une petite entreprise de la région parisienne, ce métier consiste à livrer des colis le plus souvent urgents aux quatre coins de la France .A écouter les collègues, tous avaient eu une, ou des aventures extraconjugales pendant leur travail , pour ma part, j’avouais bien avoir pris quelques auto stoppeurs et auto stoppeuses mais que jamais je n’avais rien tenté.Un d’eux racontait qu’à chaque fois qu’il prenait une auto stoppeuse, il tentait sa chance, qu’une fois sur deux ça marchait. Je voulais en savoir plus.— Tu fais comment ? Tu ne leur saute pas dessus comme ça tout de même .— Non, soit pas idiot, tu roules, et à un moment tout en discutant, tu pose ta main sur sa cuisse, et si elle ne te dégage pas la main, c’est gagné. Au pire, tu te prends une baffe, là, tu la dégage en pleine campagne.— C’est dégueulasse.— Oui, mais ça marche.
Toujours est il qu’au mois de juin 2003, alors que je rentre d’une livraison à BOULOGNE sur MER, je décide de profiter un peu du beau temps, et d’éviter l’autoroute pour le trajet retour.A la sortie de la ville, seule au bord de la route, un petit sac à la main, le pouce en l’air, une auto stoppeuse, je m’arrête, et baisse la vitre .— Bonjour.— Bonjour, vous allez sur Paris.— Oui, allez y montez.Elle s’installe, pose son sac à ses pieds, et met sa ceinture . Je la détaille, elle doit à peine être majeure. C’est une petite brunette, elle est vêtue d’une petite jupe arrivant juste au genou, un petit maillot sans manche, au pied une paire de tennis blanche, une vrai petite collégienne.Je redémarre .Elle engage alors la conversation— Je m’appelle Sandra, et toi ?Ce tutoiement venant si spontanément me surprend, mais n’est pas fait pour me déplaire .— François .— Tu reviens d’où comme ça.— Je viens de livrer des pièces informatique au Port de BOULOGNE . Et toi, que fais tu seule sur cette route ?— Je viens de me disputer avec mon mec, alors je vais chez mon oncle qui habite Paris. Et toi, tu es marié ?— Oui, Marié et père de deux enfants.— Tu as quel âge ?
— 39 ans, et toi ?— 19 ans .— Et tu voyage toute seule, comme ça. Tu n’as pas peur .— Non. En moyenne on tombe sur des gens sympathiques.La conversation continue ainsi alors que nous roulons.La main sur le levier de vitesse, à quelques centimètre de sa cuisse, dans ma tête, passe et repasse les mots de mon collègue, Baffe ou pas baffe.Je suis perdu dans mes pensées, tiraillé par l’envie de toucher son jeune corps, mais trop intimidé pour parcourir les dix centimètres qui séparent le levier de vitesse de l’objet de ma convoitise.Je l’entends me dire,— Ca ne va pas ? Tu as l’air préoccupé.— Non c’est rien.Au loin , j’aperçois un panneau, ’ Frites à 150 Mètres ’. Sauvé. — Tu as faim ?— Oui, je n’ai pas mangé à midi.— Moi non plus, ça te dis ?— Oui, mais je paie ma part.— On verra.Je me gare à proximité du camion à frite, l’endroit est calme. Des tables et des bancs, sont disposés autour du camion , nous nous installons à l’une d’entre elles.— Tu veux quoi ?— Frites, Merguez et coca .— Attends moi là je reviens.Je vais jusqu’au camion, et passe la commande, je la regarde, elle est vraiment très belle. La commande est prête, je paie, et retourne à la table.— Je te dois combien ?— Laisse .— Non je veux payer ma part.— Laisses, tu offrira le café plus tard.— Bon d’accord.— Bon appétit.Nous mangeons, une fois fini, je ramène le plateau au camion, et nous reprenons la route.Un peu de musique, après quelques minutes, mes vilaines pensées me reviennent.Me voilà reparti à combattre le démon qui possède ma main droite. Au bout de quelques minutes, elle me demande ce qui m’arrive, je décide de lui rapporter la discussion que j’avais eu quelques jours auparavant avec mes collègues. Elle me sourit, et posant sa main sur la mienne, elle me dit, ’ t’es vraiment trop mignon toi ’.Nos mains se caressent, nos doigts se croisent, elle tire ma main et la pose su sa cuisse nue, juste à la lisière de sa jupe, sa peau est douce et chaude. Je laisse aller et venir ma main entre le genou et le tissus de la jupe. Profitant d’un arrêt à un feu rouge, je détache ma ceinture, et me penche vers elle, elle me tend ses lèvres, et nous échangeons un long baiser. Nous sommes rappeler à la réalité par un coup de Klaxon venant de derrière, le feu était vert .Quelques kilomètres plus tard, elle me demande de faire un arrêt afin de satisfaire un besoin urgent.Nous sommes au milieu de nul part, que des champs à perte de vue, je lui propose de m’arrêter dans un café au prochain village, elle me répond que c’est urgent, et qu’elle ne tiendra pas longtemps.Je m’engage donc dans le premier chemin qui se présente, fais quelques dizaines de mètres, et lorsque la route n’est plus visible dans mon rétroviseur, je stoppe la voiture. A peine la voiture arrêtée, ma passagère détache sa ceinture, et, descend du véhicule. Elle fait quelques pas, et là sous mes yeux, elle passe les mains sous la jupe découvrant une petite culotte de dentelle noire, la baisse sous les genoux, et s’accroupit. D’ou je suis, je vois s’écouler le jet doré accompagné de ce bruit qui me fait penser (excusez le manque de poésie) au bruit d’un pneu qui se dégonfle. Pendant tout ce temps, elle me fixe avec un grand sourire.Elle me demande si j’ai quelque chose pour qu’elle puisse s’essuyer, je fouille le vide poche, y attrape un paquet de mouchoirs en papier, descend à mon tour, et retrouve face à elle toujours accroupie.Je lui tend le paquet, et au lieu de le prendre elle me saisit la main, et se relève. Je la regarde, debout, face à moi, dans le mouvement la petite culotte est descendue sur les chaussures . Je la prend dans mes bras, l’appuie contre la voiture et l’embrasse goulûment sur la bouche. Mes mains se promènent sur son corps, glissent sous le maillot, caressent les deux petits seins à travers le tissu du soutien gorge, les doigts glisse dessous, et dégagent les seins, entre deux doigts je pince doucement les tétons déjà bien durs. Elle attrape son maillot par le bas, et en levant les bras d’un coup, se retrouve moitié nue entre mes bras . Entre mes lèvres je saisi tour les tétons ainsi offert, mes mains descendent, passent sous la jupe, et caresse la peau nue de ces petites fesses bien fermes, je me laisse descendre embrassant au passage son ventre ,son nombril, je baisse la fermeture se trouvant sur le coté de la jupe, et la laisse tomber aux pieds de la jeune fille, je la ramasse avec le petit slip, et les pose sur le capot . Je me trouve face à une petite touffe de poils, bien taillée, je pose les lèvres sur le bas ventre, et tend la langue vers le petit bouton, je lèche le reste de liquide humidifiant les lèvres intimes, ma langues y pénètre, et cherche le jus au plus profond, je joue avec son petit clitoris, l’aspirant, le faisant rouler entre mes lèvres , elle respire de plus en plus fort, me tenant la tête, ses jambes ont du mal à la soutenir. Me relevant, je la dirige vers le siège passager, je la couche, et replonge ma tête entre ses cuisses, Je joue des doigts et de la langue, décapuchonnant le petit bouton, je le saisis entre les dents, le mordille, ses mains maintiennent ma tête collée à son minou, elle respire de plus en plus vite, son jus coule de plus en plus, je reçois un long jet de liquide chaud en plein visage . Elle reprend ses esprits, et entreprend de me rendre la pareil, elle est maintenant assise, les jambes en dehors de la voiture, je suis face à elle, elle embrasse la bosse qui déforme mon pantalon, la mordille, elle fait durer le plaisir. Ma queue tendue à mort, me fait mal tellement elle est serrée dans mon pantalon. Enfin elle se décide à ouvrir mon pantalon, passe la main à l’intérieur, et me caresse à travers le slip. Si elle continue comme ça, je vais exploser avant qu’elle ne sorte ma bite . Elle me baisse le pantalon, et le slip jusqu’au genou, elle me branle doucement, embrassant mes couilles , me lèche la queue de bas en haut, puis la prend dans la bouche. Je lui maintient la tête, et commence un lent va et viens entre ses lèvres, je me penche un peu, et recommence à caresser sa chatte. Je me dégage de sa bouche, et me laisse descendre jusqu’à ce que mon sexe soit à la hauteur du sien, je le frotte doucement entre les lèvres, elle est trempée, j’entre sans problème, une fois à fond, je reste figer ainsi quelques instants profitant de la chaleur de cet écrin. J’entame un lent va et vient, prenant soin de marquer une pause chaque fois que j’arrive au fond, elle m’attire à elle, m’embrasse à pleine bouche, je la sens se resserrer, elle va jouir, je pars au même moment inondant son vagin qui se contracte à chaque giclée de sperme . Je reste figé en elle jusqu’à ce que mon sexe ramolli sorte de lui même. Alors que je vais m’essuyer , elle se relève, saisi ma chose débandante, et commence à la cajoler avec la bouche, elle tire la peau à fond, et me lèche le gland, cette caresse me rend dingue, au bout de quelques minutes de ce traitement, je reprend de la vigueur, mais vu l’heure, je lui fais remarquer qu’il vaut mieux reprendre la route.Elle s’essuie avec sa culotte, et la glisse avec son soutien gorge dans le vide poche passager, elle enfile sa jupe et son maillot, nous reprenons la route. Elle n’a pas remis sa ceinture, elle est collée à moi, la main entre ses cuisses, je la caresse, elle allonge la banquette, et se laisse faire. Nous faisons une halte dans le premier village, un café ,tabac, épicerie, juste ce qu’il nous faut. Nous achetons de quoi nous désaltérer pendant le reste du voyage, puis nous nous installons à la terrasse du café, nous commandons 2 diabolos menthe, elle prend place face à moi, et croisant et décroisant les jambes, joue avec mes nerfs. Reparti, je ne résiste pas longtemps à tous ces petits chemins qui me font de l’oeil sur le bord de la route, j’en prends un, et comme tout à l’heure, attends de ne plus voir la route dans mon rétroviseur pour me garer. Je sors de la voiture, en fait le tour, prend une couverture dans le coffre, ouvre sa portière, la prends par la main et l’entraîne dans le sous bois. J’étends la couverture sur le sol, nous nous y allongeons, en quelques instants nous sommes entièrement nus, elle me chevauche, je joue avec ses petits seins, puis je change de position, je la prends en levrette, profitant de la position, j’embrasse ses petites fesses, les écarte, lui lèche la raie m’attardant sur son petit trou à chaque passage, elle se dandine, je mouille un doigt, et commence une pénétration digitale. Le premier entre sans mal, j’en mouille donc un deuxième, la pénétration là encore se fait sans douleur, juste une respiration accélérée rythmée par le mouvement de mes doigts. Après avoir tiré la peau au maximum, je lubrifie mon gland avec ma salive, et, présente maintenant mon gland à l’entrée d’un passage que mon épouse m’a toujours refusé. Le gland à peine entré, je progresse doucement afin de ne pas lui faire mal, mais, c’est elle qui se jette d’un coup en arrière, et qui m’impose un mouvement assez violent. Elle me dit d’y aller plus fort, qu’elle aime ça. Je ne me fait pas prier, je la saisis par les hanches, et chaque coup toujours plus profonds les uns que les autres, nous amènent à la jouissance, j’éclate dans sons ventre en longue giclées . Lors que mon sexe sort, je me relève, me place face à elle, et lui intime l’ordre de me nettoyer, elle s’exécute sans discuter . Une fois propre, je me rhabille, il commence à faire nuit, je lui demande si elle était chiche de finir le voyage nue à mes cotés, elle me dit que oui, je range donc la couverture et ses vêtements à l’arrière de la voiture. Et pendant les deux heures suivantes je pouvait caresser ma passagère, la contempler chaque fois que nous croisons un autre véhicule, ou que nous traversons une agglomération .Arrivés aux Portes de Paris, elle tend le bras en arrière, saisi sa jupe et son maillot, et se rajuste. Dans le 14e arrondissement, elle me demande de la déposer au pied d’un immeuble.— C’est là que vit mon oncle. Tiens voilà mon numéro de téléphone, tu m’appelles quand tu veux .— D’accord, il n’y a pas de problème. Je te donne le numéro de mon portable.Nous nous embrassons une dernière fois, et la regarde s’engouffrer dans le hall de l’immeuble.
Le lendemain, en arrivant au boulot, je gardait pour moi ce petit secret.
J’ai tenté à plusieurs reprise de la contacter par téléphone, sans succès. Je suis même aller dans la tour devant laquelle je l’ai laissée, je me suis présenté chez la gardienne, lui décrivant la jeune fille, lui expliquant qu’elle avait oublié des affaire dans ma voiture, mais en vain. Personne ne la connaît à cette adresse.
Il ne me reste pour me souvenir de cet aventure qu’un petit slip et un soutien gorge noir que j’ai retrouvés dans le vide poche passager.
J’ai changé les prénom, mais si tu lis cette histoire, je pense que tu te reconnaîtra, j’aimerais bien avoir de tes nouvelles ....
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