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Avec des amies comme ça…

Chapitre 9

Trash
Si vous avez manqué le début :
Cécile est une jeune lycéenne (de 18 ans) un peu paumée. Elle fait la rencontre de trois autres jeunes filles dans son établissement, celles-ci se mettent en tête de se servir d’elle de manière assez perverse. Puis un jour, une autre lycéenne, Victoria (18 ans, elle aussi), s’oppose méchamment à Cécile. Pour mettre de l’ordre dans cette histoire, les trois jeunes filles organisent un concours. Victoria et Cécile serviront de cible dans une partie de paintball ; la fille la plus touchée par les tirs sera punie du titre de « Plus Grosse Salope. »
Et après diverses péripéties, la partie vient de prendre fin.

14) Le décompte des points

Courir nue dans les bois avait été éprouvant, et dans une demi-heure je risquais d’être déclarée perdante. Je profitais de ces quelques moments de relaxation, respirant l’air pur de la forêt, en retournant au point de départ. D’autant que bien que nue, l’on m’avait libéré de la corde qui me menottait les poignets. Et j’avais beau être meurtri par les balles de paintball, pouvoir bouger les bras me mettait presque de bonne humeur.
Il ne me fallut, hélas, pas bien longtemps pour arriver à la lisière de la forêt. Et dès que je quittais les bois et arrivais sur le sentier bordant la zone boisée j’entendis des applaudissements. Jeanne, Lisa et Hélène m’avaient entendue arriver grâce à ma cloche autour du cou. Et elles semblaient ravies de me voir.
« Tu as été vachement brave ! s’enthousiasma Hélène. — Ouais, on s’est bien amusé, rajouta Jeanne— Merci ! Je rougissais sous les compliments. C’était vrai que je m’étais donnée à fond, j’avais souffert, mais je m’étais battu comme une tigresse et jamais je ne m’étais découragée. — Faudra qu’on refasse ça un jour, annonça Hélène »
Ça me remit les pieds sur terre. Recommencer cette torture était la dernière chose que je voulais.
« Allez, assez d’autocongratulation ! Comptons les points. »
Les trois filles se penchèrent sur mon corps, examinant les impacts laissés par les balles de paintball.
« J’ai marqué six points ! Il y a six impacts jaunes, dit Lisa— Moi, j’en vois sept des miens, affirma Jeanne.— Mais non, contredit Hélène, tu as compté cet impact deux fois, dit-elle en me touchant la fesse gauche.— Pas du tout ! Tu n’as pas dû voir celui sous sa fesse droite, dit Jeanne en me passant elle aussi la main sur le cul pour indiquer l’endroit précis où j’avais été touché.— Hey, je n’avais pas vu celui-là, les interrompit Lisa en me pelotant un nichon, tu l’avais compté, Hélène ?— Peut-être... il faudrait entourer les traces de peinture pour qu’on ne les compte pas deux fois. »
Sitôt proposée, Lisa sortit un gros marqueur noir. Elle le déboucha et commença à entourer les marques de peinture. La pointe était froide... je me retins de me plaindre quand elle passa sur mes seins. J’avais l’air complètement ridicule à me faire tracer des cercles sur la peau.
« Euh, ça s’enlève facilement le noir du marqueur, demandais-je.— Oui oui, répondit Lisa. Il suffit de frotter très fort, dit-elle alors qu’elle me marquait la chatte. Elle continua à tracer ses ronds puis demanda :— Dites, quelqu’un a utilisé une bille blanche ?— Non pourquoi ?— Elle a de la peinture blanche dans les cheveux. »
Hélène passa sa main dans mes cheveux. Comme je savais ce que c’était, je baissais les yeux. Elle porta la main à ses narines et prit un air écœuré.
« Beurk ! C’est du sperme ! s’exclama-t-elle en se frottant la main sur mes fesses pour se débarrasser du foutre. Tu ne peux pas rester une heure sans recevoir ta dose de sperme, dis donc ! me reprocha-t-elle. »
Je rougissais de honte, et regardais mes pieds, gênée. Heureusement j’entendis une cloche se mettre à faire du tintamarre. Quelques secondes plus tard, Victoria sortait des bois. Elle était encore loin, et je ne pouvais pas voir le nombre d’impacts qu’elle avait reçu. Je priais intérieurement pour que cette abrutie se soit fait bombarder de tir. Elle méritait bien le titre de Plus Grosse Salope, ça, c’était sûr.
« Et bien on t’attendait, déclara froidement Hélène— Désolé, j’étais complètement essoufflée. »
À peine arrivée, Lisa commença à entourer les impacts. Elle avait le corps bien peinturluré, la victoire allait se jouer à quelques points.Lisa finit par annoncer :
« Jeanne lui a tiré dessus trois fois, Hélène et moi l’avons touché cinq fois chacune. Ça fait un total de treize points.— Et pour Cécile ? demanda Jeanne— Et bien tu l’as touché sept fois, moi, six fois et Hélène deux fois. Soit un total de quinze touches. Et c’est moi qui mène avec onze tirs sur les cibles ! S’enthousiasma Lisa.— Et bien on dirait que Cécile sera la Très Grosse Salope. »
Je sentais mon visage se vider de ses couleurs. J’avais perdu ? J’allais devoir me soumettre à leur désir sans rechigner ? Ce n’était pas que je ne les aimais pas, c’était mes amies. Mais… elles étaient un peu dingues quand même, et j’avais peur.Victoria me jeta un regard méchant et supérieur, déjà elle me considérait comme une petite crotte. Elle s’arrêta un instant de ricaner pour me dire
« Comme si on pouvait avoir un doute sur cette traînée, qui pourrait être plus salope qu’elle ? »
En entendant sa voix, la rage me prit. J’allais lui cracher à la gueule, mais juste avant que je commette l’irréparable, je me rendis compte que quelque chose clochait. Mon cerveau se mit à tourner à fond.
« Alors salope, tu rêves ? demanda Victoria. Tu pourrais fêter ton nouveau statut en t’enfonçant…— Stop ! Je n’ai pas perdu !— Cécile on avait dit pas de récrimination, objecta Hélène.— Je ne conteste pas que j’ai été touché plus de fois, mais pour une bonne raison. Parce que la vraie salope a triché. Oui, Victoria, cette sale conne, elle nous a blousées…— Moi, j’ai triché ?!— Oui !— boouuuh ! Huèrent Jeanne et Lisa— C’est une très grave accusation, précisa Hélène, j’espère que tu peux le prouver.— Et si c’est parce que je t’ai attaché à un arbre, rien ne l’interdisait, renchérit Victoria— Non, ce n’est pas ça… Tu as triché, car… je faisais monter le suspense. Tu as retiré ta cloche ! — Ooooooh ! S’exclamèrent cette fois les trois filles— Oui ! Quand je l’ai croisé à l’arbre où elle m’a ligoté, je suis certaine qu’elle ne l’avait pas. Et c’est aussi pour ça qu’elle a pris du temps pour revenir jusqu’ici, elle est partie chercher sa cloche à sa cachette avant de paraître devant nous !— C’est vrai ? demanda Jeanne à Victoria en se faisant menaçante.— Non ! C’est n’importe quoi, se défendit-elle — Pourtant c’est vrai que je ne l’ai jamais entendu faire sonner sa cloche, dit Lisa— J’ai juste fait gaffe, je marchais prudemment pour ne pas me faire repérer ! »
Jeanne, peu convaincue, se plaça derrière Victoria et examina le collier qui maintenait la cloche.
« J’avais attaché le collier bien serré, et là, il est beaucoup plus lâche. On y a touché.— Je l’ai juste desserrée un peu parce que j’étouffais. J’avais le droit ! Je n’aurais pas pu courir sinon !— Tu viens pourtant de dire que tu marchais ‘’prudemment’’ donc tu ne courrais pas, réfutais-je— Mais pas tout le temps non plus, quoi ! — Un peu de silence ! Beugla Hélène »
Elle commença à tourner en rond, se tapotant le menton pour réfléchir. Je regardais Victoria, elle faisait moins la fière. Cinq minutes plus tôt, on l’avait déclarée gagnante et elle me toisait de son mépris. Maintenant elle était toute tremblante… Une vraie baltringue… Hélène sembla finalement prendre une décision. Elle entraîna Jeanne et Lisa à l’écart, où elles se firent des messes basses.
J’essayais de lire sur leurs visages la teneur de la sentence qu’elles allaient rendre. Jeanne se marra à un moment, puis je vis partir Lisa vers la forêt. Jeanne et Hélène revinrent vers nous. Hélène nous fit alors part de ses conclusions
« Hum… C’est ennuyeux. Après délibération nous avons conclu qu’il était impossible de savoir si Victoria avait oui ou non triché… Par conséquent, la seule possibilité pour décider de qui de vous deux sera la Plus Grosse Salope est de recommencer une épreuve. — Oh non ! Je mugis avec Victoria à l’idée de resservir de cible à abattre.— Mais ne vous inquiétez pas… Nous allons faire concours rapide pour déterminer notre grosse salope avant la fin de la journée… Mais avant ça, je dois dire que je suis vraiment mécontente de vous : toi, Cécile, tu as perdu ; et toi, Victoria, tu as triché.— Mais j’ai perdu parce qu’elle a triché ! protestais-je— Mais non ! Je n’ai pas triché, prétendit Victoria — On avait dit : "pas de contestation", et voilà où on en est… Ce qu’il vous faut c’est une bonne leçon. »
À ce moment Lisa revint de la forêt. Elle brandissait quelques tiges de plantes, je remarquais aussi qu’elle portait des gants. Elle tendit quelques tiges à Jeanne qui avait, elle aussi, mis des gants.
« Et regardez-moi quand je vous parle, poursuivit Hélène. Vous vous êtes comporté déloyalement, une honte pour nous, alors je veux que vous reconnaissiez vos fautes !— Mais c’est pas vrai ! protestais-je— Lisa, Jeanne, frottez-leur les fesses, décida Hélène. »
Voilà qui ne me semblait pas une punition bien dure, je sentis les feuilles douces me toucher les fesses.
Mais quelques secondes plus tard, je sentis mon cul me gratter avant de se mettre carrément à me brûler ! Je reconnus immédiatement cette sensation, c’était des branches d’orties que Lisa me passait sur le cul. Je plaquais mes mains sur mes fesses et commençais à me gratter. J’entendis Victoria crier à côté de moi ; elle aussi se trouvait la cible de ces plantes
Comme si la douleur ne suffisait pas, je sentis une des branches s’enfoncer dans mon trou du cul ! Je voulus saisir la branche, mais Hélène me donna une baffe
« On ne touche pas ! Si vous voulez qu’elles arrêtent, il vous suffit de reconnaître vos fautes ! »
J’avais les fesses qui me démangeaient horriblement et je sentais la petite branche ramoner mon trou du cul, dégageant une chaleur infernale. À côté de moi Victoria n’était pas mieux lotie, si ce n’est que Jeanne faisait cingler les tiges sur son dos. Les picotements étaient si forts que je criais :
« J’ai perdu ! Je suis désolé ! J’ai vraiment été mauvaise. »
Encouragé par mon cri, Victoria suivit mon exemple :
« J’ai triché, je regrette ! Je suis une mauvaise joueuse, une dégueulasse ! »— Stop, cria Hélène, et aussitôt je sentis Lisa retirer la tige d’ortie de mon cul. Alors comme ça vous êtes désolées, vous regrettez ce que vous avez fait ? — Oui ! Avec mon cul qui me faisait souffrir le martyre, j’aurais reconnu n’importe quoi.— Et c’est tout… Il vous suffit de dire ça et c’est suffisant. Tout est oublié, pardonné ? s’étonna Hélène. Vous savez qu’il nous a fallu louer tout ce matériel, est-ce que l’on vous a demandé une contribution ? Non ! Et il a fallu que l’on coure dans les bois pour vous chercher pendant TROIS heures ! Et tout ça pour rien ! Et tout ce que vous trouvez à dire c’est ‘’je suis désolé…’’ eh bien non ça ne va pas suffire ! Loin de là ! Lisa, Jeanne, fouettez-moi ces poufiasses partout ! Ne laissez pas une parcelle de peau intacte ! Vous ne vous arrêterez que si je trouve leurs excuses suffisantes. »
Aussitôt Lisa et Jeanne commencèrent à nous passer les feuilles d’orties sur le corps, débutant par le ventre. Je criais :
— Hiiiii ! Je suis une gourdasse ! une pouffe ! Vous faites plein de choses pour moi et je suis trop nulle pour mériter tout ça !
Victoria faisait de même :
— Pitié, je suis désolé, je suis une grosse nulle ! Indigne de vous ! Je le ferais plus !
Lisa, après m’avoir bien frotté le ventre des tiges, était passée à mes seins. C’était horrible, je sentais mes tétons ultra-sensibles me démanger abominablement. Hélène faisait une moue dubitative à nos paroles.
— Je suis conne et j’ai honte de moi ! je devrais vous lécher les pieds pour vous remercier et ce ne serait pas assez !
Lisa continua sa torture, faisant passer les orties sur mes jambes. Puis elle commença à remonter, lentement, le long de mes cuisses vers ma chatte avec un sourire sadique.
— Hélène, pitié ! Je suis une tache, je resterais à genoux devant toi, ou ce que tu veux !
Elle réagit finalement, alors que Lisa s’apprêtait à enfoncer la tige dans mon intimité.
— Alors si vous voulez être pardonnée. Vous devrez embrasser nos culs.
Ouf ! Si c’était tout, j’avais déjà fait bien pire.
— Bien sûr, tout de suite !
Victoria semblait assez hésitante, elle grommela :
— Je suis vraiment désolé, mais je n’ai pas triché ! Je…
Jeanne posa la tige sur le clitoris, et commença à descendre…
— Je suis une merde ! Un gros étron ! J’embrasserais vos culs ou tout ce que vous voulez !
Jeanne s’arrêta, en souriant de façon méprisante. Il était clair qu’elle pensait que son revirement montrait sa faiblesse de caractère. Une vraie bouffonne.
Hélène retirait son pantalon et son slip. Bientôt suivi par Lisa, on sentait qu’elles avaient crapahuté toute la journée. Leurs culs puaient la sueur, mais ce n’était pas ça qui allait me faire reculer. Je m’approchais d’Hélène et donnait un bisou sur son postérieur charnu, faisant résonner un ’’smack’’ bien sonore.
« Dis donc, un peu plus de ferveur ! Tu dois m’embrasser le trou du cul, salope, et mets-y la langue aussi »
Sans entrain, mais obéissante, je me décalais un peu pour que mes lèvres touchent son anus. J’avais la bouche grande ouverte, quand un magistral pet retentit :
« Prrrrrroooouuuuuuut ! »
Il me fallut quelques secondes pour me rendre compte que j’étais entouré d’un nuage nauséabond et incolore. Je m’éloignais du petit trou d’Hélène, mais Jeanne me posa les mains sur les épaules et appuya pour que je me retrouve irrémédiablement face à la puanteur. J’aurais pu identifier cet effluve à une poubelle qu’on aurait laissé par trente degrés, mais j’aurais encore été loin du compte.
« Sort de la langue pour te faire pardonner ! ordonna Jeanne, ou tu veux que je plante les orties dans ta chatte ? »
J’ouvris la bouche, je n’avais pas à faire un gros effort pour imaginer les miasmes pénétrer dans mon corps, et sorti ma langue. Je léchais quelques minutes son trou du cul, lorsqu’elle émit un second pet encore plus sonore et plus violent. Je sentais les émanations nauséabondes de son cul m’arriver en plein dans la bouche.
— Alors tu trouves ça comment ? Tu aimes ?— Beuk ! ça pue ! — Ce n’est pas très poli, dis donc. Je te rappelle que tu fais ça pour t’excuser.— Euh, oui, je voulais dire que ce qui sort de ton cul est délicieux, j’adore tes pets, j’en mettrais en bouteille pour me parfumer si je pouvais... mon ton n’était pas très crédible, mais Hélène jugea ça suffisant.— Très bien, profite, lèche-moi bien le cul.
J’avais l’impression d’avoir la tête au-dessus d’une cuvette de toilette pleine. Lorsque Hélène fut satisfaite, je me propulsais loin de l’émanation malodorante sortant de son cul et crachait comme une pestiférée.
Je vis que Victoria était occupée à nettoyer le trou du cul de Lisa, elle avait les larmes aux yeux. Cette vue me fit plaisir. Mais déjà Hélène s’était rhabillée, tandis que Jeanne à l’inverse me présentait son arrière-train dénudé. Je m’approchais de son petit trou du cul avec méfiance... j’avais raison, elles s’étaient donné le mot. Quand je n’étais plus qu’à quelques centimètres de son fondement, un atroce bruit de canalisation humaine se fit entendre, suivit d’un vent méphitique sur ma face. Je pris sur moi pour ne pas reculer. L’odeur de poisson mort m’arriva aux narines, je sentis une boule dans mon ventre qui remontait, mais je réussis à la repousser.
Puis prenant mon courage, je passais ma langue sur la rosace de mon amie. Jeanne avait dû courir pas mal, car de longues traînées de sueur s’étaient accumulées. Et bien sûr elle me demanda de lui lécher toute la raie des fesses, et je me retrouvais à me taper une belle quantité de sueur de cul. Heureusement que l’odeur puante de son pet atténuait le goût de sa transpiration qui avait macéré dans sa culotte. Je me sentais en tout cas à la limite de mes capacités.
J’entendis alors, à côté de moi, un énorme « Prooouuuut ! » Hélène venait de lâcher un vent au visage de Victoria, elle s’apprêtait malgré tout à lui lécher le cul, mais… je la vis avoir un haut-le-cœur. Elle se mit la main devant la bouche, mais cela ne l’empêcha pas quelques secondes plus tard de lâcher un énorme jet de vomi. Hélène eut juste le temps de l’éviter.
— Dégoûtante ! lui cria dessus Lisa. Qu’est ce que c’est que cette gonzesse qui gerbe à tout bout de champ.
Jeanne bougea un peu signifiant par là que je pouvais arrêter de lui lécher le fion, et je m’éloignais de l’épouvantable puanteur. J’en profitais pour insulter Victoria :
— Alors Vicky, en cours tu n’arrêtes pas de lécher des culs, et là tu dégueules quand tu dois passer la langue sur ces magnifiques postérieurs, pauvre pimbêche.... — Elle est coincée du cul contrairement à nous, se mis à plaisanter Lisa.— Clairement une péteuse, rajouta Hélène.
Victoria avec sa nausée et son vomi autour de la bouche avait l’air misérable. Je me sentis d’humeur plus légère. Mais mon sourire s’effaça assez vite... il restait le cul de Lisa à lécher, et évidement à peine m’étais-je approché que je l’entendis lâcher un pet fétide. J’ignorais ce qu’elle avait mangé, mais ça puait l’œuf pourri. Enfin, je me résignais et sortais ma langue, quand une nouvelle émanation de son fondement se produisit. Cette fois-ci ce n’était pas seulement du vent, mais du caca qui vint me brumiser le visage. J’entendis Lisa dire « Oups » pendant que je ramassais quelques feuilles pour me débarbouiller le visage.
— Bon on dira que ça ira comme ça, conclut-elle
Je regardais Victoria, elle finissait de nettoyer le trou de balle de Jeanne, elle avait pris une teinte verte.
— Lève-toi, petite lécheuse, il est temps de passer à l’épreuve qui vous départagera. »

À suivre !
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