Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 97 J'aime
  • 17 Commentaires

Avec des amies comme ça…

Chapitre 2

Trash
Elles étaient folles, c’était vraiment trucs de salope ! Je relisais la liste de course qu’avait faite Jeanne une nouvelle fois, elles voulaient se mettre des gadgets dans le sexe, et même dans le cul ! Tout ça pour se faire jouir, c’était de la perversion ! Je reconnaissais que c’était excitant mais je n’étais pas ce genre de fille.
« Je ne vais pas acheter ça !-Si tu t’inquiètes pour le prix, rassure-toi, on va participer. En fait c’est nous qui allons payer, toi tu as juste à t’occuper d’acheter… C’est réglo comme deal.-Mais ce n’est pas la question ! Pourquoi j’achèterais tout ça ? Je veux pas me mettre des trucs dans le cul.-Tu dis ça, mais c’est comme le concombre, au départ tu as peur, mais après tu jouis comme jamais. Écoute, t’avais pas d’amies, alors sexuellement t’es un peu à la traîne. Mais maintenant t’es avec nous et tu vas vite prendre goût aux bonnes choses ! Tu vas voir on va s’amuser !-Tu crois ?-Bien sûr, de toute façon il faut toujours une première fois que ce soit pour les sex-shops ou pour le plaisir anal. Et puis qu’est-ce que tu voulais faire de ton cul ? T’avais d’autres plans que de l’utiliser pour chier ?— Ben, je ne sais pas. Je m’étais jamais vraiment posé la question.-Tu va voir le bonheur de jouir du cul ! Une fois que tu auras essayé tu comprendras pourquoi on parle d’histoires de culs et pas d’histoires de chattes.-Bon d’accord, je vais voir ce que je peux trouver.— voilà 80 euros, avec ça tu ne devrais pas avoir de problème. Et je te laisse mon numéro au cas où tu as un problème. On se revoit demain au lycée, essaie d’arriver en avance avec tout le matériel."
Après ça je quittais sa maison assez pimpante, mes pensées tournaient autour de mon cul. Jusqu’à présent, il m’avait toujours embarrassé on n’arrêtait pas de me traiter de « gros cul » avant mon régime mais maintenant qu’il était devenu fin et appétissant pouvait-il vraiment devenir une source de jouissance ? Je m’étais bien mis un ou deux doigts dedans pour essayer, et même si j’avais pris du plaisir j’avais rarement recommencé. Ce trou me semblait simplement honteux et hors usage.Je prenais le chemin du retour et ne tardait pas à passer devant le sex-shop de la rue Victor Hugo. Je m’arrêtais de l’autre côté de la rue, je voyais dans les vitrines trôner de la lingerie fine affriolante. J’attendis bien cinq minutes que la rue soit vide avant d’entrer.
En ouvrant la porte un caissier me dit bonjour, je rougis beaucoup et retournait la politesse avant de me cacher dans les étalages. Les rayons étaient bien arrangés et je trouvais facilement ce qu’elles m’avaient demandé sur la liste de course. J’hésitais pour la taille des godes je voulais prendre la taille la plus petite possible mais j’avais peur qu’elle ne me renvoie en acheter des plus gros si cela ne leurs plaisaient pas. Je me décidais pour une taille intermédiaire, 22 centimètres pour le gode. J’en voyais un de quarante, je me demandais qui pouvait bien acheter ce genre d’engin, Est-ce que quelqu’un avait déjà réussi à le faire entrer en entier ? Je le caressais songeuse quelques minutes avant de reprendre mes courses.
Pour être franche, j’étais un peu excité. Me mettre un gode dans la chatte, c’est un truc que j’avais toujours fantasmé. Moins que de faire l’amour à des garçons virils mais quand même pas mal. J’avais toujours pensé en acheter un, une fois que j’aurais perdu ma virginité, et finalement c’est ce que je faisais...
J’étais cependant incapable de trouver le plug anal télécommandé, j’avais fait tous les rayons sans le trouver. Enfin tous sauf un où un homme avait l’air de se masturber, je ne tenais pas à voir ses bijoux. Je prenais un gode ceinture rose de 15 centimètres et un œuf vibrant sans oublier le gel et j’arrivais à la caisse. Le vendeur me proposa une carte de fidélité j’aurais une réduction de 5%. Comme je ne payais rien ça me ferait des sous de commission et j’acceptais. Je demandais le visage rouge s’il avait des plug vibrant, Il me dit qu’il en avait reçu ce midi, mais qu’il n’avait pas encore eu le temps de les mettre en rayon il se préparait à aller en chercher dans la réserve mais je lui dis que ce n’était pas nécessaire… je n’avais pas envie qu’il déballe une caisse de bouchon pour cul et m’en fasse l’article sachant ce que je comptais en faire. Et à dire vrai je n’avais pas vraiment envie qu’on me buzz le cul à tout bout de champ. Au fond j’avais cherché dans la boutique et je n’en avais pas trouvé, elles ne pouvaient pas vraiment me demander plus. Je sortais soulagé du sex-shop.

A dix mètres Victoria traversait la route en face de moi !

Elle fut aussi surprise que moi mais réagit plus vite. Elle se rapprocha, moi j’avais les jambes flageolantes et restais immobile.
« Alors salope on fait des emplettes ? -C’est pas ce que tu crois !-Ah oui ? Qu’est je crois ? Que tu veux te faire sauter la chatte avec de bons gros godes, c’est pas ce que je trouverais si je fouillais le sac ?-Euh…-Je suis sûr que tes nouvelles amies ne seront pas ravies de savoir que tu te comportes en vraie chienne en chaleur quand elles ont le dos tourné. -Mais non ! Ça ne les dérangeraient pas j’te jure !-Ah oui, alors pourquoi ne pas les appeler ?-D’accord, je te donne le numéro d’Hélène : 06.75.41.48.xx-Ah ah ah, T’es vraiment la plus grosse des connes ! Si tu crois qu’elles ne vont pas te crever la gueule quand elles vont savoir qu’elles trainent avec une pute. Elles vont te déchiqueter oui, et comme tu n’as jamais connu. Rien à voir avec les baffes que j’ai pu te donner, crois moi j’ai bien vu que c’étaient de purs psychos hier.
Elle composait le numéro téléphone en me parlant, ma vie à ce moment précis était au bord du gouffre. Tout dépendrait de mes amies : soit elles me lâchaient maintenant qu’on m’avait surprise sortant d’un sex-shop, soit elles restaient solidaires. Mais même si elles ne m’abandonnaient pas, Victoria pouvait décider d’appeler mes parents pour parler de mes achats ou répandre le bruit dans tous le lycée que je m’achetais des godes. Je sentais que ma vie avait toute les chances de sombrer dans les prochaines secondes, j’allais passer le reste du lycée à me faire insulter et dieu sait ce que mes parents me réserveraient.
-Allo ? Hélène ? C’est Victoria, tu sais la fille à qui tu as fait lécher les pompes de l’autre pute. Mais je ne suis pas rancunière tu sais…. Je voulais juste t’informer que Cécile est vraiment une salope de première en fait, oui, une pétasse confirmé, devine où je suis ?-…. »
J’étais trop loin pour entendre les réponses d’Hélène, le stress me coupait la respiration.
« Euh, oui… Comment tu as deviné.-….-Non, attends le prends pas comme ça. » Le ton de Victoria avait complétement changé, on sentait maintenant la peur percer dans sa voix.-….-Non ! T’es pas obliger de faire ça, je m’excuse je te jure, on peut s’arranger je peux te payer un truc ou je sais pas...
Victoria resta un long moment au téléphone sans dire un mot. Son visage devenait de plus en plus livide.
— Je ne peux pas faire ça ! Tu ne veux pas plutôt que….
Victoria regarda son téléphone, Hélène avait dut raccrocher avant qu’elle ait fini sa phrase. Elle se tourna vers moi, elle semblait avoir perdu toute l’arrogance dont elle faisait preuve trois minutes plus tôt.
« Hélène veut qu’on aille dans le sex-shop. »
Visiblement elle avait reçu des instructions, et au ton sa voix je doutais que ça lui plaise. Ça voulait dire aussi que mes amies m’avaient couverte. Je retournais avec elle à l’intérieur de la boutique, je la suivis dans les rayons attendant qu’elle explique ce qu’Hélène lui avait dit. Elle s’arrêta finalement devant le rayon BDSM.
« Hélène veut que tu choisisses une cravache ou une tapette, c’est moi qui paie. »
Et bien, je n’allais pas lui faire le plaisir de respecter ses économies. Les cravaches devait faire plus mal avec toutes les lanières, ça m’inquiétait un peu et elles étaient moins cher… je préférais les tapettes. J’en trouvais une en bois de chêne véritable avec une forme de cœur au prix de cinquante euros. Je me décidais pour celle-ci, et la montrait à Victoria. Elle soupira, me demanda si je ne préférais pas une en plastique, mais ce n’était pas elle qui allait dicter ma conduite ! Arrivé à la caisse Victoria sortie son portefeuille et paya, elle essaya plusieurs fois de dire quelque chose mais abandonna après n’avoir pu émettre que quelques gargouillis. J’imaginais qu’avec sa fierté elle voulait dire qu’elle n’achetait pas ça pour elle. Ça m’inquiétait un peu à vrai dire, si Hélène l’avait contrainte à m’offrir ce cadeau, ça voulait dire qu’au bout du compte c’est mon derrière qui allait en ‘’profiter’’. En définitive j’étais le dindon de la farce. On allait sortir, moi la tête pleine de pensées moroses quand elle repartit brutalement vers la caisse. Elle était rouge de la tête au pied, elle prit une bonne inspiration :
« Excusez-moi mais j’aimerais que Cécile me fesse avec la tapette tout de suite. Est-ce que c’est possible ? »
Le vendeur surpris regarda Victoria, avant de passer un regard sur la clientèle de la boutique. En dehors de nous il n’y avait que le type louche que j’avais vu lors de mon premier passage la main dans le pantalon… ce dernier haussa les épaules. Le vendeur donna alors à Victoria la permission de se faire fesser précisant qu’elle avait raison de tester le matériel. Victoria revint vers moi s’arrêtant au milieu de l’entrée ravalant son orgueil elle me demanda :
« Cécile s’il te plait tu peux me corriger les fesses une bonne dizaine de fois, c’est ce qu’une pétasse comme moi mérité. -…Ah ah ah ah !
J’éclatais de rire. J’allais donc martyriser le cul de Victoria, je n’avais jamais pensé qu’un tel jour arriverait. Je n’avais aucune idée de ce dont Hélène avait pu la menacer mais visiblement elle était prête à se faire rougir le cul pour y échapper, et je n’allais pas me priver pour lui donner une bonne leçon.Comme Victoria restait debout penaude, sans savoir quoi faire, le vendeur fut suffisamment généreux pour apporter une chaise. Elle le remercia et déboutonna son jean, laissant voir une petite culotte rose. Je la confisquais :
« Tu permets que je prenne un souvenir ?-Prends, si ça te fait plaisir, maugréa-t-elle.
Le client de tout à l’heure s’était rapproché, entre les rayons je pouvais distinguer qu’il avait dû sortir sa bite. Je tournais la chaise pour qu’il ait une bonne vue sur la croupe de Victoria, elle tenait les barreaux de chaise de ses mains et avait les fesses à bonne hauteur, une position parfait pour recevoir des coups puissants. J’assenais alors une frappe retentissante sur ces fesses. Elle cria :
« Un ! Je suis une grosse salope ! »
Je ne m’attendais vraiment pas, c’était très excitant, à chaque coup que je lui portais elle criait « Je suis une grosse salope ! » Dès le premier coup les fesses avaient rougies, il ne fallut que deux-trois tapes pour qu’elle braillait la voix pleine de sanglot. Je pense au début c’était plus des pleurs dut à la honte : elle était à poil devant un pervers et sa souffre-douleur se vengeait sur elle. Il faut dire que je lui faisais payer chaque fois qu’elle m’avait appelé « Gros Cul » en ravageant son fessier. Mais au bout du cinquième coup il était évident, à travers ses cris, que c’était la douleur qui prenait le pas sur l’humiliation. Mais il n’était pas question que je m’apitoie après tout ce qu’elle m’avait fait subir au collège ! Je donnais chaque coup de toutes mes forces, son arrière-train bondissait et sa poitrine cognait contre les barreaux de la chaise. Mais il fallait bien que mon bonheur finisse et elle cria au dixième coup :
«Dix ! Je suis une grosse salope ! »
Et elle se releva de la chaise, ses fesses étaient violacées, elle chercha a culotte sans se rappeler que je lui avais prise, et pour ne pas s’éterniser les parties intimes à l’air, elle remit son pantalon, elle ne devait jamais autant regretter d’avoir acheté un jean moulant. Elle cria au contact du tissu qui semblait lui bruler la peau, elle se tourna vers moi le visage baigné de larmes.
« Merci de m’avoir corrigé d’être une grosse salope de cafteuse ! »
Elle avait mis tous ses efforts dans cette dernière phrase et couru vers la sortie. Le client applaudit la performance que j’avais offerte sur le cul de Victoria, j’avais un sourire béat aux lèvres, le vendeur m’encouragea à repasser quand je voulais.En rentrant chez moi je laissais le sac de courses sous un arbuste du jardin, il était trop gros pour entrer dans mon sac d’école. Je pensais juste prendre le gode pour la nuit, mais me ravisais je n’étais pas sûre que mes amies apprécient que je l’utilise les accessoires avant elles. Le soir je me masturbais à la main, le visage et les fesses endolories de Victoria me firent atteindre l’orgasme facilement. Je me demandais si je n’avais pas des pulsions sadiques.
  Le lendemain de bonne heure, je retrouvais Jeanne, Lisa et Hélène devant la grille du lycée. Je leur racontais comment j’avais fessé Victoria ce dont elles me félicitèrent, elles furent par contre déçut que je n’ai pas acheté le plug anal, elles semblaient avoir des doutes quand je leur dit qu’il n’y avait pas l’article en stock, mais elles n’allaient sans doute pas aller au sex-shop pour vérifier mes dires.
Elles avaient trouvé un coin tranquille juste à l’extérieur du lycée où elles me conduisirent. Je montrais mes achats, Lisa prit le gode, Hélène se contenta du petit œuf vibrant et Jeanne prit le gode-ceinture. Lisa fit part la première de ses impressions :
« Bien, je pensais que le gode serait plus gros, mais il semble pas mal. On vérifie que ça marche bien non ?-Comment on fait ça ? Je veux dire, c’est juste un gode ça ‘’marche’’ forcément.-Faut vérifier qu’il y ait pas d’aspérité qui gêne pendant qu’on l’enfile, expliqua Hélène. Cécile, tu veux bien te déshabiller comme c’est toi qui l’as acheté à toi l’honneur de l’essayer en premier.
Je dus retirer mon pantalon et ma culotte, Lisa me tendis le gode. Je me faisais pas prier et me l’enfonçait dans la chatte. J’étais assez intimidé j’étais le sexe nue et même si Hélène s’était un peu reculé pour vérifier que personne de ne passait je n’avais pas l’habitude de la nudité à l’extérieur. Mais l’idée de me mettre le gode dans la chatte m’avait travaillé tout le nuit et le matin j’étais plus qu’un peu excité.
-Bon tu peux lâcher le gode il semble glisser facilement si on mouille, décida Lisa observatrice. Maintenant on va tester le gode-ceinture. Mets-toi à genoux.
Je posais mes mains sur l’herbe, Je sentis alors un doigt contre mon anus, Jeanne avait enfilé le gode ceinture et me mettait du gel dans le cul. J’avais prévu que mon cul serait visité mais je ne pensais pas que ce serait avant huit heure du matin. Je serrais les dents au mieux, je sentis ma rondelle s’ouvrir avec facilité et la pointe arrondie du sex-toy commencer à s’enfoncer. Il progressait lentement mais surement et les quinze centimètres finirent tous à l’intérieur de mon anus. Je me disais que ça ne faisait pas trop mal mais c’est alors que Jeanne fut prise d’enthousiasme ! Plutôt que de juste vérifier qu’il ne m’écorchait pas les parois, elle prit appuie sur mes épaules pour mieux m’enfiler, rentrant et sortant vivement le gode de mon cul.
Je ne préférais même pas imaginer ce que j’aurais pris sans le gel et devant sa force je me retrouvais le visage à terre. Lisa et Hélène plaisantait en regardant le spectacle
-On se croirait à un rodéo. Tu trouves pas Hélène ?-Si, mais ça m’étonnerais que Cécile réussisse à désarçonner sa cavalière-On sait jamais, elle risque de ruer si Jeanne l’enfonce trop profondément.-Ouais, il lui faudrait lui faire des couettes pour être sûr qu’elle ne s’échappe pas.-Attends je crois qu’elle va jouir ! Regarde je vois des gouttes couler.-Ouais ! Vas-y Jeanne ! Fais la jouir !
Mais Jeanne ne me faisait pas jouir du tout. Je ressentais un peu de plaisir dut à la pénétration et il est possible que j’ai mouillé un peu, mais j’avais surtout le cul qui dérouillait grave ! J’aurais dû prendre un gode ceinture bien plus petit, car là je n’avais qu’une envie, qu’elle cesse de me chevaucher.
Mais ce n’ai qu’au bout de dix minutes qu’elle s’arrêta et se dégagea du harnais, et sans prendre beaucoup de préliminaire m’enfonça la bouche dans sa chatte. Visiblement m’enculer était un de ses fantasmes car elle était plus mouillée que Lisa après un orgasme et je vous assure qu’il fallait mieux passer un coup d’éponge là où Lisa s’était fait plaisir. D’ailleurs je n’eus pas longtemps à devoir lui faire des léchouilles ; au bout de deux minutes à me plaquer le visage sur sa fente elle me faisait un orgasme dans la bouche.
"Et bien, t’étais génial me complimenta Jeanne, faudra remettre ça."
Je commençais à m’habituer à ce qu’elles me prennent pour leur poupée gonflable, je ne protestais même pas malgré une grimace. Et puis je pouvais bien prêter mon cul à mes amies après ce que j’avais fait à celui de Victoria.Remarquant mon air insatisfait Hélène cru bon de m’expliquer les choses.
« Tu sais, tu aurais sans doute plus apprécié si tu avais eu le cul plus ouvert… C’est pour ça que tu aurais dû perdre ta virginité depuis longtemps, ou au moins te faire prendre le cul plus souvent. Vraiment à quoi pensais-tu plus jeune ?-Euh, je sais pas, je pensais rencontrer un garçon et…-Peu importe, tu vois bien que tu avais tort. Heureusement que tu nous as maintenant ! Tu pourrais nous remercier.
Devais-je vraiment les remercier de les laisser m’enculer, ou de leur lécher la chatte ? Peut-être après tout en comparaison de mes tristes années précédentes.
« Merci Hélène. Sans toi je serais encore tellement gourde.-Bien ! Et reprend ton portefeuille il a glissé quand Jeanne t’enculait.
Lisa avait eu la gentillesse de le ramasser, et me le tendait. Elle remarqua alors qu’une carte en était tombée, c’était ma carte de fidélité du sex-shop.
-Tiens tiens, Cécile a eu droit à une carte. Il y a même le numéro du sex-shop, nota Lisa-Passe-moi ça, demanda Hélène, je voudrais vérifier un truc.
Hélène sortie son téléphone et appela, elle mit le téléphone sur haut-parleur pour que nous entendions toutes.
-Sex-Shop Aphrodite, Allo ?-Bonjour c’est Cécile, dit-elle se faisant passer pour moi, vous êtes le vendeur d’hier ?-Oui j’étais là hier, Cécile c’est vous qui avez fessé la blondasse ?-Exact, je me demandais si vous aviez des plug anales vibrants.-Bien sûr je vous l’ai dit hier. Je les ai mis en rayon juste après votre départ.-Ah oui, donc je ne vous ai dit ne pas vouloir en achetez hier, c’est bien ça?-Eh bien oui.
Victoria me regarda, ses yeux lançaient des éclairs
-Ah, j’ai changé d’avis, je passerais en acheter. Et en attendant, vous pourrez m’envoyez des magazines à mon adresse.-Euh, je ne fais normalement pas crédit, mais je crois qu’après le spectacle d’hier je peux vous faire confiance. Vous habitez 30 rue de Bray. ?-Oui, je voudrais que vous m’envoyiez ce que vous avez comme magazines zoophiles… et si vous en aviez un DVD ce serait encore mieux.-Non, enfin j’ai quelques magazines du genre qui viennent du Danemark, mais pas de DVD et c’est pas très légal vous savez… Alors je compte sur votre discrétion hein ?-Comptez dessus. Envoyez-moi alors, un bon DVD de truc SM vous avez ça ? Un truc bien vicelard et très humiliant pour la fille.-Et bien j’ai de l’allemand et du japonais dans le genre.— Alors envoyez-moi les deux ! Et pour les magazines envoyer ça en colis express quand j’ai pas ma dose de zoophilie par jour je me sens pas bien, je réglerais tout ça ce soir.-Ce soir… Pourquoi ne pas chercher tout ça à ce moment plutôt que de vous l’envoyer par la poste-J’aime recevoir mon porno par la poste, c’est très excitant, ça me rappelle quand j’habitais chez mes parents et qu’ils risquaient de tomber sur mes cochonneries à tout moment. Ça me faisait drôlement mouiller. Tient tant que j’y pense envoyez aussi un porno incestueux, j’adore ceux où la fille drague ses parents, elle suce son père, gouine sa mère et tout finit dans une bonne orgie familiale!-Bon, je vous envoie tout ça… A ce soir pour votre plug.
Hélène raccrocha, elle était vraiment furax que je lui ai mentit à propos du plug anal. Je la suppliais d’annuler la commande, si mes parents tombaient dessus dans la boite à lettre j’allais me faire tuer ! Mais Hélène demeura inflexible..
« Que ça te serve de leçon ! Tu n’auras qu’à mentir à tes parents comme tu le fait avec nous. C’est vrai quoi… mentir à ses amies c’est juste honteux ! Tu n’as vraiment pas de dignité ! »
Mais je ne voyais vraiment pas par quel mensonge je pouvais expliquer la commande de magazines zoophiles. Et je préférais ne même pas penser au porno incestueux…
« Bon, repris Hélène maintenant installons l’œuf. »
Sans faire de chichi, Lisa prit l’œuf et avec grand sourire me le plaça à l’entrée de mon vagin, proche du clito. Jeanne vérifia que l’œuf tenait bien en place, elle semblait presque jalouse.
« Avec ce genre d’accessoire, toi aussi tu vas jouir je t’assure, me susurra-t-elle.— Oui mais quand même, je ne peux pas aller en cours avec ce truc à l’intérieur.-Bien sûr que si, et remonte donc tes vêtements tu veux pas qu’on te voit à poil, ça nous ferais vachement honte, ordonna Hélène toujours contrarié.
Rougissante, je remettais ma culotte. Avec tous ces évènements j’avais oublié que j’étais à moitié nue, je scellais ainsi la position de mon œuf vibrant. Hélène sortit la télécommande du sac et la confia à Lisa pendant que je retroussais mon pantalon.
Lisa voulait vérifier que l’œuf marchait bien, elle appuya sur ‘’on’’ et l’œuf se mit à vibrer à l’intérieur de mon corps, la surprise me fit mettre les genoux à terre. Si je sentais mon cul encore terriblement douloureux ma chatte frémissante sous les douces pulsations me le fit momentanément oublier. Je portais ma main machinalement à mon entre-jambe… Hélène me réprima :
« Hey, tu vas pas te masturber dis-donc ! T’es pas une chienne ! Garde un peu de contrôle quand même. »
Je retirais vivement ma main, mais je me sentais déjà mouillée. J’attendais qu’elles arrêtent la machine, ce qu’elles ne firent qu’au bout de trois minutes. Elles voulaient se rendre compte si on pouvait entendre le bruit à travers mes vêtements. Elles montèrent graduellement le régalage jusqu’à mi-puissance, on entendait alors une faible vibration, j’avais dû mal à croire que ce petit bruit était responsable de ma furieuse envie de me pétrir la chatte. Ni tenant plus j’implorais :
« S’il vous plait j’aimerais vraiment me masturber.-T’es vraiment incontrôlable, mais on n’a pas le temps-là, va falloir aller en cours.-Mais…-Pas de mais, t’inquiètes pas on pense à ta foufoune. »
Hélène retrouva alors son sourire qu’elle avait perdu depuis la découverte de mon mensonge. Ma foufoune devait lui évoquer de plaisantes choses à faire…
Diffuse en direct !
Regarder son live