Je m’appelle Julien j’ai trente-six ans, un physique plutôt banal, ni beau ni moche. Je vis depuis plus d’un an en colocation après mon retour de l’étranger, confinement oblige les places sont chères!! Je vis donc avec deux étudiantes d’une vingtaine d’années. Un soir alors que je zappe sur la télé après ma journée pourrie à l’usine, une d’entre elle vient me rejoindre sur le canapé. Elle s’appelle Solenne. Blonde, environ 1m65 avec de jolies rondeurs, bref un joli brin de fille. J’éteins donc ma télé a contrecœur pour l’écouter parler de ses petits soucis car elle sait qu’en général je porte une oreille attentive. Elle pose ses jambes sur les miennes et j’en profite pour retirer ses chaussettes et lui masser les pieds. J’en profite pour l’observer à la dérobée pendant que mes mains quittent ses pieds pour remonter doucement vers ses jambes.... elle porte un élégant pantalon tailleur et un chemisier qui met en valeur une poitrine qui me paraît opulente ! Au fur et à mesure de mes caresses elle se tait progressivement et un léger sourire apparaît sur ses lèvres pendant que ses yeux se ferment. Pensant qu’elle s’est endormie, je stoppe et vais chercher une couverture pour la laisser dormir. Au moment où je m’en vais j’entends une voix me demander : — Tu arrêtes là ?— Bah oui ma Soso tu t’endors je vais pas t’embêter.— Je dormais pas gros bêta... juste que ça me détendais et que j’en profitais... reviens si tu veux. Bon il n’en faut pas plus pour que je revienne, et je reprends donc où je m’étais arrêté. Je masse ses chevilles, et je commence doucement à monter sur ses mollets, d’abord sur son pantalon puis directement sur ses jambes. Je le retrousse petit à petit, doucement, au fur et à mesure de ma progression jusqu’à son genoux. Je titille un peu l’arrière de l’articulation ce qui emmène chez elle une crise de rire. Elle met ce moment à profit pour prendre mes mains dans les siennes. Je la regarde. Son visage est devenu plus sérieux. — C’est vraiment doux... j’apprécie vraiment.— Merci. Et sache que j’apprécie vraiment de m’occuper de toi comme ça. Un silence se fait, et soudain elle me demande :
— Je te plaît vraiment ?— Oui. Vraiment. Mais après je sais pas non plus dans quel sens tu l’entends... Pour toute réponse elle prend mes mains et les embrasse. Elle me fixe à nouveau intensément. Je reste un peu figé, en attendant la suite. -Tu veux plus? Me demande-t-elle. Mon cerveau s’emballe. Pour toutes réponses je dégage mes mains et je les pose sur sa poitrine. Elle me sourit, timidement et nous rapprochons nos visages pour un baiser tendre, timide. Je me lève et je la colle contre moi. Notre deuxième baiser est fougueux. Nos langues se cherchent, se trouvent, se mêlent. Mes mains parcourent son dos pendant que j’embrasse sa nuque et son cou. Elle me colle à un mur pendant que ses mains passent sous mon t-shirt. Je commence à déboutonner à la fois fébrilement et maladroitement son chemisier mais des bruits nous font tout stopper, la dernière coloc’ vient de rentrer de sa soirée. La chambre de Solenne étant plus près nous nous y engouffrons. Cette arrêt nous a un peu calmés. Nous reprenons plus doucement ou nous en étions. Je retire mon haut et je la laisse tranquillement prendre possession de mon corps. Ses mains parcourent mon torse et sa bouche l’y retrouve pour quelques bisous. Je me couche d’un coup sur elle et je poursuis le déboutonnage, à mon tour de prendre possession de son corps ! Je découvre un très joli soutien gorge. Le passage de mes doigts sur sa peau la fait frémir. Je baisse les bretelles de sa lingerie et j’en extrais deux beaux seins en forme de poire. Ma langue s’en empare et mes doigts prennent le relais sur ses tétons durcis par le désir. Nous décidons d’un commun accord de nous passer de ce sous-vêtement devenu inutile. Nous relevons à nouveau pour un nouveau baiser quand je pose la question : — Tu as ce qu’il faut ?— Je crois oui.... dans le tiroir. Sauf que celui-ci est vide et que moi je n’en ai pas. Nous nous asseyons tous les deux pour faire le point. Solenne ne prenant pas la pilule non plus le problème est compliqué, mais le désir est plus fort. Elle se met à genoux, défait ma ceinture et déboutonne mon jean. Bientôt pantalon et boxer se retrouvent au sol. Je me laisse faire en fermant les yeux à mon tour. Pendant de longues minutes mon corps reçoit des caresses et des coups de langue... j’attends impatiemment le moment où je sentirai sa bouche sur mon sexe. Enfin ce moment arrive. Elle s’y prend avec douceur et application. J’ouvre les yeux et je la vois prendre du plaisir à m’en donner. Sa fellation est réellement un délice et j’en savoure chaque seconde. Je la stoppe et sans un mot je baisse son pantalon. J’y découvre un joli string blanc en dentelle qui ne cache pas une petite toison parfaitement entretenue et qui ne cache pas non plus l’excitation de ma partenaire. J’écarte le tissu trempé et je caresse doucement tout le pourtour de son intimité puis mes doigts vont d’un coup se perdre en elle. Je la vois mordre son oreiller pour étouffer son gémissement. Je la doigte en douceur puis c’est ma bouche qui vient prendre le relais. Je sens son jus couler sous les oscillations de son bassin... je savoure chaque moment. Je l’entends me supplier "embrasse moi"... Je quitte à contre cœur son sexe si agréable puis je retire son string. Je la rejoins pour un long long baiser... je m’allonge à côté d’elle puis je l’entends me dire : — Viens...— Mais...?? Sûre ? Vraiment ?— J’ai envie... J’avoue que moi aussi et je ne me fais pas prier. Je caresse ses jambes puis les écarte et je regarde mon gland puis ma queue disparaître en elle dans un gémissement mutuel.
Je commence mes va-et-vient doucement. L’excitation est déjà au maximum et je veux pas la décevoir. La sensation de chaleur et d’humidité ainsi que la pilosité à l’entrée de son sexe donnent vraiment des sensations extraordinaires. Mon envie doit se faire sentir car ses jambes se referment sur moi. Mes mains agrippent ses seins. Je sens mon jus monter et mes coups de rein deviennent plus intenses et plus rapides. Je sors juste à temps pour voir de longues coulées de sperme gicler sur elle. Elle prend mon sexe à pleine main et me branle vigoureusement puis vient titiller son clito. Nos regards se croisent et comme un assentiment commun je replonge mon sexe en elle. Je la prends avec vigueur. Ses gémissements sont devenus des cris et ses ongles me labourent le dos. Je sors pour lui permettre de venir sur moi. Bien serrée en elle ma queue se remet à gonfler et je ne peux pas m’empêcher de lâcher à nouveau de puissantes giclées au fond de son ventre. Nous nous allongeons l’un à côté de l’autre. Essoufflés mais ravis, mais vu le regard de ma partenaire cette histoire n’est pas finie....
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