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Avec des amies comme ça…

Chapitre 5

Trash
9) L’enfer vert
Lorsqu’on me parlait de bois, de forêts, d’arbres, cela m’évoquait des charmes bucoliques, des terrains de promenade et de décontraction. Des endroits où l’on peut être charmée par la nature sans craindre de paraitre sotte. Mais en quelques heures, tout cela c’était transformé. Dorénavant les bois étaient pour moi des lieux lugubres et hostiles où l’on court nue, où relâcher quelques instants son attention était risqué une punition immédiate sous la forme d’une bille de peinture frappant la peau à la vitesse 300 km/h.
Lorsque Hélène nous ordonna de partir, je ne perdis pas de temps à réfléchir sur les circonstances qui m’avaient conduit en tenue d’Ève dans la nature, je partais tout de suite, filant comme une flèche. Il n’était plus question d’observer la nature ou d’autres bécasseries, il s’agissait de mettre le plus de distance entre moi et les trois chasseuses pour sauver ma peau. Si Victoria –l’autre gibier désigné- restait derrière moi, ce serait elle qui serait chassée et abattue à coups de billes de paint ball en premier. Il s’agissait donc de ne pas se faire doubler, et dans ma course folle je fus à deux doigts du drame et de la chute !
Emporter par ma course je faillis me précipiter tête la première dans un fossé de plusieurs mètres de profondeur, réussissant à m’arrêter qu’à quelques centimètres du bord. Je me retrouvais devant un trou s’étalant sur plusieurs centaines de mètres de largeur, et sans chaussures, je n’allais certainement pas sauter par-dessus. Il fallait que je choisisse de ma destination : à droite ou à gauche.
À gauche le bois était plus dense, mais j’hésitais… Il y avait de nombreuses ronces par-là, et je n’avais pas envie de me blesser. Comme j’entendais Victoria s’approcher, ou du moins, la cloche accrochée à son cou sonner de plus en plus fort, je décidais d’attendre qu’elle choisisse un chemin en premier et à prendre la direction opposée. Comme moi, elle courrait vite, fonçant droit devant elle, et ignorant sans doute l’existence du fossé. Je pensais la prévenir, mais la rancune que j’avais contre elle me fit immédiatement oublier cette idée… Au contraire, je regardais le sol faisant mine de chercher quelque chose. Elle me regarderait sans doute, se demandant ce que je faisais, et ne verrait même pas le fossé… du moins pas avant qu’elle ne plonge dedans ! Ce serait bien mérité…
Elle ne ralentissait pas, et elle n’était plus qu’à quelques mètres de moi et du fossé, je souriais, je redressais la tête pour la voir se gaufrer… Mais… Elle fonçait sur moi ! Je me protégeais de mes bras et me retrouvais propulsée dans les airs ! Je ressentis un grand vide dans mon dos, je battais des bras bêtement en l’air, je voyais Victoria se mettre à rire et BAAAAM ! Je m’aplatissais contre le sol !J’eus de la chance le sol était très mou et le tapis de feuilles recouvrant le fossé amortie bien ma chute. Mais c’était quand même super douloureux. J’étais incapable de bouger pour le moment.
"Alors pouffiasse ! T’as trouvé ta place ? -Salope pourquoi tu m’as poussé ?-Parce que t’as une tronche de conne !"
Elle éructa sa phrase en profitant pour me cracher dessus.
-Tu sais quoi, ça doit être la première fois que tu remplis un trou. D’habitude c’est toujours ton trou qui se fait bourrer."
À ce moment, j’entendis un coup de sifflet. Ça voulait dire que Lisa, Jeanne et Hélène allaient commencer la chasse… sans plus savourer son succès Victoria parti en courant sur la gauche. Je ne m’étais éloigné que de trois cents mètres tout au plus ! Si elles couraient, elles me trouveraient dans deux minutes. J’essayais de me relever, mais enfoncée dans le fossé comme je l’étais et avec mon dos qui ne voulait pas bouger. Je ne faisais qu’agiter mes bras inutilement.
J’entendais des bruits de bottes, sans doute les chasseuses, celles qui me pourchassaient, le vacarme de leur course se faisait de plus en plus fort, si je quittais la fosse maintenant je me retrouverais pile-poil en face d’elle. Je choisis plutôt de me couvrir de feuilles en espérant qu’elles ne prêteraient pas attention au bas du fossé.
"Attention ! Il y a un trou là.-Tu crois qu’elles ont sauté ?-Je pense pas, mais Cécile est quand même assez sportive.-Quand on a le crâne vide, faut bien avoir une autre qualité.-Moi, je pensais que son autre qualité, c’était de bien se servir de sa langue…-Huuummm… Tu as senti comme elle racle bien le fond, elle est vraiment pas dégoutée.-Et puis la vitesse ou elle lape, elle est née pour lécher des chattes cette fille. -Dans un an, ce sera la meilleure pute de la région pas de doute. -Ah ah ah -Et puis elle a le trou du cul qui demande à faire du sport aussi.-Hi hi, faudra trouver des trucs à lui enfoncer dedans j’adore voir sa tête dans ces moments.-Bon, c’est pas tout ça, mais elles vont finir par prendre de l’avance. Je propose qu’on se sépare, on les trouvera plus vite.-Moi je vais à gauche.-Ok, alors je prends tout droit.-Moi à droite."
J’entendis une des chasseuses sauter au-dessus de moi, je retins mon souffle. Je distinguais à travers les feuilles qu’il s’agissait de Lisa. Elle marchait lentement, elle devait se douter que je ne pouvais pas être très loin. Elle essayait d’entendre le bruit de la cloche fixé autour de mon cou, mais j’étais bien caché et ne bougeais pas d’un poil… Elle commençait déjà à s’éloigner. J’étais invisible ! Je n’aurais qu’à rester caché ici les trois heures de la durée du jeu et j’aurais gagné ! C’était simple comme bonjour, et… Aie !
-Dinng !! fit la cloche
Un gland venait de me tomber sur le crâne, ce n’était pas douloureux, mais j’avais été surprise et bougée la tête, faisant sonner la cloche. Lisa n’était qu’à dix mètres… elle se tourna immédiatement en direction du bruit.
-Hé hé ! Je sais que t’es là ! Sors de ta cachette ou je te tire entre les deux yeux.
Elle n’avait pas repéré l’endroit où j’étais précisément caché, mais les possibilités étaient limitées. Et l’amas de feuilles ne supporterait pas un examen attentif. J’hésitais à partir, mon dos c’était rétabli, mais j’avais la trouille et mes jambes refusaient de bouger.
-Pioooouuuu ! !
Elle tira une balle sur le buisson d’à côté… puis sur un autre, finalement elle braqua son arme sur la fosse. Prenant soudainement courage, je partis en courant pendant qu’une balle atteignit l’endroit où je me trouvais deux secondes plus tôt. Je courrais dans le fossé, mais c’était couvert de branches et je ne pouvais que courir maladroitement.Quelques secondes plus tard, elle tira à nouveau touchant un arbre qui se fit éclabousser de peinture. Puis
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH ! Ouuuuuuuuuuuuuiiilllle !
Je fus projeté sur le sol le nez dans la fosse à nouveau, comme si on m’avait donné un monstrueux coup de pied au cul. J’étais étalée de tout mon long par terre, dans les feuilles, je tournais la tête et voyais que ma fesse gauche était peinturlurée d’une peinture jaune. Cela faisait un mal de chien, comme si on m’avait lancé un caillou sur le cul, mais même ça aurait fait moins mal. C’était plus comme si j’étais tombé d’un deuxième étage et atterris violemment sur les fesses.
Je voyais que Lisa était à plus trente mètres, je ne préférais pas penser à la douleur que j’aurais ressentie si elle avait été plus proche. Je restais allongé, me frottant ma pauvre fesse gauche, pendant que Lisa se rapprochait. Elle me surplombait du haut de la fosse, je pensais qu’elle me donnerait la main pour m’aider à me relever et sortir de mon trou. Mais non, elle se pencha et me donna une petite fessée sur ma fesse meurtrie comme si mon postérieur n’avait pas suffisamment souffert.
-Tu n’as plus que quatre minutes avant que je recommence à te chasser, alors tu ferais mieux de te remettre sur pieds vite fait si tu veux pas recevoir une nouvelle balle. -Mais ça fait vachement mal vos paint-boules !-Si tu restes comme ça, je te décore l’autre fesse dans quelques minutes.
J’avais bien envie de rester comme ça ! De me reposer le cul, mais recevoir une autre balle… Ce n’était même pas un choix, je me remis debout, me hissait péniblement hors de la fosse et recommençais à courir en clopinant dans la forêt.
10) Fuite et secours ?
Il s’agissait de semer Lisa, elle allait sans doute croire que je partirais le plus loin possible d’elle, je fis le contraire. À peine étais-je hors de vue que je contournais sa position en tenant le battant de la cloche dans mes mains pour être silencieuse. Je la vis partir en trombe alors que je me faisais toute petite dans la direction opposée. Je voulais m’assoir pour souffler un peu, mais la douleur aux fesses quand je posais mon cul par terre était telle qu’elle m’obligea à me relever immédiatement. Comme si cela ne suffisait pas, peut-être était-ce mon imagination, mais je crus voir bouger une forme à une centaine de mètres. Je m’affolais, mon cul ne pouvait supporter une autre balle et je me remis à courir à toute vitesse. Jetant des coups d’œil dans mon dos jusqu’à ce je sois sûr que personne ne me suivait. Je me rendis compte aussi que courir trois heures à ce rythme ne serait pas possible.
Même si j’étais assez sportive, sans chaussures je me faisais atrocement mal aux pieds. Chaque branche m’entaillait la voute plantaire, chaque caillou me déchirait la peau… Si je voulais échapper à mes poursuivantes et rester en bonne santé, j’allais devoir me cacher plutôt que fuir comme une dératée. Évidemment se planquer n’était pas chose facile, alors que je cherchais un gros buisson adéquat, je vis Hélène s’approcher au loin. Et elle venait dans ma direction !
Tenant le battant pour rendre la clochette silencieuse, je m’éloignais, mais faire attention à la cloche me ralentissait énormément, quand elle commença à courir je compris qu’elle m’avait repéré. Je me mis à courir aussi sans plus me préoccuper de la cloche. Je vis des balles fusées autour de moi, elle devait avoir une arme automatique ou quelque chose du genre, je sentis alors une balle me cogner le dos. Comparé à la balle reçue sur la fesse c’est comme si on m’avait frappé avec une batte de base-ball, c’était bien moins douloureux, mais atroce toute de même.
-Yeaaaaahhhh ! cria Hélène, heureuse de son premier point.
Je pris une minute pour que mes poumons se remettent à fonctionner puis je m’enfuis à nouveau. Il fallait s‘éloigner, et le plus vite possible.
Je crois que je réussis à me débarrasser d’Hélène, il s’était bien passé un bon quart d’heure depuis que je m’étais relevée et je ne la voyais plus. Ma recherche pour une bonne cachette se révélait vaine, les arbres n’avaient pas de tronc assez gros, et les buissons n’avaient pas un feuillage assez dense pour que je puisse me dissimuler dedans. En attendant la bonne cachette, je m’éloignais à chaque fois que j’entendais du bruit. Avec tout leur équipement, elles étaient encore moins discrètes que moi avec ma cloche.
Quand j’entendis un sifflement :
-Pssiiiitt !
Je cherchais l’origine du bruit, il provenait d’un gros arbre, un chêne avec un tronc énorme ! On pouvait se cacher derrière, mais je craignais que ce soit un piège… Je demandais en restant éloignée :
-C’est qui ?-C’est moi ! Victoria ! Viens ici, elles ne pourront pas nous voir.
J’étais surprise qu’elle m’indique une cachette, mais quand je la vis je compris tout de suite ses motifs. Elle avait déjà reçu trois impacts de boules de peinture sur le corps. Quand on se fait tirer dessus, on établit d’instinct une solidarité entre chassées. Les biches ne se jouent pas de tours entre elles, elles fuient le loup. Même si une demi-heure plus tôt nous étions ennemies et qu’elle m’avait jeté dans une fosse, notre relation avait évolué. Nous étions maintenant ‘’frères d’armes’’ pour employer le terme technique. Car c’est vrai, les militaires le savent, quand on est visée par des rafales de balles meurtrières, tous les sentiments précédents sont effacés… Si vous détestiez votre camarade une heure avant, tout à coup, cela n’avait plus d’importance vous êtes juste heureux de voir votre compagne de tranchée vivante et prête à vous soutenir… À donner sa vie l’une pour l’autre ! C’est une histoire d’empathie, le monde se divise alors en deux : il y a les méchants en face, et nous, qui sommes les braves. C’est presque en larme que je lui parlais.
-Génial ta cachette. Sniff… Elles ne nous verront jamais ici !
Je me mettais derrière l’arbre, à deux nous étions serrées l’une contre l’autre, éreintées de fatigue et usées par nos blessures causées par les balles gélatineuses. Je lui contais mes malheurs :
-Je suis vanné, j’ai les pieds complètement détruits. Et mon cul ! Mon pauvre cul…-Trop dur… On va se mettre chacune d’un côté de l’arbre comme ça l’on pourra surveiller devant et derrière l’arbre.-Bonne idée.
Je faisais le tour de l’arbre et guettais tout mouvement suspect à l’horizon. Victoria reprit la conversation : -Mais j’ai peur qu’à deux d’un côté on se fasse repérer.
-J’pense pas.-quand même on peut faire le tour de l’arbre avec les bras.— Peut-être, mais, de justesse -Vas-y essaie. Enlace l’arbre pour voir.
Pour lui faire plaisir, toujours dos à l’arbre, j’en faisais le tour avec les bras comme elle me le demandait. Mais je trouvais qu’elle exagérait… si on se collait l’une à l’autre on ne nous verrait pas.
-Voilà voilà… tu vois j’en fais à peine le tour y a pas de quoi s’inquiéter… et arrête tes bêtises… me tient pas les mains voyons.
Je ne sais pourquoi, elle avait tout d’un coup décidé de me prendre les mains, je me débattais un peu pour la faire lâcher prise, mais elle me tenait les bras fermement.
-Lâche-moi maintenant ! C’est vraiment pas drôle ! On va finir par nous entendre !
Mais rien à faire. Ma cloche sonnait alors que je tentais de me libérer de son emprise sur mes bras.
-Elles vont finir par nous repérer !-J’y compte bien.
Elle était devant moi, pourtant mes poignets étaient toujours coincés. J’essayais de les bouger, mais je n’arrivais à rien, c’était comme si on les avait collés l’un contre l’autre.
-Qu’est-ce que tu m’as fait ? Pourquoi je peux pas bouger.-J’ai trouvé une corde par terre tout à l’heure, je n’étais pas sûr qu’elle puisse servir, et puis je t’ai vu arriver avec ton air de conne et voilà.-Comment ça ? Qu’est-ce que tu as fait ?-Tu comprends vraiment rien… t’as les poignets attachés. Tu seras une cible facile pour les chasseuses.-Super ton plan… mais t’es une idiote, parce que derrière cet arbre elles ne me verront jamais. Pendant que toi tu vas t’amuser à te faire courir après !-Trop pas, parce qu’elles vont entendre ta cloche bouger, elles vont venir vers toi.-Compte dessus sale conne ! Tu crois quoi, que je vais me faire repérer pour te faire plaisir…
Elle n’était pas contente, elle se rendait compte qu’elle m’avait donné sa cachette. Et qu’il y avait des chances qu’on ne me trouve pas avant la fin de la chasse.
-Je te laisse une chance, tu fais du bruit volontairement ou je t’oblige à en faire.-Et tu vas m’obliger comment pétasse ? Si tu restes ici elles te verront en même temps que moi. T’es vraiment trop conne.Elle regarda par terre et ramassa une pêche pourrie.-Et quoi ? Tu vas me menacer avec ça ? Me fait pas rire, j’ai plongé dans une fosse dégueulasse c’est pas ton fruit moisi qui va me faire peur.-Ce n’est pas de la pêche que tu devrais avoir peur, mais de celles qui vont la dévorer. Avec ça je suis sûr que tu vas remuer suffisamment pour qu’on t’entende jusqu’au bout du bois.-Hein ? Qu’est-ce que tu veux faire ?
Elle saisit la pêche, un peu dégouté. Et la pressa contre mes jambes pour que le jus sucré du fruit me coule tout du long. Elle remontait lentement le fruit vers ma foufoune…
-Non attend ! Fait pas ça, c’est pas chic !
Mais sans se préoccupée de mes protestations, elle enfonça la pêche profondément dans mon sexe, son bras enfoncé jusqu’à mi-coude : -Dire que je suis obligé de fourré ma main dans ton trou à saloperie. Je te garantis que je te le ferais payer plus tard.
— Retire-moi la pêche ! C’est dégueulasse. Je suis pas un garde-manger, et c’est pas ça qui va me faire bouger de toute façon.-Que tu crois… mais regarde déjà qui a faim. Qui va se régaler de ton ‘’garde-manger’’.
Je regardais par terre une troupe de fourmis suivait déjà le filet de jus de pêche à la trace et commençait à me monter sur les pieds.
-Bon appétit petites fourmis ! Et toi, profite bien de ce moment, ce sera la seule fois de ta vie où ce sera toi qui vas te faire bouffer de la chatte.-Attends me laisse pas comme ça, tu peux pas être salope à ce point !-Tu sais quoi, t’as raison… je suis pas aussi méchante que ça. Alors pendant qu’on te bouffe la chatte je vais te donner quelque chose à manger.
Elle alla derrière l’arbre ramasser quelque chose. Je le sentais mal :
-Attends quoi que ce soit, c’est sans doute pas une bonne idée, réfléchie un peu… fais pas quelque chose que tu regretteras, tu…
Avant d’avoir pu finir ma phrase, je me retrouvais la bouche pleine. Quoiqu’elle m’ait donné à avaler, elle garda la main sur la bouche pour pas que je puisse le recracher. Je fus contrainte de mâcher, c’était brulant, plein de terre et complètement mou, je craignais le pire…
-Tu veux savoir ce que c’est ? C’est un joli champignon. Et j’en ai un deuxième pour toi alors finis vite le premier.
C’était affreux, j’ignorais de quelle variété il s’agissait ce n’était définitivement pas de ceux qu’on ramasse pour consommer. Je sentais ma bouche échapper à mon contrôle pendant que les morceaux de champignon descendaient dans ma gorge
-C’était un joli champignon avec de belles couleurs, et plein d’un genre de pustule qu’ont les champignons. Je suis sûr que ce doit être délicieux. Et regarde, voilà le second, il est long hein ? Et bien dur… Appétissant, on dirait une bite je suis sûr que tu en salives déjà.
C’était un champignon orange, pointu, mais il fallait de l’imagination pour y voir une forme d’un sexe. Ou alors on pouvait imaginer que c’était pénis malformé et lépreux, à moitié décomposé… L’idée me dégoutait, mais cela ne l’empêcha pas de m’enfoncer le pied du champignon dans la bouche. J’aurais voulu rester la mâchoire fermée, mais le premier champignon me brulait tellement la langue que contre ma volonté, ma bouche s’ouvrait instinctivement pour chercher de l’air frais.
-Suce-moi ce bon champignon. Tu as déjà dû sucer des mecs qui avaient des champignons sur la queue. Une trainée comme toi… alors tu dois être habitué à en lécher. Montre-moi comment tu fais…
Le premier champignon avait dû avoir un effet paralysant où je ne sais quoi, car je n’arrivais plus à bouger ma mâchoire ou ma langue. Je ne pouvais rien répondre, j’étais coincé, le champignon dans la bouche que Victoria s’amusait à faire entrer et sortir.
-Tu peux pas t’empêcher de sucer hein ? C’est dans tes gènes de salope ? Tu sais quoi, te donner un champignon c’est trop bon pour toi. Les putes de ton espèce c’est dans leur cul que les champignons poussent.
Retirant le champignon de ma bouche, elle le pressa le pied contre mon anus le poussant jusqu’à le faire entrer. Je l’avais tellement humecté que ce ne fut pas bien dur, elle le poussa jusqu’à ce que le chapeau cogne contre mon trou. Victoria fit quelques pas pour regarder son œuvre :
Le tableau que je constituais était des plus lamentable. J’étais complètement nue, la bouche grande ouverte à gober les mouches, de la bave me coulant sur le menton et le long du cou. Le dos pressé contre un arbre et les mains attachées j’étais la parfaite illustration d’une Indienne violée par des cow-boys au Far West. Le pire restait la prune avariée au fond de ma cramouille qu’on devinait au jus qui dégoulinait de ma chatte, ou qui laissait supposer que j’étais une chienne en chaleur attendant de me faire démonter. Le champignon en forme de bite enfoncé dans le cul parfaisait la touche "salope en pleine nature" en servant de plug anal végétal.
Victoria satisfaite de son œuvre sourit, avant de me cracher entre les deux yeux pour peaufiner le tableau et me montrer son mépris. Puis elle partit en riant.
Dire que cinq minutes plus tôt j’avais pu croire que l’on était amie…
Si ma bouche était paralysée, j’avais quelques contrôles sur le reste de mon corps, j’essayais de rompre la corde en écartant mes mains. Une corde trainant par terre en forêt devait être complètement effilochée, prête à rompre. Pourtant elle résistait, et ne pouvant regarder derrière moi, bloqué comme je l’étais contre le chêne, je n’avais aucune idée si mes efforts produisaient le moindre résultat pour me libérer.
Et pourtant je souhaitais me libérer de toutes mes forces. On m’avait déjà fourré la chatte d’un œuf vibrant, mais une pêche pourrie dans la moule c’est juste répugnant ! Sans compter le champignon, je ne sais pas si c’était mon imagination, ou si le champignon était toxique ou vénéneux, mais mon trou de balle me chauffait énormément.
Le seul résultat tangible de mes efforts pour me libérer était que la cloche faisait un boucan de tous les diables. Finalement, épuisé, je restais immobile. Je me considère comme une fille propre, mais au fond, je préférais avoir un fruit moisi dans le minou que le corps criblé de balles.
Mais ma résolution changea vite. Les fourmis continuaient leur assaut le long de mes jambes, elles grimpaient lentement mais surement, attirées par le jus qui s’échappait de la pêche. Celle-ci écrasé dans les profondeurs de ma foufoune laissait goutter son liquide et son odeur de nourriture pourrie.
La multitude de fourmis formait une ligne noire et mouvante s’étendant de mes jambes jusqu’à leur fourmilière. Peu à peu elles se rapprochaient de mon sexe. Et mon avis changea à ce moment, je préférais recevoir une balle quasi meurtrière que de laisser l’entrée de ma précieuse foufounette à cette armée animale. Je commençais à bouger volontairement, pour qu’on m’entende, j’aurais aussi volontiers crié à l’aide, hélas le champignon me paralysait encore la langue me rendant muette. Personne ne se présentait et les fourmis commençaient déjà à explorer mes poils pubiens. Affolé, je remuais les jambes pour faire tomber la pêche, mais elle était enfoncée si profondément dans mon intimité et elle me collait tellement à l’intérieur que c’était sans espoir. Les fourmis cherchaient à entrer dans ma foufoune, elles formaient une masse compacte tout autour de mon sexe, montant même sur mon clitoris
Et voilà que les fourmis commençaient à entrer ! Elles pénétraient dans ma chatte ! Leurs milliers de pattes faisaient assaut de ma grotte intime, et j’étais incapable de faire quoi que ce soit pour les empêcher.
Dieu ! Qu’allais-je devenir !
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