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L'avarice

Chapitre 1

près du puits

Gay
— Putain, mais t’es con !! je t’avais dit d’éviter le nid-de-poule ! On est coincés maintenant !
Et Thomas avait beau appuyé sur l’accélération, rien n’y faisait, la voiture était bloquée, enfoncée dans cette route de campagne sans rien d’autre autour que des champs, une vieille bâtisse abandonnée et des bois dans le lointain. Jérémy était un type plutôt colérique et un peu brusque qui avait de la peine à se retenir lorsqu’il était énervé. Thomas était-il son mec ? Rien n’était moins sûr, mais les deux se plaisaient beaucoup. Le garçon, blond et de taille moyenne, des hanches creusées et un dos très musclé, se demandait comment il pouvait se sentir attiré par un type comme Jérémy, au fond, c’était un gamin qui n’arrivait pas à contenir sa frustration, qu’il en devenait parfois un sacré connard. Mais c’est cet aspect incontrôlable même qui lui avait plu, il avait déjà eu plusieurs maîtres et c’est l’idée qu’il le prendrait violemment et n’importe où qui l’avait séduit.
Et ça n’avait pas manqué: combien de fois Jérémy l’avait-il pris contre un mur, dans une gare, même dans un super marché lors de disputes, lui baissant sauvagement le pantalon pour l’empaler en guise de représailles, enfournant sa bite sans égard dans son cul, sans égard pour ses cris de douleurs, pour le lieu, ni même l’éventuel public.
La rage déformant son visage, il se défoulait en lui, cherchant presque à lui faire le plus mal possible, appuyant sa tête vers le bas pour ne voir que son dos, ou tirant ses cheveux en arrière dans une improbable cambrure. Et quand la voiture avait fait un arrêt forcé sur la route cabossée, Thomas avait déjà prévu la suite. Jérémy descendit de la voiture, l’air très contrarié. Après une courte inspection, il en conclut:" il va falloir appeler une dépanneuse. On ne va pas réussir à l’en sortir comme ça. Mais moi, je paye pas pour tes conneries.
— On peut essayer en la poussant. Si tu me donnes assez d’élan, peut-être qu’on parviendra à la faire sortir. Fous-toi derrière et pendant que j’appuie sur l’accélérateur, tu donnes tout ce que tu as à l’arrière."
Jérémy se plaça à l’arrière, mais malgré tous leurs efforts, rien n’y fit. La roue ne se dégagea pas. Thomas entendait ton compagnon s’énerver, esquinter son dos contre la porte du coffre et il l’imaginait rouge et fulminant de rage. Il eut pitié et lui lança au travers la vitre: "Bon c’est bon, on arrête. Te fais pas mal. J’appelle une dépanneuse."
Quand il raccrocha, il n’en fut pas plus à Jérémy, déjà vert de rage, pour ouvrir la portière en grand, attraper Thomas par le col, le plaquer ventre contre la paroi, empoigner ses couilles par derrière et lui susurrer à l’oreille de la voie la plus contenue qu’il put: "T’es sérieux petit merdeux ? Tu me fais me péter le dos depuis dix minutes pour réparer ta connerie, tout ça pour me dire que tu vas appeler une dépanneuse ? J’espère que tu déconnes là, parce que sinon tu vas me le payer très très cher."
Mais sans attendre la réponse, Jérémy resserra sa pression entre les jambes de Thomas, et se plaquant tout entier contre lui, l’emprisonna entre son dos et sa main. Coincé contre la voiture, il ne pouvait plus bouger et il sentit Jérémy relâcher la pression pour venir lui descendre la braguette. D’un geste, il atteint la verge et les testicules du fautif qu’il commença à presser et à pincer, à retourner dans tous les sens, serrant tellement fort sa main autour de sa bite qu’on aurait dit qu’il voulait la faire éclater. Étouffé en plus par le poids du corps de son compagnon, Thomas était complètement dominé. Jérémy n’interrompit le traitement que lorsque sa proie se mit à gémir de douleur. Il décolla Thomas de la voiture, attelant, et envisagea un puits dans la cour d’une vieille bâtisse au bord de la route. "Et maintenant, tu ne perds rien pour attendre", lui dit-il.
Il empoigna Thomas par les cheveux, et le traîna jusqu’à un petit muret assez haut qui surplombait la source. Il cassa Thomas en deux, si bien que seuls ses jambes et son cul étaient visibles, le haut du torse, la tête et les bras pendants dans le vide. D’une main experte, il baissa sans retenue le pantalon du jeune homme et appuya sur sa nuque pour la maintenir dans le vide. La vue du cul de Thomas était jubilatoire: blanc et ferme. Jérémy ne se retint pas plus, il lâcha la nuque, défit son pantalon et sortit son pénis dur comme du bois. Rien ne l’excitait plus que sa propre colère et Thomas était le parfait vide-couilles, mignon, il se laissait prendre sauvagement, même quand il avait l’air de souffrir. Et Jérémy savait qu’il aimait ça. Et ça l’énervait encore plus, lui donnait encore plus l’envie de le défoncer, de le faire souffrir et à chaque altercation il devenait plus violent, bandait comme un lion et tentait d’arracher à Thomas le plus de cris possible.
Sans plus de préliminaires, il écarta les fesses du jeune blond et y enfonça d’un coup un pénis épais comme un gourdin. Thomas hurla de douleur, mais lui n’en fit rien. Une fois que toute sa bite eut passé l’anus encore trop contracté, il s’immobilisa deux secondes pour faire sentir à l’autre qui était le maître. Puis il lui donna des coups de reins sauvages, rapides et profonds, une main de nouveau appuyée sur la nuque. Thomas sentait l’engin qui le remplissait complètement, le condamnait à la soumission totale, le cul à l’air et les yeux penchés sur le vide, il ne voyait pas la lumière de jour, et ne sentait rien d’autre que son cul se faire défoncer par cette rage, ses fesses se faire frapper par des couilles avides. Il n’était rien qu’un réceptacle, rien qu’un trou. Il sentait ses muscles se contracter, mais l’engin passait de force, lui imposant se présence, toujours plus vite, toujours plus fort.
Jérémy au bord de la jouissance continuait de la prendre comme une vulgaire bête, quand un crissement de pneus se fit entendre sur le bord de la route...
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