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Avalanche de plaisir

Chapitre 1

Hétéro
Ce récit n’est que fictif. Aucune boule de neige n’a été maltraitée durant l’écriture de celui-ci.

La neige tombait durant cette douce journée hivernale. La faune habituelle avait laissé place à un silence agréable et à une sérénité des plus régénératrices. L’épais duvet blanc recouvrant le sol craquait sous les pas de Camille. Ramassant une poignée de la douce poudreuse jonchant le sol, la jeune fille forma une boule de neige qu’elle lança au loin. Manquant sa cible, son projectile se désintégra contre un arbre en travers de la trajectoire. Elle fit une mue boudeuse avant de se retourner et, au comble de sa surprise, une boule blanche explosa sur son visage, répandant une poudre aussi fine que glaciale sur sa joue.
Je t’ai eue ! s’écria une voix masculine. Allez ! Enlève ton pull.Mais je vais avoir froid ! s’insurgea-t-elle.T’inquiète, on s’occupera de te réchauffer un peu plus tard, lui répondit-il dans un clin d’œil.
Lui jetant un regard aussi glacial que la température extérieure, Camille attrapa le bas de son pull bleu en laine et le leva. Pour le plus grand bonheur de Killian, le jeune homme responsable de la boule de neige, elle ne portait par-dessous qu’un simple soutien-gorge rose. Le tissu, mouillé par endroit à cause de la neige fondue, laissait transparaître quelques fragments de la poitrine de la demoiselle.
Je peux savoir ce que tu regardes ? S’indigna-t-elle. Si tu veux voir des nichons, va tripoter ta copine. En plus, les siens sont plus gros, mais je suis certaine que tu l’avais déjà remarqué.
Sans attendre de réponse, elle lui tourna la dos et courut afin d’éviter une boule de neige lui ayant frôlé l’épaule. Elle se cacha derrière un arbre voisin et forma une nouvelle boule de neige. Elle sortit soudainement de sa cachette et, prenant grand soin de viser le torse de sa victime, elle lança la boule qui, sans que la cible n’eût le temps de l’éviter, forma une tâche de neige sur le T-shirt bleu marine du jeune homme.
À ton tour de retirer ton haut, dit-elle en lui tirant la langue.Ouais, mais je sens que je vais pas être le seul, répondit-il dans un rictus.
Dans la plus complète des incompréhensions, Camille regarda Killian ôter son T-shirt, révélant ainsi son torse dont les poils, tout comme les muscles, semblaient absents.
Je t’avais prévenu, rit-il aux éclats.
Comprenant enfin où il voulait en venir, la jeune femme se retourna et, quelques dixièmes de secondes plus tard, un homme la plaqua subrepticement dans la poudreuse. Un léger nuage blanc se forma autour de leurs deux corps, les uns sur les autres. Les longs cheveux blonds de Camille s’enfoncèrent dans la neige, ainsi que la moitié de son crâne. Le jeune garçon responsable de sa chute se releva aussitôt, libérant le corps de son amie.
Allez-y, mitraillez-là !

Paniquée, la jeune blonde ferma les yeux lorsqu’elle vit deux filles et un troisième homme courir vers elle, boules de neige en main. Les trois projectiles la touchèrent en plein torse.
Touchée, s’esclaffèrent-ils tous en chœur.
Camille se releva péniblement. La neige entassée sur son torse lui gelait le ventre, aussi décida-t-elle de rapidement l’ôter.
C’est pas juste, se plaignit-elle. Vous vous êtes ligués contre moi !Peu importe, c’est pas interdit, répondit Killian, toujours torse nu. Mais puisque tu as reçu trois boules, tu dois tout retirer.Mais c’est pas juste !À poil, Camille ! À poil, Camille ! À poil, Camille ! chantèrent les cinq amis.
Voyant que rien ne pouvait éviter cela, Camille sourit et déboutonna lentement son pantalon en jeans. Elle ouvrit la braguette et, se penchant légèrement en avant, elle le laissa tomber le long de ses douces jambes tout en agitant légèrement le bassin. Les garçons, hypnotisés par cette danse sensuelle, semblaient plus regarder ses fesses que son strip-tease. Elle continua de danser sur une musique imaginaire et, dans un mouvement coquin, elle dégrafa son soutien-gorge. Elle le retint pour ne pas qu’il ne tombât trop vite et fit signe du doigt l’homme qui l’avait faite tomber de la rejoindre. Ce dernier, trop heureux de pouvoir profiter du spectacle, ne montra aucune opposition et, en deux pas, se tint devant elle. Elle lui fit signe de retirer son sous-vêtement avec les dents, faisant ainsi rougir les joues du jeune homme qui se baissa légèrement. Il approcha sa bouche des deux seins ni trop gros, ni trop petits et, d’un geste lent et précis, mordit dans le tissu. Il en profita pour rapidement donner un léger coup de langue sur son téton droit lorsque le soutien-gorge tomba à terre. Attendant impatiemment la suite, les hommes comme les femmes l’applaudirent. Poussée par un excès d’hormones, la jeune femme posa ses mains sur ses hanches et les laissa glisser le long de son corps. Une agréable décharge électrique la traversa lorsqu’elle pensa à ce qu’elle comptait faire. Sans faire attendre son public plus longtemps, Camille se pencha totalement en avant et ôta sa petit culotte rose, révélant ainsi son intimité. La jeune fille rougit de sa danse et plus encore lorsqu’elle vit les yeux de tous les garçons collés à son entre-jambe. La jeune femme retrouva une position plus décente et, lorsqu’elle regarda à nouveau les garçons, elle plaça ses mains devant ses yeux, arborant un air écœuré suivi d’un mouvement de recul.
Killian ! Greg ! Vous êtes de vrais porcs !C’est pas de notre faute si tu es bonne à bander, répondit Killian. Sois gentille et penche-toi encore une fois.Vas te faire foutre, s’indigna-t-elle.
Camille partit au moment durant lequel les deux autres filles rejoignirent les deux hommes en pleine session de masturbation et remplacèrent leurs mains virils par leurs bouches expérimentées. Entendant leurs gémissement exagérés, la jeune blonde décida de ne pas se retourner.
Attends-moi, cria Léo, le troisième garçon.Pour que tu te branles devant moi, toi aussi !
Il lui attrapa doucement le bras et l’accompagna jusqu’à une butte de neige quelques mètres plus loin derrière laquelle ils se cachèrent de leurs amis et s’assirent l’un en face de l’autre.
Excuse-les, commença Léo. Tu les connais, ils ne peuvent pas s’empêcher de s’envoyer en l’air avec leurs meufs, même si nous, pauvres célibataires que nous sommes, les regardons.Ouais, bah ils auraient pu prévenir, ou mieux, se retenir et faire ça, je sais pas moi, dans les toilettes par exemple.
Léo voulut répondre, mais il remarqua les légers tremblements du corps de son amie.
Tu as froid, s’inquiéta-t-il ?Un peu, avoua-t-elle. Sûrement à cause de la neige.
Sans attendre, il ôta son pull de laine et le lui tendit. Pensant le trouver torse nu, Camille regarda son torse mais eut la surprise de trouver un T-shirt blanc.
Tiens, mets-ça, tu te sentiras mieux, dit-il.Merci, dit-elle en enfilant le vêtement. Tu es sûre que.... Quoi ? Pourquoi tu rougis.Euh... pour rien, répondit-il, gêné.Allez ! Dis !
Le jeune homme se racla la gorge, plus pour garder ses esprits qu’autre chose.
Eh bien, tu es toujours nue, et... tu écartes les jambes quand tu trembles.
Camille regarda alors ses cuisses et s’aperçut qu’il n’avait pas tort : son sexe était totalement visible pour Léo.
Tu as regardé ? Demanda-t-elle en resserrant les jambes et en cachant son visage, rougi par la honte, sous son bras.Oui, dit-il gêné, mais c’était vraiment par hasard, je te voyais juste trembler quand je l’ai vu... Mais tu restes très joli, dit-il comme pour se rattraper.C’est... C’est vrai ? Tu me trouves jolie ? Demanda-t-elle, rougissant plus encore.Euh, oui, bien sûr que je te trouve sublime, dit-il en avalant sa salive.
Les yeux perdus dans le néant, le visage de Camille s’approcha lentement de celui de Léo et, quelques secondes plus tard, lorsqu’il put sentir la chaleur des expirations régulières de son amie, les lèvres du jeune homme rencontrèrent celles de Camille. Un baiser court mais agréable claqua parmi les rugissements de jouissance des filles, probablement en pleine action avec Killian et Greg, de l’autre côté de la butte. Pendant quelques secondes, Léo se perdit dans ses pensées, incapable d’oublier la sensation de la fille assise, nue, en face de lui qui l’embrassait.
C’est bon, tu peux la regarder, dit Camille, écartant davantage les jambes.
Les yeux de Léo rencontrèrent l’intimité de la jeune femme. Il regarda rapidement les lèvres entre-ouvertes de son vagin ainsi que son clitoris sortant du petit bouclier de peau qui le protégeait. Il remarqua également un léger écoulement de cyprine sortant tout droit de son sexe.
Tu es sûre que c’est parce que tu avais froid que tu tremblais ? demanda-t-il.Bien sûr, répondit-elle calmement. Pourquoi sinon la fraîcheur ?
Sans attendre la permission, Léo enfonça son doigt dans le vagin de Camille. Cette dernière poussa un léger soupir de plaisir et n’essaya même pas de retenir le jeune homme.
Oh la vache, mais t’es trempée ! s’exclama-t-il lorsqu’il ressorti un doigt couvert d’une substance aqueuse.J’avoue que les autres m’ont pas mal excitée, avoua-t-elle en rougissant.Ouais, ça j’avais remarqué, mais pourquoi tu trembles, alors ?
Camille cacha son visage entre ses bras. Elle hésita mais réussit à assembler suffisamment de courage afin de conclure sa phrase.
Parce qu’ils m’ont donné envie de passer à l’acte, dit-elle presque en chuchotant.
Ne sachant comment réagir, Léo tenta de garder son calme et de masquer son état d’excitation extrême. Son membre grandit aussitôt de plusieurs centimètres, aussi tenta-t-il de le cacher.
Et apparemment, je ne suis pas la seule à en avoir envie, sourit-elle en pointant l’entre-jambe du jeune homme. T’as l’air tout dur.
Sans lui laisser le temps de répondre, Camille s’approcha et défit la braguette de son ami. Son membre, à l’optimum de sa grandeur, en jaillit presque immédiatement, arrachant à Camille un cri de surprise.
Bordel, c’est gros ! Hurla-t-elle presque.
Sans se laisser impressionner, la jeune femme porta légèrement le monstrueux pénis à sa bouche et, après avoir déposé un léger baiser à la surface du gland, elle le prit en bouche. Léo gémit instantanément et laissa sa magicienne d’amie faire des miracles. Il ferma les yeux, bercé à la fois par la brise hibernale et la chaleur de la bouche de la jeune fille qui ne tarda pas à porter l’une de ses mains au scrotum et l’autre au niveau de son vagin qu’elle caressa sensiblement. Elle donna quelques coups de langue supplémentaires avant de libérer le membre de Léo. Lorsque celui-ci se déshabilla entièrement, Camille s’allongea sur le dos, attendant son heure. Le jeune homme s’approcha et porta son visage entre les jambes de la jeune fille.
Non, s’il-te-plaît, je n’en plus d’attendre, je te veux en moi maintenant ! Pénètre-moi !
Intrigué par la volonté de sa partenaire, Léo éloigna son visage et approcha son organe de celui de la demoiselle. Il posa le gland à l’entrée du vagin et exerça une légère pression sur les lèvres.
Prête ? Demanda-t-il.
Elle lui répondit par un signe de tête. Léo ne perdit alors pas une seconde et pénétra délicatement la jeune femme qui poussa un cri de bonheur et se cramponna au cou de Léo. Ce dernier entama alors quelques aller-retours dans l’utérus de son amie. Chaque fois qu’il poussait en elle, il tentait de toucher le fond de son intimité, et chaque fois qu’il ressortait, il ressentait les moindre contractions de sa partenaire lui caresser le sexe, provoquant chez lui des frissons incommensurables. Camille, quant à elle, était aux anges. Réagissant au moindre mouvement de bassin du jeune homme, elle poussait de légers soupirs lorsque son colossal membre venait toucher le fond de son sexe. Habituellement, ce point lui faisait mal, mais la douceur avec laquelle il s’occupait d’elle la transportait de plaisir. Elle sentait le scrotum de son ami claquer contre ses fesses à chaque aller et entendait le bruit de sa cyprine lorsqu’il l’ôtait. Son clitoris, parfaitement ressorti, frottait contre le torse musclé de Léo, attisant davantage la flamme de l’amour les unissant. La sensation de fraîcheur apportée par la neige hivernale s’estompa pour laissa la place à la chaleur de leurs caresses. La timidité que Camille ressentait à l’égard de ce moment quitta son esprit qui, depuis le début, semblait se balader dans le paradis onirique du plaisir. Plusieurs secondes plus tard, incapable d’en supporter davantage, Camille poussa un violent cri de joie et éjacula en même temps que son partenaire.
Ayant eu le réflexe de sortir son organe avant la jouissance, il regarda sa semence arroser la poitrine de son amie qui s’amusa à l’étaler sur l’intégralité de son torse.
Lorsque leurs yeux se croisèrent, une étincelle les traversa en même temps et, dans une parfaite symbiose, les deux amis s’embrassèrent langoureusement.
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