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Avec des amies comme ça…

Chapitre 15

Trash
18) Une bien grosse et bien dure journée
Je me réveillais en sursaut, je venais de faire un rêve affreux, un pur cauchemar ! Dans ce rêve, je me voyais supplicié par quatre furies libidineuses. L’une me déchiquetait mes vêtements et je me retrouvais nue devant une foule comprenant mes propres parents ! Deux autres me tenaient les mains, pour que la quatrième vienne me marquer le cul au fer rouge du mot de SALOPE. Alors que ma chair brûlait, je finissais par me réveiller.
Mais sorti du rêve, mon cul continuait de me brûler ! Pendant un moment de trouble, je pensais que le cauchemar était passé et que mon cul allait bien, qu’il n’y avait pas de raison qu’il me fasse mal. Puis je me rappelais que je m’étais fait tatouer des marques de la main de Victoria, en fait, le cauchemar continuait...
Je me forçais à voir le bon côté des choses, après ce que mes copines m’avaient fait subir hier, elles allaient sans doute me laisser respirer aujourd’hui. Et savoir que le pire était derrière moi me mettait presque de bonne humeur. Ce n’est qu’au petit-déjeuner devant la mine patibulaire de mes parents que je sentis refroidir mon enthousiasme.
À huit heures, alors que je me préparais à partir, j’entendis sonner à la porte. J’en fus un peu surprise, c’était la première fois que ça arrivait. Mais mes parents au contraire avaient plutôt l’air d’attendre ce moment, et ils se dépêchèrent d’aller ouvrir. De la cuisine, je jetais un coup d’œil. Je fus dépitée de voir que Victoria était là, toute pimpante sur le pas de la porte. Et une Victoria joyeuse était mauvais signe pour moi. Celle-ci se présenta à mes parents :
— Bonjour je suis Victoria, une amie d’Hélène. Je viens chercher Cécile.
Comme si l’on avait besoin de me chercher ! J’allais au lycée toute seule depuis toujours, crotte de bique ! Je sentais que la journée n’allait pas être aussi bonne que je l’avais espérée…
— Cécile, tu as entendu, cria ma mère, dépêche-toi ! Ta baby-sitteuse est là.
Maugréant, je traînais les pieds jusqu’à la porte d’entrée.
— Salut Victoria…— Salut Cécile ! Dis, tu veux bien me montrer tes mains ?
Sans bien comprendre ce qu’elle me voulait, je tendis mes mains vers elle… Et elle se mit à les renifler !
— ça sent le savon… parfait !
Et devant le regard étonné de mes parents, elle s’expliqua :
— Vous savez, elle a tendance à oublier de se laver les mains après les avoir fourrées dans son con. Évidemment ce serait mieux qu’elle ne fasse pas ces cochonneries perverses, mais certaines personnes ne peuvent lutter contre leur nature…
Je la regardais, sidérée. Quelle salope ! Dire ça devant mes parents ! Moi qui ne me touche presque jamais…
— Allez ! Qu’est-ce que tu attends ! Dépêche-toi, ou nous allons être en retard !
Il n’y avait pourtant pas besoin de se presser. Un quart d’heure suffisait largement pour arriver au lycée. Mais si je commençais à râler, à me montrer rétive, mes parents allaient encore faire la gueule. Je partis vite mettre mon manteau et rejoignis Victoria. Mes parents lui donnèrent dix euros, en lui disant « Surveillez-la bien ! Et prévenez-nous tout de suite si elle n’est pas sage ! » Je détestais vraiment être traitée comme un bébé, c’était abrutissant.
Je quittais la maison, sous l’air consterné de mes parents qui se demandaient plus que jamais ce qu’ils avaient bien pu faire pour mériter une fille pareille.
Au lieu de se diriger tout de suite vers le lycée, Victoria commença à faire le tour de la maison. Dès que l’on fut hors de portée des oreilles de mes parents, Victoria me questionna méchamment :
— Bien dormi, salope ? Tu as rêvé que tu te faisais gangbanger ?— J’ai dormi comme il faut, répondis-je sans lui signaler que je me faisais humilier même dans mon sommeil.— Tes tatouages ne te font pas trop mal ?— Ça va…— Ah… J’espérais que tu aurais le cul en feu. Parce que... Mais voilà Marcel.
Je vis un homme à la démarche lourde et instable s’approcher. Mon sang se glaça brusquement en me rappelant qu’Hélène avait promis au clodo qu’il pourrait me sodomiser ce matin. Victoria salua le vagabond :
— Bonjour, vous devez être Marcel… je vous apporte votre truie.
Victoria se pencha sur moi, et murmura.
— Il est vraiment horrible ! Presque pire que je l’imaginais ! Ce qu’il peut être gras ! Il mange quoi ? De la bière et des chips ? Et quelle tête… on dirait un chameau ! Ou une grosse vache avec des morceaux de gras qui pendent ! Et puis ces boutons… Je me demande comment tu peux prendre ton pied avec ça… Enfin ce qui te fait mouiller ne me regarde pas… Et, ne reste pas plantée là ! Mets tes mains contre le mur.
Je fis comme elle me le demandait, plaquant mes mains contre le mur. Pendant ce temps, Victoria fit glisser ma jupe et à ma grande honte, descendit ma culotte. Je me retrouvais cul nue dans la rue… J’étais penaude, je devrais avoir l’air vraiment conne. Le clodo voyant les tatouages de claque sur mes fesses remarqua :
— Elle s’est fait fesser par ses parents ? À son âge !?— Oh non ! ça, c’est nous ! Il suffit qu’elle dise une injure, et on lui donne une grosse fessée ! s’esclaffa Victoria. On s’occupe de son éducation à l’ancienne !
Marcel qui avait déjà retiré son pantalon baissa son caleçon. Lorsque Victoria aperçut le pénis du SDF, elle ne put s’empêcher de s’exclamer :
— Quelle horreur ! Ça peut vraiment marcher ? Elle semble molle, et…— Oh oui, Mademoiselle, elle marche, il suffit de la mettre en train.— Vous allez pouvoir lui enfoncer ça dans le cul ? Attendez, je vais vous donner un truc. C’est Lisa qui m’a passé ça, c’est plus puissant que le viagra, et quand vous jouissez, vous éjaculez du foutre comme si vous n’aviez pas tiré votre coup depuis six mois ! C’est l’extase garantie !
Le clodo avala la pilule sans faire d’histoire, pendant que Lisa m’écartait bien le cul pour que Marcel puisse y enfoncer sans mal son gourdin. Puis elle me cracha dans le trou du cul et enfonça un doigt pour l’humidifier :
— L’effet de la pilule se fera sentir dans une ou deux minutes, en attendant, allez-y, je vous en prie, dit-elle en écartant encore plus mon trou du cul, c’est porte ouverte ce matin ! Et pas de videur à l’entrée y entre ce qui veut…
Tout de suite après je sentis une bête se glisser dans mon cul. Je criais d’effroi : « Ahhhh ! Qu’est-ce que c’est ?!! »
Mais c’était évident, je venais de me prendre la bite du clodo dans le cul ! Le membre n’était pas bien ferme. Il était même flasque et avançait comme une limace dans mes entrailles, ce n’était pas tellement douloureux, mais c’était super désagréable. À chaque fois que le mollusque s’enfonçait plus loin je poussais un cri de dégoût tellement je trouvais ce corps mou et long abject . À tel point que Victoria finit par me mettre sa main sur la bouche.
— Allons soit responsable ! Tes parents sont juste derrière ! Qu’est-ce qu’ils diraient s’ils apprenaient que juste avant d’aller à l’école leur salope de fille se fait enculer par un clodo derrière le mur de leur cuisine !
Une réflexion que je m’étais moi-même faite la veille, est-ce que cela prenait déjà la forme d’une tradition ? Se faire baiser à deux pas de mes parents comme une salope ? Pendant que je me lamentais sur mon triste sort, le pénis commençait à durcir et à grossir. L’effet de pilule était indéniable, le mollusque que je sentais dans mon cul se transformait en barre de fer ! C’était plus agréable, mais paradoxalement plus douloureux pour mon cul peu habitué à se faire enculer. Je me sentais déchirée de l’intérieur et faisais des efforts pour ne pas hurler.
— Et bien, Marcel, comment est le trou du cul de Cécile ?
Lui aussi haletait.
— Bien étroit ! Mon gland est gonflé à fond ! Je le lui plonge dans les boyaux !
J’étais congestionnée, je sentais la bite de Marcel me remplir. Et ce qui était encore plus affreux est que ça commençait à me plaire. Je me demandais si mes amies n’avaient pas finalement raison, n’étais-je pas une vraie salope, obscène au plus haut point. Ce que ne manqua pas d’observer Victoria :
— Elle kiffe ça, la pétasse, son cul est en plein spasme ! T’aimes ça, te faire enculer ?! me demanda Victoria, avoir la bite d’un clodo dans les entrailles ? T’as pas de décence, hein ? Tu m’excites presque, tu sais… Voir une gonzesse prendre son pied quand elle se fait farcir par un charclo… Je ne pensais pas qu’une fille pouvait être aussi tordue que toi. T’es même pas une pute, t’es juste un trou, hein ?
Le pire est que c’était vrai, j’étais en chaleur. À force de me faire humilier, tatouer, réprimander, j’étais à bout de nerfs, et j’avais besoin qu’on me fasse du bien. Pour cela, prête à me faire enculer par la pire des ordures et à en redemander. Mais je me taisais pour ne pas donner à Victoria la satisfaction d’entendre de la fébrilité dans ma voix. Le clochard, lui, ne faisait pas preuve de la même retenue :
— Putain ! C’est si bon ! Elle palpite de plus belle ! Son cul m’aspire la bite !— Elle a un vrai cerveau de salope ! On lui met une bite quelque part, et elle se transforme en pompe, se marra Victoria.
Le clodo avait maintenant la tige dure comme du béton, il se mit à faire des va-et-vient rapides dans mon cul, mes hanches bougeaient presque contre mon gré, je ne réagissais qu’instinctivement. Je me faisais défoncer, et mon cerveau était incapable de formuler une conduite raisonnable, je ne me rendis compte qu’après coup que je m’étais mise à baver comme une chienne en manque. Le clodo était ravi :
— Ah j’en peux plus, cette salope à un cul de velours ! Purée de chiotte ! je vais lui lâcher la purée !
Aussitôt je sentis un liquide remplir mes intestins
— Je suis en train de me vider les couilles comme jamais, putain ! Oh oui, et j’en ai encore en réserve… je te bourre pétasse ! AAAHhh, putain la farce que je lui mets à la dinde ! S’époumona-t-il avant de s’effondrer sur mon dos.
Le foutre continuait à être éjecté dans mon trou du cul à pleine vitesse. Je jouissais au même moment. Victoria pendant ce temps s’agitait :
— Vite ! Vite ! Où est le plug ?! Et lève bien le cul, idiote !— Euh… dans mon cartable.
Et pendant que je haussais mes fesses pour éviter que le foutre n’en coule au-dehors, Victoria farfouilla dans mon sac, et en ressortit rapidement le plug noir.
— Tu veux bien lui mettre ? demanda-t-elle à Marcel.— Bien sûr.— Ouuuuhhhh !
C’était affreux. Je sentis le sperme revenir dans mes entrailles à mesure que l’énorme bouchon s’enfonçait dans mon cul. La semence du clodo se trouvait coincée dans mon cul ! L’horreur ! J’avais la sensation d’être comme une gourde remplie à ras bord. Je finis par me redresser, et étant toujours la chatte à l’air libre en pleine rue, je voulus remettre immédiatement ma culotte. Mais Victoria la tenait et elle n’avait pas l’intention de me la rendre. Au contraire, elle la tendit au SDF :
— Tenez, un cadeau-souvenir, dit-elle au clodo, si vous voulez vous branler dedans n’hésitez pas. Notre grosse salope de Cécile adore ça, savoir que ses sous-vêtements servent de serpillière à foutre pour les plus démunis.
Marcel la remercia pendant que je remettais ma jupe sans rien en dessous. J’avais des éclaboussures de mouilles sur les jambes, mais tant pis. Victoria dit au revoir au clochard, mais elle insista auparavant pour que je lui fasse la bise sur la bite pour lui souhaiter une bonne journée. Ce que je fis avec un peu de dégoût, sa pine sentait tellement le foutre, que poser ma bouche dessus était presque plus dégoûtant que de l’avoir sucé hier.
Puis nous partîmes au lycée en nous dépêchant. Courir avec un plug dans le cul n’était vraiment pas agréable, j’étais obligée de tortiller du cul comme une salope. Inutile de dire qu’au vu de ma démarche de pétasse, tous les garçons me fixèrent des yeux en tirant la langue. Sans compter que je devais puer le sexe chaud vu comme je m’étais fait démonter le cul. Mais, le pire était le sperme qui restait coincé dans mon cul. Je le sentais bouger à chaque pas, et savoir que j’avais ce liquide honteux à l’intérieur sans aucune possibilité pour m’en débarrasser était sordide. Pouvais-je nier que j’étais une salope quand je me rendais en cours avec une réserve de foutre dans le cul ?
On arriva juste à l’heure pour le premier cours, la matinée était occupée par la classe de français. Lorsque je rendis mon devoir au professeur, j’avais la honte de ma vie et je rougissais comme une pivoine. Comment réagirait le prof quand il lirait ma dissertation ? Me mettrait-il un zéro ? C’est ce que j’avais de mieux à espérer. Enfin pas forcément, dans ce cas, il risquait de demander à ce que je montre ça à mes parents et leur réclame une signature. Mais le pire, évidemment, était qu’il pense que j’étais sérieuse et me prie de le voir après les cours. Comment réagirais-je ? Non, il ne pouvait prendre ça que comme une blague...
Mais je n’avais pas tellement le loisir de ressasser ce que l’avenir me réservait. Avec le gros plug enfoncé dans le cul, et mes fesses en contact avec la chaise froide, j’avais du mal à avoir deux pensées qui se suivent. Le bouchon me rentrait complètement dans l’anus et j’étais constamment à me tortiller sur la chaise. Hélène et Lisa me regardaient gesticuler assez amusées.
Au bout de deux heures, le prof fit une pause, je sortis du cours avec mes amies, et Victoria fit le récit de ma rencontre avec Marcel. Cela donna une idée à Hélène :
— Quand même je lui donne ta bouche pour que tu le suces, ton cul pour qu’il t’encule, mais je ne lui ai même pas donné ta chatte à baiser. Demain…
Lisa l’interrompit :
— Demain, ce clodo ne sera bon à rien. Avec la pilule qu’il a prise, il s’est vidé les burnes pour plusieurs semaines, sa bite est complètement HS pour un moment. Par contre, le cul de notre salope doit déborder de son jus…— Ah, dommage pour Marcel... Mais t’inquiètes pas salope, on trouvera quelque chose pour t’occuper…
Je voulais profiter de la pause pour aller aux toilettes et me vider du foutre contenu dans mon cul. Mais avant que je puisse demander la permission à mes amies, le cours reprit. Je restais donc un dépotoir à foutre pendant le prof donnait des explications sur les sentiments de Madame Bovary, j’en éprouvais une sensation étrange. J’avais l’impression d’être entrée dans un autre monde, une sorte d’univers parallèle où rien n’aurait changé, sauf moi qui n’étais plus une élève, mais juste une salope tout juste conne à se faire abuser et outrager. Puis une heure plus tard, il fut temps d’aller déjeuner. J’étais affamée. Depuis mon retour de la forêt, je n’avais pas mangé grand-chose. La tête effondrée de mes parents me coupait l’appétit. Alors, aujourd’hui, mon ventre gargouillait, il faut dire que se faire sodomiser jusqu’à plus soif le matin réclamait son lot de calorie.
Au repas, je ne fis donc pas de chichi et pris un gros steak avec une bonne dose de frite. Je suivis mes amies jusqu’à une table vide au fond de la cantine. Et alors que j’allais m’asseoir pour savourer mon repas, voilà que Lisa me dit :
— Attends ! Tu peux le retirer maintenant.
Je ne compris pas immédiatement.
— Ton plug, tu peux le retirer !
Ah, ce n’est pas que je l’avais oublié. À chaque pas que je faisais, je sentais le bouchon dans mon cul. Et si au départ j’avais trouvé ça pour le moins gênant, après le cours, ce corps étranger avait fini par me faire éprouver pas mal d’excitation. J’avais beau avoir déjà joui par le cul, se déplacer avec une boule dans le derrière est irrésistible. J’aimais par contre moins l’idée que le bouchon retenait tout ce que l’abruti de clodo m’avait éjaculé dedans. Et j’essayais de supporter cette humiliation stoïquement, comme s’il était normal de servir de dépôt à foutre au pire crétin qui soit.
— Je peux aller aux toilettes pour le retirer ?
Si je retirais mon plug dans la cantine, j’inonderai mon siège de sperme. Et, je craignais que mes amies insistent pour que je m’assoie alors dessus. J’osais à peine me risquer à imaginer mes fesses se posant dans une marre de foutre et devoir prendre mon repas en ayant du sperme en train de sécher sur mon cul.
— Non, mais, ne t’inquiète pas. On a quelque chose pour pas que tu ne te salisses pas.
Et elle posa mon plateau-repas sur le siège.
— Hein ? Mais je peux pas m’asseoir… — Retire ton plug bécasse, expliqua Hélène, ton repas est bien trop fade, il faut y rajouter de la sauce…
Je grimaçais… Mais après tout je me faisais sans doute de fausses idées, quelques gouttes de sperme allaient simplement s’écouler. Pas de quoi en faire un drame. Et puis, je n’avais pas vraiment le choix, encore une fois, mes amies ne me demandaient pas mon avis. J’attendis un moment où personne dans la cantine ne m’observait pour me déboucher le cul. J’avais les jambes bien écartées au-dessus de ma chaise quand je retirais le plug. Aussitôt un appel d’air se fit sentir, et dans un gros « ploc ! » je sentis le foutre du clochard se déverser hors de mon cul. D’abord, un filet visqueux coula le long de la raie des fesses puis tomba sur le plateau-repas. Ce n’était que le début ; le foutre s’écoula ensuite à plein pot, comme mon anus habitué au bouchon se mit à avoir des spasmes, une grosse louche de foutre fut éjectée en plein sur l’assiette.
Je voyais le liquide sortir de mon trou du cul sans frein, noyant mon assiette dans une abominable douche de sperme. Je dus prendre deux minutes à me vider le cul de tout le sperme qui y avait été accumulé. Je n’aurais jamais cru qu’un mec même ayant pris une drogue puisse éjaculer autant de foutre avec sa bite !
Lisa reprit le plateau-repas, et le posa sur la table. Je m’assis en face, et pue constater avec horreur le résultat : le plateau était couvert de foutre, l’assiette maculée de sperme, la viande aspergée de sauce blanche et mes frites couvertes de résidu de liquide séminal. Il n’y avait plus rien de mangeable ou qui ne soit imprégné de semence, rien que toucher le plateau était déjà dégoûtant.
Hélène se pinça le nez :
— Dépêche-toi de manger, ça fouette.— Et puis ce serait dommage de laisser toutes ces bonnes vitamines se perdre, dit Lisa— C’est vrai, renchéri Jeanne, non seulement c’est plein de protéine, mais le foutre contient de l’alcaline qui fait maigrir.— C’est fou ! Elle a trop de chance d’être une salope.— En plus c’est bourré de substance antidépressive, continua Jeanne, c’est pour ça qu’elle est toujours contente.
Je n’allais pas contester ce que disait Jeanne, mais je me demandais quand même si les qualités nutritives du foutre restaient inchangées quand le sperme venait d’un alcoolo quasi obèse.
— Mange ta sauce ! ordonna Hélène, c’est bon pour toi.
J’allais devoir me résigner à manger cet amalgame peu ragoûtant de nourriture et de sperme. Inutile de plaider ma cause, je savais que ce serait inutile. Une fois qu’Hélène avait décidé de quelque chose, rien ne pouvait la faire changer d’avis. Je coupais donc un morceau de viande et le portais à ma bouche. L’odeur de foutre était toujours aussi forte, quand je le mettais en bouche je sentais l’amertume du sperme mélangé au goût de la viande, j’eus un frisson alors que la viande me passait dans l’œsophage. J’aurais encore préféré manger un steak ramassé dans le caniveau.
Les frites étaient pires, elles étaient engluées dans le sperme de mon assiette. Cela donnait déjà peu envie de les manger, mais quand je croquais dedans, je me rendis compte que leurs textures avaient été complètement ramollies par la semence du clodo. Quand je croquais trop fort, je sentais du sperme giclé. Sans compter que le goût de la pomme de terre était complètement étouffé par celui beaucoup plus fort du sperme. Non que ça change grand-chose, ce n’est pas comme si je n’avais pas déjà la saveur du foutre plein la bouche.
— Allez salope, on mange sa bonne nourriture ! T’auras le droit de faire un bon rot après ! se marra Hélène— Regardez là, elle fait la grimace, mais en vrai elle se régale. De la bonne sauce de bite, je suis sûr qu’elle pourra bientôt plus s’en passer. Tu aimes ça hein ? — …— Allons, tu dis que tu aimes ça salope ? Où tu veux qu’on trouve autre chose à mettre dedans ? menaça Jeanne en faisant semblant de se moucher.
Bouffer du sperme était déjà assez dégueu comme ça, sans y rajouter de la morve.
— Je me régale ! Je vous suis trop reconnaissante d’avoir pensé à ce repas.— De rien salope. Et fais attention, tu as du foutre sur le menton. Tu ne voudrais pas aller en cours en ayant l’air t’être pris une éjac facial non ?
Ainsi encouragée par mes amies, je réussis tout de même à finir mon plateau. J’étais dégoûtée, jamais je n’avais mangé un repas aussi répugnant. Et puis tout ce sperme... si ç’avait été celui d’un beau gosse encore... Mais non, c’était celui d’un clochard, d’un tocard minable, et moi j’étais celle qui lui bouffait son jus de bite. Pouvait-on tomber plus bas dans l’échelle sociale ? Une pute aurait sans doute pu me cracher dessus sans qu’on y trouve à redire…
Et la journée n’était même pas finie.
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