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L'autre visage de ma femme

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Chloé me tenait par la main, nous traversions le couloir pour entrer dans le salon tamisé par une douce lumière provenant de la cheminée. Je découvris alors Geoffrey, le soumis de ma femme, dans un accoutrement assez spécial. J’allais de découverte en découverte et je me disais que je n’étais au bout de mes surprises. Il était assis par terre, nu, portant un collant, et une perruque blonde coupe au carré.je m’attendais à tout sauf à ça. Il était soumis mais aussi féminisé.
— Marc voici mon soumis Geoffrey, il m’écoute et fait ce que je lui demande. Il est venu au début pour découvrir mes pieds et me les masser. Au fil des rencontres il a su être un bon toutou, il a le droit à un peu plus maintenant.
C’était un homme de mon âge environ, grand et svelte, plutôt imberbe ou alors bien épilé. Cela est étrange mais j’avais du mal à être repoussé, il est plutôt esthétique et le collant lui apportait une touche de féminité. Je pouvais aussi nettement distinguer son sexe dur à travers le collant, il semblait très excité.
— Bien mon amour, maintenant que tu comprends un peu plus la situation tu peux t’assoir à coté de Geoffrey.— Comment ?— Tu as bien entendu, assis aussi. Et pas un mot tous les deux. Je reviens.
Je n’étais plus maître de mes mouvements, mon inconscient avait pris le dessus et j’obéissais à Chloé sans broncher. Je pense que j’étais tellement désespéré sexuellement avec elle que je pouvais maintenant lui céder tous ses caprices. Geoffrey ne bougeait pas, il était sur les genoux en attendant sagement le retour de sa maîtresse. Il ne débandait pas, je pouvais distinguer son sexe maintenant que j’étais plus près. Je voyais la forme de son gland à travers le nylon ainsi que ses veines gonflées. Le cochon était vraiment excité, son sexe tremblait et le collant était humide au niveau de son prépuce.
Les pas de Chloé se faisaient de nouveau entendre.
Elle réapparu avec des tissus fins à la main. Elle était légèrement éclairée par le feu, et m’apparaissait sous un nouveau jour, j’étais plein d’envie. Ses cheveux étaient tirés en arrière avec une queue de cheval, cela donnait un air plus sévère mais en même temps très candide. Cette queue de cheval noire lui redonnait 20 ans. Son rouge à lèvre était moins rouge qu’avant, il tirait plus sur un rouge pâle ou rose soutenu, plus doux, et qui contrastait très bien avec ce nouveau tempérament. Elle portait un chemisier ivoire volant dont les boutons étaient à moitié ouvert, laissant légèrement apparaître un soutien-gorge noire en dentelle fine avec un voile transparent sur les seins. Une forme en triangle sans armatures épousant ses petits seins encore bien fermes. Sa jupe de tailleur était très classique, d’un bleu profond et s’arrêtant au dessus des genoux laissant le reste de ses jambes nues. Elle avait de sublimes jambes, des cuisses fines mais aux formes très voluptueuses, et des chevilles à vous faire pâlir d’envie. Fines et légères, offrant des pieds tout aussi bien dessinés. J’en avais toujours était raide. Ce soir ces pieds me donnaient encore plus envie avec les jolis socquettes que lui avait offert Geoffrey. Elles étaient simples, en nylon noire, un renfort sur les orteils et des petits motifs de dentelles sur le haut. J’en bavais et je bandais d’ailleurs toujours...
— Marc, voici tes vetements.
Elle laissa tomber par terre le contenu de sa main. Un string en Lycra bleu et une nuisette de la même couleur.
— Mais ? je ne...— Quoi ?— Je dois.. et lui ?— Cesse de parler mon coeur ! Tu pensais quoi ? jouer avec moi ? Tu es venu tu m’écoutes ! Tu vas mettre ces habits. Et tu te tais ! Tu dois gagner ta place comme Geoffrey.
Elle le caressa et lui fit un tendre bisou sur la joue. J’étais sur le point de me lever pour partir, ne sachant pas quelle position prendre auprès de ma femme. Elle sentit mon hésitation. Elle s’assit sur son canapé en face de nous, tendit sa jambe et posa son pied sur ma bouche.
— Ne fais pas d’histoire, habilles -toi et tu pourras lécher mon pied ensuite, je sais que tu en meurs d’envie
Elle lisait dans mes pensées et savait parfaitement comment me manipuler. Comme pour mes autres décisions des 15 dernières minutes je ne dis aucun mot et m’executai en silence. Je me mis nu devant eux, avec un sexe en pleine érection. Chloé était satisfaite de me voir ainsi et Geoffrey regardait aussi mon sexe. J’enfilais la nuisette et le string bien qu’un peu petit pour moi. Chloé m’avait donné ses sous-vêtements, le string était tout de même assez flexible mais mon sexe y entrait difficilement. Je m’asseyais à mon tour à coté de Geoffrey. La ficelle du string en Lycra me frottait délicatement les fesses, c’était étrangement agréable.
— Mon Geoffrey, viens plus près, ce soir c’est ta fête. tu vas avoir le droit de me lécher les jambes.
Il s’approchait et elle remonta sa jupe pour lui offrir ce qu’il voulait, la vision de sa culotte. Elle écarta un peu les jambes.
— Allez mon brave chien, commence par les chevilles et donne moi du plaisir.— Oh merci madame !— Toi Marc tu vas devoir mériter ta place, lèches moi les pieds et baisse le regard, ma culotte est pour Geoffrey. Et d’ailleurs je ne vais plus t’appeler par ton prénom, tu seras ma petite lopette.
Je l’écoutais mais ne pouvais répondre, je voyais mon camarade lécher les jambes de ma femme et mater comme un gros pervers sa culotte.
— Lopette ! on dit oui madame !— Oui chlo.. Madame..
J’étais perdu, et j’avais perdu, je ne pouvais la contredire et contester ses ordres. L’envie avait prit le devant sur la raison.
Je commençais donc à lécher doucement les orteils de ma femme à travers le nylon. Cette sensation de ce tissu sur la langue était délicieuse. Je passais d’un orteil à un autre et je caressais très légèrement le dessus de son pied avec mes mains. Mon regard était baissé comme elle me l’avait ordonné mais je pouvais tout de même voir mon partenaire à coté. Il remontait lentement sur le bas des jambes de Chloé et je pouvais voir son regard avide planté droit sur l’entrejambe de notre maîtresse. Son sexe ne dégonflait pas et je le voyais avoir de léger spasme d’envie. Après quelques minutes à se faire lécher Chloé nous interrompra.
— Ma lopette tu as l’air bien trop content de faire ça, je vais te frustrer un peu plus... Geoffrey, approches.
Elle me poussa en arrière et me releva la tête avec son pied. J’étais à genoux, assis, le string me rentrant encore un peu plus dans les fesses. Elle installa Geoffrey entre ses jambes et mit un pied entre ses jambes. Puis elle passa subtilement ses orteils sur la queue de son soumis. Il tressaillit d’incompréhension mais aussi d’envie.
— Mon bon Geoffrey, la présence de mon mari est une aubaine pour toi. Je vais me servir de toi pour lui apprendre à être un bon toutou. On va lui montrer ça ensemble. Viens me lecher l’interieur des cuisses.
Il obéit sans attendre. Le cochon il était comme un dingue. Ma présence avait décuplé les envies de ma femme et elle semblait déterminée à me rendre dingue. Et cela fonctionnait plutôt très bien. Cette situation me frustrait mais me donnait aussi follement envie. Geoffrey léchait très doucement l’intérieur des cuisses de Chloé qu’elle avait suffisamment écartées. Son souffle était plus rapide et de petit râles ce faisait entendre. Il était en train de se faire caresser le gland à travers le nylon par le pied de Chloé. Il cambrai comme une petite pute le cul en arrière, et sa maîtresse le félicitait de sa position. Elle lui avait appris à se comporter comme une chienne en chaleur on dirait. Ses yeux étaient rivés sur la culotte blanche de ma femme. Une culotte tout en dentelle très fine et qui semblait très moulante. On pouvait deviner ses fines lèvres qui formaient une petite chatte étroite. Aucun poils ne dépassaient, Chloé prenait toujours très soin d’elle. Elle avait un beau triangle taillé court et le reste tout épilé. J’étais comme Geoffrey en train de baver d’envie devant cette culotte. Et l’envie se déculpa quand je découvris une légère tache humide sur le tissu. Chloé ne montrait rien mais elle mouillait de plaisir !Elle vit rapidement nos regards pervers qui ne bougeaient plus, la tâche grandissait à vue d’oeil. Le tissu humide collait maintenant parfaitement sa peau et on pouvait voir le dessin des lèvres. Je bandais comme un taureau.
— Eh bien mes choux, on bave bien devant ma culotte ! Geoffrey, viens ici, mon bon chien vient me renifler. Toi lopette, masse moi le pied.
Geoffrey sauta presque sur sa maîtresse, toujours assis au bord du canapé il vint approcher sa tête en plein entre les jambes de chloé. J’entendais le bruit de ses reniflements intense alliés à ses râles d’envie de plus en plus présent. Il ne pouvait faire autrement que de gémir d’envie devant ce spectacle et face au pied de ma femme qui lui masturbait maintenant complètement sa verge. Je pouvais même voir les orteils de sa maîtresse lui frotter l’anus à travers le nylon. J’étais quand à moi cantonné à masser l’autre pied et à subir mon sort. Mon sexe était tellement dur et gonflé qu’il était sorti du string. Chloé l’avait remarqué.
— Regarde Geoffrey, je crois que notre lopette bave d’envie devant nous. On devrait peut-être le récompenser ?— C’est vous qui décidez maitresse.— Hmmm... Non, il est trop tôt, je veux le voir ramper pour nous.
Elle me fixa en finissant sa phrase et me lança :
— Cambre toi, gemis, supplies-nous, tu dois mériter ta place à nos cotés.
Et pour m’enfoncer encore plus dans ma condition de soumis elle prit la tête de geoffrey et lui fit signe qu’il pouvait lécher la culotte. En même temps elle passa son pied sous le collant pour caresser sa queue directement. Ca me rendit fou de le voir prendre plaisir sans que je puisse en profiter. Il fallait donc que j’obéisse au mieux à ma femme pour avoir ma part du gâteau aussi. Je me mis donc à quatre pattes et je me cambrais le plus possible devant le pied que ma femme me laissait. Je le baisais, je la suppliais de me donner un peu plus, que j’étais sa petite lopette. J’étais étonné de mon comportement. Je me mettais bien vite dans ce rôle de soumis.
— Tu es pas mal pour un petit débutant dis donc ma lopette.. Mais ce n’est pas assez !
Elle me mit une forte claque sur les fesses.
— Baisse ta tête et regarde sous mon bon Geoffrey.
Elle voulait que je regarde son pied donner du plaisir à son autre soumis. Je me plaçais donc, j’avais une vision sous les fesses de Geoffrey, ses bourses étaient pleines soutenues par le nylon et le pied de Chloé qui lui branlait la queue sous le collant. C’était très humiliant mais aussi très excitant de voir ses orteils si fins et si beaux sur une queue étrangère et tellement raide. J’entendais Geoffrey passer la langue sur la culotte de ma femme et ça me redonna encore plus envie d’en profiter.
— Ma maîtresse, je suis votre bonne lopette, votre petite salope, que dois-je faire, je suis à bout..— Regarde !
Son pied descendit sur les couilles de mon partenaire. Elle me présenta son gros orteil à travers le nylon. -Lèche le !
Comment?! je devais lécher son orteil qui venait de frotter une queue pendant 20 minutes ! Et en plus qui était passé sur son anus.
— Lèche ou je t’abandonne ! Allez ma lopette, pas de chichi.
Que devais-je faire ?
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