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Je n'avais pas prévu de voir ça !

Chapitre 7

Avec plusieurs femmes
Combien d’hommes et de femmes s’étaient-ils déjà retrouvés avec le manche de cette fameuse brosse Babyliss enfoncé dans le rectum, à travers le monde ? C’est la première question qui me traversa l’esprit à ce moment-là... quand je sentis l’objet dur et lisse s’enfoncer et écarter mes chairs au fur et à mesure de sa progression dans mon conduit anal.
J’avais la respiration haletante et tous mes muscles fessiers se contractaient, mon sphincter serrant de toutes ses forces l’intrus, comme pour bloquer sa marche en avant... à moins que ce fusse au contraire pour l’empêcher de ressortir ! Car, même si le début de la sodomie fut violent, je m’étais très étonnamment assez vite habitué à ce corps étranger, étant même dans un état de plénitude et de bonheur peu commun. Les designers de chez Babyliss avaient-ils longuement étudié l’ergonomie de leur brosse pour qu’elle s’adapte aussi bien à mon fondement et qu’elle soit une telle source de plaisirs ?! Il faudrait que je pose la question via Internet ?!
Et pourtant, Julie n’y était pas allée de main morte pour me la mettre profond, sa brosse... car, après m’avoir léché à pleine langue mon œillet, elle posa contre le bout rond du manche et l’enfonça de façon linéaire jusqu’à ce que ce dernier soit complètement avalé... Je reconnaissais bien là toute la finesse de ma grande sœur !
Le reste de mon corps ne s’y trompait pas d’ailleurs, parcouru de part en part par des frissons spasmodiques... alors que ma bite avait atteint une taille que je ne lui avais encore jamais connue auparavant, dans aucune de mes longues séances de branlette. Elle devait facilement dépasser les quinze centimètres et sa largeur m’impressionnait presque !
J’étais donc en train de réaliser que j’étais pédé ! Il me faudrait certes sûrement beaucoup de temps pour l’assumer complètement, surtout vis-à-vis de mes potes de lycée, mais les faits étaient là... j’aimais me faire défoncer le cul !
"Bon, Florent... nous passons aux choses sérieuses ?!— Hein !... Quoi ?...
Elle voulait rire, miss monde ?! Ce n’était pas sérieux, jusqu’à là ?!? Sans doute n’avait-elle jamais eu un manche Babyliss carré dans l’anus avec ma frangine à la manœuvre, la cocotte... pour oser me dire ça !?Et ben non ! Manifestement, pour la belle métisse, ce n’était que le début des festivités... Elle me tourna le dos et me présenta son superbe cul au niveau de mon gland violacé et gonflé comme jamais.
Mon premier réflexe fut de donner un grand coup de reins en visant son petit trou... mais, étant donné l’échec lamentable du tir, je me ravisai rapidement et décidai de laisser faire l’expérience... surtout que la frangine, derrière, commençait à s’exciter sérieusement avec son machin et à l’activer farouchement dans mon trou du cul. Un accident est si vite arrivé !!!
— Vas-y, Florent ! Prends-moi !
Elle était amusante, elle ! Comme si c’était si simple... ce d’autant plus, qu’en même temps, je me faisais tarauder le fion par l’autre folle perverse qui me servait de sœur !Elle dut sentir mon désarroi car elle passa sa main entre ses cuisses et vint me chopper le braquemart pour l’amener jusqu’à l’entrée de son vagin. Et là...
— ...

Non, ce n’est pas possible... vous n’avez jamais dû connaitre ça !?! Ce n’est pas possible ?!... Oh putain !...Mon sexe comme avalé, comme aspiré par ce puits de chaleur, de douceur... qui semblait épouser ses formes, à croire que l’un était fait pour l’autre. La quintessence du bonheur ! Enfin, quoi... trop trop bon !
C’était clair... je pouvais mourir maintenant ! Pas plus grand bonheur n’était possible dans ce bas monde, en tant que simple mortel... Je pouvais mourir, paix à mon âme...
— Oh putain !...— Oh oui... prends-moi encore plus profond, Florent ! Ahhh !...
C’était donc possible !!! Léa venait de commencer à onduler du bassin, ses deux globes à la peau mate venant taper sur mon bas-ventre à chacun de ses mouvements. Julie, quant à elle, continuait à faire coulisser le manche de sa brosse dans mon rectum, alternant les rythmes lents et rapides... tout en me triturant les couilles avec son autre main.Je ne savais plus où donner de la tête, tous mes capteurs sensoriels étant en alerte maximum ! Tout mon corps se désagrégeait au fur et à mesure que je sentais venir l’orgasme. J’allais lui remplir la chatte, à ma sublime brune... J’allais devenir un homme, un vrai... un mâle puissant et dominant ! Il fallait que j’éructe de toute ma virilité...
— Arrrh !... Je jouis ! Oh ouiii !...— Les enfants... vous êtes où ?— Ahhh ! Non... putain !...— Ohhh... Ouiii !... Encore !... Ahhh !...— Les enfants ? Florent ?! Julie ?!— Ohhh... merde !... La mère supérieure !...— Arrrh !...— Ahhh !...— Ouiii... maman... je suis dans la salle de bain... je prends ma douche... j’ai bientôt fini !...
Elle était en train de monter les escaliers pour venir à l’étage...
— Et ton frère, Julie, tu sais où il est ?
Elle devait être juste derrière la porte de la salle de bain. Je fis de grands gestes à ma sœurette pour qu’elle réponde "non", en même temps que je sentais les derniers puissants jets de sperme s’expurger de mon corps.
— Non, je ne l’ai pas vu, maman...
Qu’est-ce qu’elle venait nous faire chier, celle-là ?! La poisse ! A croire que les parents n’existaient sur terre qu’avec l’unique mission de nous pourrir la vie, que ce soit pour les devoirs d’école, pour réglementer l’utilisation de l’ordinateur... et, là en l’occurrence, pour m’empêcher de grandir, de devenir un homme !
Bon, malgré tout, c’était un moindre mal ; j’avais tout lâché dans Léa et je me sentais réellement vidé, exsangue... comme si toutes mes forces étaient parties avec mon sperme. J’étais affalé sur le dos de ma belle, le regard hagard et de la bave à la commissure des lèvres. Léa, quant à elle, continuait à avoir des spasmes de jouissance, se mordant les lèvres pour ne pas crier son plaisir plus fort...En toute modestie, j’étais assez satisfait de ma performance, pour une première. Néanmoins, une évidence s’imposa ; il fallait que je m’entraine encore, admiratif que j’étais d’un seul coup pour les acteurs pornos qui remettaient le couvert cinq à six fois d’affilé avec toujours la même vigueur !
— Mais, Jean-Édouard, que vous arrive-t-il, mon cher ?!... Julie ?!... Il s’est passé quoi pour qu’il soit dans cet état, votre père ?... Mais, ça sent l’urine... il s’est pissé dessus, le malheureux !!!
C’était sans conteste le plus beau jour de ma vie... mais nous n’étions pas qu’un peu dans la merde !!!
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