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Avec ma colocataire

Chapitre 3

Erotique
Je dois avouer que ma muse est véritablement en beauté ce soir. Elle a ramené ses cheveux en un joli chignon d’où quelques mèches tombent négligemment sur ses épaules. Elle s’est maquillée dans un style à la fois classe et discret, un léger parfum vient chatouiller mes narines. Elle porte une très jolie robe longue rouge, avec un décolleté suffisant pour que je me rende compte de l’absence de soutien-gorge. Tout dans son attitude dégage une aura de sérénité et de luxure. Maëlle ne trouve toujours pas les mots, elle continue de nous fixer l’air incrédule, limite choquée, elle finit néanmoins par prendre la parole pour exprimer ce qu’elle ressent. Tout y passe : sa stupéfaction, car notre différence d’âge a vraiment l’air de la choquer, son interrogation sur le mode de fonctionnement de notre groupe qui se portait à merveille jusqu’ici, et, visiblement, une pointe de jalousie.
Plus sa tirade s’éternise et plus je sens les ongles de ma belle s’enfoncer dans ma main, il semblerait que Solène n’apprécie guère qu’on mette son nez dans ses affaires ou que visiblement on s’approche trop de son homme. Je parviens à calmer les débats en déclarant que notre relation restera discrète au sein de l’appartement et que cela ne sera que de toute façon temporaire, car je lorgne sur un terrain que je suis en mesure de m’offrir, et Solène quant à elle doit aussi finir son année et réfléchir à son futur.
Maëlle se lève, l’air pincé et résigné, puis s’enfuit dans sa chambre. Je peux enfin goûter à ces lèvres qui me fixent depuis tout à l’heure et je sens ma belle s’y abandonner totalement. Mes doigts folâtrent sur son corps de longues minutes, je sens son corps onduler sous ces caresses, puis je m’égare dans son décolleté. Elle me stoppe net, me sourit, et me chuchote " Dans ma chambre".
Nous nous levons, j’attrape sa petite main et je me laisse guider jusqu’à son nid déjà tout prêt pour une douce soirée. Elle verrouille la porte avec soin derrière moi, et me demande de ne plus bouger. J’accède à son désir et je la laisse me déshabiller à son rythme... je ferme les yeux en m’abandonnant à ses caresses, ses baisers et ses envies. Une fois nu, elle me pousse tranquillement sur le lit, à plat ventre. Je la sens se mettre à califourchon sur moi, et malgré son string, je sens son humidité sur mes fesses.
Une sensation fulgurante se fait sentir, de froid et d’humide. Ça coule entre mes épaules, puis ensuite ce sont deux mains chaudes qui s’emparent de mon dos. C’est un massage très doux, très sensuel qui commence alors. Ses mains massent fermement ma nuque, glissent le long de mes épaules, s’attardent le long de la colonne vertébrale jusqu’à la naissance des fesses. Sa bouche embrasse le creux de mes reins, le chignon qu’elle vient de défaire laisse ses cheveux frôler ma peau, ce qui m’ électrise instantanément tout le corps. C’est une impression d’abandon total, hors du temps. Je sens à présent ses mains écarter mes fesses, puis ensuite sa langue glisser lentement le long de ma raie. Cette caresse inédite pour moi me fait instinctivement lâcher un râle de plaisir. J’entends sa voix me murmurer à l’oreille "Je n’ai jamais fait ça, je serais sûrement maladroite, tu m’en voudras pas ?"
Je me retourne et je la regarde, si belle et désirable. Pour toute réponse, je l’embrasse délicatement sur les lèvres. Bon sang ce que cette femme en à peine 24 heures me donne envie d’elle, envie de ne plus la lâcher.
— Allonge-toi, me dit-elle.
J’obéis, et je sens à nouveau sa langue parcourir ma raie, puis s’attarder près de mon anus, ce qui me fait immédiatement réagir. Solène devient plus entreprenante, et je sens le bout de sa langue forcer l’entrée pendant que sa salive coule le long de mon corps. Sa langue quitte bientôt cette zone érogène, et je sens son doigt exercer à son tour une pression sur l’entrée de mon cul. La pénétration se fait doucement, elle s’y applique avec douceur et concentration. Je l’entends me murmurer, "Tu aimes ?", ce à quoi je ne peux pas répondre autrement que par des grognements de plaisir. Elle alterne successivement avec ses doigts et sa langue. Ses doigts me caressent, je suis complètement abandonné à ses fantasmes et à ses désirs. Mon érection devient douloureuse à force de ne pas être soulagée. J’ai envie d’elle, mais je dois me montrer patient et attendre.
Je sens soudainement son corps se lever, elle reste debout, près du lit, un brin pensive, mais souriante malgré tout. Je la regarde, et je la vois baisser les bretelles de sa robe puis descendre cette dernière sans un mot. Son petit string blanc est trempé, je le vois d’ici. Je veux lui parler, mais elle vient à mon niveau pour poser son doigt sur mes lèvres, avant d’y poser les siennes.
Je pose mes mains sur ses seins, pendant que notre baiser devient passionné, puis furieux. Sa bouche quitte la mienne, vient se poser dans mon cou puis sur mon torse. Elle me regarde, se saisit de mon sexe et le prend goulûment en bouche. Sa fellation est un véritable plaisir, je me sens envahi d’une totale plénitude, mais je sens qu’avec le traitement qu’on m’a fait subir au début, mon éjaculation ne tardera pas. Je préviens ma partenaire, et je sens ma queue prise de spasmes pendant que je me répands dans sa bouche. Je la regarde avaler par petites gorgées avec ce sourire qui me fait systématiquement fondre.
Une fois terminé, elle vient s’allonger près de moi dans le lit et vient poser sa tête sur moi. Je ne la sens pas encline aux confidences, alors pour l’heure, je me contente de la remercier et de la câliner. Mes doigts en profitent pour écarter la lanière de son string, caresser ses lèvres, jouer avec son clitoris que je sens tendu, prêt au plaisir lui aussi. Elle a fermé les yeux, sa respiration devient saccadée, je l’entends me dire de continuer, de surtout pas s’arrêter... je me mets au niveau de son sexe, et je retire son dessous, puis je pose ma bouche sur sa chatte ruisselante. Un gémissement plus fort m’indique que j’ai visé juste, mon index parcourt sa fente, rentre en elle pendant que ma langue s’active. Un deuxième, puis un troisième suivent, son corps est agité de tremblements et cette fois-ci Solène ne retient plus ses cris qui résonnent dans tout l’appartement, pendant que sa jouissance se répand sur la couette.
Sans perdre un instant, je prends mon sexe qui a repris toute sa vigueur et je m’enfonce en elle. Même si la situation est ambiguë, je dois reconnaître que de savoir qu’elle est fertile me redonne un allant supplémentaire. Ma première éjaculation m’a redonné suffisamment d’endurance pendant que je possède son corps. Ses ongles s’enfoncent dans mon dos et mes cheveux, sa bouche se colle à mon cou. Je donne des coups de plus en plus puissants, ses jambes se serrent sur mes fesses, je l’entends me dire "Viens, je t’en prie, jouis. Jouis mon amour". Mes réticences tombent et je propulse de longs jets de sperme au fond de son ventre, ce qui finit de déclencher son orgasme dont elle étouffe le bruit en me mordant le cou. Je finis de remplir son vagin en lui demandant de me lécher pour finir. Elle s’empare aussitôt de ma queue et avec une infinie douceur, elle finit de récolter les traces de nos sécrétions communes.
C’est blottie dans mes bras que Solène s’endort pendant que je reste un peu perplexe quant à ce qu’a pensé Maëlle de ce déchaînement... on verra bien demain, c’est le week-end, Solène ne le sait pas encore puisque je n’ai pas eu le temps d’en placer une, mais, je lui ai prévu une petite sortie qui devrait la ravir.
A suivre...
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