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Avec des amies comme ça…

Chapitre 4

Trash
7) L’amie de mes amies est mon ennemie.
Je partais de la cantine pour rejoindre mes amies dans la cour, j’avais des sentiments conflictuels, j’étais un peu inquiète de ce qu’elles pouvaient avoir en tête. Mais surtout excité, il y aurait Victoria et cette garce allait comprendre qu’il ne fallait pas m’emmerder. En sortant je les voyais dans un coin de la cour, Victoria était en pleine discussion avec Hélène, je m’approchais silencieusement et l’interrompis en lui fichant une claque sur les fesses. Elle cria, elle avait encore les fesses rouges après la fessée reçue au sex-shop. Cela fit rire Hélène.
-C’est comme ça que tu saluts les gens maintenant ? Ha ha ! Il faudra qu’on se le rappelle ! Une tape sur les fesses, et toi Victoria qu’est-ce que tu as à crier comme ça… bon, plus sérieusement on a parlé avec Victoria, et on s’est dit qu’on pourrait être toutes être copine. C’est con de garder des rancœurs.-Euh, je sais pas trop, je ne veux pas dire du mal de toi, Victoria, mais tu m’as toujours emmerdé quand même.
En fait j’étais sacrément déçu, cette poufiasse m’avait pourri mes années de collège… la dernière chose dont j’avais envie c’était de devenir sa copine. Mais Victoria semblait être enthousiasmée, et ça même après que je lui ai claqué le cul. C’était presque bizarre, elle insistait :
-Alors excuse-moi pour tout ce que je t’ai dit avant ou tout ce que j’ai pût te faire, je suis vraiment désolé. J’espère vraiment que tu pourras me pardonner. Mais de l’eau à couler sous les ponts… tu veux bien être mon amie maintenant ?
Hélène, Lisa et Jeanne me regardaient avec de grands sourires pour m’encourager à faire la paix. Je tentais de refuser :
-Je suis pas sûr, c’est que t’étais vraiment une garce.
Mais Hélène ne me laissa pas vraiment de choix.
-Allez Cécile ! On est pote, les ennuis, les reproches, tout ça, ça s’oublie… On ne veut pas d’une rancunière aigrie avec nous. -Bon, si tu y tiens, on peut essayer d’être copine.
Hélène nous regarda nous serrer la main.
-Tu verras, me dit Victoria, on va être les Best Friends Forever !
Mais elle me serrait vachement fort la main. Pas vraiment comme une amie, j’avais des doutes quant à ses intentions et Hélène me révéla rapidement son jeu :
-Voilà, maintenant vous êtes copines ! Par contre, le truc qui ne va pas, c’est que tu lui as fait embrasser tes chaussures il y a même pas une semaine. Et ça, ce n’était vraiment pas sympa, alors ce serait bien que tu lui rendes la pareille, tu ne penses pas ?-Que je lui embrasse les chaussures ? Ça ne va pas la tête !?-Oh, allez il faut qu’on soit toutes amies maintenant, tu comprends ? Et si tu ne veux pas faire d’effort pour te raccommoder avec Victoria, ce ne sera pas possible, un beau geste de réconciliation ce serait chic de ta part.
Victoria enfonça le clou :-Allez lèche-moi les godasses quoi. T’as pas le choix, soit tu lèches soit tu te casses.
J’avais les genoux qui tremblaient, mais ne bougeais pas d’un pouce. Je n’allais pas lui lécher les bottes ! Il fallait que je montre de quel vois j’étais fait et tant pis pour le reste.
-Nan, tu veux pas ? dis Hélène, alors, tu voudras bien lui laissez ta place en cours, qu’on puisse être ensemble.-Je peux recommencer à l’insulter aussi ? dit Victoria, si c’est plus une de nos amies, on peut se foutre de sa gueule non ?
Ah merde ! J’allais à nouveau être toute seule, et Victoria qui ne manquerait pas de vouloir m’humilier dès qu’elle le pourrait. Sans doute de manière pire qu’avant, finalement il valait peut-être mieux baiser ses chaussures pour être tranquille…
-Attendez ! Je vais le faire…
Je me mettais à genoux, je voyais bien que tous les regards étaient braqués sur moi se demandant si j’allais vraiment le faire, j’enrageais, mais tant pis… la tête presque au niveau du sol, agenouillé devant Victoria, j’embrassais une de ses chaussures. Et me relevais… Enfin j’essayais, mais Jeanne me tenait par les cheveux :
-Hey tu ne crois pas t’en tirer à si bon compte ? Faut que tu lèches bien pour qu’elle te pardonne. Montre-lui un peu ce que tu sais faire avec ta langue.
Le visage contre ses godasses je dus sortir la langue, passant ma langue sur le bout de la chaussure, la languette, le talon … puis Jeanne se servant de la ma tête comme balayette me fit faire le tour de la chaussure le long de la trépointe, finalement toute la surface de la chaussure avait été lavée par ma langue, c’était horriblement humiliant, mais quand même assez rapide.
-Maintenant, la semelle dit Lisa-Non ! Pas la semelle !-Quand on commence à faire quelque chose, il faut le faire jusqu’au bout. Il n’y a pas de lâcheuses parmi nos amies. Dis Jeanne me tenant toujours fermement la tête.-Mais il y a une lécheuse au moins, rajouta Hélène
Mais je n’eus de toute façon pas le choix, Victoria m’étala le dessous de sa chaussure sur le visage, je dus laper le moindre interstice. J’étais sûr qu’elle avait enfoncé sa godasse dans la terre fraiche juste avant que j’arrive. J’avais de la terre plein la figure, ma langue avalait la saleté. Jeanne me décolla le visage plusieurs fois pour regarder la propreté et pointa du doigt les endroits où je devais encore appliquer ma langue. Cela prit cinq bonnes minutes où j’enlevais les immondices jusqu’à ce que la semelle soit resplendissante de ma salive. Un goût de terre imprégnait tout dans ma bouche, je crachais par terre pour le faire partir sans grand succès.
-Maintenant la deuxième chaussure !Là c’était trop ! J’avais le goût dégueulasse de sa première chaussure qui me donnait des haut-le-cœur ; Il fallait que je fasse quelque chose. Je n’allais pas me faire humilier plus longtemps.
-C’est trop injuste, elle m’a traité de salope à la cantine en plus.-C’est vrai ? Demanda Hélène à Victoria-Ben ouais, mais c’est vrai quoi, c’est une salope. Elle va au sex-shop, elle se pisse dessus et tout. C’est trop une tépu.-Elle à pas tout à fait tort, dit Jeanne.
Merde merde merde ! Alors que c’était Victoria la pétasse, c’était moi qui passais pour en être une, mais j’eus alors une idée pour leur prouver que j’avais raison :
-Attendez ! Vous allez voir qui c’est la pute !
Je fouillais fiévreusement dans mon sac. Je trouvais rapidement ce que je cherchais, la culotte de Victoria ! Je la lui avais confisquée lorsque je l’avais fessé dans le sex-shop ; c’était le moment de la montrer.
-Hey, regardez, c’est la culotte de Victoria ! Et après elle m’accuse d’être salope alors qu’elle se balade à poil sous son jean.-C’est pas la mienne ! Elle ment !-Ah ouais ? Alors pourquoi il y a des poils bruns alors que je suis blonde ?-De toute façon t’es une salope on n’a pas à t’écouté
Lisa prit la culotte, c’était une culotte rose avec à motif de dentelle. Presque transparente.
— Vraiment une culotte de salope, y a pas à dire.
Hélène réfléchit et proposa
-C’est pas facile de juger qui est des deux est la plus grosse trainée… Comme ça, je dirais que c’est Cécile parce que je la connais… Mais c’est sans doute injuste, pas vrai Cécile.-Ouais ! Victoria, je la connais bien elle est tout le temps excitée, elle cherche toujours à allumer les mecs et ses doigts... suffit de sentir leur odeur de moule pour savoir où elle les met ! -C’est pas vrai ! Riposta Victoria.
Hélène reprit son analyse :
-Pour avoir une réponse juste et impartiale, il faudrait demander à des gens qui n’auraient pas de préjugés sur vous. Le plus simple serait de faire le tour de la classe cet après-midi, on demandera aux gens : Est-ce que Cécile est une salope parce qu’elle fait des courses au sex-shop et mouille tout le temps. Ou Victoria est-elle une plus grosse pouffe, parce qu’elle donne ses culottes aux gens.
Lisa n’était pas tout à fait convaincue :
-Il y a seulement trente personnes dans la classe, ça ferait un échantillon trop bas pour un sondage rigoureux. Il faudrait demander à au moins heu… cent personnes. On pourrait distribuer un questionnaire dans les casiers et demander les réponses pour demain.
-Excellent Lisa ! Approuva Hélène, je vais écrire la question sur une feuille qu’on fera photocopier.
Je crois que ce fut la première fois que moi et Victoria nous nous accordions sur un point ; c’était une très mauvaise idée ! On ne voulait vraiment pas que le reste du lycée soit au courant de ce genre de truc. On supplia Hélène de changer d’idée :
-Nan, mais on ne peut pas raconter que je me balade sans culotte ! s’inquiéta Victoria, la classe et mes amies, elles vont se foutre de moi… Et puis… imaginé que des gens le disent à mes parents… Non c’est pas possible ! On n’a qu’à voter entre nous on s’en fout de l’opinion des autres !Un vote entre nous, tout le monde allait voter contre moi il fallait empêcher ça !-Nan, entre nous il y a des risques d’influences, je veux dire… vous ne connaissez pas Victoria assez bien, sinon vous sauriez que c’est une connasse et il y aurait même pas besoin de vote. Mais faut pas non plus raconter ce genre de truc sur nous aux autres, ce serait vachement humiliant !-Pourtant c’est vrai… répliqua Hélène-S’il te plait ! Je suis sûr on peut trouver autre chose.-Je sais pas ça me plait bien comme plan, ça plait à Jeanne et Lisa aussi.-Non ! Allez quoi, faut trouver autre chose ! On fera comme tu voudras !-Bon d’accord, Je veux bien. Mais alors après il n’y aura pas de contestation ! Celle qui sera choisi sera la heu… la TGS, la Très Grosse Salope. Et aura les obligations qu’être la TGS implique.
Victoria et moi nous nous regardâmes.
-Et on ne fera pas de sondage dans le lycée ?-Non.-Ok.-Ok.-Alors dans ce cas, si vous ne voulez vraiment pas qu’on demande, il va falloir trouver une autre méthode pour vous départager, je crois savoir de quelle façon. Mais avant de vous en parler, je vais discuter avec Lisa et Jeanne pour mettre la chose au point. Mais… demain c’est samedi, on se donne rendez-vous au bois du Pourfigner. Disons à 13 heures. Si l’une de vous deux ne vient pas, elle sera déclarée la TGS, la Très Grosse Salope.
Victoria demanda :
-Et ça fait quoi si on est déclaré la très grosse salope.-Et bien ce sera la salope, celle qui lèche. Et pas que les pompes…

8) La règle du jeu.
Inutile de dire que samedi à 13 heures j’étais devant le bois du Pourfigner avec un bon quart d’heure d’avance, je n’avais pas envie de perdre par forfait. Pourfigner n’est pas un bois très fréquenté, il assez dense et mal entretenu, pas un endroit où emmener ses enfants. On pouvait en faire le tour en une heure en se dépêchant. Les citadins y venaient surtout en octobre pour ramasser les châtaignes, le reste de l’année il était presque désert. Victoria arriva peu après moi, nous engageâmes tout de suite la conversation : -Salope !-Conasse !-Poufiasse !-Trainée-Pute-Sale chienne
On a continué cinq bonnes minutes ainsi. Mais comme on était toujours seules à faire le pied de grue, j’ai fini par lui demander si elle savait ce que les autres avaient préparé comme test.
-Je sais pas, mais ce que je sais c’est qu’à la fin ce sera toi la salope. Et que tu vas morfler, ta langue elle va tellement lécher que dans une semaine tu auras oublié tout ce qui n’a pas le goût de la chatte.-Trop pas ! C’est toi qui auras la tête entre mes cuisses. Et surtout je vais rougir ton cul comme tu ne te l’imagines pas, si tu crois que tu t’es reçu une fessée la dernière fois, attend de voir ce que tu vas prendre demain… ton cul il ne sera plus rouge, mais violet. SI tu veux d’assoir tu ferais mieux d’en profiter maintenant.-Et mes chaussures, tu les brilleras tellement que je me refléterais dedans, pendant que toi tu auras ta sale gueule de débile pleine de boue.
À ce moment, Lisa, Jeanne et Hélène arrivèrent ensemble. Elles avaient chacune un sac à dos, et étaient habillées comme des militaires. Elles étaient sacrément impressionnantes… un frisson d’appréhension me parcourut. Hélène nous salua :
-Ah vous êtes déjà là, c’est bien… On aurait été très déçu que l’une ne soit pas venue. Alors j’imagine que vous voulez savoir comment on va vous départager ? Vous voulez savoir qui sera déclaré la Très Grosse Salope. Est-ce que ce sera toi Cécile ? Ou toi Victoria ? Bon, je vais vous dire, on va faire un match de Paint-Ball… D’où nos tenues. -Du Pine Boule ? Demandais-je inquiète.-Du Pinte-Bol ! C’est une sorte de parodie de guerre. Mais là, ce sera plutôt une imitation de la chasse… L’idée c’est qu’on se tire dessus, mais avec des armes qui tirent des boules de peinture. Ça ne fait pas mal. Enfin beaucoup moins que ne le feraient de vraies carabines.-Cool.-Oui. Donc c’est simple Victoria et toi vous allez être nos petits lapins. Et celle qui aura été le plus de fois tirée dessus sera la Très Grosse Salope. Il y aura aussi un concours entre Lisa, Jeanne et moi pour savoir qui aura le droit de se réserver le plus de temps avec la salope. Ce sera en fonction de celle qui vous aura le plus marqué de sa peinture votre tendre chair.-Jeanne a des boules bleues, Hélène des boules rouges, et moi, des boules jaunes. précisa Lisa-Et comment on peut se défendre ?-Mais vous n’avez absolument pas le droit de vous défendre ! Tout ce que vous avez le droit de faire c’est d’utiliser vos petites jambes pour courir le plus vite possible, comme de grosses dindes. -Et ben…-Et vous allez vous mettre à poil aussi, avec des vêtements on peut avoir du mal à compter le nombre de balles que vous allez recevoir.-Mais !-En plus vous pourriez déchirer les marques de peinture de vos vêtements, en prétextant que vous vous êtes écorché contre un buisson ou quelque chose. Donc, non, ce n’est pas ouvert à la discussion.-Mais s’il y a des gens qui nous voient toutes nues ?-Alors, cachez-vous. Cela dit vous ne serez pas totalement nue, comme le bois est grand, et que l’on ne veut pas passer des heures à vous chercher, on va vous attacher des clochettes au cou. On veut tirez sur notre gros gibier dodu pas faire de la promenade.
Lisa sortit de grosses cloches pareilles à celles qu’on met aux vaches.
-Ne sont-elles pas jolies ? Cela dit on n‘est pas des monstres. Alors vous aurez droit à une faveur... comme vous tirez dessus plusieurs fois de suite ce serait un peu exagérer, le gibier à droit à cinq minutes de répit une fois qu’elle a été atteinte. C’est à dire avant que la chasseuse ne reprenne sa traque. Bien sûr les autres chasseuses n’ont pas ce délai à respecter. Tout est clair ?
Victoria et moi acquiesçâmes.
-Alors, désapez-vous ! Qu’est-ce que vous attendez ! cria Jeanne.
Je me déshabillais, Victoria me voyant faire m’imita assez gênée. Si mes amies me jetèrent à peine un regard, elles dévorèrent des yeux Victoria, se donnant des coups de coude quand elle fit tomber son soutien-gorge, puis sa culotte. Ce n’est pas qu’elle avait des plus beaux seins que les miens, mais mes amies étaient comme des prédateurs qui voyaient une proie fraiche et s’apprêtaient à la dévorer toute cru. Victoria sentait cette tension et se mit les mains devant son sexe, comme si cela pouvait la protéger de ce qui risquait de l’attendre… les chasseuses finirent par sortirent de leur contemplation et rangèrent nos vêtements dans leurs sacs à dos, dont elles sortirent leurs armes. Puis Lisa me plaça un collier muni d’une grosse cloche au cou, pendant que Jeanne faisait de même pour Victoria.
-Bien, vous avez droit à dix minutes d’avance. La chasse finira dans trois heures, je sifflerais une fois pour signaler que la chasse est commencée et que nous vous traquons, et deux fois pour signaler sa fin. Maintenant ouste ! Fuyez mes petites cailles ! La chasse est ouverte !

Avertissement : Le paintball est un sport dangereux ! Ne suivez pas l’exemple de Cécile et Victoria si vous voulez y jouer ! Il faut absolument que les joueurs portent des tenues de protection étudiées pour !
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