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Avec des amies comme ça…

Chapitre 8

Trash
13) La chasse à courre
J’avais soif. Les multiples impacts de billes de paintball sur mon corps nu me faisaient souffrir. J’avais encore reçu cinq balles après ma rencontre avec le SDF. Pourtant je me sentais bien mieux ; grâce à mes chaussures, je n’avais plus besoin de regarder où je mettais les pieds à chaque pas. Et vu que je courrais sans répit, c’était heureux. Je pensais pouvoir finir la chasse sans me prendre trop de balles.
— Woouuuf !!
Soudainement, face à moi, un chien.
— Wafff ! Woouf !! Grrr !
Il aboyait et montrait les crocs. Je ne m’y connaissais pas en race de chien, mais c’en était un gros au poil brun. Et il semblait bien énervé. J’avais la trouille, je pensais appeler à l’aide, mais je me ravisais. J’avais peur qu’il me saute dessus si je me mettais à crier. Je reculais calmement, en essayant de cacher ma terreur. Les chiens sentent ça. Il me suivait, grognait méchamment et avait des yeux de tueur. J’avais entendu dire que courir ou faire des mouvements brusques était la dernière chose à faire face à un chien méchant. Le problème est que je ne savais pas ce qui était la première chose à faire, ni la deuxième ou la troisième. Je passais donc directement à la dernière chose à faire, je tournais les talons et me mis à courir.
— Waaaf ! Grrrr ! Aouuuffff !
Cela ne manqua pas, le chien me poursuivit faisant claquant sa mâchoire juste derrière moi. Il allait me dévorer ! Je m’aperçus rapidement que ma fuite était vaine, il courrait bien plus vite que moi. Au bout d’une centaine de mètres, je me rendis compte qu’il ne semblait pas vouloir me croquer, ou il l’aurait déjà fait. Il avait plutôt l’air de me guider, dès que je cherchais à tourner ou à ralentir, il se montrait plus agressif, me remettant sur la route et grognant si je n’allais pas assez vite. Un moment, je tournais la tête pour voir s’il était toujours sur mes talons, je trébuchais sur une racine et m’étalais de tout mon long. Relevant la tête, je vis deux chasseurs en face de moi, des vrais, avec des fusils de chasse et des gibecières.
— Tu vois ça Robert, Rex n’était pas devenu fou, il avait senti une proie.
— Ah ! Ah ! ricana Robert un peu éberlué de voir une jeune fille nue par terre.
— Hey ! Votre chien est un danger public, il m’a presque mordue ! Il s’en fallait de peu qu’il me boulote une cheville.
J’avais eu tellement peur, que bien qu’à poil et les mains attachées dans le dos, j’étais contente de décharger mon angoisse et ma colère sur eux.
— Tu entends ça Robert ?

— Ah ! Ah ! ricana-t-il encore
— Moi, je ne comprends rien à ce qu’elle dit.
— Ah ! Ah !
— Et regarde ça, elle a un collier, c’est pas du gibier qu’à trouver Rex, c’est une chienne.
— Ah ! Ah !
— Hey ! Comment vous me parlez ! je m’indignais.
— Et regarde un peu ses papattes, elles sont attachées. Son maitre l’a peut-être jeté dans un sac dans la rivière et elle a réussi à s’échapper.
— Ah ! Ah !
— Mais enfin ! Ça va pas dans vos têtes ! m’écriais-je.
— Tu crois qu’elle serait reconnaissante si on la détachait.
— Ah ! Ah !
— Mais oui ! détachez-moi !
— Peut-être si elle obéit bien on la détachera, hein, Robert ?
— Ah ! Ah ! continua à rire Robert, mais sur un ton un peu plus graveleux.
— Et comment savoir si elle sera gentille... Je sais, si elle rattrape ce bâton, c’est une brave chienne qui mérite qu’on la détache.
Il ramassa un long bout de bois enfoui dans la terre, et le lança un peu plus loin. J’hésitais sur la conduite à tenir, je pouvais essayer de m’enfuir, mais leur chien me rattraperait tout de suite. Il valait mieux obéir gentiment, sans montrer ma peur. Avec un peu de chance, ils ne me feraient rien : je marchais vers le bâton. Si ça les amusait et qu’ils acceptent de me détacher les mains pour ça, je pouvais bien ramasser un bout de bois. Mais alors que j’en étais encore à quelques mètres du bâton, le molosse courut, me dépassa en une fraction de seconde et se jeta sur la grosse tige. Il le prit dans sa gueule et retourna aussitôt auprès de ses maitres. N’ayant plus rien à ramasser je le suivis.
— Eh bien, elle n’est pas bien rapide cette chienne. Sans doute une grosse bâtarde, je suis sûr. Sa mère devait qui se faire baiser par tous les chiens errants, et voilà le résultat. Elle veut quand même réessayer la bâtarde ?
— Je n’en ai rien à foutre de ton bâton, je veux juste qu’on me détache les mains, répliquais-je.
— Si elle veut qu’on lui rende service, elle devrait se faire plus gentille la petite bâtarde.
— Oui, bon relancez-le.
— C’est curieux, je ne comprends rien à ce qu’elle dit. Alors que je comprends parfaitement Rex. Peut-être que si elle faisait pareil je comprendrais…
— Ah ! Ah ! Continua de rire Robert
Rex faisait le beau. Je me rapprochais du chasseur, je me mis à genoux et ouvrait la bouche laissant pendre ma langue. Le chasseur me caressa les cheveux.
— Alors il est content le clebs ? S’il est content, il devrait aboyer.
Je pris sur moi, et lâchais des « waf ! waf ! waf ! » et de petits gémissements de plaisir pendant qu’il me flattait le visage.
Lorsqu’il fut satisfait de mon humiliation, il reprit le bâton et cette fois, le lança assez loin. Pour ce deuxième essai, je courrais au maximum de mes capacités. Rex partit en même temps que moi, mais il trainait un peu me laissant de l’avance. Je fus la première à arriver face au bâton. Je me retournais pour le prendre avec mes mains liées dans le dos et commençais à m’accroupir pour saisir le bout de bois. Mais avant même que je puisse toucher le bâton, Rex me passa devant et le prit dans sa gueule repartant gaiment vers ses maitres. Je rejoignais moi aussi les chasseurs. Robert tapota le crâne du chien. J’arrivais devant son comparse un peu penaude. Il me saisit le menton fermement.
— Pas bien ! Sale chienne ! Incapable de rattraper un bâton !
Il me donnait de petites baffes, pour montrer son agacement.
— Alors tu veux un troisième essai ou pas.
— Oui ! J’irais plus vite cette fois !
— Quoi je ne comprends rien.
— Waf ! Wouf ! Ouaf !
— Montre combien tu es désolé.
Je ne savais pas trop quoi faire, je lui léchais la main.
— Montre ton cucul !
Je baisais la tête par terre, et levais le cul au ciel. Une main frappa alors mon postérieur avec vigueur.
— Ouuuillle ! Arrêtez ! M’écriais-je
Mais la grosse main du chasseur tombait sur mon cul avec régularité.
— Une chienne ne parle pas. Et je ne m’arrêterais que quand tu te comporteras en bonne chienne.
Pendant ce temps Robert continuait de se marrer. Je pleurais un peu, je ne sais pas si c’était dû à la douleur ou de l’humiliation de se faire fesser par un inconnu. Je sentais que mes fesses devenir cramoisi, mes larmes ne suffisaient pas à le stopper.
— Kaï ! Kaï !
Je me gémissais en chienne punit pour son mauvais comportement. Il laissa mon cul respiré.
— Bien, alors tu as un droit à un troisième essai, et je te conseille de faire mieux cette fois, ou je te laisse les mains liées.
Il leva le bras, et dans un geste ample lança le bâton au loin. Je courrais ventre à terre vers lui, Rex était à quelques mètres devant moi, je puisais dans mes dernières forces. Je vis le bâton à moins de deux mètres, je plongeais au sol tête la première pour saisir le bout de bois. Le chien fit de même et nous avions tous deux le bâton en gueule. Le chien avait plus de force dans la mâchoire… je faillis lâcher le bâton, mais mordant à pleines dents dans le bois mou je pus en garder le contrôle. Je me relevais, le chien ne pouvant lever la gueule assez haut finit par lâcher prise… Je retournais, la grosse tige dans la bouche, vers le chasseur. J’étais tout fier. Le chien me sautait autour pour récupérer son bien, mais je ne me laissais pas impressionner.
Je dus me mettre à genoux pour que le chasseur accepte de reprendre le bâton, il me tapota alors la tête comme pour récompenser une brave bête.
— Bien, petite chienne, tu as le droit à un susucre en cadeau.
Il sortit de sa poche un morceau de sucre qui trainait depuis je ne sais combien de temps. Je refusais d’ouvrir la bouche.
— Oh la chienne refuse. Pas grave, penche-toi, tête contre le sol qu’on te détache de tes liens.
Enfin, on allait me retirer mes liens, mes poignets me faisaient terriblement mal depuis une bonne heure. Bien contente d’en finir enfin, je me penchais. Alors que j’étais à genoux levant les bras au ciel, je sentis qu’on m’enfonçait un truc dans la chatte.
— Tu vois il faut toujours accepter les susucres.
— Ah ! Ah ! toujours le rire idiot de Robert
Le chasseur venait de m’enfoncer le morceau de sucre dans la chatte. Je n’en étais plus à m’insurger de ce genre d’humiliation. Du moment qu’ils me détachaient, j’étais prête à supporter beaucoup. Et justement il sortait un couteau pour couper la corde.
Mais à ce moment, je sentis le chien me sauter dessus ! Je m’effondrais sous son poids ; j’essayais de lui donner un coup de pied, mais le chien l’esquiva facilement et plongea la gueule dans ma foufoune. Je crus qu’il allait me mordre, mais non, il donnait de grands coups de langue dans ma minette !
— Regarde le chien qui bouffe un minou, se moqua le premier chasseur
— Ah ! Ah !
— Ce con de Rex, il ne veut pas lui laisser son morceau de sucre à la chienne !
Le museau humide du chien m’entrait dans la chatte, et je me détendis d’un coup. Ce n’est pas que je suis une de ses salopes qui perde le contrôle quand un gros chien lui lape la minette ; mais depuis que les fourmis m’avaient envahi la foufoune, j’avais d’horribles démangeaisons de la chatte. Quand je sentis cette grosse langue rapeuse me nettoyer l’intérieur de la chatte j’éprouvais un bien fou.
J’ouvrais la bouche, le chasseur en profita pour me placer le morceau de sucre sur ma langue pendante.
— Allons Rex, arrête de lécher cette bâtarde, ce n’est pas digne de toi, gronda le chasseur contre son chien.
Rex avala le sucre placé dans ma foufoune et se redressa.
— Regarde-toi, tu as museau tout salopé de sa mouille. C’est ce qui arrive quand on fréquente des chiennes en chaleur.
Je restais allongé à terre, je sentais ma chatte se contracter tout seul.
— Elle ne se lève pas, elle veut peut-être un autre susucre.
J’ouvris la bouche pour répondre. Mais j’avais la tête vide, et restais la bouche ouverte à gober des mouches. Mais plutôt que des mouches, c’est un sucre qu’on m’enfonça en bouche pendant que l’autre chasseur en remettait un autre dans ma chatte. Le chien recommença à me nettoyer la moule. Mais il finissait vite la fouille, je rouvris la bouche pour qu’on me remplisse de sucre à nouveau. Je suçais les sucreries dans ma bouche, et le chien se gavait de celles que le chasseur m’enfonçait dans la foufoune.
Je fermais les yeux, me sentis dérivé, juste concentré sur mon plaisir. Ma chatte mouillait beaucoup, j’exultais de bonheur. Je ne sais pas combien de temps mon orgasme dura, mais cela me sembla trop court.
Quand je rouvris les yeux, ce fut pour voir les chasseurs se masturber au-dessus de moi, j’allais protester quand le premier envoya une décharge de foutre sur mon visage. Le second tira un gros jet de semence dans mes cheveux. Je me retrouvais le visage plein de sperme. Des gouttes de foutre me ruisselant des cheveux sur mon front. Je préférerais ne rien dire, et présentais mes mains liées. Le chasseur coupa la corde qui restreignait mes poignets et je partis en courant. Je préférais ne pas les côtoyer plus que nécessaire. Je tentais de me débarrasser du sperme sur le visage, mais je ne réussissais qu’à l’étaler plus.
Finalement j’avais des chaussures, je pouvais tenir ma cloche pour faire moins de bruit, j’étais bien parti pour gagner !
Contente de moi, je m’enfonçais dans la forêt avec assurance. J’entendis alors deux coups de sifflet, la chasse était terminée. C’était ballot, juste au moment où la chance avait fini par me sourire.
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