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Avec des amies comme ça…

Chapitre 7

Trash
12) Le grand méchant loup
La demi-heure suivante fut atroce. Mes mains étant liées dans le dos, je ne pouvais pas toucher la cloche accrochée à mon cou. Du coup, elle sonnait à tout bout de champ, et j’attirais l’attention des chasseuses comme le miel attire les abeilles. Le morceau de pêche avait fini par tomber de ma chatte, mais des fourmis continuaient à visiter mon intérieur et me démangeaient. Mais le plus affreux était l’état de mes pieds, je n’arrivais même plus à courir. Chaque fois que je marchais sur une branche, je devais me retenir de crier. Il avait dû se passer une heure depuis que Jeanne m’avait détaché de mon arbre et je pensais déclarer forfait. C’est alors que je tombais sur une tente.
Elle semblait en piteux état, il y avait de gros sacs en plastique pleins à côté. En m’approchant silencieusement je compris que c’était un abri d’SDF. Deux pieds nus dépassaient de la tente, il avait peut-être retiré ses chaussures pour dormir, dans ce cas, elles devaient se trouver toute proche. Je m’approchais lentement, pour ne pas faire sonner la cloche. Je repérais une paire de baskets un peu à gauche de la tente, sans doute jeté là… Mes pieds souffraient tellement, que je ne me compliquais pas la vie de règles de morale. Je voulais ces chaussures. Je me positionnais silencieusement au-dessus d’elles et je leur tournais le dos pour pouvoir m’en emparer avec les mains liées, je me baissais très lentement. Je sentais mes doigts frôler le cuir…
— Ding.
Ma cloche venait de sonner ! Je ne paniquais pas, il y avait un paquet de cadavres de bouteilles, le type devait cuver son vin ; il n’avait sans doute même pas entendu. Ses pieds en tout cas ne bougeaient pas ; je saisissais les godasses et me levais doucement…
— DING ! DING !
Cette fois-ci le bruit était nettement plus fort ! Je vis les pieds se mettre à remuer, et le dormeur émettre un borborygme. J’hésitais une dizaine de secondes, j’avais la frousse et ne savais pas trop quoi faire. Mais le type faisait de plus en plus de bruit, alors sans plus de prudence je m’élançais pour courir loin de la tente et de son occupant.
Je parcourais dix mètres et m’écroulais par terre en trébuchant contre une racine. Tournant la tête je vis que le SDF était sorti de sa tente, il avait une longue barbe grise, un sweat couvert de graisse cachait un ventre bedonnant. Il fut stupéfait de me voir. Une jeune fille à poil et à terre devant sa tente, ça ne devait pas lui arriver tous les jours. Puis je vis son regard s’arrêter sur ses baskets :
— Hey mes godasses ! La sale voleuse !
Je me relevais et recommençais à courir… il me poursuivait. Je mettais toute mon énergie dans la course, mais cavaler les poings liés ce n’est vraiment pas facile. Au bout d’une minute de cavalcade, je sentis une main agripper mon bras. Je me débâtais en lançant des coups de pied et je réussis à lui faire lâcher prise, et m’enfuis à nouveau. Mais je fus prise d’un cas de conscience ; mes coups de pieds avaient été brutaux, et je craignais un moment de l’avoir blessé, sans vraiment que j’en prenne conscience je ralentis et me retournais pour voir si je lui avais fait mal. Mais non, il était en pleine forme et me fonçait dessus. J’eus à peine le temps de me rendre compte de la situation, qu’il me rentrait dedans me faisant culbuter contre le sol, je tombais sur le dos. Et il me ceintura immédiatement en s’asseyant sur mon ventre, incapable de bouger, j’essayais de lui faire peur :
— Lâche-moi ! Sale porc ! Je vais porter plainte !— Hey ! c’est toi qui me réveilles, tu me prends mes affaires… alors doucement les insultes... Surtout quand on est couvert de peinture, c’est toi la cochonne.— Barrez-vous, je vous dis !— Et puis une jolie fille à poil au réveil ça faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé…— Ne me touchez pas! Je vous l’interdis !
— Tu me l’interdis, mais tu ne te débats pas beaucoup, hein…Il me pelotait les seins et je le vis mouiller son doigt qu’il approcha de ma chatte ! S’il continuait comme ça, il allait me violer !— Hey arrêter ! Si je ne me débats pas c’est parce que j’ai les mains attachées dans le dos.— Et bien ! Vraiment ? Mais alors je peux te faire tout ce que je veux, non ? Tu sais quoi ? Je n’ai jamais enculé une fille, je crois qu’aujourd’hui t’es mon cadeau d’anniversaire. Une belle gonzesse comme toi à troncher… t’as même pas dix-huit ans hein ? Oh oui je vais te faire des choses, quand j’en aurai finis avec toi, tu comprendras ce que c’est d’être passée sous la bite d’un vrai bonhomme.
Il me retourna, j‘étais sur le ventre le cul offert… Je tremblais… est-ce que j’allais me faire violer par un clodo ? C’était vraiment injuste tout ça, c’était la faute d’Hélène et des autres ! C’est elles qui devraient être à ma place… Je sentis qu’il posait ses mains sur mon cul, son doigt humide touchait mon anus…
— BANG !
Je crus qu’il m’avait pété le cul, mais non… le bruit venait d’autre part, des feuilles volèrent autour de moi, elles étaient colorées en rouge… J’entendis quelqu’un crier :
« Pose tes sales pattes loin de ma copine, pervers, ou je te fais sauter la caboche ! »
Hélène !
Elle venait d’apparaitre sortant des bois, armée de son fusil à bille et elle tenait le vicieux en joue.
— Je t’ai dit de la lâcher salaud ou je tire.— Ok c’est bon, c’est bon.
Le clodo se recula, je pus reprendre mon souffle, je commençai à me relever.Hélène semblait s’inquiéter de mon état, elle m’examina tout en gardant le type en joue. Elle remarqua alors que mes mains étaient attachées par une corde
— Mais tu l’as attaché enfoiré ! Qu’est-ce que tu lui as fait ?! Si tu lui as fait du mal, tu vas le payer cher.— Mais j’ai rien fait ! protesta-t-il— Ça va Cécile ? — Oui… oui, je vais bien, tu peux pas savoir comme je suis heureuse de te voir !— Il t’a fait mal ?— Pas vraiment il m’a juste fait tomber— Mais il t’a attaché les mains, non ?— Non, c’est Victoria qui m’a ligoté à un arbre et Jeanne m’a libéré, mais elle m’a laissé les mains liées.— Bon, alors, il ne t’a pas violé ?— Non non, t’es arrivé juste à temps !— Une grognasse qui se balade à poil, si elle se fait passer dessus, c’est pas du viol, maugréa le clodo.— Ah ouais ? bah, un mec avec une tête de con comme toi, s’il se prend une balle entre les deux yeux… c’est un bienfait pour l’humanité, rétorqua Héléne— C’est ça… n’empêche que cette garce a voulu me piquer mes groles.— C’est vrai ?— Non ! Enfin peut-être… j’ai les pieds en charpie je ne peux pas faire un pas de plus.— Alors tu n’as rien à te reprocher, si c’est pour empêcher de te blesser, t’as eu raison de lui prendre ses baskets. En plus si tu pouvais plus marcher c’est contraire à l’esprit d’une chasse.— Ah mais bande de salopes, mes godasses ! J’y tiens moi !— De toute façon, t’as une autre paire dans tes sacs. Tu vas pas en faire une histoire— Mais celles-ci sont neuves, les autres sont abimées je les garde juste en réserve ! Et puis ça se fait pas de dépouiller un pauvre !
Moi je m’en fichais, c’est pas lui qui était à poil après tout. Alors niveau dénuement il n’allait pas me faire la morale. J’avais réussi à mettre les chaussures, pendant que le pervers et Hélène discutaient, et je commençais à m’éloigner discrètement. Hélène repéra mon mouvement (avec la cloche qui sonnait ce n’était pas dur) elle dirigea son arme vers moi.
— Hey tu lui prends ses godasses tu pourrais le remercier quand même.— Merci Monsieur ! je dis, pour faire plaisir à Hélène. — C’est un clodo, gourdasse, il s’en fout que tu lui dises merci, donne-lui plutôt du fric.— Mais je suis à poil…— Alors, trouve quelque chose qui compensera.— Je la baise ! Proposa immédiatement le clodo— Baisse d’un ton, toi, le calma Hélène.— Je peux l’embrasser. Contre-proposais-je
Il avait les dents pourries et une haleine de chacal, c’était déjà bien généreux de ma part.
— C’est pas assez, dois y avoir un compromis à trouver.— Je l’encule ! Suggéra-t-il— Je peux heu… le sucer. — Ça vous va ça ? Contre vos chaussures ? demanda Hélène.— Heu... Ok. Accepta le clodo
Même si moi qui l’avais proposé, j’hésitais. Après tout, je pouvais rendre les godasses. Mais ça équivalait à déclarer forfait ou perdre. J’aurais été incapable de continuer à courir sans chaussure, et j’allais me faire canarder comme un lapin mort. La question était de savoir s’il valait mieux sucer un mec une fois, même un gros dégueulasse comme lui. Ou passer je ne sais combien de temps à lécher les chattes de mes amies… Je préférais la première solution
— Bon je vais le faire, mais on peut me détacher pour ça ?— Non, mais tu te crois où !? On t’offre des chaussures, et tout de suite tu en veux plus… T’es une vraie tête à claques tu sais… s’indigna Hélène.
Le vicelard pendant ce temps débraguettait son pantalon crasseux et fit glisser son slip qui sentait l’urine. Une grosse bite flasque était plaquée contre ses couilles. J’eus un mouvement de répulsion. Mais je me dis que ce n’était que dix mauvaises minutes à passer.
Je me rapprochais à genoux, sous le regard moqueur et amusé d’Hélène. Les couilles devant le visage j’ouvrais la bouche. J’essayais de mettre la queue dans ma bouche, mais elle semblait coller aux couilles. Avec ma langue je dus commencer par lui lécher les bourses, elles étaient tapissées de boutons. Mais n’ayant pas vraiment de choix, je couvrais les burnes de ma langue ; le pénis grossit et durcit brusquement me tamponnant le front au passage. Je m’éloignais de ses couilles pour avaler le gourdin. Je me rendais compte que c’était le premier sexe d’homme que je touchais.
Les mains attachées, nue dans un bois la bouche suçant la bite d’un clodo pas de quoi se vanter pour une première fois… Le SDF me laissa faire, je pompais gentiment le membre, Hélène m’interrompit.
— Allez un peu plus d’entrain ! Je m’ennuie là… Le mec n’a pas dû se faire sucer depuis des années mets-y un peu plus de cœur.
À contrecœur, je m’appliquais enfonçant le dard plus profondément dans ma bouche, humectant généreusement la bite de ma salive et passant longuement ma langue sur le gland. Il ne fallut pas plus de quelques minutes de pompage pour qu’il m’envoie un bon gros jet de sperme au fond de la gorge, je recrachais immédiatement ce que je pouvais. Mais je continuais à sentir le gout de son sexe et ses couilles dans ma bouche.
Assez honteuse de ce que venais de faire, je partis en courant. Je jetais un regard derrière moi un peu surprise qu’Hélène n’essaie pas de me tirer dessus ; mais elle semblait en grande conversation avec le clochard. Tant mieux, le moins elle se préoccuperait de moi le moins je me retrouverais la peau trouée de balle… En tout cas, j’espérais bien que ma rencontre avec le SDF serait ma dernière mésaventure de cette saleté de chasse.
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