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Avec des amies comme ça…

Chapitre 12

Trash
17) Premiers devoirs
Sans surprise, le lendemain matin, mes parents me faisaient toujours la gueule. Il n’y avait pas besoin de mot pour sentir qu’ils étaient atterrés d’avoir une progéniture aussi stupide. J’avais conscience qu’ils me méprisaient comme si j’étais une punition divine, et je sortais de la maison avec soulagement.
Soulagement de courte durée, à peine avais-je deux pas que je fus accostée par un SDF :
— Hey, Mademoiselle !
Je passais devant en faisant semblant de ne pas le voir, comme j’en avais l’habitude avec les clochards. Il suffit de les regarder pour qu’ils croient que l’on souhaite leur donner des sous... vraiment une bande de rats, ces crève-la-faim. Mais celui-ci malgré tous mes efforts pour l’ignorer ostensiblement, se montra des plus décidés. Il finit même par poser sa main sur mon épaule ! Je fus bien forcé de lui faire face et j’eus alors une surprise des plus désagréable : il ne s’agissait pas de n’importe quel clodo, mais de celui dont j’avais volé les chaussures dans le bois, et que j’avais dû « dédommager » sous les consignes d’Hélène.
— Et bien, Mademoiselle, on n’est pas bien gentille.
Passé ce premier moment d’effroi, j’essayais de m’en débarrasser :
— Écoutez, je ne sais pas ce que vous faites ici, mais je dois me rendre en cours, alors…— Je sais, Mademoiselle... Je suis sûr que vous êtes une lycéenne très sérieuse, mais votre amie m’a dit que je pourrais vous parler. Et pour cela, elle m’a même donné votre adresse et vos horaires de cours.— Hein ? Pourquoi aurait-elle fait ça ?... Enfin, peu importe, je n’ai rien à vous dire. » Pour éviter d’être trop sèche, je rajoutais : « Ma rencontre avec vous hier n’a pas été plaisante, vous savez.— Et bien, pour moi cela l’a été. En fait, j’y ai pris un tel pied que j’y ai repensé toute la nuit. Ça m’a bien réchauffé, j’en ai même encore mal au poignet… Et toi, tu t’es régalé aussi non... T’as eu beau recracher, je suis sûr que t’as avalé un peu de mon coulis…
Devant sa grossièreté, je me taisais et décidais de reprendre ma route, même si je ne pus m’empêcher de rougir malgré moi. Repenser à ce qui s’était produit dans les bois me faisait horreur. Comment avais-je pu accepter de tomber aussi bas… Mais le SDF ne semblait pas vouloir se contenter de m’alpaguer :
— Hey là ! Attends un peu ! C’est que ton amie, elle ne m’a pas donnée que ton adresse tu sais…— Ah oui, qu’est-ce qu’elle vous a donnée ? demandais-je irritée. Mais sous le masque de ma mauvaise humeur, je commençais à m’inquiéter un peu. Qu’est-ce qui avait bien pu passer par la tête d’Hélène ? Elle avait le don pour me compliquer la vie… Et déjà, pourquoi lui avait-elle fourni mon adresse !?
— Elle m’a donné un message à te remettre.

Le clodo me tendit une feuille de papier un peu sali. Il devait l’avoir depuis au moins hier, je me mis à lire ce qu’il y avait d’écrit dessus :
« Bonjour Grosse Salope ! Comme tu viens de te réveiller, tu dois encore être super excitée. Alors pour te calmer les envies, le Monsieur détenant ce papier aura le droit à une bonne pipe. Attention ! Fais ça bien, comme une grosse cochonne lubrique ! Et tu devras garder son sperme en bouche jusqu’à ce que l’on se voie au lycée pour qu’on te croie ! Bonne sucette, petite pétasse ! »
Et en dessous se trouvait la signature d’Hélène.
— Mais… balbutiais-je— Elle m’a aussi donné son numéro de téléphone si tu n’es pas coopérative.
Merde, pensais-je, voilà ce qu’Hélène me réservait. Tout ça parce que j’avais perdu ce stupide concours de "plus grosse salope." Je pouvais revenir sur ma parole, mais alors mes amies auraient le droit d’être vilaines avec moi. Je n’y tenais pas, et puis après tout, j’avais déjà sucé ce clodo hier. Certes, j’avais détesté ça, mais je ne pouvais pas vraiment refuser quelque chose que j’avais déjà fait la veille et sans même avoir le titre de "Plus Grosse Salope." Je suppose que je pouvais recommencer aujourd’hui… Au point où j’en étais, ça ne changerait pas grand-chose à ma réputation de salope.
— Bon très bien, je vais vous sucer.
Au moment où je prononçais ses mois, je n’arrivais pas à croire qu’ils sortaient de ma bouche. Moi, Cécile, qui avait des notes super au lycée, dont les parents étaient riches, j’allais me mettre à genoux devant un crève-la-faim. Moi, dont je suis sûr que les plus beaux mecs m’auraient supplié de sortir avec eux, j’acceptais de laisser la queue d’un vagabond crado dans ma bouche.
— Vraiment ?
Le type lui-même sembla surpris de la facilité avec laquelle je me pliais à ses désirs. Mais je ne pouvais pas revenir en arrière...
Il m’amena derrière la maison où il y avait un petit renfoncement, ce n’était pas très discret. Je lui proposais d’aller plutôt vers le parking où il y avait des coins plus dissimulés, mais il voulait se faire sucer immédiatement. Peut-être avait-il peur que je change d’avis s’il attendait plus longtemps. Il me poussa donc dans un creux entre les deux murs, et appuya sur ma tête pour que je me baise. Il desserra la ceinture de son pantalon qui lui tomba sur les chevilles. Je m’aperçus qu’il portait le même slip jaunâtre qu’hier ; et lorsqu’il en sortit sa queue, c’était à croire que je ne l’avais pas sucé la veille tellement elle avait repris de saleté. Je ne pus m’empêcher de faire une moue de dégoût et m’écrier "Beurk !!". Qu’est-ce qu’il pouvait bien foutre pour la salir comme ça ?
— Quoi, ma bite te plaît pas ? — Si si ! Ça va. Elle est juste...
Je ne pouvais pas quand même pas dire "dégueulasse". Quand on est à genou devant les parties intimes d’un poivrot, il est un peu tard pour faire des coquetteries. Mais comme je ne bougeais pas, répugnant trop à y toucher, il me demanda :
— Alors t’attends quoi ? Tu veux que je te pisse dessus ou quoi ?
Comment pouvait-il imaginer ça ? Je me résolus à me mettre à le sucer avant qu’il ne m’asperge de sa pisse. Sa bite flasque me faisait penser à une limace et j’aurais presque préféré avoir un gastéropode en bouche...J’avais honte comme jamais. Dire qu’à quelques mètres, dans la maison, il y avait mes parents en train de prendre leur petit-déjeuner... qu’est-ce qu’ils penseraient s’ils apprenaient que leur fille faisait une fellation à un clodo juste derrière le mur de la cuisine ?
Je suçais le pénis comme je pouvais, je n’étais pas une experte, mais elle se durcit très vite. J’essayais de lécher le gland, puis passais ma langue le long du membre. Quand soudainement, il m’enfonça sa bite profondément dans la gorge. Je vomis un peu... Je ne sais pas si je régurgitais à cause du goût de sa bite ou bien du fait qu’elle s’enfonçait aussi loin. En tout cas, cela ne le gêna pas, il me maintenait la tête de telle façon que je ne pouvais absolument pas me dégager. Je ravalais mon vomi, et recommençait à lécher le membre.
Alors que j’avais la tête contre son entrejambe je vis quelqu’un passer dans la rue et je l’entendis dire : "saleté de pauvre, ça n’a aucune dignité." Heureusement, j’étais presque invisible. Mais j’imaginais que j’offrais un spectacle lamentable, une fille coincée contre un mur, en train de sucer un clodo en pleine rue. Pouvait-on tomber plus bas ?Finalement, le pouilleux finit par décharger son foutre dans ma bouche. Je redoutais et attendais ce moment... Hélène avait ordonné que je n’avale ni ne recrache le jus du salopard, mais je n’avais pas vraiment l’habitude que l’on me jute dans la bouche.
Le clodo semblait indifférent aux insultes du passant. Il était plutôt en joie
— Quelle bouche ! Chaude et humide… une vraie bouche à pipe.
Je sentis la première salve partir et je plaquais la langue pour ne pas en laisser passer dans ma gorge. Puis la quantité de liquide commença à augmenter, j’en avais plein la bouche. Je devais presque gonfler les joues pour ne pas en laisser couler.
Le clodo, après avoir copieusement joui et haleté dans sa satisfaction bestiale, finit par retirer sa bite de ma bouche. Il remonta son pantalon, et me donna une petite tape sur la tête comme l’on ferait à un chien obéissant, puis il repartit me laissant gorger de sa semence.
Je vérifiais que je n’avais pas laissé goutter de sperme sur mes vêtements et me relevais, j’avais encore largement le temps d’arriver en cours. Retournant sur mes pas et essayant de reprendre mes esprits, je repassais devant la maison, lorsque mon père en sortit.
— Cécile !? Qu’est-ce que tu fais encore là ?
Comme j’avais la bouche pleine de sperme, il était hors de question que j’ouvre la bouche, il allait forcément le voir. Et si j’avalais le sperme, les copines seraient furax.
— Écoute ce que tu as fait hier, c’était vraiment idiot. Mais maintenant il faut que tu ailles en cours.
Il devait penser que j’avais peur que l’on se moque de moi au lycée du fait que je m’étais couverte de boue hier. Je hochais la tête... Je n’arrivais pas à croire que j’étais devant mon daron la bouche pleine de sperme. Moi qui d’ordinaire étais si sage, je n’osais même pas me masturber dans ma chambre quand il y avait mes parents à la maison.
— Tu ne veux pas me parler ?
Je ne disais rien.
— Si en plus d’être stupide, tu fais la rebelle... je commence à en avoir marre de toi ! Pars à ton lycée ! L’on reparlera de tout ça ce soir !
Je fis le chemin jusqu’au lycée en faisant bien attention de ne pas laisser ruisseler le sperme dans ma gorge. C’était pénible, je trouvais le goût du foutre déjà un peu âcre au départ, mais après le bon quart d’heure que je mis à aller au lycée, je finis par trouver le liquide visqueux tout à fait écœurant. Mais j’arrivais enfin dans le hall d’entrée… Hélène, Jeanne, Lisa et Victoria m’attendaient assises sur un banc.
Je me présentais devant elles, elles commencèrent à me dire bonjour, mais furent surprises que je ne leur réponde pas. Victoria laissa même échapper : « J’y crois pas, cette pute nous snobe ! » Heureusement, Hélène se souvint rapidement de la consigne qu’elle m’avait donnée :
— Mais non, pas du tout ! En fait Cécile a prévu un petit quelque chose pour nous ! Alors salope, tu nous as préparé une surprise ?
Je hochais la tête.
— Très bien, alors à la une, à la deux, à la trois : Ouvre bien grand ton bec !
Et j’ouvrais la bouche, même si je ne pouvais pas voir, je sentais la grosse masse de sperme épais qui prenait l’entièreté de ma bouche. Je devais avoir la bouche remplie à ras bord de foutre.
— Merde ! C’est du sperme ! » constata Jeanne, « où est-ce qu’elle a trouvé ça ?— Qui elle a pompé ? demanda Lisa.— Marcel, » répondit Hélène. « Notre grosse salope a pompé un clodo ce matin avant de venir à l’école. Une bonne pipe au saut du lit, c’est ce qu’il lui faut à cette cochonne — Marcel ? Tu connais des clodos toi ? demanda Victoria un peu surprise.— Et bien, j’en connais un… Je l’ai rencontré hier dans les bois. Et il était fort malheureux, il n’avait pas touché une femme depuis des années… À chaque fois qu’il voulait économiser pour aller aux putes, il ne pouvait s’empêcher de tout dépenser en vinasse… C’était vraiment un pauvre diable, il faisait peine à voir. Et Cécile, cette salope, lui avait piqué ses godasses !
J’avais une perception quelque peu différente de Marcel… enfin c’était peut-être un pauvre diable, mais de mon point de vue c’était une brute qui méritait son sort et bien pire. Il n’avait jamais eu une attention avec moi, m’enfonçant son engin dans la gueule comme si j’étais un trou. Il n’avait pensé qu’à lui et a son plaisir. J’aurais bien aimé tempéré l’avis d’Hélène, pour insister sur le fait que c’était moi la victime. Mais j’avais toujours la bouche pleine de foutre et condamnée à rester coite. Lisa sembla d’ailleurs s’émouvoir de ce clodo :
— Quel pauvre homme ! Et il ne peut pas se trouver une compagne ?— Penses -tu ! répliqua Hélène, c’est une loque, il est laid comme un pou, et d’ailleurs bien pouilleux. La moindre femme qui le verrait approcher changerait immédiatement de trottoir et se boucherait le nez. C’est l’équivalent humain des voitures qu’on trouve en décharge, une épave… Alors vous me connaissez, j’ai la main sur le cœur… Et je me suis dit qu’on ne pouvait pas le laisser dans cet état. Je lui ai dit que demain, enfin aujourd’hui, j’aurais une très grosse salope à ma disposition, et qu’elle serait ravie de lui vider les bourses ! N’est-ce pas Cécile ?
Je ne pouvais toujours pas parler. Je hochais la tête, sachant qu’elle n’aurait pas apprécié que je la contredise. Victoria sembla pensive un moment, puis elle parut soudainement horrifiée :
— Attends ! Tu veux dire que si j’avais perdu, c’est moi qui aurais dû avoir la bave de ce crapaud dans la bouche ? Que j’aurais dû… Je ne préfère même pas imaginer… » Mais elle ne resta pas longtemps sans imagination « C’est moi qui aurais sa queue pourrie dans la bouche ?! Je lui aurais sucé son gland dégueulasse de loque humaine ?! »
Lisa sembla sur la même longueur d’onde
— J’ai entendu dire que lorsqu’on suce un lépreux, on se retrouve avec des morceaux de bite dans la bouche, c’est dégueulasse… Ouvre la bouche à nouveau, me demanda-t-elle.
J’ouvris bien grand comme elle me le demandait, elle se leva pour bien observer, mais elle constata que je n’avais heureusement que du sperme dans la gueule. Ce qui me semblait déjà bien assez pénible, j’avais le goût du foutre macérant dans la bouche depuis des plombes. Cela me donnait l’impression d’être une poubelle où l’on aurait jeté de vieilles capotes usagées.
Hélène reprit le fil de son récit : « La moindre des choses est qu’il ait l’occasion de se vider un peu les bourses, et gratuitement ! il n’y a pas de raison qu’il n’y ait que les riches et famous qui baisent gratis. Les pauvres et cons aussi doivent avoir le droit de se faire reluire le dard, et pour cela heureusement il y a Cécile ! Au fait Cécile, tu peux avaler ton engrais maintenant.
Bêtement, j’avais pensé que je pourrais cracher, mais évidemment, en tant que salope, je n’avais pas le droit à ce genre de grâce. Je sentis le foutre du clodo descendre dans mon estomac. Cette semence venait d’un être tombé aussi bas qu’il était possible. On peut dire que du sperme reste du sperme, que ce soit d’une vedette de la télé ou d’un gnome difforme, mais c’est faux. Quand on avale le foutre d’un abruti galeux, on a l’impression d’être la dernière des putes, d’être rabaissée en dessous de son niveau. Et ce qui m’arrivait dans l’estomac était le foutre du plus minable des minables, j’avais le droit à autant d’honneur qu’une paillasse à foutre.
— En tout cas, » reprit Hélène, « je suis contente que tu aies gardé ce sperme dans la bouche… J’avais un doute que tu puisses être une salope de haut niveau, mais tu ne me déçois pas ! Je pense pas qu’on puisse trouver pire traînée que toi des kilomètres à la ronde ! me félicita-t-elle.
Victoria, me regarda ingérer le foutre, et, curieuse, elle demanda :
— Et à quoi elle ressemblait, sa queue ? » — Sa queue... » j’y réfléchis un instant, « elle était fripée, un peu biscornu, pas très propre. » Je repensais à un détail avec horreur « et il y avait des boutons blancs... j’ai eu l’impression qu’ils allaient éclater et m’asperger de pus. »
Victoria était un peu blême, mais insista :
— Et l’odeur ?— Euh, en bouche ça sentait et goûtait l’anchois pas frais.
Victoria eut l’air dégoûtée, plus que je ne l’étais moi-même : « Et dire que j’ai failli avoir ça en moi ! Oh non, je n’aurais pas pu ! Je me serais jeté sous une voiture quand il se serait débraguetté. Comment elle a pu supporter ça ? »
— C’est parce que tu n’es pas une salope, la rassura Hélène. Seule notre Cécile peut faire ce genre chose sans frémir… D’ailleurs demain plutôt que de garder son sperme en bouche… — Quoi ! Je dois le revoir demain ! l’interrompis-je, horrifiée.— Mais enfin, il a passé des années sans baiser ! Alors c’est normal de le laisser profiter quelque temps de notre salope… C’est quoi cette réflexion ! On pourrait penser que tu es sympa par moment, alors qu’en vrai t’es une vraie garce sans cœur ! Dire que je venais de te complimenter ! Et puis d’ailleurs, je trouve que c’est un peu cruel de lui accorder qu’une petite gâterie à notre Marcel. À partir de demain je lui dirai qu’il aura à sa disposition ton trou du cul de salope.— Mais… — Et plutôt que de garder son sperme en bouche, tu lui donneras ça, » dit-elle en me donnant un plug. « tout de suite après qu’il ait déchargé dans ton cul, il te mettra le plug pour que tu ne perdes pas son foutre… Tu as compris ? demanda-t-elle alors que je la regardais les yeux ronds, terrifiée par ces consignes.— Oui.— Tu en es sûr ? Tu veux bien répéter ?— Euh… Et bien, quand il m’aura enculée… » Je ne pus m’empêcher de rougir. « Et qu’il aura joui dans mon cul, je lui demanderais de m’enfoncer le plug. »— Bien ! Parfait ! Tu vas faire une salope extraordinaire, tu retiens impeccablement ce genre de cochonnerie. »
La sonnerie retentit, et l’on partit en cours. Je n’étais debout depuis que deux heures et j’étais déjà épuisée.
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