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5 à 7 avec ma boss

Chapitre 1

Une fin de semaine qui dérape

Hétéro
Depuis presque un an, je travaille dans une petite association qui s’occupe d’enfants défavorisés. Nous sommes une petite équipe où j’ai très vite été intégré de par ma nature extravertie et mon sens de l’humour. Ma responsable a toujours fait en sorte que l’ambiance au travail soit familiale, sans pour autant mettre à mal l’échelle hiérarchique. Malgré tout, nous avons très vite sympathisé il faut dire nous avons quasiment le même âge, elle a 29 ans alors que je viens de souffler mes 31 bougies. Quelques mois après le début de mon contrat, nous avons même commencé à converser régulièrement par SMS en dehors de nos heures de travail ou lorsque l’un de nous était en repos.
Les conversations ont toujours commencé de manière professionnelle pour souvent se terminer par parler de tout et de rien. Cela dit de temps à autre, quelques petites allusions ou phrase à double sens se glissaient dans nos dialogues par l’un ou par l’autre. Je dois avouer que par moment il m’arrivait de me questionner sur la nature de notre relation qui pouvait parfois être ambiguë. De même que lorsque nous étions au travail, il nous arrivait de nous effleurer, nous frôler comme si nous étions à la recherche d’une certaine forme de contact physique. Néanmoins nous n’avons jamais franchi la ligne rouge.
Nous sommes à la fin de l’été, et le peu d’effectif qu’il y a dans la boîte, a fait que nous nous sommes souvent retrouvés en petit comité et que Céline, ma responsable, est souvent venue nous prêter main-forte en première ligne. C’est une qualité que j’ai toujours appréciée chez elle car plutôt que de nous surcharger de travail, elle n’hésite pas à prendre la place de la cuisinière ou de la femme de ménage si jamais elles manquent à l’appel.
En fin de matinée du lundi, j’ai une petite question relative à un dossier et pars la trouver dans son bureau. Comme à chaque fois, au lieu de lui parler de l’autre côté de son bureau, je viens me mettre juste à côté d’elle, épaule contre épaule sous prétexte de mettre le dossier sous ses yeux et une fois ma réponse obtenue, je m’apprête à sortir du bureau quand elle m’interpelle.
— Dis Thibault j’ai un souci pour ce weekend, Amélie est en vacances jusqu’à la fin du mois et là je viens de recevoir un appel de Christian qui me dit qu’il est vraiment désolé mais il ne pourra pas travailler cette semaine car il est souffrant. Tu penses que tu pourrais le remplacer ce weekend?
— Ok ça ne me dérange pas, ma copine a prévu d’aller passer quelques jours chez sa mère, quant à moi je ne l’accompagne pas car je dois récupérer mon frère à l’aéroport dans la nuit de dimanche à lundi aux alentours des 2h du matin. À y penser ça m’arrangerait plutôt bien comme ça je pourrais prendre congé lundi, si tu es ok, et ne pas venir fatigué au boulot.
— Si ça t’arrange, c’est encore mieux et pas de souci pour lundi.
— C’est cool merci. Du coup je ferai le weekend seul?
— Non, je vais venir te prêter main-forte comme nous sommes assez la semaine prochaine, ça me permettra également d’être en repos lundi et mardi prochain.
— C’est bien ma veine ça, dis-je en faisant semblant d’être déçu alors que c’était tout le contraire, je vais me coltiner le patron tout le weekend!
Elle jeta son stylo dans ma direction faisant mine d’avoir été vexée avant de se mettre à rire. La semaine se passa tranquillement sans le moindre accroc. Nous étions déjà dimanche et il approchait 13h lorsque nous nous mîmes à table pour déjeuner.
— Il atterrit à quelle heure, ton frère?
— 2h35 exactement et donc le temps qu’il récupère ses bagages j’en ai bien jusqu’à 3h30.

— Et tu comptes faire quoi en attendant ?
— Je compte aller manger un bout en ville, puis peut-être aller voir un film et attendre le reste du temps en faisant une sieste dans la voiture.
— Tu veux qu’on aille manger un bout ensemble? Ensuite on peut aller boire un verre. Je ne te promets pas d’attendre toute la nuit avec toi mais je peux te tenir compagnie le plus longtemps possible.
Je me trouvais un peu surpris par sa proposition car même si nous nous entendions bien, nous ne nous sommes jamais vu en dehors du boulot. Cela ne m’empêcha pas malgré tout d’accepter.
Une fois la journée terminée, nous partîmes en direction du centre-ville où nous trouvâmes une petite pizzeria dans laquelle nous décidions d’entrer. Pendant que nous étions à table, les échanges étaient essentiellement professionnels profitant de ce temps pour faire le point sur quelques situations épineuses. À la fin du repas, sans la consulter je me levais de ma chaise et me dirigeais en direction du bar pour payer l’addition.
— C’est bon on peut y aller, dis-je naturellement.
— Et pourquoi tu as payé l’addition? Demanda-t-elle étonnée.
— Ben parce que ça me faisait plaisir de t’inviter, pour te remercier du sacrifice de ta soirée.
— Premièrement, je ne sacrifie rien, si je suis là, c’est parce que j’en ai envie. Secondement, il ne fallait pas m’inviter. Je vais te rembourser!
— Si tu me donnes un seul centime, je te préviens, une fois sorti du restaurant je jette ton argent dans le premier égout que je croise.
— Tu m’énerves! Si c’est comme ça je t’offre un verre et hors de question de refuser ou de jouer les machos!
— Ça marche! Mais juste un et ensuite je paye ma tournée. Dis-je en lui faisant un clin d’œil.
— Tu veux la jouer comme ça? Pas de problème, j’habite à deux pas d’ici, le verre je te l’offre là-bas et si ça ne te plaît pas, tu seras tout seul, dehors, pendant les 6 heures qu’il te reste!

Passant un agréable moment, je ne voulais pas casser l’ambiance, j’acceptais donc sa proposition sans me faire prier. Elle habitait à quelques pas du restaurant et après 5 minutes de marche nous arrivâmes au pied de son immeuble. Une fois devant la porte, elle m’invita à entrer et prit ma veste qu’elle posa au portemanteau. Elle me sourit en me proposant de me faire visiter. Son appartement était très moderne avec une décoration épurée dans des tons pastel. Après avoir exploré les lieux, elle me proposa de m’installer au salon où je pris place sur l’extrémité gauche du fauteuil 3 places. Elle partit dans la cuisine chercher des sodas, dans la mesure où je devais reprendre le volant et avait exprimé le souhait de ne pas boire d’alcool. Par solidarité, elle avait décidé de me suivre.
Elle déposa les verres sur la table basse et s’installa à l’autre bout du canapé, en chien de fusil, sur la méridienne. Sa jupe se souleva doucement de quelques centimètres et mon regard fut attiré vers ses cuisses. Elle s’en aperçut, il faut dire que je n’avais pas été très discret. Malgré tout, elle fit mine de ne rien remarquer et ne changea pas de position. Alors que nous continuions à parler, mes yeux étaient irrémédiablement attirés vers ses jambes, il faut dire qu’elles étaient magnifiques. Céline n’est pas mince mais pas forte non plus, elles a de longues jambes, musclées et surplombées par un derrière bien rebondi sans pour autant être trop volumineux. Côté face c’est plus ou moins la même chose, elle a un ventre plat accompagné d’une poitrine opulente toujours mise en valeur par de légers décolletés laissant voir juste ce qu’il faut sans pour autant faire vulgaire mais laissant. Niveau visage ses origines méditerranéennes font qu’elle a les yeux noisette et de longs cheveux noirs. Ajoutons à cela un teint légèrement hâlé et nous avons là une description complète de mon boss. Alors que je suis parti dans mes rêveries, elle continue de parler, mais je ne l’écoute plus, je suis obnubilé par ses jambes. Finissant sans doute par être lassée de parler dans le vide, je suis ramené sur terre par un coussin en pleine figure.
-Dis, tu craques ou quoi? Demandais-je stupéfait.
— Si tu m’écoutais cela n’arriverait pas! En plus mes yeux ne se trouvent pas du tout à l’endroit où tu regardes.
Sa remarque me fit rougir mais je tentais de le dissimuler en ne me laissant pas faire.
-Et toi si tu n’étais pas aussi bavarde et assommante, je n’aurais pas fini par décrocher! Dis-je sur le ton de la plaisanterie. Par contre tu as fait ça une fois! Recommence et tu vas voir!
— Parce que tu crois que tu me fais peur ? Dit-elle en me lançant un second d’oreiller.

Sans rien dire je décidais de ne pas me laisser faire, attrapai le projectile au vol et le lançai à mon tour. Une bagarre dans laquelle nous nous frappions chacun à notre tour tour en éclata. Elle s’agenouilla sur le canapé’ après que je me sois mis debout devant elle. La joute était acharnée jusqu’à ce je rate mon lancé et trébuche sur elle. Étonné par ce qu’il venait de m’arriver, je restais prostré dans cette position quelques secondes. De son côté, elle riait de plus belle et sans me laisser le temps de me ressaisir, elle m’asséna 2 coups sur le crâne. Je finis par lui saisir le poignet, afin qu’elle lâche l’oreiller. Elle riposta en attrapant celui que j’avais lâché, pendant ma chute, de l’autre main et m’attaqua de plus belle. Pris au dépourvu, toujours allongé sur elle je lui saisis l’autre bras, et profitant de mon avantage sur elle, je plaçais ses mains par-dessus sa tête. Dans cette position, j’ai le visage à une trentaine de centimètres du sien.
-Qu’est-ce que tu vas faire maintenant? Dis-je l’air victorieux.
— Rien du tout ! Je me vois contrainte d’abdiquer et de m’avouer vaincue. Fais de moi ce que tu veux, je baisse les armes!
Sans réellement penser aux répercussions que pourrait avoir mon comportement sur notre relation professionnelle, ma vie de couple et l’ambiance au boulot, je me penchais sur elle réduisant à néant l’écart entre nos deux visages afin de pouvoir l’embrasser. Bien que dans un premier temps timide, le fait qu’elle ne me repousse pas me mit en confiance et le baiser dérapa en flirt sensuel dans lequel nous perdions le contrôle et où nos mains devenaient baladeuses. Je me surpris même à entrouvrir sa bouche afin que ma langue trouve la sienne. Alors que mes mains partirent, sous sa jupe, à la conquête de ses hanches. Ma conscience ne me rattrapa mais l’excitation était telle que je décidais de ne pas l’écouter. De son côté, elle s’aventurait sous mon pull me caressant le torse ce qui me donnait de plus en plus envie de lui enlever son haut. N’ayant plus la force de lutter, je ne mis pas longtemps à céder à mes pulsions et après nous être redressé, je déboutonnais son chemisier. Sous le vêtement, elle portait un débardeur blanc au travers lequel on pouvait voir un soutien-gorge noir en dentelle. Le peu de résistance, qu’il aurait pu me rester venait de s’évanouir, car ce genre d’habit a toujours eu un effet aphrodisiaque sur moi. Après avoir pris quelques secondes afin de contempler sa poitrine encore cachée par le tissu. Au lieu de retrouver sa bouche, je fondais, tel un oiseau de proie, vers son cou et l’y embrassa tout en ponctuant mes baisers par quelques mordillements. Tout en me délectant du goût de sa peau, je lui malaxais un sein, et de ma libre lui caressais les fesses. Je fus impressionné par la fermeté de ses derniers. Je sentais son souffle de plus en plus rapide dans mes cheveux. Visiblement chez elle aussi l’excitation était de plus en plus forte. Alors qu’elle me caressait le dos, elle agrippa l’extrémité de mon pull qu’elle fit passer par-dessus ma tête. J’étais désormais torse nu lorsque nos bouches se trouvèrent à nouveau.
Pendant que nos langues se cherchaient pour se trouver et entrer dans une danse langoureuse, elle avait cessé de s’occuper de mon torse pour défaire ma ceinture et déboutonner mon pantalon avant de le laisser choir sur le sol. Je levais une jambe et puis l’autre avant de le pousser du pied plus loin dans la pièce. L’idée étant très plaisante, j’en fis de même avec sa jupeElle cessa de m’embrasser, recula de quelque pas. Avant de tourner sur elle-même les bras par-dessus la tête, à la manière d’une danseuse classique. Ce geste avait pour but de me rendre un peu plus fou encore à la vision de ses fesses savamment moulées dans son boxer de dentelle noire.
— Alors? Ça te plaît? Demanda-t-elle l’air coquin.
— J’ai l’impression d’être un loup affamé et tu n’imagines pas le mal que j’ai à ne pas te sauter dessus pour te dévorer.
— Fais-toi plaisir, ce soir c’est buffet à volonté! Me murmura-t-elle dans le creux de l’oreille. D’ailleurs si tu me le permets, il est temps pour moi commencer à nourrir ma bête tout aussi en appétit que la tienne. Dit-elle en s’agenouillant tout en laissant glisser ses mains de mes épaules jusqu’à mes hanches.
Arrivée à hauteur de mon bassin, elle caressait mon sexe au travers mon sous-vêtement. Elle me donnait l’impression d’en mesurer la taille et d’en apprécier la circonférence du bout des doigts. De mon côté, l’excitation était telle que l’érection dont j’étais victime depuis plusieurs minutes commençait franchement à me faire mal. Elle se décida enfin de me débarrasser de cette cage en coton mais avant de commencer quoi que ce soit, sous prétexte de se mettre à l’aise, elle passa ses mains dans son dos, sous son débardeur, et dégrafa son soutien-gorge avant de tirer dessus sans dévoiler ses seins.
De ma hauteur, je n’arrivais pas distinguer grand-chose, je pouvais seulement deviner la forme de sa poitrine moulée par le tissu. Alors que j’étais perdu dans ma contemplation, je sentis une douce chaleur tiède entourer la base de ma verge et entamer un doux va-et-vient. La masturbation était divine, elle avait de l’expérience et s’attelait à me la montrer. Alors que j’étais déjà inondé de plaisir, je sentis un souffle froid sur le bout de mon gland violacé me faisant un frissonner de tout mon corps. Je commençais à soupirer de plaisir, je savais que je n’allais pas tarder à me retrouver dans sa bouche même si ma douce tortionnaire semblait vouloir faire durer le plaisir. Je ne pus me résoudre à faire plus preuve de patience et piégeais sa tête entre mes deux mains pour l’inviter à enfin commencer cette fellation qui me faisait tant envie.
Elle ne dût pas se faire prier plus longtemps avant d’ouvrir la bouche afin laisser entrer l’objet de son désir. Tout en me suçant, d’une main, elle me branlait et, de l’autre, elle s’amusait à me masser les bourses. Quant à moi, j’avais une vue plongeante du spectacle, ravi de voir mon phallus s’enfoncer de plus en plus entre ses lèvres. De mon côté j’avais agrippé une poignée de ses cheveux sans pour autant exercer de pression afin de la laisser maîtresse de sa caresse. J’avais bien fait d’agir de la sorte car sans que je m’y sois préparé, elle engouffra l’entièreté de ma tige dans un bruit de gorge sentant ainsi le bout de mon gland frotter contre sa glotte. Elle alterna ainsi de profondes de succion jusqu’à ce que l’étouffement la fit tousser. Elle sortit mon membre de sa bouche me regarda en souriant, satisfaite de l’effet que cela m’avait procuré. Sans nous laisser de répit, elle reprit la masturbation initiale tout en me suçant à la même cadence. Elle était si douée que je sentais le plaisir monter en moi de plus en plus haut si bien qu’avant d’atteindre le point de non-retour, je l’empoignais par-dessous les aisselles et la fit remonter à ma hauteur et l’embrassa sauvagement.
Dans le même temps je capturais chacun de ses seins que je massais au travers le tissu. Cela finit rapidement par ne plus suffire si bien que je fis glisser les bretelles de son débardeur par-dessus ses épaules et sortis ses deux globes de chair par son décolleté, afin d’en prendre possession avec ma bouche. J’alternais ainsi petites morsures, succions et lapements tout en faisant rouler entre mes doigts le mamelon délaissé. C’était à son tour de gémir de plaisir. Avide de goûter aux 1001 saveurs que pouvait m’offrir son corps, je l’allongeais sur la méridienne du fauteuil.
Je m’agenouillais entre ses jambes me délectant de la vue de ce fruit charnu et déjà bien ouvert qui ne demandait qu’à être mangé. Avec ses pieds en ligne de départ, je remontais vers ses secrets les plus intimes recouvrant sa peau de baisers. Je passais ainsi le long de ses chevilles, de ses genoux, de l’intérieur de ses cuisses avant de saisir le bout de tissu afin de l’en débarrasser. L’envie de goûter à son nectar était irrésistible, j’approchais ma langue de sa vulve et la lapa une seule fois sur toute sa longueur afin de m’imprégner du goût salé de ce précieux liquide à la suite de quoi je m’arrêtais. Je reculais mon visage pour commencer à parcourir l’intégralité de sa fente du bout des doigts. Elle était visiblement aussi excitée que moi, car la pression exercée aussi infime soit-elle, permis à son abricot de s’ouvrir complètement m’invitant à la pénétrer.
Il ne fallut pas me faire prier longtemps pour que j’y insère mon index d’une seule traite et dans son intégralité. Je faisais entrer et sortir ce dernier lentement en appuyant chacune de mes incursions afin de permettre à ma partenaire de profiter de chacune des sensations que mon doigt lui prodiguait. Afin d’augmenter encore un peu plus la température, je décidais de joindre le majeur à l’index accentuant les gestes par des petits mouvements circulaires du bout du pouce sur son clitoris. Cela provoqua, chez elle, plusieurs petits spasmes de plaisir accompagnés de gémissements.
L’envie de réellement explorer du bout de la langue la brèche de son mont d’amour était de plus en plus tentante et c’est en ayant l’eau à la bouche que je cédais à la tentation. Ses lèvres étaient bien ouvertes, son petit bouton de plaisir n’attendait que moi. Je le léchais d’abord timidement avant de l’aspirer. Elle poussa un petit cri aigu tout en cambrant le dos. A en croire mon expérience, digne de figurer sur le tableau des employés du mois, je venais d’offrir son premier orgasme à ma patronne. Je continuais l’opération en prenant bien le temps de la déguster centimètre par centimètre. Je relevai les yeux dans sa direction voulant profiter de l’expression de bien être sûr son visage et m’aperçus que pendant que je m’occupais de son minou, elle se caressait allègrement la poitrine. Après l’avoir entendu pousser de nouveau un énorme cri de plaisir, je décidais d’arrêter cunnilingus pour remonter à hauteur de son visage afin de l’embrasser à nouveau.
S’embrassant et se caressant tendrement, je sentis sa main glisser doucement sur mon membre pour le saisir et le diriger à l’entrée des portes de son paradis. Je ne sais pas si j’allais rencontrer Saint-Pierre mais une chose était sûre j’étais déjà sur mon petit nuage. Je répondais positivement à sa demande, la pénétrant de quelques centimètres avant de faire machine arrière pour retourner à nouveau en elle avant de refaire demi-tour. Je dois avouer que j’ai toujours adoré faire traîner le moment la première pénétration. Il n’y a rien de plus enivrant que de sentir un vagin s’ouvrir pour la première fois. Je l’entendais gémir à la fois de plaisir et de frustration attendant que je me retrouve enfin à l’intérieur d’elle.
— S’il te plaît, me susurra-t-elle, je n’en peux plus baise-moi où je ne réponds plus de rien!
Mes actes avaient les répercussions voulues, elle était à point. Je décidais donc de ne pas la torturer plus longtemps, et dans un coup de reins sec, j’entrais dans son temple de la luxure. Elle poussa un énorme cri de gorge, signe du plaisir qu’elle ressentait d’avoir le bas ventre rempli par ma lance tendue.
Dans un premier temps, j’étais très doux mais mon jeu de hanche gagna vite en intensité et rendant ma possession bien plus savoureuse. Le rapport devint vite bestial et c’est au rythme du bruit de mes bourses claquant sur ses fesses que ma partenaire se mit à haleter. Le missionnaire a toujours été une position que j’affectionne beaucoup, par sa symbolique de domination masculine mais il faut bien l’avouer, elle peut vite devenir ennuyeuse. En qualité d’excellence patronne, Céline s’en rendit compte et vola au secours de son employé en me repoussant délicatement pour se libérer de mon étreinte.
— Je te propose de rejoindre mon lit nous y serons plus à l’aise pour ce que je te prépare. Me dit-elle en me faisant un clin d’œil tout en me prenant la main pour m’entraîner dans sa chambre.
Une fois sur place, ce fut à son tour de me jeter sur le lit. J’étais certain qu’elle allait s’asseoir à califourchon sur son sexe mais elle n’en fit rien. Elle s’agenouilla à mes côtés le visage hauteur de ma verge et sans attendre une seconde de plus, elle l’engloutit et recommença à me sucer. Dans la position où nous étions, mes mains n’eurent aucune difficulté à retrouver son entrecuisse dans lequel j’introduisis à nouveau le majeur. Me sentant pousser des ailes, je m’enhardis à tester les limites de ma partenaire d’un soir et alors qu’elle s’affairait toujours à la fellation pendant que je la doigtais, du bout de l’index, je commençais à décrire des petits cercles au niveau de son trou en étoile. Elle marqua un bref temps d’arrêt, sans doute surprise par mon initiative, mais elle ne me repoussa pas et me somma encore moins d’arrêter. Bien au contraire, cela eut pour effet de booster mon capital confiance me poussant à lui pénétrer l’antre de ses fesses d’une phalange. L’absence de riposte m’encouragea à toujours aller plus loin, si bien que maintenant, je faisais entrer et sortir doucement mon doigt en prenant soin de toujours l’enfoncer un peu plus. Non seulement elle se laissait faire mais, en plus de cela, l’intensité de sa caresse buccale s’en trouvait augmentée. Quant à mes doigts, désormais ils entraient et sortaient à l’intérieur de ces deux orifices à la même cadence que mon engin à l’intérieur de sa bouche.
Même si le plaisir était là, j’en voulais toujours plus et de ce fait, je sortis mes doigts et la tira par les cheveux, dans ma direction, pour l’inviter à arrêter de me sucer afin de monter à son tour sur moi. Aussitôt, elle s’empala sur ma queue désireuse de s’enfouir à nouveau dans son bas ventre. Elle ne faisait pas dans la tendresse, à peine installée, qu’elle se fit aller frénétiquement. Ayant une forte poitrine, ses seins rebondissaient dans tous les sens et sans doute incommodée par cela ou simplement dans l’objectif d’augmenter son plaisir par ses propres caresses, elle les prit en main et commença à les malaxer. Bien qu’étant très excitant lors des préliminaires, son débardeur commençait à devenir gênant car je la voulais complètement nue sur moi. Alors que je remontais l’étoffe vers sa poitrine, elle comprit qu’il était temps de l’enlever et répondit positivement à ma requête. Une fois complètement nue, ses mains n’eurent pas le temps de retourner où elles étaient car elles furent précédées par les miennes qui la tripotaient à leur tour. Visiblement la tigresse était insatiable car sans interrompre son jeu de hanche, elle se pencha vers mon visage m’invitant à goûter à sa somptueuse poitrine. Je les mordais, les léchais, les suçais à nouveau, aspirant un téton et puis l’autre. Je perdais littéralement le contrôle ce qui n’était pas pour lui déplaire.
Après un énorme orgasme, elle se laissa tomber sur moi à bout de souffle, épuisée par le rythme effréné de nos ébats. Sans lui laisser le temps de récupérer, je m’échappais à mon tour du poids de son corps et sans lui demander quoi que ce soit, je l’installais à quatre pattes et vint me positionner derrière. Elle se laissa faire, complètement soumise, écartant bien les cuisses et posant sa tête ainsi que sa poitrine sur le matelas afin de m’offrir un accès VIP à endroits les plus intimes. Je ne mis d’ailleurs pas bien longtemps avant de me retrouver de nouveau à l’intérieur d’elle, reprenant aussi bestialement que nous l’avions fait jusqu’à présent. On entendait à nouveau claquer bruyamment mes bourses contre ses fesses. Elle ne gémissait plus, elle criait mordant régulièrement dans le matelas afin d’étouffer le bruit. La vision de mon doigt dans ses fesses et était omniprésente, se pourrait-il qu’elle accepte que j’y mette autre chose ? A cette pensée, mon sang ne fit qu’un tour, je décidais de tenter le tout pour le tout en sortant de son vagin qui en avait bien eu assez pour venir positionner mon gland tout contre son cul après avoir pris soin de bien écarter ses fesses au maximum. Toujours aucune réaction de sa part, elle a cessé de crier attendant que je me lance où me retire. N’étant pas le genre d’homme à battre en retraite, j’appuyais la pression exercée par ma tige contre son petit trou afin d’y entrer. Elle retint sa respiration et grimaça de douleur mais elle ne m’arrêta pas pour autant si bien que j’ai décidais de m’enfoncer un peu plus en elle en faisant de doux va-et-vient afin de ne pas lui faire trop mal.
Je l’avais à présent pénétrée d’une demi-verge quand je la sentis se détendre facilitant ainsi l’insertion de l’autre moitié. Complètement à l’intérieur de son puis sans fond, j’accentuais un peu plus chacune de mes pénétrations. Elle se remit à gémir, poussant quelques cris exprimant un plaisir évident. C’était officiel, j’enculais ma patronne et elle adorait ça. Je ne résistais pas plus longtemps oubliant toute possible sensation de douleur et la pilonna frénétiquement sans la ménager. Fatalement son cul charnu était bien plus serré que le premier orifice dans lequel j’avais pris énormément de plaisir et la pression qu’exerçait son ampoule rectale sur ma verge me fit rapidement atteindre le point de non-retour. Je me contractais de plus en plus voulant repousser un maximum mon éjaculation jusqu’à ce que je n’en puisse plus et remplisse son anus de sperme. Une fois les salves terminées, je libérais mon manche de l’emprise de ses fesses. Son petit trou bien dilaté laissait couler la précieuse semence le long de ses cuisses. Je ne sais pas quelle idée me prit à cette vision mais je frottais mon sexe contre l’écoulement et pour aller l’étendre sur son sexe trempé. Elle était surprise mais étrangement ce contact lui redonna un ultime orgasme.
Complètement vidés par le plaisir, nous nous effondrâmes sur le lit. Elle vint s’allonger contre moi afin de m’embrasser tendrement et langoureusement. Sans trop savoir ni pourquoi ni comment, nous nous endormions nus l’un contre l’autre jusqu’à ce que mon téléphone ne nous ramène à la réalité, c’était mon frère au bout du fil il m’appelait pour savoir pourquoi j’avais oublié de venir le chercher.
Fin
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