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Sœur avec avantages

Chapitre 1

Inceste
"Tu dois me prendre pour une grosse détraquée" me dit ma sœur, braquant ses yeux noirs dans les miens, piquant un fard dans ce café où elle m’a donné rendez-vous. Capucine vient de me proposer de coucher avec elle - donc oui, l’idée m’est passée par la tête… "Plutôt pour une sacrée obsédée sexuelle" lui dis-je. Elle rit. "Ça oui…" Une bouffée de cigarette. "J’adore le cul, j’ai toujours aimé ça… Je me suis jurée de réaliser mes principaux fantasmes avant mes 25 ans: j’ai couché avec un homme marié, j’ai couché avec ma meilleure amie… plusieurs fois maintenant… Le suivant sur la liste, c’est toi." Je lui dis non, exclu, pas question. Mais ce qui se passe dans mon pantalon raconte une autre histoire.
Quelques jours plus tard, on se retrouve dans une chambre d’hôtel - un terrain neutre. La fille de la réception a bien compris ce qu’on était venus faire. Elle ne se doutait pas qu’il s’agissait d’un inceste, cela dit. On s’est habillés classe pour l’occasion. Moi en complet, Capucine porte une robe marine mi-longue très près du corps. Délicieuse. Pour la première fois de ma vie je la regarde comme je regarde les autres femmes: sa taille très fine, son beau cul bien moulé dans sa robe, les fossettes aux coins de sa bouche, sa manière de marcher en talons. J’ai envie d’elle. Ça tombe bien. "Tu es sexy Capu…" Elle me regarde, lumineuse, ravie du compliment: "J’adore ce mot dans ta bouche…" Elle me prend par la main pour m’emmener dans la chambre. Je ne veux pas attendre. Je la balance contre un mur et je lui fait la surprise d’un premier baiser. Il est moins audacieux que ce que je voulais, parce que quand même, c’est ma sœur, et je découvre que ce n’est pas si naturel que ça de lui faire ce que je suis en train de lui faire: ma bouche est sur sa bouche, mes lèvres glissent sur les siennes, jouent avec, comme font les amants. Sauf que c’est ma frangine. Intellectuellement, ça me bloque. Sexuellement, mon érection me confirme que c’est OK. C’est Capucine qui glisse sa langue, la coquine. On se roule une pelle comme des adolescents. Son petit corps de démone est tout contre le mien. Je la presse contre le mur pour qu’elle sente bien dans quel état elle me met. "Oh putain, c’est génial" ronronne-t-elle à mon oreille. 

J’ai l’estomac noué, envie de foutre le camp, toutes les alarmes au rouge qui me disent que ce que je fais est interdit, mais j’imagine mes mains sur son corps nu et, vaincu, je la suis dans la chambre d’hôtel où nous allons commettre l’irréparable..."Dernière chance: on peut oublier tout ça, là, maintenant, et repartir chacun de son côté sans jamais en reparler…" Un court instant je suis tenté d’accepter son offre, de revenir à la raison, mais mes yeux atterrissent sur son décolleté et je me dis que je suis trop curieux de savoir à quoi ressemblent ses seins. Sans ajouter un mot, je l’embrasse à nouveau, cette fois-ci sans la timidité d’avant. "Maintenant il va falloir me demander la permission de continuer…" dit-elle sur un ton coquin. J’ai toujours eu tellement de tendresse pour ma petite sœur... Je me demande quel effet ça me fera d’entrer en elle. En tout cas, ça me motive à me plier à ses conditions: "S’il te plaît, frangine, est-ce que je peux te voir toute nue?" Naturellement, elle accepte. Je fais descendre la fermeture éclair de sa robe le long de son dos merveilleusement cambré, puis je fais glisser sa robe moulante à ses pieds. "La première fois que j’ai eu envie de toi" dit-elle, me regardant la déshabiller par-dessus son épaule, "c’était en Grèce, en vacances avec les parents… J’avais choisi ce petit bikini rouge pour te taper dans l’œil. Tous les soirs, je rentrais dans mon lit en fantasmant sur toi…" Oh, elle m’avait tapé dans l’œil, c’est sûr, je m’en souvenais, de ce maillot, et moi aussi, je me faisais des films à son sujet, même si j’étais loin de me douter que c’était réciproque. "J’aurais dû te rejoindre dans ton lit…" lui dis-je en couvrant sa nuque de baisers. "Dis, tu me donnes la permission de couvrir ton corps de baisers?" Elle frémit. Presque nue, elle ne porte plus qu’un délicieux ensemble en dentelle et des bas. Elle s’est faite belle, elle sent bon, et mon sexe durcit encore. Elle recule ses fesses et les fait glisser contre mon pantalon, lentement, pour me rendre fou. 
Pendant ce temps, mes mains parcourent le corps de ma sœur, ses flancs, sa taille, ses hanches, ses seins à travers le soutien-gorge dont je la débarrasse. Je n’arrive pas à croire qu’elle me laisse faire tout ça. Est-ce que ce moment génial va nous valoir à tous les deux des années de psychothérapie? Même si c’est le cas, le jeu en vaut la chandelle… "Hmmm… C’est bon…" soupire-t-elle alors que je me met à lécher et sucer un de ses tétons en caressant l’autre. Je sens les pointes des seins de ma petite sœur durcir d’excitation sous les coups de ma langue gourmande et ça lui arrache des gémissements d’approbation. 

A présent on a tous les deux atteint le point où il n’est plus question de reculer: enfiévrés, nous ne sommes plus tout à fait maîtres de nos pulsions - si elle me demandait de tout arrêter maintenant, je ne sais pas si j’en serais capable… On s’embrasse - non, on se dévore la bouche, nos mains affamées de peau couvrant nos corps brûlants de caresses.Capucine se met à genoux devant moins et me débarrasse de mon pantalon avant de baisser mon caleçon et de libérer mon pénis en érection qui s’ y sentait très à l’étroit et qui vient pointer droit vers son visage. Appâtée, elle se lèche les lèvres."S’il te plaît, grand frère, est-ce que tu m’autorises à te sucer la queue?" dit-elle d’une voix teintée de fausse innocence. L’entendre prononcer de telles cochonneries renforce encore mon envie d’elle. Elle n’attend même pas mon feu vert pour lécher mon gland du bout de la langue et pour l’avaler, avant de s’en régaler comme d’une délicieuse friandise. Je n’arrive pas à y croire: ma petite sœur est à mes pieds en train de me faire une fellation: elle me pompe le dard d’avant en arrière, le laissant pénétrer tout au fond de sa gorge pendant qu’elle me caresse les testicules. Rien que la situation suffirait presque à me faire perdre tout contrôle, mais en plus, je découvre qu’elle est très douée pour sucer les garçons. Ne pas jouir dans sa bouche me réclame tout mon self-control… 

Il faut que je renverse la situation. Je la fais se relever je la pousse sur le lit de cette chambre d’hôtel qui est le seul témoin de notre inceste, et je lui demande: "Est-ce que je peux te retirer ta petite culotte et te lécher la chatte?" Elle opine du chef frénétiquement et je la débarrasse de sa lingerie. Elle ne porte désormais plus que ses talons et ses bas, entre lesquels je m’introduis pour foncer sur son sexe rasé, que j’entrouvre de la pointe de la langue. J’explore la vulve de ma petite sœur, de bas en haut, tout autour de son petit bouton sensible qui accueille mes baisers avec délectation. Je ne me presse pas, j’y met de la patience, de la méthode et de la détermination. Elle s’agrippe au matelas sous l’effet du plaisir que je lui donne: "Putain... tu lèches presque aussi bien qu’une fille..." dit-elle juste avant de subir un orgasme qui la fait se cabrer sur le lit. C’est fait: je viens de faire jouir Capucine. Je la laisse goûter le plaisir, qui la secoue de spasmes, avant qu’elle ne pousse un profond soupir de satisfaction et qu’elle me jette un regard de reconnaissance incroyablement coquin. 

"Capucine, est-ce que tu verrais une objection à ce que je te fasse l’amour?" lui dis-je. Elle s’empourpre. "Je ne sais pas… Je crois que j’ai besoin d’un peu plus de détails…" Je souris, j’aime comme elle joue avec moi: "Petite sœur, est-ce que tu m’autorises, moi ton frère, à faire pénétrer mon pénis incestueux dans ton vagin qui m’a l’air tellement accueillant?" Elle rit de bon cœur et me fait signe d’approcher, m’adressant un regard que je n’aurais jamais pensé voir sur le visage de ma soeur: "J’ai tellement envie de te sentir en moi… Si tu savais…" Je crois que je sais, en fait. Je suis sur elle: peau contre peau, bouche contre bouche, sexe contre sexe, prêt à prendre possession d’elle, prêt à devenir son amant, prêt à dépasser toutes les limites de l’acceptable."Vas-y" supplie-t-elle à mon oreille. "Vas-y, baise-moi…" Je la regarde dans les yeux et sans la quitter un seul instant du regard, je guide mon gland contre son entrée mouillée, poussant tout doucement afin d’y entrer. Je la sens étroite mais elle ne m’oppose aucune résistance et je m’enfonce en elle tendrement. Elle m’engloutit totalement et s’accommode à moi. Ça y est: je suis en elle, je viens de pénétrer ma petite sœur. Ses paupières se plissent sous l’effet du plaisir. "Oh oui baise-moi…" Je me recule et rentre en elle à nouveau, plus profondément. Je coulisse, je l’empale dans des mouvements de bassin qui sont d’abord délicats, puis le sont de moins en moins. Frère et sœur, nous sommes en train de faire l’amour. Elle empoigne mes fesses à pleines mains pour me guider en elle, tout au fond d’elle. Nous sommes l’un contre l’autre, l’un dans l’autre. Unis par un plaisir plus fort que les liens du sang. Oui, j’ai honte de ce qu’on est en train de faire mais ce sentiment ne me paralyse pas, au contraire, il rend ce moment plus coquin et plus excitant. Capucine ferme les yeux pour se concentrer sur son plaisir, sur ce qu’elle est en train de me laisser lui faire, sur ce fantasme qu’elle est en train de réaliser… "Oooh j’aime tellement comme tu me baises…" gémit-elle. Moi, j’intensifie le rythme, je viens en elle plus vite, plus profondément, plus brutalement. J’ai envie de l’entendre crier et elle me fait ce cadeau. La chambre résonne des râles de notre inceste. Tout en la besognant, mes mains s’occupent de ses petits seins et ma bouche s’unit à la sienne dans un baiser profond et très érotique. Nos corps sont mouillés de sueur, nos souffles sont courts: pour nous accorder un répit, je me retire d’elle et on se regarde, haletants, honteux et en transe.

Capucine ne tarde pas à en réclamer davantage, cela dit. Elle se met à quatre pattes et me sourit affectueusement, me disant "Prends-moi encore." Comment le lui refuser? Je saisis sa taille étroite et ses hanches larges et je prends position derrière elle avant de la pénétrer à nouveau. Cette fois il n’y a plus aucune limite entre nous. Je baise ma sœur comme une chienne, à grands coups de reins, ponctuant chaque ruade par un rugissement rauque auquel répondent ses gémissements: "Oui… oui… oui… Oh putain oui…"Je perds la raison d’être en train de me taper ma petite sœur, de savoir que c’est sa croupe qui s’agite au bout de ma bite. Après avoir violé ensemble le tabou de l’inceste, les autres interdits n’ont plus beaucoup de sens pour nous.Je laisse de côté toute délicatesse et je saisis ses cheveux dans une main, faisant claquer bruyamment ma main sur une de ses fesses:"T’es à moi Capu… T’es ma chienne…" Son cri d’approbation m’indique qu’elle aime être traitée comme ça. Seule notre fantaisie entre en ligne de compte désormais: sans m’arrêter de la sauter, j’approche mon index curieux de son anus, tournant autour en petits cercles de plus en plus étroits, écartant les fesses du plat de la main. Elle adore ça, je le sens. Je récupère un peu d’humidité de son vagin et je me sers de ce lubrifiant naturel pour enfoncer mon doigt dans le trou du cul de Capucine. Sa tête se balance violemment en arrière quand ma phalange disparaît dans l’orifice. "oooOOOooh putaaaain tu me doigte le cuuuul…" Je baise sa chatte et je lui prodigue ce toucher rectal au même rythme. Ça la rend folle, et plus je vais vite, plus elle perd tout contrôle. Avec un peu de son jus, de la patience et de la délicatesse, mon majeur rejoint mon index pour lui dilater encore un peu plus le fion. Désormais, les doigts bien enfoncés dans son anus, je lui pilonne le vagin de plus en plus fort, lui arrachant un cri à chaque enfoncement alors que les ressorts du lit couinent à un rythme soutenu. Je sens qu’elle ne va pas tarder à jouir, aussi je lâche tout, tirant ses cheveux en arrière au profit d’une dernière série de coups de rein qui lui arrachent d’abord des cris, ensuite des râles, enfin des plaintes muettes. Quand je la sentis partir, je me retire d’elle, lui laissant goûter son orgasme qui la secoue en spasmes furieux, mais sans laisser tranquille son rectum bien ouvert. 

Moi-même je ne suis pas bien loin de chavirer dans l’extase mais avant d’en finir j’ai encore un désir à assouvir… Alors que le plaisir l’a laissée groggy, j’approche mon gland de son anus où il vient prendre la place de mes doigts. J’écarte ses fesses moites de transpiration avec les mains afin de faciliter mon entrée. Ça y est: la pointe de mon sexe est bien calée dans l’ouverture du petit cul de ma sœur, qui me confirme en souriant ce dont je me doutais: "Tu es le premier…" Pour moi aussi, c’est une première fois. Tout doucement, je m’enfonce en elle avec mille précautions et rencontre moins de résistance que ce que je pensais. Je la vois rougir et se mordre la lèvre sous l’effet de l’excitation. "Ooooh tu es dans mon cul… C’est tellement sexy ce que tu me fais…" soupire-t-elle alors que je me met à l’enculer. Ses fesses se collent à moi, je suis tout au fond de son orifice interdit et je commence les vas-et-vient. Les sensations de ma queue dans ce goulet étroit sont tellement intenses que je sais que je ne pourrai pas tenir longtemps, d’autant plus qu’à chaque fois que je m’enfonce en elle la réalité de la situation se rappelle à moi: je suis dans une chambre d’hôtel en train de sodomiser ma petite sœur qui est pleinement consentante...Je sais que désormais je ne pourrai plus me retenir, aussi je donne tout: m’appuyant sur les hanches arrondies de Capucine, je lui défonce son petit cul, je lui pilonne le rectum, à toute vitesse, comme une machine, et alors que le plaisir menace de me submerger, elle crie, je crie, et je jouis dans l’anus de ma petite sœur. C’est le voile noir. Je manque de perdre connaissance. Et je lâche une première giclée de sperme dans son petit cul tout chaud. De toute ma vie je n’ai jamais fait l’expérience d’un plaisir pareil. Mon deuxième jet de foutre va asperger la merveilleuse cambrure de son dos. Elle se retourne sur le dos et me regarde, enivrée.Mon troisième spasme atterrit sur son ventre. Je repense à Capucine, adolescente, dans son petit maillot de bain. Une dernière explosion atteint son beau visage et coule sur sa bouche et son menton. Elle me sourit avec bienveillance.

Dans cette chambre qui sent le sexe, nous sommes tous les deux essoufflés, mouillés de sueur, électrisés par l’amour que nous venons de faire. Nous rions comme des gamins."Ouah" dit simplement Capucine. J’embrasse ma petite sœur sur la bouche et je love mon corps contre le sien. On se donne encore beaucoup de tendresse avec nos mains et nos lèvres. "C’était trop sexy, ce qu’on a fait, grand frère… Je n’aurais jamais pensé que tu me baiserais le cul…" Elle a des étoiles dans les yeux. "Alors? On peut considérer ton fantasme comme réalisé?" Elle couvre ma bouche et mon visage de douzaines de baisers enthousiastes qui sont la meilleure des réponses. "Et toi?" demande-t-elle, " Tu as des fantasmes que tu aimerais réaliser?" Après de longs baisers sur sa bouche et sur ses seins, je lui dis: "J’ai toujours rêvé de trouver une fille avec qui je pourrais m’éclater au pieu à chaque fois qu’on en a envie mais sans avoir à s’embarrasser d’une histoire d’amour. Une copine avec avantages, en d’autres termes." Elle me regarde d’un air mutin: "Et pourquoi pas une sœur avec avantages?" Je ris: "Je crois que ça pourrait faire l’affaire…" Joyeux, enivrés par cette nouvelle complicité sexuelle qui désormais nous unit, on s’embrasse comme des amants et ma petite sœur Capucine, ma maîtresse, se penche sur moi et met mon pénis en bouche pour raviver la flamme.
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