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Avec ma colocataire

Chapitre 4

Erotique
C’est sous ses caresses que je me réveille le lendemain matin, il est à peine 7h pourtant, mais elle est déjà réveillée. Même si l’envie est tentante, je résiste à la furieuse envie que j’ai de lui faire l’amour. Je me lève à sa grande surprise, et je l’aide à sortir du lit elle aussi. Elle se laisse faire, je colle mon corps nu contre le sien tout tiède pour l’embrasser passionnément. Je lui propose d’aller prendre notre douche ensemble et ensuite de se préparer avec quelques affaires, car je compte l’emmener en week-end dès ce matin. Elle sourit, m’enlace et me dit que ce samedi matin ne pouvait pas mieux commencer. Nous sortons de la chambre, enroulés dans des serviettes, et nous nous rendons dans la salle de bains. La douche y est suffisamment spacieuse pour nous permettre cette fantaisie. Je verrouille soigneusement la porte, et Solène en profite pour se défaire de sa serviette. Elle rentre la première dans la douche, fait couler l’eau, et commence son shampooing.
Je la rejoins, ma queue tendue par le désir, que je colle contre ses fesses pour que je puisse doucement lui masser les seins. Ses yeux se ferment et elle profite de ce moment privilégié. J’enduis mes mains de gel douche pour lui masser le dos, les fesses et les jambes. Puis c’est à son tour de s’occuper de mon corps. Elle s’attarde beaucoup sur ma queue dressée, d’abord avec ses mains, puis elle s’agenouille devant moi et commence à me sucer avec application. Je n’ai qu’une envie à cet instant précis, la posséder. Avec douceur, je la relève, l’embrasse, et la tourne dos à moi. Elle comprend de suite et se penche le plus possible pour me présenter sa chatte humide de désir dans laquelle je m’enfonce sans la moindre difficulté. J’entends un long gémissement suivre cette pénétration et je commence mes va-et-vient, et la saisissant par les hanches. Mon envie est extrême et je ne tarde pas à sentir ma jouissance monter. Je saisis son sein pour me rapprocher d’elle au maximum pour lui murmurer :
— Tu veux que je vienne en toi à nouveau ?— Oui, me répond-elle dans un souffle, j’aime vraiment quand tu te vides en moi, j’adore cette sensation, j’en ai envie vraiment... et toi ?— Moi aussi... mais je ne peux pas m’empêcher de me dire que je vais peut-être te mettre enceinte.— On a tout le week-end pour en discuter... J’y ai beaucoup réfléchi de mon côté aussi, tu sais. Je te veux en moi, mais si tu souhaites jouir ailleurs, je ferai comme tu le souhaites.— J’ai envie de venir...— Prends-moi, et vide-toi en moi... fais-moi ce plaisir s’il te plaît...
A ce moment, je n’y tiens plus, j’ai vraiment envie de combler cette femme si douce, si charmante et si volontaire en même temps. J’accélère mes coups de reins et mes gémissements rejoignent les siens. Dans un dernier râle, j’expulse mon sperme au fond de son ventre et je reste encore de longs instants en elle. Nous sommes rouges et essoufflés, mais ce moment a été tendre et nous avons profité tous les deux d’un nouveau moment de complicité. Elle prend mon visage dans ses mains, m’embrasse, et me déclare d’un ton sérieux :
— Je t’en prie, ne te prends pas la tête, tu m’as encore donné du plaisir, je pense que moi aussi, tu m’emmènes en week-end ? On va en profiter pour être ensemble et c’est tout. Laisse les soucis à la maison, tu es d’accord ?
J’acquiesce, un peu soulagé tout de même par son attitude responsable. Nous retournons dans nos chambres respectives pour nous habiller et préparer nos affaires, et quelques minutes plus tard, nous voilà prêts. Sur le trajet, Solène a alterné sa position, soit en lovant sa tête sur mon épaule, soit en gardant ma main sur sa cuisse. Elle est d’ailleurs élégamment habillée, une jolie jupe mi-longue et un chemisier dont les deux premiers boutons ouverts laissent deviner sa jolie poitrine. Après quelques heures de route, nous voici à destination, un petit village côtier un peu isolé dont les longs chemins de randonnée s’élancent pour découvrir le coin. L’hôtel est parfait, familial et tranquille. Une grande chambre dont le lit double nous fait déjà de l’œil, à peine arrivés. Il y a un petit complexe hammam, sauna, jacuzzi, massage. L’endroit idéal pour nous retrouver tranquilles, et profiter du temps ensemble.
Je redescends vite fait à la voiture récupérer nos affaires, et je laisse Solène dans la chambre commencer à ranger. A mon retour, je la trouve allongée sur le lit, un sourire coquin aux lèvres, dans un superbe ensemble de lingerie qui met parfaitement ses courbes en valeur et qui enflamme immédiatement mon bas-ventre. Elle se redresse à moitié, tapote le lit du plat de la main pour m’inviter à l’y rejoindre, ce que je fais sans me faire prier. Je m’allonge donc à ses côtés, la laissant déboutonner ma chemise. Elle pose sa tête sur mon torse et après un long moment de silence où elle s’amuse avec quelques poils se trouvant là, elle me lance :
— J’ai beaucoup réfléchi, tu sais. Et ce qui s’est passé ce matin a accéléré un peu mes décisions. Je sais pas si c’est la bonne, mais c’est mon choix.
Je me redresse, inquiet d’un coup.
— Tu souhaites arrêter là ?
Elle me sourit, m’embrasse, et me dit :
— C’est un peu la réaction que j’espérais ! Tu tiens à moi, et moi aussi. Si je suis arrivée en retard hier soir, c’est parce que j’ai contacté des entreprises toute la journée hier, et j’ai eu un entretien un peu sur le pouce. Je suis embauchée à l’été dans la société XX et si tout se passe bien, ça sera un poste permanent. Ca correspond à mes qualifications, et ça sera toujours un tremplin pour la suite. Quant à toi, tu veux te poser dans la
région aussi, et je sais que tu cherches toujours à ouvrir ton affaire...
Je la coupe net :
— Tu veux dire que...— Oui, je reste au pays. C’est un choix qui est le mien. Tu n’as pas à t’en sentir responsable de quelques façons que ce soit, et c’est une opportunité unique. Et si tu veux de moi dans ta vie, ça serait parfait.— Je comprends mieux... mais oui que je te veux dans ma vie !! Bien évidemment ! Comment as-tu pu penser l’inverse ?— La différence d’âge, les opinions de nos familles, de nos amis. Tu as vu comment Maëlle a réagi ?— Oui, mais bon, c’est pas vraiment une amie proche. On s’entend bien, mais ça s’arrête là. Après c’est pas à nos proches de choisir pour nous.— Ca me fait tellement plaisir que tu le prennes comme ça !! Mais fini de m’écouter, je n’ai pas fini, car j’ai quelque chose d’autre à te dire et une chose qui ne te plaira peut-être pas.— Oulààà... Je dois m’inquiéter ? — Je sais pas... voilà, la première chose, c’est que j’ai un peu d’argent sur un compte épargne, je me demandais si tu acceptes que cet argent aille dans la maison, mais pour avoir mon coin "à moi", quelque chose de plus personnel ?— Oui bien sûr, j’ai le terrain, mais pas de plans définis encore, on peut discuter de ça sans soucis en effet, et l’autre chose ?
Elle laisse planer un long silence qui m’inquiète quelque peu, je me demande ce qu’il peut bien se passer, car les choses ont pris une tournure complètement ahurissante depuis l’autre soir. Nous nous aimons, c’est certain, mais je trouve qu’elle s’emballe bien plus vite que moi, l’enthousiasme de la jeunesse, mais ce n’est pas pour me déplaire.
— Je t’ai menti sur un point. J’en suis pas fière, ni envers toi ni envers moi. Je sais pas du tout pourquoi j’ai agi comme ça...— Je t’écoute.— Je suis en période d’ovulation. J’ai été sincère pour tout le reste, pour tout ce qui s’est passé. Je m’en veux, je n’ai pas été honnête... C’était inconscient de ma part et je...— Ah oui... Quand même. Effectivement, ce n’était pas très lucide de ta part. Mais plus pour toi que pour moi. Et si je t’avais dit non pour la suite de notre histoire ? En tout cas, je comprends mieux ta tenue maintenant, dis-je en riant pour l’embrasser dans le cou.— Je sais pas... Je t’aurais rien imposé crois-moi... tu me pardonnes ?
Non seulement je te pardonne, mais je te ferai l’amour avec plus de vigueur encore ! Et si ton souhait est d’être maman, je serai ravi d’être le papa. C’est un souhait que j’ai depuis longtemps, on doit être complètement timbrés pour réfléchir comme ça, mais j’accepte cette dose de folie.
A ces mots, Solène vient enfouir son visage contre moi, des larmes coulent le long de ses joues, mais son sourire vaut de l’or.
A suivre
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