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L'auto-stoppeuse...

Chapitre 1

Hétéro
L’auto-stoppeuse,
L’histoire que je vais vous raconter, voilà 15 ans environ, est purement réelle.
A cette époque, je travaillais dans une société de livraisons à domicile, pour le compte d’un grand groupe de l’alimentaire. Cela faisait un an, et il est vrai que je côtoyais beaucoup de femmes, aussi bien personnel des magasins, que clientes. J’étais célibataire depuis environ deux ans, et pour être franc, sexuellement, c’était plutôt plat.
Un soir, après le travail, je décide d’aller boire un verre dans un petit troquet que je fréquentais, alors que j’habitais encore chez mes parents, dans un petit village de banlieue de Strasbourg. Là-bas, j’y retrouvais quelques potes de « beuverie », comme disait mon père, et nous jouons au fléchettes, et bien sûr, systématiquement la tournée. Au bout de quelques heures, je décidais de rentrer à mon domicile de Strasbourg, et alors que j’étais à 200 mètres de chez moi, je vois une auto-stoppeuse. Je m’arrête, il est environ une heure du matin, et je remarque que je la connaissais, d’un pote.
Stéphanie, lui dis-je ? Oui ! me répondit-elle.Tu vas ou comme çà ? Je rentre chez moi, mais il n’y a plus de bus.Il faut préciser que Stéphanie habite un village, à environ 15 kilomètres de la ville, et ce sont des bus du Conseil Général, et donc à cette heure-ci, il n’y a plus de navette.Stéphanie, qui a 19 ans était une fille de la campagne, pas très jolie, en soi, plutôt formée, et garçon manqué, et lors de soirées avec elle et cet ami commun, elle me faisait du gringue, et bien évidemment les invités se foutaient un peu, beaucoup de moi. Il en allait être autrement.Je l’invitais donc à prendre place dans mon véhicule de livraison, qui a 3 places à l’avant, et un caisson réfrigéré, à l’arrière. Elle me souriait, et nous voilà parti.

Pendant le trajet, nous discutons de tout, de rien, rigolons de choses et d’autres, et connaissant ses vues sur moi, je lui demandai, même si elle ne me plaisait pas physiquement, s’il elle voulait baiser ? Je n’avais pas fini ma question qu’elle me disait oui, et me guidait vers un endroit proche de chez elle, dans un chemin de traverse, calme et reculé, à l’abri des regards indiscrets.Arrivé à destination, j’ouvris les portes, car nous sommes en été, et j’enlève mon tee-shirt.
Je commençais par lui enlever ses baskets, et son jeans, et découvrit un string blanc dentelle, de belles jambes, bien lisse et douce. Pendant ce temps, Stéph, avait ouvert mon bermuda, et l’ôta, sans ménagements, ainsi que mon boxer. Mon sexe était déjà bien redressé. Je lui retirai son petit gilet, ainsi que son débardeur, et bien que n’étant pas une beauté fatale, je découvris une superbe poitrine dans les 95 c, avec de jolis tétons déjà bien dur.Stéph avait déjà commencé à me masturber, et voyant mon sexe bien dur me regarda, et me demanda si je voulais une bonne pipe ? J’acquiesçai et lui répondit qu’elle pouvait se faire plaisir. Elle commença par lécher mon bout avec sa langue et sa salive, tout en me masturbant. Elle savait y faire la cochonne. Ma main était déjà dans son string, à caresser son clito qui était sorti. Elle écartait bien les jambes, et pendant qu’elle me suçait maintenant comme une folle, entre deux aspirations me demanda de lui mettre mes doigts dans sa chatte qui est béante. Elle était tellement trempée que je ‘eu aucun mal à lui glisser 4 doigts. Elle gémissait, et demanda d’y aller plus fort, plus loin. Au bout de quelques minutes de ce traitement, alors que je fouillais sa chatte vigoureusement, qu’elle s’activait énergiquement sur mes 19cm, elle eut un orgasme, et explosa dans ma main, pendant qu’avec mon autre main, je l’obligeais à engouffrer toute ma queue, avant de jouir dans sa bouche. La bouche bien remplie de mon jus, elle me regarda, à la fois heureuse, mais aussi déçue de lui avoir remplie la bouche de mon sperme aussi rapidement. Elle avala ma semence, et continua à lécher le restant sur mon sexe.

Suite à cette première expérience, nous décidons de sortir du véhicule, nus tous les deux, pour profiter de l’endroit, car dans les champs il fait souvent plus frais. Nous en profitons pour fumer une cigarette, et boire un coup. J’ai toujours l’une ou l’autre boisson dans le caisson frigo.Je n’ai pas envie de rentrer me dis t-elle !
Moi non plus… Je reprends des forces, et on recommence ?J’ai envie que tu me prennes, ton sexe est tellement bon, long et gros…. !Je retournais à l’avant du véhicule afin d’y récupérer une couverture, que j’installe à l’arrière, dans le frigo ! Stéph s’allonge dessus, et écarte ses jambes. Je lui retire ce string trempée par son foutre, et découvre son sexe, rasée, avec des lèvres charnues, rosées, et encore trempée. J’y approche ma langue, et je sens ce gout exquis de mouille, cette odeur ce qui me fait à nouveau avoir une érection. Elle écarte de plus en plus, et je descends ma langue vers son anus, qui m’a l’air tout serré. Stéph gémis à nouveau, et me demande de la prendre, alors que j’insère à nouveau la moitié de ma main. Je remonte ma bouche au niveau de ses seins, ses bouts sont si durs, et tellement bons. J’arrive à sa bouche, et l’embrasse langoureusement. Nos langues se lèchent, nos salives, son foutre. Nous sommes au summum de l’envie, et Stéph commence à jouir, alors que ma main droite est maintenant entière dans sa chatte. J’arrive aisément à la pilonner tellement elle est béante.Je vais te baiser, te faire crier !Mets ta queue, et défonce-moi !
Ni une ni deux, je sors ma main de sa chatte, l’approche à sa bouche, afin qu’elle en lèche sa mouille, et présente mon sexe, à l’entrée, et d’un coup sec, la pénètre au plus profond. Je commence doucement à la défoncer, puis j’accélère la cadence en lui donnant des grands coups de butoir. A chacun d’entre eux, un cri sort de sa bouche, et elle me supplie de lui donner encore plus. Je m’amuse avec ses seins en continuant à lui donner ce qu’elle me réclame.Je vais te prendre les fesses….. !!Je n’ai jamais faitTu vas aimer.Ok vas-y mais doucement !
Je sors ma queue de sa chatte, elle est remplie de son foutre, et je vais me servir de tout ce liquide pour la préparer, et j’espère ainsi bien la pilonner. Elle qui ne me plaisait pas physiquement, j’avais maintenant une folle envie de la baiser par tous les trous possible… Oui je le dis, jamais je n’avais eu une folle de sexe comme elle.
Mon bout est maintenant à l’entrée de son anus, je lui monte les genoux au niveau du visage, pour lui ouvrir sa chatte et son cul. Elle observe la scène, en se disant que mon sexe ne passera jamais. J’enfonce doucement mon bout, en lui demandant de se décontracter, ce qu’elle fait, et me voilà presque facilement dans sa rondelle……Un soupir échappe de sa bouche, et je rentre de plus en plus. A mi-chemin je ressors toujours avec délicatesse, reviens dans sa chatte, pour en récupérer du foutre, et me revoilà à son anus. Cette fois-ci je rentre aisément, et peux aller jusqu’au fond.Jamais je n’aurais pensé que tu arrives à me la mettre.J’espère que tu aimes ?
Je continue mes vas-et viens doucement, mes allers retours entre sa chatte et son cul, ses mains sur mes fesses pour me donner la cadence. Elle veut maintenant jouir du cul, et me demande d’accélérer, ce que je fais.Au bout d’une dizaine de minutes de ce traitement anal, je sens la pression monter, et je lui demande ou elle veut ma semence ?Reste dedans me dit-elle !
Ni une ni deux, j’éjacule dans son cul, et tombe littéralement sur elle, tellement le plaisir était immense. Nous sommes restés ainsi, de longues minutes, mon sexe toujours dans ses fesses, et nos corps en sueur.
Ces derniers moments furent mémorables, car nous avions pris notre pied, ardemment, mais une complicité était née entre nous. Presque un amour…

A suivre...
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